31/10/2020
Dessin du jour
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08/10/2020
Hervé Ryssen : un écrivain emprisonné pour délit d'opinion !
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07/10/2019
PMA pour lesbiennes : le gouvernement Macron veut priver les enfants de leurs pères
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02/10/2019
Communiqué du CNRE (02/10/2019) : Le Grand Rapatriement
Le terme de “remigration” pour désigner la décolonisation de l’Europe, la fin de la Deuxième Occupation, le retour chez lui de l’Occupant, la libération du territoire, est bien sûr étroitement lié à celui d’“immigration”, dont il est le pendant contradictoire. Or le mot d’“immigration” est aujourd’hui totalement obsolète, périmé. Il s’applique à ce qui se passait en France et en Europe au siècle dernier, mais il ne saurait absolument plus couvrir de ses implications lénifiantes l’actuelle invasion migratoire, la colonisation, le changement de peuple et de civilisation, le Grand Remplacement, le génocide par substitution. Et si le mot d’“immigration” est désormais caduc, celui de “remigration” l’est aussi.
C’est pourquoi le Conseil National de la Résistance Européenne, réuni à Plieux pour sa convention annuelle, a décidé, le samedi 28 septembre 2019, et sur la suggestion de M. Grégory Roose, de remplacer le mot de “remigration”, dans sa communication, par l’expression “Grand Rapatriement”, symétrique, elle, au “Grand Remplacement”, et lui offrant un répondant, une issue positive.
Face au désastre et au crime que représente le Grand Remplacement, la seule réplique souhaitable et désirable, à laquelle il faut tendre de toutes ses forces, est le Grand Rapatriement. On entend distinctement dans cette formule le mot de “patrie”, et ce qui s’y trouve fortement suggéré est l’idée d’un retour à l’ordre, à la nature des choses, à l’heureux état d’origine qui précédait les désastreux bouleversements imposés par le remplacisme global. Dans un monde mobile entre tous, fluctuant, liquéfié, le Grand Rapatriement, avec les migrations de retour qu’il implique, apparaît comme un objectif désirable par tous.
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12/03/2019
Gilets Jaunes: vingt manifestants éborgnés, des centaines de blessés graves
19:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
La Dissidence Française devient un parti politique nationaliste et identitaire
19:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
22/10/2018
Serge Ayoub s’exprime sur l’affaire Clément Méric
Serge Ayoub se montre ici brillant en commentant le procès de l'affaire Méric, livrant un plaidoyer convaincant en faveur d'Esteban Morillo et Samuel Dufour, injustement emprisonnés.
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Communiqué du CNRE sur l'allocution du président Macron
On déplore souvent l’état d’hébétude des Français, qui expliquerait seul qu’ils se laissent envahir, occuper, insulter et maltraiter de toutes les façons imaginables sans réagir, et sans paraître seulement s’en apercevoir. Si hébétude il y a, comme il semble, le chef de l’État est à merveille accordé à ses électeurs. Débitant mécaniquement, dans une lumière sinistre, en s’aidant de quelques feuillets raturés, un texte convenu, il avait une allure spectrale. Il est manifeste que lui-même n’arrive plus à attacher la moindre importance à ce qu’il dit. Et comment pourrait-il en être autrement, puisque ce qu’il dit ne touche plus en rien à la réalité des choses et à celle des forces en présence, et n’a d’autre fonction, au contraire, que de les dissimuler et de les taire le plus longtemps possible ?
Emmanuel Macron évoque un peuple de soixante-huit millions d’habitants : mais un tel peuple n’existe pas, et en tout cas ce n’est pas le peuple français, qui est progressivement noyé dans cette masse et y deviendra bientôt minoritaire. Il n’y a pas un peuple, il y en a au moins deux ou trois ; et parmi eux il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés. Le président de la République ne parle pas pour ne rien dire, il parle pour ne pas dire : ne pas dire l’invasion, le pays livré, l’occupation étrangère, la colonisation de la France, la nocence généralisée, les défis permanents des conquérants aux indigènes, les manipulations génétiques, le changement de peuple, le génocide par substitution. Les vrais enjeux n’ont rien à voir avec ses paroles. Ils sont plutôt de savoir si la lutte de libération nationale, si nécessaire et désirable, pourra faire l’économie de la guerre civile.
https://www.cnre.eu/communiques/17-10-2018
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16/09/2018
Viktor Orbán veut remplacer les élites de 68
Viktor Orban dénonce le système libéral non-démocratique en place en Europe occidentale, qui pratique une censure médiatique de grande envergure et limite la liberté d'expression.
(conseil: si vous manquez de temps, écoutez en particulier son discours à partir de 12' 20'')
Lien vers la vidéo: https://www.tvlibertes.com/2018/09/13/25730/zoom-viktor-o...
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15/08/2018
Affaire Benalla / Macron : dessin du jour
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