31/08/2009
Gouvernement mondial: le groupe de Bilderberg existe bel et bien
Dominique Strauss-Kahn, George Soros, Henry Kissinger, James Wolfensohn... décidément il y a beaucoup de sionistes dans ce groupe!
Autre VIDEO très intéressante sur le sujet:
http://www.dailymotion.com/video/x8z7z1_bilderberg-lavis-...
("les dés sont pipés"...)
21:30 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : strauss-kahn, lobby sioniste | Facebook | |
Groupe Bilderberg: flagrant délit de mensonge dans l'émission C Dans L'air
Yves Calvi: "Enfin, ça m'arrange..."
21:27 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lobby sioniste, bilderberg | Facebook | |
10/06/2009
Censure et terrorisme intellectuel du lobby sioniste en France: l'exemple du renvoi de Radio France du journaliste Richard Labévière
L' "orwellisation" de la presse française expliquée, preuve à l'appui, par le journaliste Richard Labévière, renvoyé de Radio France pour avoir organisé une interview avec le président syrien en août 2008.
Sa "tête" a été demandée et obtenue par l'ambassadeur d'Israël en France.
Sarkozy a placé Christine Ockrent-Kouchner (la femme de son ministre des Affaires Etrangères Bernard Kouchner) à la tête de France Monde afin de garantir une position éditoriale pro-sioniste et d'éliminer les journalistes qui ne respecteraient pas les consignes.
Même l'AFP serait impliquée dans ce complot sioniste.
A ce sujet, voir ici l'article de Télérama, daté du 5 mars 2008:
Christine Ockrent nommée directrice générale de France Monde : non, ce n’est pas une blague !
LE FIL TéLéVISION - Personne n’osait y croire, mais c’est officiel ce soir : la reine Christine (Mme Kouchner à la ville) est nommée numéro 2 de notre audiovisuel extérieur. Des pratiques dignes d’une république bananière, qui ne manqueront pas de ravir nos partenaires francophones, qui craignaient que TV5 Monde ne soit la “voix de la France”…
En tout cas, le mal est fait, et on voit d'ici les railleries qui ne manqueront de fleurir dans la presse étrangère – et, on l'espère, française – dans les prochains jours. Fort marris de ne pas avoir été associés à cette réforme, les actionnaires francophones (belges, québécois, suisses) de TV5 Monde s'inquiétaient du risque que cette chaîne ne devienne uniquement la voix de la France, et non plus celle de la francophonie. Avec la compagne du ministre français des Affaires étrangères aux commandes, on peut dire que c'est mal parti. Surtout, la France devrait se voir reprocher des pratiques dignes d'une république bananière.
Et il y a le reste. Car celle qui fut un temps appelée la « reine Christine » est aussi la reine des ménages (1), pratique qui ne fait pas franchement bon ménage, justement, avec la déontologie journalistique. La liste de ses prestations s'avère d'ailleurs longue comme le bras : animation de la dernière université du Medef, lancement de Microsoft Windows Vista, « forum retraites » de la Caisse des dépôts, soirée SFR... Une activité parallèle et effrénée qui a ému la Société des journalistes de France 3, dont Ockrent est salariée pour son émission du dimanche soir Duel sur la Trois, réclamant des sanctions à la direction de la chaîne. Finalement, elle n'en aura pas eu le temps, même si on a pu remarquer le peu d'empressement des dirigeants à prendre des mesures.
Last but not least, le site du Point a révélé il y a quelques semaines que dame Christine émargeait aussi à 120.000 euros par an pour une chronique hebdomadaire bilingue sur France 24, chaîne qui désormais sera sous sa responsabilité. Un chiffre qui a, on peut s'en douter, suscité plus que de l'émoi chez les jeunes salariés de la chaîne d'infos internationale. La nomination d'Alain de Pouzilhac, président de cette dernière, à la tête de France Monde apparaît du coup presque anecdotique.
Richard Sénéjoux
(1) pratique de certains journalistes qui consiste à monnayer leur notoriété pour l'animation de débats, conférences et autres activités commerciales en tous genres.
Source: http://television.telerama.fr/television/25787-christine_...
Articles sur le thème:
France 24, TV5 Monde Et RFI : Les couacs du label France | 5 mars 2009
Christine Ockrent fait-elle le ménage à France 24 ? | 15 octobre 2008
La SNJ-CGT de France 3 “remercie” Christine Ockrent | 25 février 2008
Souveraine Christine | 15 octobre 2008
16:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : orwellisation, pensée unique, lobby sioniste | Facebook | |
20/04/2009
La vraie force d’Israël : Ses lobbys
lundi 13 avril 2009 par Prof. Chems Eddine Chitour
« Ou bien je définis la politique sur le Moyen-Orient ou bien c’est l’Aipac qui le fait. »
Zbigniew Brzezinski, conseiller à la National Security de l’administration Carter
On a tout dit d’Israël, "peuple sûr de lui et dominateur !" pour reprendre l’expression du général de Gaulle. On est tenté à première vue de convoquer la religion pour expliquer comment cette « religion du Livre » se veut singulière à nulle autre pareille. La logique actuelle d’Israël et de ses lobbys est de diaboliser au nom de l’antisémitisme- qui ne concerne pas les Arabes, autres sémites pourtant - toute tentative de critique d’Israël. La moindre critique de l’Etat d’Israël et de la doctrine sioniste est ipso facto traitée d’antisémitisme. La liste des victimes de cet oukase ne s’arrête pas de s’allonger. Souvenons-nous des procès de la Licra contre l’abbé Pierre, Garaudy, même le philosophe Edgard Morin, juif de naissance dont Esther Benbessa a dit, à juste titre, que c’était un « Juste parmi les Justes ».
On l’aura compris : personne n’échappe à la censure même les juifs de naissance et il s’en trouve, qui n’acceptent pas cette chappe intolérable qui veut que tout ce qui critique Israël est assimilé à une critique des juifs. C’est à croire que toute l’énergie de ces inconditionnels est de traquer les contrevenants à la « Loi ». Si malgré leur meilleure volonté, les gardiens du « Temple » ne peuvent trouver nulle part des actes antisémites, alors il leur faut réanimer les horreurs du passé en rappelant qu’elles peuvent se reproduire à tout moment.Cela explique le flot ininterrompu de films et d’émissions de TV toujours neufs sur l’antisémitisme du national-socialisme et des efforts zélés pour mettre au pilori de réels ou imaginaires néo-nazis. A la base de toute la tradition juive on trouve l’idée que les juifs tout au long de l’histoire ont été continuellement torturés et persécutés Le traumatisme résultant de la peur de voir à nouveau se répéter ces atrocités est exploité à fond par les sionistes.
On rappelle quotidiennement aux juifs qu’ils vivent dans un monde hostile( !), que la peur et la crainte font partie de leur identité, de leur nature. De nombreux juifs souffrent de cette peur continuelle. Ils voudraient, disent-ils, vivre comme des hommes normaux, psychiquement sains,psychiquement équilibrés...Alors intervient le sionisme ! et ce sionisme les sermonne, l’index levé : « Pensez que vous êtes juifs !, que vos prochains vous détestent et qu’ils peuvent à chaque moment fomenter de nouveaux pogroms et vous pousser dans de nouvelles chambres à gaz. Votre seule protection consiste à posséder votre propre patrie, Israël, et à y trouver refuge. Pour cela, Israël doit survivre malgré ses ennemis. » Cette peur irrationnelle touche particulièrement les juifs qui s’engagent en faveur du sionisme alors que ceux qui sont pour le socialisme et surtout ceux qui participent au domaine scientifique et médical y sont moins sujets. Le fait que le sionisme considère l’assimilation comme le danger le plus mortel ressort des mises en garde continuelles des dirigeants sionistes le boss sioniste Nahum Goldman a dit le 30 décembre 1964 lors du 26e Congrès sioniste mondial à Jérusalem : « L’assimilation représente pour l’existence éternelle du peuple juif un danger plus grand que ne l’ont été dans le passé les persécutions, inquisitions, pogroms et l’holocauste » (cité d’après le Monde du 1.1.1965).
Cette citation prouve l’existence d’un traumatisme racial mélangé d’anxiété chez les sionistes. En son temps, la publication du livre Le juif international de Henry Ford, en 1920, a eu l´effet d´une bombe sur la scène politique américaine. Dans son livre, il révèle que les juifs contrôlent plus de 90% des médias aux USA et qu´ils abusent de ce pouvoir pour imposer aux non-juifs une réelle dictature à l´échelon mondial. « Les politiciens et les généraux américains sont menés par le puissant lobby juif israélien aux USA », révèle déjà le titre d’un intéressant article du Herald Tribune du 7 juillet 1987. Selon cet article, le lobby juif est devenu aux États-Unis, d’année en année, de plus en plus puissant et dominant. Le seul président des États-Unis qui osa braver le pouvoir sioniste, au moins dans un cas important, fut Dwight D. Eisenhower. Celui-ci jouissait en tant qu’ancien général des Forces Alliés du plus haut prestige dans son pays. En 1956, lors de la Guerre de Suez, Eisenhower força Israël avec les Français et les Anglais à se retirer des territoires occupés, faute de quoi il menaça de couper immédiatement toute aide des États-Unis. (...)
« Personne, écrit Rodrigue Tremblay, ne peut comprendre ce qui se passe politiquement aux USA sans être conscient qu’une coalition politique des principaux groupes pro-Likoud, des intellectuels néo-conservateurs pro-israéliens et des sionistes chrétiens, exerce une influence terriblement forte sur le gouvernement US et ses politiques. Avec le temps, ce vaste lobby pro-israélien, dont le fer de lance est l’American Israël Public Affairs Committee (AIPAC), a étendu l’ensemble de son emprise sur de grandes parties du gouvernement US, y compris le bureau du vice-Président, le Pentagone et le département d’État, en plus du contrôle de l’appareil législatif du Congrès. Il est assisté dans sa tâche par de puissants alliés au sein des deux principaux partis politiques, des grands médias et quelques boîtes à idées ("think-tanks") richement financés, comme l’American Enterprise Institute, la Heritage Foundation, ou le Washington Institute for Near East Policy. Les techniques de l’AIPAC sont si efficaces qu’on peut facilement avoir l’impression que c’est "un gouvernement parallèle" à Washington DC. (...) Ainsi, qui pourrait blâmer l’AIPAC d’être convaincue qu’elle tient en laisse le Congrès US ? Si l’AIPAC était une entreprise, l’AIPAC a une telle emprise sur Washington que quelquefois on peut être pardonné de confondre Tel-Aviv et Washington DC. »
« Un exemple récent : L’ AIPAC a rédigé une résolution de soutien à Israël dans ses bombardements sauvages et illégaux sur le Liban. Le 20 juillet 2006, la résolution fut votée à l’unanimité par les 100 membres du Sénat, et le vote de la Chambre fut de 410 à 8. L’affaire est entendue.(1) « Pendant de nombreuses années, l’influence du lobby resta indécelable, ignorée ou dissimulée par les médias qu’il contrôlait et par la plupart des commentateurs. Pourtant, le 10 mars 2006, deux respectés spécialistes américains, les professeurs Stephen Walt de l’université de Harvard et John Mearsheimer de l’université de Chicago publièrent une étude dans The London Review, intitulée The Israël Lobby and U S Foreign Policy, au sujet de l’influence disproportionnée que ce lobby d’intérêts particuliers a sur la politique étrangère US. Un autre exemple du type de pouvoir que le lobby détient de nos jours à Washington DC est son succès dans l’établissement au sein du département d’État, avec l’argent des contribuables, d’une agence d’intérêts particuliers, appelée l’Office of global anti-Semitism consacrée à la surveillance autour du monde des cas, entre autres choses, de critique d’Israël ou des politiques US pro-israéliennes. »(1) La même technique existe en France puisque le ministère de l’Intérieur « coordonne avec le Crif » la traque aux actes antisémites.
Dernière prouesse en date de l’AIPAC : L’administration Obama avait choisi le diplomate Charles W.Freeman pour occuper le poste de président du « National Intelligence Council », qui émet des avis à la Maison-Blanche sur les questions de sécurité. Il vient de renoncer à ce poste en accusant les lobbys pro-israéliens d’avoir mené une violente campagne contre lui. Le New York Times a donné cette nouvelle le lundi 10 mars. Dans un message publié mardi 11 octobre sur le site du Foreign Policy magazine, Freeman a blâmé les lobbys pro-israéliens. « La tactique de ces lobbys, a-t-il dit, touche le fond du déshonneur et de l’indécence. Elle procède de l’assassinat de la personnalité, de la citation inexacte et sélective, de la distorsion volontaire de l’enregistrement, de la fabrication de mensonges, et d’un total mépris de la vérité. » Al Jazeera pour sa part, a publié une déclaration de Freeman mardi 11 mars : « Il est facile de voir d’où viennent les e-mails diffamatoires qui me concernent. Ceci montre qu’un puissant lobby est déterminé à empêcher d’émettre tout autre point de vue que le sien. Le but de ce lobby est de contrôler le processus politique. Pour cela il exerce un véto sur la nomination de personnes qui contestent la validité de ses points de vue, il remplace l’analyse politique par ce qu’il juge politiquement correct, et pour préparer les décisions de notre gouvernement il exclut toutes les options autres que celles qui ont sa faveur. »
En fait, dans chaque pays occidental les lobbys veillent au grain. A titre d’exemple, La Fédération Sioniste de Grande-Bretagne et d’Irlande « The Zionist Federation of Great Britain and Ireland » créé en 1899 a pour but non seulement de veiller sur les juifs britanniques mais aussi de faciliter leur « Alya » vers Israël. Un homme qui a été agressé, lundi 19 janvier, à Londres a amené Jonathan Hoffman, vice-président de la « Zionist Federation of Great Britian », l’équivalent du CRIF en Angleterre, à déplorer que le gouvernement britannique ne s’investisse pas outre mesure dans le combat contre la montée de l’antisémitisme dans le pays. Le CRIF n’est pas en reste, il semble que le président du CRIF ait téléphoné au président Sarkozy pour s’opposer à la nomination de Hubert Védrine, trop proche des Arabes. A la place, un forcing a été fait pour le porteur de sac de riz devant les caméras. On l’aura compris : il s’agit de Bernard Kouchner.
Le dîner 2009 du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) le 2 mars, écrit Dominique Vidal aura, battu tous les records, d’affluence (plus de 1000 participants), de représentativité (le Premier ministre François Fillon et le gros du gouvernement comme de la classe politique, sauf le PCF et les Verts, non invités), d’oecuménisme (les dignitaires des principales confessions, Islam compris). Même le président de la République, dont l’Elysée avait annoncé l’absence, a fini par passer une demi-heure, de retour d’Egypte. Le président Richard Prasquier et, à sa suite, le chef du gouvernement, auront, hélas, battu un autre record : celui de la manipulation politique et idéologique. Rien de plus légitime, pour le CRIF, que d’appeler à la vigilance contre les manifestations d’antisémitisme, qui se sont multipliées, explique-t-il, pendant l’offensive israélienne contre Gaza. L’expérience du début des années 2000 incite toutefois à manier prudemment les chiffres, à ne pas mélanger courriels, graffitis et violences contre des fidèles ou des lieux de culte, à ne pas accuser en bloc et sans la moindre preuve les jeunes Français d’origine arabe ou de religion musulmane, eux-mêmes victimes de nombreuses agressions racistes ou islamophobes - sans oublier la répression au faciès...(2)
Faisant dans l’amalgame, le président actuel du CRIF tire sur tout ce qui bouge. Là où la légitimité s’arrête, poursuit Dominique Vidal, c’est quand M. Prasquier, malheureusement suivi par le Premier ministre, dénonce comme antisémites les participants aux défilés de solidarité avec Gaza, allant jusqu’à exclure de son dîner les Verts et le Parti communiste français - PCF (1), accusés de « ne pas s’être élevés contre le kidnapping (sic) des manifestations par des mouvements islamistes, avec des slogans antijuifs ». Quiconque y a pris part sait pourtant que ces débordements furent à la fois marginaux et unanimement condamnés. Quant à l’issue d’un cortège du CRIF, le 7 avril 2002, les nervis du Betar et de la Ligue de défense juive (LDJ) s’en prirent aux passants d’origine arabe, accusa-t-on M.Roger Cukierman, alors président du CRIF, d’avoir conduit une « ratonnade ? Question toujours d’actualité : qui protège la LDJ, interdite aux Etats-Unis et en Israël, mais autorisée en France malgré ses violences récurrentes ? Loin d’être un signe de force, ces dérapages du CRIF révèlent sa faiblesse. Ses dirigeants n’ont certes pas renoncé à pratiquer le chantage à l’antisémitisme pour mieux défendre la politique israélienne. Dernière preuve en date : dans le climat du dîner, M.Fillon s’est cru obligé de menacer de boycotter la seconde conférence des Nations unies sur le racisme à Durban, si Israël y était « stigmatisé » ! (2)
A juste titre, des juifs citoyens français se sont soulevés contre cette politique de racisme. Écoutons le témoignage suivant : « L’antisémitisme est une abomination. Il est synonyme de racisme envers les musulmans et les Juifs, tous deux sémites. Et justement, je reviens au sujet du jour, une question me taraudait : pourquoi les émissions religieuses sur France 2 accordaient-elles à l’époque 45 mn aux juifs, et seulement 30 aux Musulmans, alors qu’ils étaient presque dix fois plus nombreux ? (...) Donc, les musulmans et les juifs sont sémites. Le racisme est une abomination. Ce sont les politiques que je juge. L’obscurantisme est trop souvent le lot des Arabes, et les potentats locaux ne se comptent plus parmi eux. Mais ils sont rarement impérialistes, ils provoquent peu de guerres, ils n’ont jamais persécuté les individus comme nous l’avons fait notamment à travers la Shoah, ils ne divisent pas pour régner... »(3)
« Or, le repas du Crif vient d’avoir lieu. Saviez-vous qu’il s’agit d’une institution bien française, très parisienne ? L’Angleterre de Sa Majesté, par exemple, n’a pas son repas communautariste annuel. (...) Drôle de République, en vérité ! La communauté juive a tous les droits, tous les honneurs, on se prosterne devant elle, c’est la vache sacrée française. Pas touche mon Juif ! (...) A quatre pattes devant la communauté juive. Toutes les portes s’ouvriront. Rachida Dati ou Fadela Amara sont des musulmanes qui ont compris qu’il était plus important, aujourd’hui, de faire sa révérence devant un membre du CRIF que de la communauté musulmane ou noire. C’est ainsi. Et le must du must, c’est de montrer sa frimousse au repas annuel du CRIF. Tous les politiques, toutes les célébrités, y vont. Même à contrecoeur ! Il faut se montrer. Passage obligé. Malheur aux absents ! »(3)
Chacun comprend en définitive que la politique des puissances occidentales se décide au sein des puissants lobbys juifs dont le pouvoir repose sur l’argent, les médias et l’intelligence. Il faut le reconnaître, une grande partie des prix Nobel est de confession juive. Imaginons pour rire le président Sarkozy et tout son staff au diner de l’UOIF, sans conteste ce sera la révolution de la laïcité, dira-t-on, qui en a pris un coup. Les biens pensants crieront à la nécessité d’un nouveau Poitiers pour arrêter cette peste brune, pour reprendre les mots d’un président du Crif.
2.Dominique Vidal : Dérapages du CRIF, relaxe pour Siné Le Monde diplomatique 7 mars 2009
3. [Eva Le dîner du CRIF-> http://r-sistons.over-blog.com/article-28607690.html 4 mars 2009
Pr Chems Eddine CHITOUR
Ecole Polytechnique Alger
Prof. Chems Eddine Chitour
Articles de cet auteur
23:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, lobby sioniste, domination mondiale, déclin américain, palestine libre | Facebook | |
Charles Freeman accuse très ouvertement le lobby sioniste
Dans une lettre publiée sur le Wall Street Journal, Freeman qui est connu pour son "franc parlé" et ses critiques sur la conduite de l'Administration Bush concernant la "guerre contre le terrorisme" ainsi que sur les politiques israéliennes dans les territoires occupés palestiniens, dénonce la virulente campagne de diffamation à son égard menée par "le lobby sioniste AIPAC et ses soutiens dans le camp des néo-conservateurs républicains notamment au Congrès".
"Je ne crois pas que le Conseil national du renseignement pourrait fonctionner efficacement tandis que son président serait sous attaque constante par des gens sans scrupule qui ont un attachement passionnel à des points de vue d'une faction politique d'un pays étranger", souligne l'ancien ambassadeur en Arabie Saoudite et en Chine, affirmant qu'il y a un lobby "puissant déterminé à empêcher qu'un autre point de vue que le sien soit émis, encore moins pour prendre en compte la compréhension américaine des courants et événements au Moyen-Orient".
Le diplomate indique que les tactiques du lobby d'Israël "touche le fond du déshonneur et de l'indécence" et "incluent la destruction d'une réputation, citation erronée sélective, déformation voulue du passé, fabrication de mensonges et un total mépris de la vérité". Le but de ce Lobby, poursuit-il, "est de contrôler le processus politique via l'exercice d'un veto sur la nomination de personnes qui remettent en question la sagesse de ses points de vue, la substitution du politiquement correct à l'analyse et l'exclusion de toutes les options de décision par les Américains et notre gouvernement exception faite de celles qui ont sa faveur".
Il considère en outre que l'incapacité des Américains de discuter, ou du gouvernement d'envisager, toute option de politique US concernant le Moyen-Orient opposée à la faction qui dirige la politique israélienne a permis à cette faction d'adopter et de maintenir des politiques qui finalement menacent l'existence même de l'Etat d'Israël. ....Celle des Etats-Unis, et même du camp occidental dans son ensemble !
|
Source: http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkFZkuVyApjKo...
22:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charles freeman, anti-sionisme, lobby sioniste, aipac | Facebook | |
Un homme libre exemplaire
Le patriotisme aux Etats-Unis est une vertu célébrée. A condition de ne pas être trop libre à l'égard du puissant lobby israélien. Deux universitaires américains, Stephen Walt et John Mearsheimer, auteurs d'une étude intitulée «Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine », avaient apporté la démonstration que la domination du lobby sioniste conduisait les Etats-Unis à mener une politique contraire à leurs intérêts nationaux. Ils avaient été littéralement carbonisés.
Pourtant, leur thèse vient d'être spectaculairement corroborée par la cabale lancée aux Etats-Unis contre le diplomate Charles W. Freeman, pressenti pour occuper le poste de président du National Intelligence Concil. L'AIPAC fait mine d'être en retrait, mais ses sbires, dont David Rosen, son ancien directeur, qui doit comparaître devant un tribunal en avril pour espionnage au profit d'Israël, ont lancé une campagne particulièrement indigne contre Freeman. A leurs yeux, Charles Freeman a fait montre d'un franc-parler « déplacé » sur la politique israélienne. Freeman signifie « homme libre », il ne l'est que trop pour le lobby.
La cabale menée contre lui a été si intense, massivement relayée par les médias, qu'il a décidé de se retirer, malgré le soutien publiquement exprimé par l'amiral Denis Blair. Non sans clairement s'exprimer, dans une lettre rendue publique, sur un « lobby puissant décidé à empêcher que soit diffusée toute opinion autre que la sienne, et encore moins de laisser les Américains comprendre les tendances et les événements au Moyen-Orient ».
Dénonçant la stratégie de ce groupe qui «touche le fond du déshonneur et de l'indécence », il souligne que son objectif est « le contrôle du processus politique par l'exercice d'un droit de veto sur la nomination des personnes qui contestent le bien-fondé de son point de vue, la substitution d'une justesse politique de l'analyse et l'exclusion de toutes les options pour la prise de décisions par les Américains et notre gouvernement autres que celles qu'il favorise».
Charles Freeman relève avec pertinence l'ironie d'être accusé par un «groupe ayant aussi clairement l'intention de faire appliquer une adhésion à la politique d'un gouvernement étranger, dans ce cas le gouvernement d'Israël». Le veto sioniste à la nomination de Freeman est la démonstration éclatante de l'impossibilité pour un patriote américain de servir son pays en conservant sa liberté d'esprit. Sa lettre est bien celle d'un homme libre qui casse un tabou en pointant du doigt la mise sous tutelle des Etats-Unis par un groupe prêt à toutes les manipulations. Ceux qui nourrissaient des illusions sur la capacité de Barack Obama à mener une politique plus équilibrée au Moyen-Orient devraient se réveiller définitivement. Sa marge est infime. Les néoconservateurs sionistes les plus ineptes - Perle, Wolfowitz... - ont disparu, mais cela n'a en rien entamé l'hégémonie d'Israël sur les appareils d'Etat US.
Le renoncement de Freeman, avec une mise en cause publique du lobby, n'est pas un cadeau pour Obama. Sa capacité à mener le « changement » est en cause. Les patriotes qui osent penser différemment et distinguer entre l'intérêt des Etats-Unis et celui d'Israël n'ont pas leur place dans un système hyperpuissant mais soumis.
A moins, chose improbable au vu des orientations dominantes des médias américains, que cette lamentable mais néanmoins significative affaire ne provoque un vrai débat sur l'influence disproportionnée d'une organisation entièrement dédiée à la défense d'un Etat étranger. Y compris contre les intérêts des Etats-Unis.
Source: http://www.lepost.fr/article/2009/03/14/1457290_un-homme-...
(k selim, quotidien d'Oran)
22:42 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charles freeman, aipac, lobby sioniste | Facebook | |
16/08/2008
Plus de 1 000 conseillers militaires Israéliens en Georgie selon Debka File
11 août 2008 - Par IsraelValley Desk
Selon le journal israélien Debka File, " ces conseillers ont indubitablement participé de façon active aux préparatifs militaires de l’armée géorgienne pour la prise de Tskhinvali, la capitale sud-ossète, vendredi ". Et pour cause : les compagnies pétrolières occidentales, parmi lesquelles des firmes israéliennes, aimeraient bien s’assurer le contrôle du transport du pétrole d’Azerbaïdjan et les gazoducs du Turkménistan, qui traversent la Géorgie.
Selon Debka File, citant des sources militaires israéliennes, " d’intenses négociations ont lieu entre Israël, la Turquie, la Géorgie, le Turkménistan et l’Azerbaïdjan pour que les pipelines atteignent la Turquie puis, de là, le terminal pétrolier d’Ashkelon et enfin le port d’Eilat, sur la Mer rouge. A partir de là, les supertankers pourront acheminer le gaz vers l’Extrême-Orient à travers l’Océan indien ".
L’année dernière, le Président géorgien a mandaté plusieurs centaines de conseillers militaires travaillant pour des compagnies privées israéliennes de sécurité - un nombre que l’on estime à plus d’un millier - pour entraîner les forces armées géorgiennes. Tbilissi a également acheté à l’Etat hébreu des systèmes de renseignement et de sécurité électronique.
Ces dernières semaines, Moscou a demandé de façon répétée à Israël de cesser son aide militaire à la Géorgie. Jérusalem a rétorqué que celle-ci était essentiellement " défensive ". Une " aide défensive " qu’on a pu voir à l’œuvre ces derniers jours et qui cadre parfaitement avec la notion israélienne de " légitime défense préventive ", cette hérésie au regard du Droit international qui a toujours été unanimement condamnée, mais que le président géorgien Mikhaïl Saakachvili semble avoir fait sienne.
Par Youval Barzilaï
Rubrique: Actualité
Publié le 10 août 2008 à 09:39
Le missilier RAFAEL et ISRAEL AERONAUTICS INDUSTRIES (IAI) quittent officiellement la Georgie. Les chiffres officiels parlent de ventes d’armes de 200 millions de dollars par an par Israël à la Géorgie.
Ce chiffre est peut-être inexact. La censure militaire en Israël veille. Une profonde coopération militaire entre les deux pays, surtout dans le domaine des drones, du matériel de vision nocturne, ainsi que des roquettes existe.
Les exportateurs israéliens d’armes ont récemment protesté car le Gouvernement israélien avait bloqué des deals d’une ampleur considérable.
La Géorgie est considérée à Jérusalem comme un allié important d’Israël. Les liaisons entre les deux pays sont importantes. Poutine a demandé aux Israéliens d’arrêter en urgence la livraison d’armes. Des menaces ont même eu lieu. La Russie peut se servir de la Syrie pour se venger et vendre des armes sophistiquées.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a recommandé un gel des ventes d’armes israéliennes à la Géorgie de crainte de réactions de la Russie.
Selon Kol Israel ce matin : “Les combats entre armées russes et géorgiennes en Ossétie du Sud ont poussé les consultants militaires israéliens qui travaillaient en coopération avec les forces géorgiennes à quitter le pays”. Selon la Russie, au moins 2.000 personnes auraient été tuées depuis le début des combats en Ossétie du Sud. 6.000 soldats russes sont entrés sur le territoire géorgien et 4.000 autres se prépareraient à un débarquement depuis la Mer Noire.
Selon Aroutz 7 : “Plus de 200 Juifs vivant à proximité des zones de combats ont déjà été évacués par l’Agence juive et réinstallés dans la capitale géorgienne de Tbilisi. La plupart d’entre eux sont originaires du village de Gori”.
La Géorgie est un pays eurasien situé sur la côte est de la mer Noire et sur les montagnes du Caucase. La Géorgie a des frontières avec la Russie au nord, et avec la Turquie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan au sud. Sa capitale est Tbilissi.—
23:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : géorgie, russie, lobby sioniste, gouvernance juive du monde, impérialisme judéo-américain | Facebook | |
Bruno Guigue l’honnête homme, sanctionné
Pourquoi donc l’a-t-on limogé maintenant ? Pourquoi n’a-t-on retenu que deux seules phrases, extraites du long article qui s’en prenait essentiellement à une tribune publiée dans Le Monde sous le titre « L’ONU contre les droits de l’homme » [1] ; tribune signée notamment par Pascal Bruckner, Alain Finkielkraut, Claude Lanzmann, Elie Wiesel, Pierre-André Taguieff, Frédéric Encel ?
C’est la question pertinente qui est posée dans un article qui mérite, à notre avis, une lecture exhaustive [2].
L’auteur de cet article, Nidal, trouve une première explication à la question posée, dans le fait qu’« Israël lance sa campagne contre Durban 2 » [3].
Il relève, en effet, que « le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU organise en 2009 une seconde conférence mondiale contre le racisme à Durban, après celle de 2001, dénoncée par Israël et les États-Unis comme un « cirque » antisémite et anti-israélien ».
Il observe que, depuis février 2008, « les milieux sionistes se passionnent pour la préparation de cette conférence (alors que le sujet ne passionne tout de même pas les foules) : il faut délégitimer la conférence de manière préventive ».
Il remarque que tel apparaît bien le but de la tribune publiée dans Le Monde sous le titre « L’ONU contre les droits de l’homme », et qui dénonce le « Conseil des droits de l’homme », organisateur de la conférence de Durban (tribune contre laquelle a réagi M. Guigue dans l’article qui lui est reproché).
Il trouve une seconde explication dans une volonté de « mise au pas de l’exécutif » de la part d’un nouveau gouvernement pro-israélien qui « aura le sentiment de se heurter à une administration moins... convaincue », et dans le fait que « l’orientation « pro-arabe » de l’administration française est au cœur des préoccupations des agitateurs pro-israéliens ».
Il relève enfin, exemples à l’appui, que le « devoir de réserve » invoqué pour limoger M. Guigue ne s’applique, à sens unique, que lorsque l’on s’en prend à Israël, et pas quand on s’en prend aux musulmans.
Il nous paraît que l’auteur de cet article a bien vu les enjeux de l’affaire et la stratégie mise en œuvre.
Le lancement et la manipulation de débats (qui vont dans le sens de la politique belliciste néoconservatrice des Etats-Unis et de leur nouveau petit caniche sarkozyien - contre Durban, contre le Soudan au sujet du Darfour, contre la Chine par Tibétains instrumentalisés et interposés, contre Chavez, contre le Hamas, contre le Hezbollah, l’Iran, la Syrie, etc) contre les cibles du lobby pro-israélien français a commencé il y a fort longtemps. Mais elle est devenue très efficace depuis que les prétendus « nouveaux philosophes » (qui n’ont jamais rien apporté à la philosophie) sont dans les coulisses de la présidence Sarkozy.
Quant au fait que l’UJPF (Union Juive Française pour la Paix) ait apporté son soutien [4] à Bruno Guigue, on ne peut que s’en féliciter. Mais cela ne permet pas d’oublier que des responsables de cette association se sont employés, ces dernières années, à lancer des appels à la « vigilance », à isoler et ostraciser nombre de gens en les accusant à tort et à travers d’« antisémitisme » parce qu’ils critiquaient la politique d’Israël d’une manière qui ne leur convenait pas (pour des raisons idéologiques ?), et à alimenter des campagnes mensongères.
On pourra vraiment croire que l’UJFP ne pratique pas, selon ses propres convenances, une défense à la tête du client, lorsqu’elle prendra la défense de tous ceux qui, à cause de leur critique d’Israël, se sont vus traînés dans la boue. Nous pensons par exemple à Dieudonné, que le président de l’UJFP Pierre Stambul a contribué à salir [5], alors qu’il était déjà la cible du CRIF et d’avocats qui le traînaient d’un tribunal à l’autre. Le jour où cette association présentera ses excuses à tous ceux que ses dirigeants ont insultés nous pourrons la croire sincère dans ses positions.
Silvia Cattori
Pour l’article qui lui a valu d’être limogé, voir :
http://oumma.com/Quand-le-lobby-pro-israelien-se
[1] Voir : http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/02/27/l-onu-c...
[2] « Commentaires sur l’affaire du sous-préfet limogé »
http://tokborni.blogspot.com/2008/03/commentaires-sur-laf...
[3] À la Conférence Mondiale contre le Racisme, organisée à Durban en septembre 2001 sous la houlette du haut commissaire des Droits de l’Homme à l’ONU, Israël a été désigné comme Etat raciste.
[4] Soutien assorti toutefois d’une étrange réserve lorsque l’UJFP nuance le propos de Bruno Guigue en disant qu’Israël « n’est sans doute pas le seul » pays dont les snippers tirent sur des petites filles à la sortie des écoles. Les responsables de l’UJFP peuvent-ils citer un pays où, depuis 1987, des bataillons de soldats en jeeps et chars entrent, jour après jour, parfois plusieurs fois par jour, dans les camps de réfugiés de Jenin et de Balata comme nous l’avons vu nous-mêmes, exciter les enfants, les provoquer jusqu’à ce que ces enfants, fous de rage lancent des pierres, et en tirer ainsi prétexte pour les viser, les blesser, les mutiler, les tuer ?
J’ai été personnellement témoin des crimes de l’armée israélienne sur les enfants, voir par exemple :
« Les enfants de Market Street », 22 mars 2004.
« BALATA ou la mort à petit feu », 12 décembre 2003
« Tsahal : une armée qui mène la guerre contre des enfants », 3 décembre 2003
[5] M. Stambul est intervenu auprès de sites pour faire enlever un entretien de Dieudonné qu’il accusait d’antisémitisme, par exemple. « Je suis assez ahuri de trouver cet "entretien" de Sylvia Cattori et de Dieudonné (…) Si ce genre d’article continue de passer sur « Marseille solidaire » je demanderai à être désinscrit »
Voir : « Palestine : l’ampleur de la tragédie exige un soutien sans faille », 30 janvier 2005
- Bruno Guigue l´onesto sanzionato
22:42 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bruno guigue, israël, lobby sioniste, liberté d'expression, dictature juive | Facebook | |
23/03/2008
Le sous-préfet de Saintes limogé après un article "anti-israélien"
PARIS (AFP) - Le sous-préfet de Saintes (Charente-Maritime), Bruno Guigue, a été limogé après avoir publié une tribune "violemment anti-israélienne" sur le site internet "Oumma.com", a-t-on appris samedi auprès du ministère de l'Intérieur.
Dans une tribune publié le 13 mars, M. Guigue estime notamment qu'Israël est "le seul Etat au monde dont les +snipers+ abattent des fillettes à la sortie des écoles". Il ironise également sur les "geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on s'interrompt de torturer pendant Shabbat".
La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a "été mise au courant mercredi du contenu de cette tribune et a immédiatement décidé de mettre fin aux fonctions" de M. Guigue, a-t-on indiqué au ministère de l'Intérieur, sans fournir plus de précision.
Enarque, normalien, M. Guigue a publié plusieurs ouvrages, dont "Proche-Orient: la guerre des mots", et tribunes sur la situation proche-orientale.
13:28 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sous-préfet, bruno guigue, alliot-marie, israël, lobby sioniste | Facebook | |