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04/10/2009

Rétribution des lycéens : la dernière bouffonnerie de Sarkozy

Communiqué de presse de Marine LE PEN

Des lycéens sèchent l’école ? Pas de problème, Nicolas Sarkozy qui a réponse à tout a trouvé la solution : rémunérer avec l’argent des contribuables français les élèves de banlieue pour qu’ils daignent suivre les cours que leur offre gracieusement la République !

Cette proposition ahurissante qui prévoit d’accorder une indemnité de base de 2000 euros à trois lycées de banlieue parisienne dont les élèves feraient preuve d’assiduité a reçu l’aval du ministère de l’Education nationale.

Cette politique extravagante d’incitation financière collective, illustre la perte de valeurs et les dérives d’un système éducatif à bout de souffle, gangrené par l ‘idéologie post soixante-huitarde qui a banni les principes d’ordre, d’autorité et de discipline.

La lutte contre l’absentéisme ne saurait s’accommoder de cette énième bouffonnerie étatique. Elle exige une réforme en profondeur de tout le système éducatif qui passe par un discours de relèvement des exigences dans tous les domaines : discipline, savoirs, valeurs.

Source: Front National

29/02/2008

Enseignante poignardée: échange tendu entre le mari et un élève

1709398608.jpgEVRY (AFP) - Un échange tendu a eu lieu vendredi au procès de Kévani Wansale devant les assises de l'Essonne, entre un élève qui avait tenté de s'interposer et Frédéric Toutain, le mari de l'enseignante poignardée le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes (Essonne).

L'échange a eu lieu après une audition difficile, où Sofiane, camarade de classe de l'accusé, a rechigné à évoquer les faits, se montrant avare de mots. Frédéric Toutain s'est levé et s'est approché à quelques centimètres du jeune homme.

Il l'a sommé d'évoquer l'échange qu'ils avaient eu lorsque le jeune homme s'était rendu à l'hôpital pour prendre des nouvelles de sa prof, et durant lequel il avait remercié l'élève d'être intervenu.

"On avait eu une discussion d'homme à homme. Je t'ai dit merci. Tu m'as dit qu'on aurait jamais dû faire ça à cette femme, que Mme Montet-Toutain, c'était quelqu'un de bien. Regarde-moi, t'es sûrement quelqu'un de plus dur que moi !", a-t-il hurlé.

"T'es venu parce que t'avais un coeur, des convictions", a-t-il tonné, avant de poursuivre : "Regarde-moi ! Regarde-moi ! Notre vie c'est une vie de merde maintenant, et toi, tu nous laisses là-dedans !".

"Je sais pas trop quoi dire. Je me rappelle plus très bien", a répété l'élève en se dandinant, les yeux tantôt vers le sol, tantôt vers le plafond.

Tout juste a-t-il consenti à confirmer du bout des lèvres ses déclarations lors de l'enquête, durant lesquelles il avait qualifié son camarade de "lâche". "C'est pas bien ce qu'il a fait ce jour là", a-t-il murmuré.

L'accusé avait tenté d'atteindre son camarade d'un coup de couteau circulaire, mais celui-ci n'avait pas été touché.

Sofiane a dû faire l'objet d'un mandat d'amener, car il rechignait également à venir témoigner devant la cours d'assises.

Le réquisitoire est attendu samedi matin, le verdict dans la journée.