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14/06/2010

Le drapeau français de la mairie de Villeneuve-Saint-Georges brûlé et remplacé par un drapeau algérien

drapeau.jpgLe drapeau français accroché sur la façade de la mairie de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) a été brûlé dans la nuit de dimanche à lundi, et remplacé par un drapeau algérien, indique la police. Les faits ont été découverts lundi matin à l'ouverture de la mairie. La mairie a annoncé avoir immédiatement déposé plainte. Dimanche, la Slovénie a gâché les retrouvailles de l'Algérie avec la Coupe du monde de football en remportant contre le cours du jeu (1-0) son premier match du groupe C.

Débutfrance-algerie-tee-shirt-carte-croissant-islam.jpg juin, la ministre de la justice, Michèle Alliot-Marie, a saisi le Conseil d'Etat d'un projet de décret punissant d'une amende de 1 500 euros l'outrage au drapeau français. Ce projet de décret prévoit 'une contravention de cinquième classe, punie de 1 500 euros d'amende, qui permettra de sanctionner, d'une part le fait de dégrader ou d'utiliser de façon indécente le drapeau tricolore dans un lieu public ou ouvert au public, et, d'autre part, de diffuser par tous moyens la représentation de ces faits', indiquait Arthur Dreyfuss, porte-parole adjoint du ministère de la justice. 'L'élément intentionnel sera inscrit dans le décret en question', pour être pris en compte dans la sanction, a-t-il ajouté.

Source: Le Monde

13/01/2010

Jean-Marie Le Pen : “La France n’est pas métissée”


Source: François de Souche

30/12/2009

Dette: la France avertie par l'agence de notation Fitch

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Guillaume Guichard (lefigaro.fr)

La France, l'Espagne et le Royaume-Uni font face aux mêmes risques liés à l'endettement, estime l'agence de notation Fitch.

France, Espagne et Royaume-Uni, même combat contre la dette. Selon l'agence de notation Fitch Ratings, Paris est à mettre dans le même sac que ses deux dispendieux voisins : il y a urgence à annoncer un programme de retour à l'équilibre des finances publiques s'ils veulent conserver leur prestigieuse note «AAA». Pour ces trois pays, argumente l'agence, la dette s'élèvera à plus de 90% du PIB en 2011. Or, elle fixe la limite acceptable pour un pays noté «triple A» à 80%.

«L'Angleterre, l'Espagne et la France doivent mettre en œuvre une politique budgétaire crédible dans les prochaines années, étant donné le rythme de dégradation de leurs comptes et les défis auxquels ils devront faire face pour stabiliser leur endettement», écrit Fitch. En cas d'inaction, «la pression sur la note de leur dette s'intensifiera». Traduction: s'ils ne jugulent pas leurs déficits ils verront leurs notes dégradées, ce qui alourdira la charge des intérêts.

L'agence de notation est-elle trop sévère avec la France en la plaçant sur le même plan que ses deux voisins ? «Contrairement à la France, les moteurs de la croissance britannique -l'endettement- et de l'économie espagnole le bâtiment et les fonds européens- ont été très sévèrement touchés par la crise», tempère en effet Jean-Christophe Caffet, économiste à Natixis.

La France est entrée dans la crise avec une dette lourde

De plus, les déficits budgétaires britannique et espagnol, reflet de leur situation économique, se sont creusés beaucoup plus rapidement. Fitch le reconnaît, notant que ces deux pays, avec les Etats-Unis, «ont subi une plus rapide détérioration des finances publiques et font face à un plus grand défi budgétaire en terme de réduction de la dette publique».

Reste que la France a abordé la crise en moins bonne posture. En 2007, alors qu'elle était lestée par une dette représentant 69,9% du PIB, l'Espagne plafonnait à 42,1% et le Royaume-Uni à 46,9%. En 2011, la France sera encore dans la moins bonne position des trois, avec un ratio dette sur PIB de 99,2%, contre 94,1% pour le Royaume-Uni et 74,3% pour l'Espagne.

Surtout, Paris manque de crédibilité, comme Londres et Madrid. «Les investisseurs savent que l'Allemagne fera le nécessaire pour réduire sa dette c'est inscrit dans la loi, mais ils ignorent quelles seront les réactions de la France», décrypte Philippe Waechter, directeur de la recherche économique à Natixis Asset Management. «Habituellement, les gouvernements français se contentent de dire que ça ira mieux demain. C'est peut-être suffisant lorsque tout va bien, mais cela ne l'est plus aujourd'hui, comme le souligne Fitch, vu l'ampleur du dérapage des finances publiques», ajoute Philippe Waechter.

La France va donc devoir redresser ses finances, ne serait-ce que pour disposer de marges de manœuvres en cas de second choc économique.

Source: Figaro

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France : la dette dépasse les 75% du PIB

Guillaume Guichard (lefigaro.fr)

Au troisième trimestre, la dette brute au sens de Maastricht s'est élevée à 1.457,4 milliards d'euros, à 75,8% du PIB. La hausse de l'endettement de l'Etat et de la sécu explique cette évolution.

La dette publique brute (Etat, sécurité sociale et collectivités locales) poursuit sa hausse. A la fin du troisième trimestre, la dette brute au sens de Maastricht s'élevait à 1.457,4 milliards d'euros, en augmentation de 29,4 milliards par rapport au trimestre précédent, selon les chiffres publiés par l'Insee ce mardi. «Exprimée en pourcentage du PIB, elle se situe approximativement à 75,8%, en hausse de 1,9 point», précise l'Institut national de la statistique. Au deuxième trimestre, la dette avait atteint 73,9% du PIB.

sarko la frime.jpgLa hausse observée sur la période , moindre que celle observée lors du deuxième trimestre (+61,1 milliards d'euros), a été tirée notamment par la progression de l'endettement de l'Etat. Afin de financer le déficit budgétaire, l'Etat a creusé sa dette de 23,4 milliards d'euros. L'endettement a également financé une prise de participation de la Société de prise de participation de l'Etat dans une banque française, le Crédit Agricole, de 3 milliards d'euros, ajoute l'Insee.

Les administrations de sécurité sociale ont aussi contribué à la hausse de la dette publique brute à hauteur de 5,9 milliards d'euros, «en particulier sous l'effet d'une hausse de l'endettement de l'Acoss (+3,9 milliards d'euros)», détaille l'Insee.

Le gouvernement a prévu dans son projet de loi de finance que la dette devait encore progresser jusqu'à 77,9% du PIB à la fin de l'année. En 2010, il table sur une dette à 84% du PIB, sans prendre en compte le grand emprunt.

Par ailleurs, la dette publique nette, qui inclut la trésorerie et les placements à court terme, est en plus forte augmentation, sur la période, que la dette brute. Elle s'est alourdie de 57,1 milliards d'euros par rapport au deuxième trimestre, s'élevant fin septembre à 1.331,5 milliards d'euros. En cause, une «forte diminution de la trésorerie de l'Etat (-28,3 milliards d'euros), qui retrouve un niveau proche de celui d'il y a un an», explique l'Insee.

Source: Figaro

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25/12/2009

25 décembre 498: baptême de Clovis à Reims

Le 25 décembre 498 (496 selon certains historiens), Clovis est baptisé à Reims par l'évêque Remi, avec 3000 guerriers francs, dans la religion catholique. Grâce à ce baptême collectif, les Francs prennent l'avantage sur les autres barbares dans la conquête de la Gaule romaine.

La montée des Francs

Clovis, ou Khlodowig (dont on fera en latin Ludovicus puis... Louis), a été élu roi 17 ans plus tôt, à Tournai (Belgique actuelle).

Il a succédé à l'âge de 15 ans à son père Childéric à la tête des Francs saliens, une tribu germanique établie dans l'empire romain, sur les bords du Rhin inférieur et dans l'actuelle Belgique.

À peine élu, Clovis entreprend la conquête de la Gaule. Il rencontre sur sa route Syagrius, un général qui s'intitule «roi des Romains» et maintient l'illusion d'une permanence de l'empire romain entre la Meuse et la Loire. Le roi des Francs bat Syagrius et le fait égorger puis installe sa résidence à Soissons.

Clovis le païen entre alors dans un milieu très romanisé et de religion catholique. Sous l'influence de Remi, évêque de Reims, il comprend l'intérêt de se rallier les Gallo-Romains en adoptant leur religion. Sa femme Clotilde, fille du roi des Burgondes et pieuse catholique, le pousse à se convertir.

En 496, à Tolbiac (en allemand, Zülpich), près de Cologne, les Francs repoussent une attaque des Alamans, une tribu germanique à laquelle nous avons emprunté le nom de l'Allemagne.

Selon la légende, c'est au cours de cette bataille difficile que le roi des Francs aurait imploré le secours du Dieu de Clotilde et pris la résolution de se convertir. Il passe à l'acte deux ans plus tard, le jour de Noël.

Grâce à sa conversion au catholicisme, Clovis peut s'enorgueillir du titre très symbolique de «Consul des Romains», conféré par l'empereur de Constantinople. Ce dernier dirige en théorie tout l'empire romain depuis que, quelques années plus tôt, en 476, le dernier empereur d'Occident a été déposé par un Ostrogoth.

Et la Gaule devient franque

Clovis achève la conquête de la Gaule.

Le sud de l'hexagone est, comme une grande partie de l'Espagne, sous la domination des Wisigoths. Leur capitale est Toulouse. Comme les autres barbares, à l'exception des Francs, les Wisigoths pratiquent l'arianisme. Il s'agit d'une hérésie chrétienne très mal vue des Gallo-Romains, massivement catholiques.

Alaric, le roi des Wisigoths, a du mal à asseoir son autorité sur ses sujets. Clovis le défait et le tue à Vouillé, près de Poitiers, en 506. Les Wisigoths n'ont d'autre alternative que de se replier en Espagne, au-delà des Pyrénées.

Clovis domine désormais toute la partie occidentale de l'ancien empire romain, entre l'embouchure du Rhin, aux mains des tribus frisonnes, et les Pyrénées, où sévissent les Basques. Il déplace sa résidence à Paris. L'ancienne Lutèce, qui a pris le nom des premiers habitants de la région, les Parisii, accède pour la première fois au statut de capitale.

Les descendants de Clovis vont régner pendant trois siècles, sous l'appellation de Mérovingiens (d'après Mérovée, un ancêtre légendaire) avant de laisser la place à Charlemagne et aux Carolingiens.

Le baptême de Clovis va faciliter la fusion entre les Gallo-Romains et leurs vainqueurs, les Francs. Mais il serait erroné d'y voir la naissance de la France. Celle-ci émergera 500 ans plus tard, comme l'Allemagne , sur les ruines du «Regnum francorum», le royaume des Francs de Clovis et de Charlemagne.

Source: Hérodote

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15/11/2009

Marseille n'est plus une ville française

Lors de sa conférence de presse pour le lancement de la campagne des élections régionales 2010 à Marseille, Jean-Marie Le Pen a présenté à la presse un tee-shirt acheté dans la cité phocéenne sur lequel est représenté une carte de la france recouverte du drapeau algérien...

 

 

 

 

20/09/2009

L'homme du jour: Dominique de Villepin

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"Les forces de Dominique de Villepin résident dans son positionnement anti-Sarkozy, lui qui est désormais porté comme membre de l'opposition dans certains sondages. Un homme politique capable de rassembler une partie de la droite, une partie de cette droite exaspérée par un Nicolas Sarkozy vulgaire et égocentrique, un Président de la République über-communicant superficiel, un Sarko à la limite du populisme méprisant la grandeur de la France et de sa langue. A l'opposé, Villepin pourrait trouver ses chances pour 2012 en se plaçant au-dessus, un candidat représentant une certaine idée de la France.

Villepin sait qu'un homme politique ne meurt jamais, que plus la traversée du désert s'avère rude, plus le come-back peut sembler miraculeux. N'enterrons pas, ne méprisons pas Dominique de Villepin. Certes il est seul, sans troupes et sans parti, mais le personnage plaît, l'homme séduit, son positionnement pourrait rassurer, son aristocratie et sa supériorité intellectuelle pourraient séduire une France en décomposition. Ne lui reste plus qu'à savoir s'entourer, à trouver des alliés, à apprendre à communiquer intelligemment, et enfin et surtout à raconter une histoire, à marteler une posture et des messages forts durant les années précédant le scrutin de 2012."

Luc Mandret (Marianne)

17/09/2009

30 ans de coma

Dans son livre La société ouverte et ses nouveaux ennemis, le philosophe Alain Laurent tente d’imaginer les réactions d’un Français tombé dans le coma en 1978 et se réveillant en 2008… **

Voici comment Alain Laurent décrit la surprise de ce Français lorsqu’il redécouvre son pays, 30 ans plus tard :

  • il est devenu un « Gaulois », terme dont il ne gardait qu’un vague et folklorique souvenir datant de ses jeunes années à l’école primaire.
  • il lui est devenu presque impossible de retourner, si ce n’est à ses risques et périls, dans certains quartiers de banlieue qu’il a connus paisibles et accueillants, et métamorphosés aujourd’hui en enclaves où des bandes encapuchonnées font régner la loi de la jungle en toute impunité, où les taxis n’osent plus s’aventurer…
  • il se scandalise d’avoir à payer, outre ses impôts, les  largesses de l’État-providence, le gouffre financier de la «politique de la ville», la réparation des dégâts d’un vandalisme devenu sport de masse, ou le coût des dépenses de sécurité supplémentaires.
  • il réalise qu’écoles et hôpitaux, autrefois considérés comme des sanctuaires, sont devenus le théâtre de violences contre les enseignants, les médecins, les infirmières…, commises par des groupes de voyous ou des fanatiques religieux.
  • il se résigne au fait que des pans entiers de son pays se sont tiers-mondisés
  • il contemple, dans des quartiers qualifiés de «sensibles», des fantômes vétus de noir des pieds à la tête, des incendies de voiture devenus si courants qu’ils ne sont plus rapportés par la presse, des policiers qui tirent en l’air pour se dégager d’embuscades (du jamais vu même en mai 1968), des centres-villes mis à sac, des bus ou des métros attaqués comme les diligences de l’Ouest américain…
  • son mode de vie est rejeté et moqué : il se fait traiter de « Céfran » ou de « sale Français ».
  • se souvenant que d’autres immigrés sont déjà venus s’installer en France, sans être aidés en permanence, sans prétendre changer les usages du pays, tout en faisant l’effort de s’intégrer, il se pose la question : « en quoi les immigrés d’aujourd’hui sont-ils différents » ?
  • il réalise péniblement que la France est entrée dans une ère de guérilla civile larvée, dont les autorités nient l’ampleur, mais dont la réalité est confirmée quotidiennement
  • il souffre de devoir endurer sans mot dire le comportement insultant, la violence, la susceptibilité maladive et le machisme de certains jeunes hexagonaux qui vomissent tout ce qui de près ou de loin rappelle la France.

D’une telle énumération, Alain Laurent déduit que « l’opinion selon laquelle il y a trop d’immigrés ou encore le désir de revivre en paix et de voir préserver l’identité culturelle de sa patrie » n’est ni une tare, ni une maladie, ni une déviance.

Selon lui, cette opinion relève du « sens commun ». Il s’insurge en conclusion contre la démonisation et l’humiliation publique infligées à tous les Français qui assument ouvertement cette opinion.

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**Alain Laurent s’inspire du film « Goodbye Lenine »

Source: François de Souche

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23/08/2009

Charles de Foucauld : Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ?

Extrait de la lettre du Père Charles de Foucauld à René Bazin, le 29 juillet 1916.

Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent. (…)

Le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui ou ses descendants. S’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère. Sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti. (…)

Ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux. Ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger. Ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.

De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d’un peuple étranger qu’on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ?
———————
Charles de Foucauld a été béatifié le 13 novembre 2005.

(source)

Source: FDS  http://www.fdesouche.com/articles/57955

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02/07/2009

Elysée: le premier ministre Irakien ne veut pas de vin... le repas est annulé

vin.pngOn vient de l’apprendre…

En mai dernier, à l’occasion de la visite du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki en France, un "incident diplomatique" s’est produit à l’occasion du déjeuner prévu à l’Elysée.

Quand le Premier ministre irakien a constaté que du vin  allait être servi, il a exigé que celui-ci soit retiré de la table.

Et quand il s'est rendu compte que les Français refusaient de le retirer… le repas a été annulé !


(Source: Le Figaro)

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