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23/03/2008

Le sous-préfet de Saintes limogé après un article "anti-israélien"

PARIS (AFP) - Le sous-préfet de Saintes (Charente-Maritime), Bruno Guigue, a été limogé après avoir publié une tribune "violemment anti-israélienne" sur le site internet "Oumma.com", a-t-on appris samedi auprès du ministère de l'Intérieur.

1166024355.jpgDans une tribune publié le 13 mars, M. Guigue estime notamment qu'Israël est "le seul Etat au monde dont les +snipers+ abattent des fillettes à la sortie des écoles". Il ironise également sur les "geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on s'interrompt de torturer pendant Shabbat".

La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a "été mise au courant mercredi du contenu de cette tribune et a immédiatement décidé de mettre fin aux fonctions" de M. Guigue, a-t-on indiqué au ministère de l'Intérieur, sans fournir plus de précision.

Enarque, normalien, M. Guigue a publié plusieurs ouvrages, dont "Proche-Orient: la guerre des mots", et tribunes sur la situation proche-orientale.

21/03/2008

L'Iran menace la sécurité de l'Europe, prétend Sarkozy

CHERBOURG, Manche (Reuters) - Le programme nucléaire iranien menace la sécurité de l'Europe, a déclaré Nicolas Sarkozy.

2081820852.jpg"L'Iran accroît la portée de ses missiles alors que de graves soupçons pèsent sur son programme nucléaire", a dit le président français lors d'un discours sur la défense à Cherbourg, à l'occasion de la mise à l'eau du quatrième sous-marin nucléaire français, Le Terrible.

"C'est bien la sécurité de l'Europe qui est en jeu", a-t-il ajouté.

"Face à la prolifération, la communauté internationale doit être unie, la communauté internationale doit être résolue", a souligné le président français.

Matthias Blamont

 

Commentaires du PNF :

Il y a plus d’un an et demi, dans nos colonnes, nous écrivions que Sarkozy le sioniste était un va-t-en-guerre, un " faucon " obnubilé par la sécurité d’Israël, " pays ami de la France " qui massacre quotidiennement des femmes et des enfants avec des armes fournies gratuitement par l’Oncle Sam.

Sarkozy a depuis longtemps fait tomber le masque sur ses réelles motivations et intentions. Il est sioniste dans le sang, et n’hésitera pas à répandre le sang en Iran dans une guerre préventive. Le 21 ème siècle semble bien mal engagé, à moins que le peuple américain ne reprenne ses exprits et son indépendance vis-à-vis de ses médias en propulsant Obama à la Maison Blanche.

Malheureusement, les " faucons " néo-conservateurs de Paris et Washington auront peut-être pris leurs initiatives guerrières avant l’heure des élections américaines.

Les médias français diffusent depuis quelques semaines de nombreux reportages sur les forces spéciales et l’armée française. Cela tend à croire que c’est une manœuvre de préparation de l’opinion publique française à une guerre contre l’Iran (que les médias s’empresseront de décrire comme étant de simples frappes " chirurgicales "…).

Où sont passés les gaullistes ? Où est passée la culture de liberté et de débat démocratique dans le pays des Lumières ? A vau-l’eau semble-t-il.

Comme a dit Chirac, si l’Iran a la bombe atomique, et alors ? L’Iran n’utilisera pas la bombe. La bombe atomique est faite pour ne pas être utilisée, c’est un moyen de dissuasion.

Les services de renseignement américains ont sorti un rapport au mois d’août (publié seulement trois mois plus tard..) pour dire que selon eux l’Iran avait arrêté son programme nucléaire. Et malgré cela, la " communauté internationale " (idée vague qui cache en fait une vision impérialiste du monde, la " communauté internationale " pouvant être traduite comme étant " la communauté des pays contrôlés par le lobby sioniste international ") continue de vouloir empêcher l’Iran d’acquérir la technologie du nucléaire civil.

Tant que le problème de la colonisation de la Palestine par les Juifs ne sera pas réglé (la meilleure solution étant la construction d’un Etat juif sur le territoire américain par exemple), les guerres continueront, ad vitam æternam.

 

 

20/03/2008

Kostunica et Lavrov critiquent la décision de Bush d'autoriser une aide militaire américaine pour le Kosovo

BELGRADE - Le Premier ministre serbe et le ministre russe des Affaires étrangères ont critiqué jeudi la décision de George W. Bush d'autoriser une aide militaire des Etats-Unis pour le Kosovo.

803211470.gifMercredi, le président américain a autorisé le Kosovo à recevoir de l'aide des Etats-Unis, avec des armes et des soldats, une décision que le Premier ministre serbe Vojislav Kostunica a qualifié "de nouvelle initiative profondément mauvaise des Etats-Unis" concernant le Kosovo, ont rapporté jeudi des médias publics serbes.

En déplacement à Tel Aviv, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié pour sa part l'action de M. Bush de violation de la législation internationale, selon des médias russes. Lors d'une conférence de presse, il a affirmé que toute vente d'armes au Kosovo violerait une résolution de l'ONU qui interdit cela, sauf pour les forces de l'ONU dans la région. Il a ajouté que cela ajouterait à l'instabilité dans les Balkans. AP

Deux frères russes possédant également la nationalité américaine interpellés en Russie pour espionnage industriel

MOSCOU - Deux frères russes possédant également la nationalité américaine ont été interpellés pour tentative d'obtention d'une information confidentielle destinées à favoriser des compagnies pétrolières étrangères, a annoncé jeudi le Service de sécurité fédérale (FSB, ex-KGB).

917330868.jpgSelon le FSB, l'un des suspects était un employé de TNK-BP, un importante compagnie pétrolière russe détenue pour moitié par la compagnie britannique BP, et l'autre du British Council, la représentation culturelle du gouvernement britannique à l'étranger.

Une porte-parole de l'ambassade de Grande-Bretagne a toutefois précisé que le deuxième suspect Alexandre Zaslavski, n'était pas un employé du British Council, mais un membre de l'"Alumni Club", le club des élèves, mis en place par le British Council pour regrouper des Russes ayant étudié en Grande-Bretagne.

L'ambassade américaine s'est refusée à tout commentaire.

La police a perquisitionné mercredi les bureaux de BP à Moscou et ceux de TNK-BP.

Selon le FSB, les deux hommes ont été arrêtés lors d'une "tentative pour recevoir des informations confidentielles, des secrets commerciaux, de la part d'un citoyen russe", employé d'une importante compagnie pétrolière russe. Les informations étaient destinées "à l'usage des compagnies gazières et pétrolières étrangères dans le but d'obtenir un avantage concret sur leurs concurrents russes".

Ces interpellations sont de nature à accroître les tensions entre Washington, Londres et Moscou. Les relations entre la Russie et la Grande-Bretagne sont particulièrement tendues depuis la mort de l'ancien agent du FSB et critique du Kremlin Alexandre Litvinenko, empoisonné par une rare substance radioactive à Londres. Moscou a refusé d'extrader le principal suspect désigné par les enquêteurs britanniques.

Moscou a également ordonné cette année la fermeture des branches du British Council de Saint-Pétersbourg et Ekatérinbourg.

Par ailleurs, jeudi, la justice russe a inculpé l'homme d'affaires réfugié en Grande-Bretagne Boris Berezovski, dont Litvinenko était proche, de mensonges pour avoir affirmé l'an dernier que des agents russes avaient tenté de le tuer. AP

17/03/2008

Le peuple tibétain a le droit à la liberté


Les Jeux Olympiques qui symbolisent la paix et la liberté seront organisés dans quelques mois dans l’une des dernières dictatures communistes de la planète qui depuis plusieurs jours rétablit dans le sang l’ordre rouge au Tibet.

904176443.jpgPays occupé depuis 1950 par l’armée chinoise et annexé par la Chine communiste, le Tibet paye au prix fort sa soif de liberté.

Il faut dénoncer cette politique de la violence menée par le régime communiste à l’encontre du peuple tibétain qui a déjà fait plusieurs dizaines de morts et condamner la lâcheté des autorités françaises qui pour des raisons mercantiles, ferment les yeux sur ces violations des droits de l’homme. Le peuple tibétain qui n’est chinois ni par la langue ni par la culture ni par la spiritualité a droit au respect de son identité nationale millénaire et de sa liberté.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1629

19:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tibet |  Facebook | |

01/03/2008

Massacres de Gaza : le silence des « intellectuels bien-pensants »

992166593.jpgAlors qu’en France il y a aujourd’hui des opérations médiatiques quotidiennes et une chape de plomb sur les consciences qui visent à faire porter la responsabilité de la Shoah sur la nation toute entière, un vice-ministre israélien appelle lui-même au génocide du peuple palestinien en les menaçant d’une " plus grande Shoah ".

En France, il est facile de constater la dissymétrie totale du comportement des professionnels de l’indignation, à la limite de la schizophrénie. Ces pseudo-intellectuels engagés, dont Bernard-Henri Lévy est le porte-drapeau, veulent modeler les consciences individuelles des Français en dirigeant leur indignation de manière partisane.

La plupart de ces " intellectuels " sont des sionistes convaincus. Ils ont donc une conception des droits de l’Homme à géométrie variable. Ainsi ne les entend-on jamais s’indigner du massacre de femmes et d’enfants en Palestine. Quand ils abordent le sujet, ils commencent quasiment de manière systématique par rappeler le drame de l’Holocauste. Cet Holocauste du peuple juif est devenu un instrument politique qui sert à justifier l’illégitime (la création de l’Etat d’Israël), et l’indéfendable (le génocide du peuple palestinien).

Les vraies victimes juives de l’Holocauste ne doivent-elles pas être écoeurées aujourd’hui de voir leurs congénères (les BHL, Klarsfeld, Kouchner, et bien d’autres…) utiliser leur mort et leurs supplices afin de justifier le massacre d’autres innocents, à savoir les palestiniens ?

Dans l’Histoire, l’origine des guerres provient de manière quasi systématique des conséquences des guerres précédentes. En ce qui concerne le problème israélien, il semble que le fait que les Juifs sionistes se nourrissent quotidiennement des horreurs subies par leurs ancêtres les pousse à perpétrer ces horreurs sur autrui, par vengeance ou par un processus de réplication des sévices subis. A ce titre, on peut faire le parallèle avec les personnes victimes de sévices sexuels dans leur enfance, qui deviennent eux-mêmes souvent de futurs bourreaux.

A partir de 1945, à la suite de l'Holocauste, les juifs ont accéléré le mouvement de migration vers la Palestine, qui avait commencé à la fin du 19ème siècle. Malheureusement, la Palestine n’était  pas " une terre sans peuple " comme le prétendaient les sionistes. Cela a donc conduit aux guerres entre colons juifs et palestiniens et au nettoyage ethnique. Toutes les horreurs perpétrées contre les palestiniens à cette époque sont encore jusqu’à aujourd’hui passées sous silence.

Si en 1945, les juifs étaient tous partis aux Etats-Unis au lieu de se rendre en Palestine, cela aurait probablement évité beaucoup de souffrances et de massacres, tant pour les juifs que pour les palestiniens.

Il est plus que temps aujourd’hui d’ouvrir un débat difficile mais nécessaire sur la fin de la colonisation juive en Palestine, car tant qu’il lui reste un souffle de vie, un peuple ne renonce jamais à la terre de ses ancêtres.

 

 

 

 

Le vice-ministre israélien de la Défense menace Gaza d'un nouvel Holocauste

1686898272.jpgGAZA (AFP) - Trente-deux Palestiniens, dont des femmes et des enfants, ont été tués samedi dans des frappes de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, l'une des journées les plus meurtrières de ces derniers mois dans le territoire palestinien, selon un nouveau bilan de sources médicales.

Au moins 75 Palestiniens, dont 15 dans un état grave, ont été blessés lors de raids aériens et une opération terrestre de l'armée israélienne lancée dans la localité de Jabaliya (nord) et ses environs, a-t-on ajouté.

Malgré cette offensive, les groupes armés palestiniens ont tiré une trentaine de roquettes contre Israël, où trois civils, dont deux enfants, ont été blessés par l'un de ces engins dans la ville d'Ashkélon (sud), distante de 10 km de la bande de Gaza, selon la radio militaire

Selon l'armée israélienne, "au moins 15" activistes armés ou qui dissimulaient des engins piégés à l'approche des militaires ont été "touchés" à Jabaliya, où cinq soldats israéliens ont été blessés.

Il s'agit de l'une des journées les plus meurtrières ces derniers mois dans la bande de Gaza, où le bilan des morts palestiniens n'a cessé d'augmenter d'heure en heure depuis l'aube samedi.

En milieu de journée, de violents combats armés entre les soldats israéliens et des activistes se déroulaient dans l'est de Jabaliya, où opéraient des unités d'infanterie et de blindés israéliens appuyés par des hélicoptères.

Les ruelles désertes de la localité étaient jonchées de débris en raison des destructions alors que les imams des mosquées récitaient des versets du Coran sur des haut-parleurs et les habitants de Jabaliya sont terrés chez eux.

"Nous vivons une ambiance de guerre totale. A chaque instant nous entendons le bruit de roquettes et d'explosions. Ca tire de tous les côtes", a dit à l'AFP Abou Alaa, 40 ans, un habitant de Jabaliya joint par téléphone.

"Les enfants n'ont pas été à l'école et les commerces sont restés fermés et l'on ne peut sortir de nos maisons", a-t-il ajouté.

Face au nombre grandissant des victimes, le Dr Mouawiya Hassanein, chef des urgences à Gaza, a affirmé que ces services "ne pouvaient plus faire face à la situation sanitaire dans cette guerre".

"Les choses vont de mal en pis. Nous ne pouvons pas nous déplacer facilement, 12 de nos ambulances sont bloquées faute de carburant et les autres ambulances doivent coordonner au préalable avec l'armée israélienne, ce qui gêne notre travail", a-t-il dit.

Le vice-ministre israélien de la Défense Matan Vilnaï a expliqué que l'armée avait lancé une opération terrestre "élargie" dans le nord de Gaza. "Nous agissons surtout avec l'aviation même si nous recourrons aussi à des forces terrestres".

Le vice-ministre israélien a aussi prévenu les Palestiniens de Gaza qu'ils s'exposaient à une "shoah" s'ils poursuivaient leurs tirs de roquettes contre l'État juif.

Pour le ministre de l'Environnement, membre du cabinet de sécurité, Gideon Ezra, il faut "éliminer tous ceux qui sont impliqués dans les tirs de roquettes y compris Ismaïl Haniyeh", le chef du gouvernement Hamas à Gaza, non reconnu par la communauté internationale.

Vendredi, M. Haniyeh a dénoncé une "vraie guerre" menée par Israël contre Gaza.

Quant au président palestinien Mahmoud Abbas, en brouille avec le Hamas, il a exhorté Israël à arrêter ses attaques et les groupes armés à cesser les tirs de roquettes sur Israël.

Depuis le début mercredi de la dernière offensive israélienne en date contre Gaza pour tenter de faire cesser les tirs de roquettes palestiniennes contre le territoire israélien, au moins 65 Palestiniens ont été tués. Un Israélien a péri dans le tir d'une roquette mercredi.

Les derniers décès portent à 6.229 le nombre de personnes tuées dans les violences israélo-palestiniennes depuis 2000, pour la plupart des Palestiniens, selon un bilan établi par l'AFP.

29/02/2008

Enseignante poignardée: échange tendu entre le mari et un élève

1709398608.jpgEVRY (AFP) - Un échange tendu a eu lieu vendredi au procès de Kévani Wansale devant les assises de l'Essonne, entre un élève qui avait tenté de s'interposer et Frédéric Toutain, le mari de l'enseignante poignardée le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes (Essonne).

L'échange a eu lieu après une audition difficile, où Sofiane, camarade de classe de l'accusé, a rechigné à évoquer les faits, se montrant avare de mots. Frédéric Toutain s'est levé et s'est approché à quelques centimètres du jeune homme.

Il l'a sommé d'évoquer l'échange qu'ils avaient eu lorsque le jeune homme s'était rendu à l'hôpital pour prendre des nouvelles de sa prof, et durant lequel il avait remercié l'élève d'être intervenu.

"On avait eu une discussion d'homme à homme. Je t'ai dit merci. Tu m'as dit qu'on aurait jamais dû faire ça à cette femme, que Mme Montet-Toutain, c'était quelqu'un de bien. Regarde-moi, t'es sûrement quelqu'un de plus dur que moi !", a-t-il hurlé.

"T'es venu parce que t'avais un coeur, des convictions", a-t-il tonné, avant de poursuivre : "Regarde-moi ! Regarde-moi ! Notre vie c'est une vie de merde maintenant, et toi, tu nous laisses là-dedans !".

"Je sais pas trop quoi dire. Je me rappelle plus très bien", a répété l'élève en se dandinant, les yeux tantôt vers le sol, tantôt vers le plafond.

Tout juste a-t-il consenti à confirmer du bout des lèvres ses déclarations lors de l'enquête, durant lesquelles il avait qualifié son camarade de "lâche". "C'est pas bien ce qu'il a fait ce jour là", a-t-il murmuré.

L'accusé avait tenté d'atteindre son camarade d'un coup de couteau circulaire, mais celui-ci n'avait pas été touché.

Sofiane a dû faire l'objet d'un mandat d'amener, car il rechignait également à venir témoigner devant la cours d'assises.

Le réquisitoire est attendu samedi matin, le verdict dans la journée.

Condamnation de Bruno Gollnisch: un procès politique

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 Communiqué de Presse de Bruno GOLLNISCH


La Cour d’Appel de Lyon vient de confirmer la condamnation prononcée à mon encontre par le Tribunal de Grande Instance.

J’aurais contesté le jugement de Nuremberg, notamment en affirmant que l’assassinat de milliers d’officiers polonais à Katyn était à mettre sur le compte des soviétiques, qui l’ont depuis reconnu, et non sur celui des Allemands. J’en déduis donc que, pour ne pas risquer de porter atteinte à l’autorité de Nuremberg, il faut continuer à prétendre que les Allemands sont responsables de ce crime.

Je serais également coupable d’avoir demandé que la discussion soit libre sur ces sujets, sur lesquels, selon la Cour, plus aucun débat ne saurait avoir lieu. Je suggère donc le licenciement de tous les historiens qui, sur fonds publics, travaillent encore sur ces questions qui n’en sont pas.

En matière de contestation de jugement, je suis cependant mieux traité que le célèbre écrivain Emile Zola qui fut condamné à un an de prison ferme, pour avoir contesté la condamnation du capitaine Dreyfus. Et j’ai un motif d’espoir : l’histoire a donné raison à Emile Zola, dont beaucoup de rues de France portent le nom, plutôt qu’à ses juges tombés dans l’oubli.

28/02/2008

La persécution de Bruno Gollnisch

1262040239.jpgjeudi 28 février 2008


Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Bruno Gollnisch est lourdement condamné en appel pour « contestation de crimes contre l’humanité » alors qu’il avait explicitement reconnu la Shoah comme un crime contre l’humanité.

Cette condamnation s’inscrit dans la longue liste de ces verdicts où la justice prétend débusquer des non-dits coupables dans des propos qui ne le sont en aucune manière.

Il ne s’agit pas de justice, mais d’une persécution permanente contre ceux qui déplaisent à Big Brother. Ces jugements mettent la France au rang des Etats totalitaires.

« Malheur à la génération dont les juges méritent d'être jugés », dit le Midrash Rabba.