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26/05/2009

Islam: la France en danger (2/2)


Anniversaire/Histoire: Mort du «Premier Grenadier de la République»

Le 27 mai 1800, à Oberhausen, en Suisse, Théophile de La Tour d'Auvergne est frappé à mort par la lance d'un uhlan autrichien.

Un soldat exemplaire

Fils d'un bâtard d'une très illustre famille de l'aristocratie française, ce soldat est né à Carhaix, en Bretagne, 57 ans plus tôt. Capitaine dans les armées du roi, il refuse d'émigrer à la Révolution.

Grenadier.jpgLorsque la République est menacée d'invasion en 1793, il commande une avant-garde de 8.000 hommes qui s'illustre dans les Pyrénées orientales sous le nom de «colonne infernale». Il est fait prisonnier. Après le traité de Bâle de 1795, libéré, il se retire de l'armée et se consacre à des études savantes.

Mais deux ans plus tard, bien qu'ayant dépassé l'âge de la retraite, il rempile comme simple soldat dans l'armée du Rhin, en remplacement du fils unique d'un archéologue de ses amis.

En mars 1800, son altruisme et son courage lui valent d'être désigné officiellement par le Premier Consul Napoléon Bonaparte comme le «Premier Grenadier de la République». Ses restes reposent au Panthéon depuis 1889 (sauf son coeur qui est aux Invalides).

Fabienne Manière.

Histoire: 26 mai 1860, Affrontements entre maronites et Druzes

Le 26 mai 1860, sur les flancs du mont Liban, au Proche-Orient, se produit un affrontement sanglant entre chrétiens maronites et Druzes. Il survient dans une zone où ces deux communautés religieuses vivaient depuis plusieurs siècles côte à côte et en bonne intelligence. C'est le début d'une escalade de la violence qui va conduire aux désordres actuels.

Joseph Savès.
Premiers déchirements communautaires

Au milieu du XIXe siècle, le gouvernement ottoman avait enlevé aux seigneurs locaux l'administration du mont Liban pour couper court à leurs velléités d'indépendance.

Vierge Marie Harissa - Mont Liban.jpgPour mieux assurer sa tranquillité, la Sublime Porte joue de la rivalité entre maronites et Druzes, habitants du mont Liban. Mais ce jeu s'avère dangereux car il coïncide avec la montée du communautarisme dans l'ensemble de l'empire ottoman.

C'est une conséquence paradoxale de la tentative de démocratisation mise en oeuvre avec la charte de Gulhané. Les Arabes, sujets de seconde zone, maugréent contre une égalité de façade qui les prive de leurs réseaux communautaires sans leur offrir pour autant les mêmes facilités qu'aux Turcs et aux minorités chrétiennes. Alors survient la catastrophe !

En 1858, des paysans druzes du mont Liban commencent à se révolter contre les abus du gouverneur maronite. En s'étendant, la jacquerie se transforme en affrontement entre les deux communautés religieuses. On compte plusieurs milliers de victimes dans la montagne à quoi s'ajoutent des tueries de chrétiens dans la métropole syrienne, Damas (5.000 victimes dans la seule journée du 9 juillet 1860).

Dans cette ville réside l'émir Abd el-Kader, glorieux opposant à la conquête française de l'Algérie. Il vit au milieu d'une petite communauté de dix ou quinze mille exilés algériens et tunisiens, les «Moghrébins». Le vieux chef monte sur son cheval et parcourt la ville à la tête de sa petite troupe de fidèles. Partout, il s'interpose entre les émeutiers musulmans et leurs victimes chrétiennes ou juives. Il morigène les premiers et offre aux secondes un asile dans sa maison.

On s'émeut jusqu'en France. Napoléon III reprend à son compte la vocation de la France à protéger les chrétiens du sultan, instaurée par François 1er et Soliman le Magnifique. Il envoie sans attendre 7.000 soldats à Beyrouth pour restaurer la paix entre les communautés. Les soldats stationneront dans la région pendant un an, inaugurant une tradition de présence française qui perdure aujourd'hui.

Source: Hérodote - http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=18600...

14:29 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : liban, maronites, druzes, france |  Facebook | |

25/05/2009

Une retraitée tuée lors d’un rodéo urbain. Comité de soutien pour le chauffard. Habitants terrorisés

Posté le 22 mai 2009, 15:37  |  Auteur : Ubu  

Alors qu’elle marchait sur un trottoir de Saint-Cyr-L’Ecole, Yvette, une retraitée de 69 ans a été percutée de plein fouet par une moto. Elle est décédée des suites de ses blessures. “Youssof“, le conducteur de la moto roulait sur la roue arrière d’un deux roues non homologué .
Plusieurs témoins ont vu Youssof percuter Yvette. L’auteur du drame est un habitué de ce type de rodéo urbain. En 2006, il avait percuté et blessé un enfant dans les mêmes circonstances. Il est également bien connu de la justice pour trafic de stupéfiants et pour conduite sans permis de conduire.
Mais un « comité de soutien» s’est organisé en faveur de… Youssof : « Dans le quartier de cette ville populaire, la tension est montée d’un cran. Et la peur s’est emparée des riverains qui n’osent pas commenter l’événement de peur des représailles », relate Julien Constant dans Le Parisien du 21 mai.
(article en consultation payante) (NOVOPRESS)
(Merci à Civitas Parisiorum et Pitch)
Merci à tous de faire tourner l’information sur les blogs, forums, chats… sur Facebook etc… Car, pour le moment, seuls Le Parisien, Novopress et Fdesouche en ont parlé.
Une telle information doit faire la une des médias !

13:12 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, violence |  Facebook | |

20/05/2009

Les établissements veulent éviter un conflit sur le paiement des jours de grève

Les universitaires grévistes verront-ils leur fiche de paie amputée ? Le 16 mars, Valérie Pécresse avait, dans une note sur l'exercice du droit de grève, rappelé aux universités les principes fixés par la loi. La ministre de l'enseignement supérieur avait réaffirmé la règle dite du "trentième indivisible" : même pour une grève de quelques heures, un fonctionnaire ne peut se voir retirer moins d'une journée de salaire. Cette règle "s'applique en cas de service non fait mais aussi en cas de service incomplet", avait-elle rappelé.

Des étudiants de l'université Bordeaux III assistent à un cour en plein air devant la mairie, le 19 mai.
Toutefois, sauf coup de théâtre, il semble que le souci d'apaisement prime aujourd'hui : ni le gouvernement, ni les présidents d'université ne s'orientent vers des retenues salariales massives, comme celles qui, en 2003, avaient durablement traumatisé les grévistes de l'enseignement primaire et secondaire.

Dans les universités, la situation est confuse. Les obstacles sont nombreux pour appliquer les retenues salariales aux enseignants du supérieur. Encore faut-il que les grévistes soient recensés ou se déclarent eux-mêmes... Mais pour des personnes dont le temps d'enseignement se calcule sur l'année, une telle déclaration, "n'est pas pertinente" assure Jean-Louis Fournel, du collectif Sauvons l'université. Le principal syndicat du secteur, le Snesup-FSU, demande à ses adhérents, sur son site Internet, de ne pas remplir les formulaires de déclaration envoyés par les établissements.

"SANS ÉTAT D'ÂME"

Exemple parmi d'autres, l'université Lumière Lyon-II, très mobilisée depuis le début du conflit, a enregistré, pour 976 universitaires, 159 journées de grève en février, 24 en mars et aucune après. "Il n'y a pas d'obligation de se déclarer gréviste dans le supérieur", rappelle le responsable local du Snesup-FSU, Philippe Selosse, selon qui "personne n'a idée du nombre réel de grévistes qu'il y a eu". De premières retenues ont cependant été opérées sur les salaires d'avril.

A l'université de sciences sociales Toulouse-I, où 4 % de grévistes ont été décomptés selon Bruno Sire, son président, celui-ci déclare qu'il ne fait "rien d'autre qu'appliquer la loi, sans état d'âme". "Simple principe d'équité, ajoute-t-il, je ne vais pas dire au personnel administratif qu'il n'est pas payé et payer les enseignants-chercheurs !"

La bataille qui se profilait à l'université de Toulon n'aura pas lieu. Son président, Laroussi Oueslati, a annoncé, mardi 19 mai, qu'il reculait. Les lettres adressées le 11 mai à une quinzaine d'enseignants-chercheurs, les menaçant de retenir l'équivalent de 98 jours de salaire s'ils ne justifiaient pas de leur emploi du temps depuis le début du mouvement en février, "sont nulles et non avenues", a-t-il indiqué.

Certains présidents d'université impatients de voir la situation retourner à la normale, sont tentés de frapper les contestataires au portefeuille, afin, notamment de faire cesser les rétentions des notes du premier semestre, mot d'ordre lancé dès février par la coordination nationale des universités.

Selon le Snesup-FSU, les universités d'Amiens, Aix-Marseille-II, Lyon-I, Nancy-I, Nantes, Nice, Reims, Rennes-I ou Tours, ont employé ce type de "menaces". Avec les examens qui se profilent, il devient néanmoins urgent de réunir l'ensemble des notes pour les jurys de diplômes.

Pour récupérer ces données, le président de Toulouse-I indique avoir "envoyé une note de service stipulant que, conformément à la loi, une non exécution d'une obligation de service, était assimilable à un fait de grève, donc passible de la retenue d'un trentième de salaire". Aujourd'hui, dit-il, "toutes les notes ont été transmises".

A Lille-II (droit et santé) en revanche, dix enseignants refusent toujours de remettre ces notes. Une première lettre envoyée le 8 avril n'ayant pas eu l'effet escompté, le président a averti qu'à dater du 20 avril, il allait procéder à des retenues "pour service non fait".

"Pour ne pas pénaliser les étudiants, nous les avons informés de leurs notes, plaide Philippe Enclos, maître de conférence et responsable du Snesup-FSU. De même, nous avons décidé de repousser les délibérations des jurys en fin d'année. Mais le président a refusé de nous recevoir". Les enseignants concernés ont théoriquement perdu l'équivalent d'un mois de salaire, mais le président se déclare "prêt à discuter" une fois les notes rendues.

Christian Bonrepaux, Luc Cédelle et Philippe Jacqué
Commentaires du PNF:  Le laxisme de Sarkozy
Deux ans ont passé depuis l'élection de Nicolas Sarkozy au pouvoir. Et plus le temps passe, plus l'on se rend compte que Sarkozy a bien trompé tout son monde (au moins le monde de ses électeurs...) lors des élections présidentielles. Car il affiche un laxisme digne des gouvernements de gauche!
Sarkozy, bien trop occupé à être réélu en 2012, n'a pas défendu lors de ce conflit la majorité silencieuse des étudiants qui était contre le blocage des universités. Il affiche un laxisme scandaleux qui va coûter très cher à bon nombre d'étudiants, étudiants le plus souvent en bas de l'échelle sociale et n'ayant pas les moyens d'aller dans le privé, là où les cours ont réellement lieu...

17:03 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grève, laxisme |  Facebook | |

17/05/2009

Mai 1948...la NAKBA...la catastrophe..."Ils ont tué tous les gens qu’ils voyaient"

Par Khaled Amayreh

Le jour de la Nakba...

         Mohammed al-Saghir Abu Sharar avait 37 ans quand la Hagana et les autres gangs terroristes juifs ont attaqué Al-Dawwayema, un village situé à 18 kilomètres au nord-ouest d’Al-Khalil (Hébron) en 1948.

 

Mohammed al-Saghir Abu Sharar avait 37 ans quand la Hagana et les autres gangs terroristes juifs ont attaqué Al-Dawwayema, un village situé à 18 kilomètres au nord-ouest d’Al-Khalil (Hébron) en 1948.

"Quand ils sont arrivés, ils ont commencé à tuer la population civile en masse, les hommes, les femmes et les enfants, " se souvient Mohammed, qui a maintenant près de 100 ans.

" Ils ont tué tous les gens qu’ils voyaient. Ils ont brisé les têtes des enfants et ouvert les ventres des femmes à la baïonnette. Ils ont même violé certaines femmes avant de les assassiner. "

Mohammed dit qu’un des chapitres les plus sanglants a eu lieu dans la mosquée.

" C’était un vendredi et beaucoup des vieux étaient déjà à la mosquée locale pour la prière, " se rappelle-t-il.

" Environ deux heures avant les prières, vers 10h ou 10h30, plusieurs véhicules transportant des hommes en arme sont arrivés. Ils nous ont mitraillé, tuant les 75 vieux. Il n’y a pas eu un seul survivant, " ajoute-t-il, les larmes aux yeux.

" Ensuite, ils ont commencé à aller de maison en maison, tuant des familles entières. La tuerie a forcé les gens à fuir vers l’est. Cependant, les hommes de la Hagana les pourchassaient, tuant davantage de gens. "

Dans son livre " All That Remains ", Walid al-Khalid, historien palestinien incontesté, a écrit que Al-Dawayema avait une population de 3.710 personnes en 1945.

Le monde commémore le 15 mai le " Jour de la Nakba ", lorsqu’Israël a été créé sur les décombres de notre pays.

- Le 18 avril 1948, le groupe Irgun de Menachem Begin s’est emparé de la ville palestinienne de Tibériade, mettant en fuite ses 5.500 habitants palestiniens.

- Le 22 avril, Haifa est tombée aux mains des sionistes et 70.000 Palestiniens ont fui.

- Le 25 avril, l’Irgun a commencé à bombarder les secteurs civils de Jaffa, terrifiant les 750.000 habitants qui ont fui, paniqués.

- Le 14 mai, la veille de la création d’Israël, Jaffa était complètement encerclée par les militants sionistes bien mieux équipés, et seuls environ 4.500 résidents sont restés.

Aucun refuge

Mohammed, qui vit maintenant avec sa famille dans le petit village d’al-Majd, à environ 7 kilomètres au sud-ouest d’Al-Dawayema, dit que des dizaines de familles ont cherché refuge dans une grande grotte appelée "Turel Zagh".

" Les Juifs leur ont dit de sortir, de se mettre en ligne et d’avancer. Et lorsqu’ils ont commencé à marcher, ils les ont mitraillés, " ajoute-t-il.

" Une femme, l’épouse de Mir’ie Freih, a survécu au massacre en faisant semblant d’être morte. "

Mohammed dit que les victimes du massacres furent ensuite ensevelies dans les puits de Bir al-Shara et Bir al-Sil.

Son témoignage est corroboré par les historiens et chercheurs israéliens, à partir d’archives déclassifiées de l’armée israélienne et d’entretiens avec des vétérans de l’armée.

L’historien israélien Benny Morris avait interviewé un participant au massacre, qui lui a dit qu’environ 80 à 100 personnes, dont des femmes et des enfants, avaient été tués par " la première vague des conquérants. "

En 1984, un journaliste israélien a interviewé l’ancien Mukhtar (notable du village) de al-Dawayema, Hasan Mahmoud Ahdeib, et est revenu avec lui sur le site, pour la première fois depuis le massacre.

Ihdeib lui a parlé des gens tués dans la mosquée et des familles assassinées dans la grotte, lui montrant le puits où les corps avaient été jetés.

Quelques jours plus tard, le journaliste israélien a fait venir des ouvriers qui ont creusé et ont découvert les os et les cranes.

En 1955, la colonie juive d’Amatzia était bâtie sur les ruines d’al-Dawayema.

Aharon Zisling, le premier Ministre de l’agriculture d’Israël, avait comparé le massacre, au nom de code " Opération Yo’av ", aux crimes nazis.

Mémoire vivante

Il y a quelques années, Mohammed et sa famille ont visité les ruines de son village, où son père, sa mère, son grand-père et ses ancêtres ont été enterrés.

" Je suis resté là, en pleurs. J’ai vu notre maison, complètement délabrée. J’ai vu la pièce où mon père recevait les invités. J’ai vu les puits d’eau abandonnés. "

Le vieux Palestinien centenaire espère toujours qu’il pourra revenir vivre dans son village natal.

" Mon souhait reste inchangé, c’est de revenir dans mon village, d’y mourir et d’y être enterré. "

A la question s’il accepterait une indemnisation pour sa propriété perdue, il reste un moment silencieux avant de répondre :

" Ce n’est pas une question de propriété et de dédommagement, " dit-il.

" C’est mon pays, mon histoire, ma maison, mes souvenirs d’enfance. Mes grands-parents ont été enterrés là.

Vendriez-vous la tombe de votre père pour tout l’or du monde ? "

Palestine - 15-05-2009

Source : Islam On Line

Traduction : MR pour ISM

 

Mai 1948, la création de l’Etat d’Israël, l’agression par les milices qui allaient devenir l’armée israélienne, l’exode et l’exil, la destruction, la mort, la "catastrophe" pour les Palestiniens, la Nakba.

(…)

Le terme Nakba fait référence à la conséquence de la guerre israélo-arabe de 1948 durant laquelle plus de 700 000 Arabes israéliens

84% de la population palestinienne a été exilée et ces personnes sont devenues des réfugiés. Ceux qui sont restés sont devenus en une nuit une minorité dans ce qui devenait un Etat juif.

Ainsi, la plupart des Palestiniens ont fui leurs villages et leurs villes dans la zone qui est devenue ensuite l’Etat d’Israël. Ils n’ont jamais été autorisés à y revenir et leurs terres, saisies par le gouvernement israélien, ont été données à des immigrants juifs.

 De la population palestinienne d’avant 48 - 950 000 environ - deux catégories de réfugiés ont émergé :

- 800 000 Palestiniens ont été expulsés de leur pays et contraints à devenir des réfugiés dans les Etats arabes.

- 150 000 Palestiniens sont restés à l’intérieur du nouvel Etat d’Israël. Environ 25% de ceux qui sont restés ont été chassés de leurs maisons vers d’autres lieux et sont devenus des réfugiés de l’intérieur.

- 530 villages ont disparu.

 

(…) article à lire sur :

http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://www.france-palestine.org/IMG/jpg/nakba6.jpg&imgrefurl=http://www.france-palestine.org/article3613.html&usg=__T_OrZqTTPyW_ay4jJ_TD7Vw4xD0=&h=325&w=450&sz=33&hl=fr&start=9&um=1&tbnid=k5Wksh9MsTiYUM:&tbnh=92&tbnw=127&prev=/images%3Fq%3Dla%2Bnakba%26hl%3Dfr%26lr%3Dlang_fr%26sa%3DN%26um%3D1

 

 

Source: http://www.lepost.fr/article/2009/05/17/1539039_mai-1948-...

 

Commentaires du PNF:

Pourquoi concernant l'histoire du sionisme, la règle du "deux poids deux mesures" est-elle toujours appliquée? Pourquoi ne voit-on jamais sur nos petits écrans (devenus grands) de reportage sur la Nakba, qui peut être apparentée à un génocide?

On nous abreuve nuit et jour avec des reportages sur l'Holocauste. On nous répète à longueur de journée que l'Etat Français a été complice des exactions commises contre les Juifs, en oubliant de signaler que le pays était occupé et donc soumis à l'envahisseur allemand.

Et par contre, sur les massacres commis par les Juifs sionistes en Palestine, rien ou presque.

Pourquoi Sarkozy le sioniste n'émet-il pas l'idée que chaque écolier français porte en lui la mémoire d'un enfant palestinien massacré par les Juifs sionistes?

Il est temps que les Français disent non au sionisme qui nous oppresse et s'approprie nos libertés. Les prochaines élections européennes nous donnent enfin la possibilité de nous défendre, en exprimant notre amour pour la vérité et la liberté.

La disparition des colonies d'abeilles menace l'économie, et la survie de l'espèce humaine

abeille 2.jpgC'est pas des conneries. C'est même extrêmement sérieux puisque les États-Unis estiment que le CCD ("Colony Collapse Disorder", Syndrome de l'effrondrement de colonie) est responsable de pertes économiques chiffrées à environ quinze milliards de dollars par an pour leur seul pays. Le phénomène touche également l'Europe de manière croissante.

Qu'est-ce que c'est ?

Depuis 2006, les apiculteurs observent que les abeilles disparaissent soudainement des ruches, laissant la reine seule avec quelques jeunes abeilles ce qui entraîne la disparition de la colonie. Les raisons de cet inquiétant phénomène sont encore inconnues. Les spécialistes émettent toutefois plusieurs hypothèses :

  • des infections par des champignons virus, bactéries ou parasites
  • les ondes de nos téléphones portables (des scientifiques allemands ont démontré que ces ondes perturbent les abeilles, les empêchant de retrouver la ruche, à lire ici)
  • des produits chimiques, pesticides, insecticides, désherbant ou fongicides pouvant perturber l'orientation des abeilles, ou contaminer la cire.
  • les OGM qui ont souvent été développés dans leur but de faire produire à ces plantes génétiquement modifiées leurs propres insecticides.
  • les pratiques apicoles modernes sont également montrées du doigts (taille des ruches, promiscuité, malnutrition et stress des abeilles, perte de la diversité génétique par sélections et croisements...)

Pourquoi c'est une catastrophe ?

Certaines cultures maraîchères (c'est le cas de celles des cerisiers, des pommiers, des amandiers, des avocatiers, mais également des oignons, des concombres, du coton, de l'arachide, du melon qui sont les plus touchées) dépendent en grande partie de la pollinisation de leurs cultures par les abeilles. La pollinisation c'est le mode de reproduction de la plupart des plantes à fleur et des conifères (rappelons que la majorité de notre bois de charpente et notre pâte à papier provient des conifères). L'abeille joue le rôle le plus important dans ce processus puisque c'est en récoltant le nectar et en le transportant sur elle qu'elle permet la pollinisation. Je vous épargne les détails qui sont à lire ici.

Une légende voudrait qu'Albert Einstein ait dit un jour : « Si les abeilles venaient à disparaître, l'homme n'aurait plus que quatre années devant lui. Sans abeilles, plus de pollinisation, plus de plantes, plus d'animaux, plus d'hommes ».

Source: http://www.lepost.fr/article/2008/05/11/1191628_la-dispar...

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Les Tigres tamouls annoncent qu'ils cessent le combat

 "Cette bataille est arrivée à son terme cruel", admet le chef des relations internationales des Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE), Selvarajah Pathmanathan.

"Nous n'avons pas d'autre choix que de faire taire les armes, afin que l'ennemi n'ait plus d'excuses pour continuer à tuer les nôtres", ajoute-t-il.

L'incertitude règne sur le sort du chef et fondateur des Tigres, Vellupillai Prabhakaran, et de son état-major.

Une énorme explosion a été entendue à l'intérieur d'un bunker des rebelles. Par le passé, Prabhakaran a dit à plusieurs reprises qu'il ne se laisserait pas prendre vivant.

Selon des sources militaires, son corps aurait été retrouvé dans la zone des combats mais, à Colombo, le porte-parole de l'armée, le général Udaya Nanayakkara, a démenti cette information.

"Le corps a été emporté en vue de l'identifier formellement", a affirmé pour sa part à Reuters un officier sri-lankais qui a requis l'anonymat. D'autres officiers ont appuyé son témoignage.

L'armée sri-lankaise avait annoncé quelques heures auparavant que les rebelles, poussés dans leurs derniers retranchements, lançaient des attaques suicides contre les forces gouvernementales.

50.000 CIVILS ÉVACUÉS DEPUIS JEUDI

Celles-ci ont annoncé avoir pu sauver tous les civils qui étaient pris au piège dans la zone des combats, limitée à un kilomètre carré à peine.

"Des officiers des forces rebelles se dirigent vers les troupes gouvernementales sur la ligne de front et se font exploser", a dit le général Udaya Nanayakkara.

"Tous les civils de Vellimullivaikal ont été sauvés - plus de 50.000 depuis jeudi - mais les combats se poursuivent", a-t-il ajouté.

Vendredi, l'armée avait affirmé qu'il ne lui faudrait sans doute pas plus de quarante-huit heures pour libérer les dizaines de milliers de civils qui servaient de boucliers humains aux LTTE.

Le président sri-lankais Mahinda Rajapaksa, qui était en visite officielle en Jordanie, est rentré dimanche matin dans son pays, après avoir annoncé la "défaite militaire" des Tigres après un quart de siècle de guerre civile.

Les forces gouvernementales ont pris samedi le contrôle de la totalité du littoral de l'île, pour la première fois depuis vingt-cinq ans.

Quelque 70 Tigres ont été tués dimanche alors qu'ils tentaient de traverser à bord de six embarcations le lagon de Nanthikadal, dans l'ouest de la zone de guerre, a précisé l'armée.

Samedi, près de 37.000 personnes ont encore fui les combats pour gagner les zones tenues par l'armée.

Le site www.TamilNet.com affirme que des milliers de blessés ont été abandonnés à leur sort, sous le feu continu de l'artillerie gouvernementale.

UN ÉMISSAIRE DE L'ONU A COLOMBO

Le président Rajapaksa devait prononcer une allocution télévisée dimanche soir ou lundi pour annoncer officiellement la défaite de l'insurrection, a-t-on appris dans son entourage.

Une "Journée de la libération" sera alors proclamée et célébrée ensuite chaque année, a-t-on précisé de même source.

L'assaut final contre les Tigres de libération de l'Eelam tamoul, auquel participent 50.000 soldats sri-lankais, survient alors que le directeur de cabinet du secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, Vijay Nambiar, était attendu dimanche pour la deuxième fois à Colombo.

La visite de Nambiar et les appels des Nations unies semblent être intervenus trop tard pour faire cesser le combat entre le gouvernement soutenu par la majorité cinghalaise et les Tigres de la minorité tamoule.

Les Tigres avaient à nouveau refusé cette semaine de se rendre et de libérer les civils, tandis que le gouvernement rejetait les appels à la trêve lancés pour protéger la population.

Samedi, les rebelles ont fait savoir qu'en cas de victoire militaire du gouvernement, une nouvelle phase du conflit s'ouvrirait.

"La volonté de Colombo de finir la guerre en 48 heures par un carnage et un bain de sang pour les civils ne résoudra jamais un conflit qui dure depuis des décennies. Au contraire, cela ne fera qu'aggraver la crise pour la porter à des niveaux imprévisibles", a déclaré Pathmanathan sur le site tamilnet.

Pathmanathan, qui est depuis des années le principal fournisseur d'armes des Tigres, est recherché par Interpol. Selon des diplomates, il se cacherait quelque part en Asie du Sud-Est, sans doute en Malaisie, en Thaïlande ou au Cambodge.

La minorité tamoule a commencé son combat pour un Etat séparé au début des années 1970. Cette lutte a débouché sur une guerre civile qui a fait au moins 70.000 morts depuis 1983.

Version française Henri-Pierre André et Guy Kerivel

15:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sri lanka |  Facebook | |

15/05/2009

Philippe de Villiers juge que Sarkozy joue de la "flûte turque"

Le souverainiste Philippe de Villiers reproche à Nicolas Sarkozy de jouer de la "flûte turque" en pratiquant un double langage sur l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne et sur la préférence communautaire.

Faute d'un débat avec le chef de l'Etat, le président du Mouvement pour la France "met au défi" Michel Barnier, chef de file des listes UMP, d'accepter de débattre des élections européennes du 7 juin en public ou sur une chaine de télévision.

de villiers 1.jpg"Cette campagne est bâillonnée, c'est l'omerta de la pensée unique", dit-il dans une interview à Reuters, jugeant que les partis traditionnels, comme l'UMP, le PS et le MoDem, "n'ont absolument pas envie de débattre de la crise et de l'Europe."

En outre, selon le président du MPF, Nicolas Sarkozy dit une chose à Paris et son contraire à Bruxelles : "Je veux que ma main droite ignore ce que fait ma main gauche."

"Nicolas Sarkozy joue de la flûte turque puisque candidat à l'élection présidentielle, il déclare : 'mon premier geste sera de stopper la négociation avec la Turquie.' Et une fois élu, il l'accélère", affirme-t-il.

Le souverainiste, qui conduit les listes "Libertas", demande donc au chef de l'Etat, qui a récemment réaffirmé à Berlin son hostilité à l'adhésion turque, de clarifier sa position en arrêtant les négociations.

De même, Philippe de Villiers reproche à Nicolas Sarkozy de "jouer de la flûte à bec" en prônant dans ses discours la préférence communautaire "alors qu'à Bruxelles, il a signé tous les traités qui l'ont démantelée."

EUROPE DES DIFFÉRENCES

Crédité d'environ 6% dans les sondages, il appelle les Français à "mettre un carton rouge à l'Europe de Lisbonne lors du match retour le 7 juin".

Défenseur de la "France des terroirs" - il s'est allié avec le mouvement Chasse, Nature, Pêche et Traditions (CNPT) de Frédéric Nihous, il prône "une Europe des différences, des libertés et des nations" mais peine pour le moment à se faire entendre.

Philippe de Villiers espère néanmoins progresser dans les sondages en fin de campagne, rappelant qu'en 1999 et 2004 tout s'était joué dans la dernière ligne droite. Il avait alors obtenu respectivement 13,05% et 6,67%.

Il estime pour l'heure que le fait que Nicolas Sarkozy se comporte en "chef de campagne", et que le traitement "inéquitable" des petites formations fausse le débat.

"La France du 'non' (au projet de constitution lors du référendum de 2005), on ne l'entend presque pas", déplore-t-il.

Philippe de Villiers s'indigne de voir que deux ministres en exercice, Michel Barnier (Agriculture) et Rachida Dati (Justice), conduisent la campagne de la majorité.

"Ce sont des têtes de liste qui voyagent aux frais de l'Etat et qui disposent de fonds considérables lorsqu'il s'agit d'acheter un électorat", dit-il.

Michel Barnier s'est défendu vendredi sur France Info de faire campagne sur les fonds de l'Etat. Mais Philippe de Villiers évoque les 400 millions d'euros récemment accordés par le ministre aux marins-pêcheurs.

"Lorsque Michel Barnier se déplace, est-ce le ministre qui se déplace ou le candidat ? Qui paye ?", demande-t-il.

Edité par Yves Clarisse

14/05/2009

Dieudonné présente une liste anti-sioniste

L'humoriste controversé Dieudonné a présenté vendredi sa très hétérogène liste "anti-sioniste" pour les européennes en Ile-de-France, remerciant le secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant, d'avoir popularisé son initiative en lançant la question de son interdiction.

Très en verve, maniant tour à tour l'ironie et l'insulte, Dieudonné, qui tenait une conférence de presse sur la scène de son théâtre parisien de la Main d'Or devant de nombreux supporteurs, a d'entrée annoncé qu'il entendait "répondre à M. Guéant, notre ami Guéant (...) M. Guéant notre attaché de presse".

Dimanche, le secrétaire général de l'Elysée avait annoncé que les pouvoirs publics étudiaient la possibilité d'interdire les listes "anti-sionistes" que Dieudonné, plusieurs fois condamné pour des propos sur la Shoah et les juifs, veut présenter aux européennes.

dieudonné.jpgEn agissant de la sorte, "Guéant nous a placés au coeur du débat sur les élections", s'est félicité Dieudonné, qui s'est déclaré "étonné" par l'écho rencontré par la polémique.

Interrogé sur le fait de savoir si la déclaration de l'Elysée n'était pas en réalité une "stratégie" pour faire diversion dans la campagne, Dieudonné a répondu: "si c'est le cas, c'est jouer avec de la glycérine".

Attablé avec ses deux principaux colistiers, l'écrivain ex-membre du Front national Alain Soral et le président du "Parti anti-sioniste de France", Yahia Gouasmi, Dieudonné a également donné la parole à chacun des autres membres de la liste, venus d'horizons extrêmement différents.

L'un d'eux, Francesco Condemi, s'est présenté comme "cinéaste", "venu de l'extrême gauche", qui a "beaucoup bourlingué avec la LCR". Un autre, Cyrille Ray-Coquet, lui aussi "cinéaste", a affirmé se présenter pour "replacer dieu au centre des préoccupations". Une jeune femme, Emmanuelle Gili, s'est affichée comme une membre du groupuscule ultra-nationaliste "Renouveau français" et un autre comme le "président d'une association d'amitié franco-serbe".

Pour beaucoup issus de l'immigration, nombre d'entre eux ont affirmé avoir milité dans des organisations aussi diverses que les syndicats CGT et Sud, le PCF, les Verts ou le Front national jeunesse (FNJ).

"C'est un mouvement de tous les horizons, de toutes les régions", s'est félicité Dieudonné. "La France black-blanc-beur, elle est là !", a lancé Alain Soral.

Mais malgré la multiplicité des parcours, l'ennemi était bien le même pour tout le monde: le sioniste.

"L'idée de glisser ma petite quenelle dans le fond du fion du sionisme est un projet qui me reste très cher", a lancé Dieudonné.

"Le seul ennemi de cette République, c'est le sionisme, qui est là et qui nous divise depuis toujours, qui organise en fait les guerres un peu partout, dans le monde et en France", a-t-il assuré.

Alain Soral, qui a quitté le FN en février après que sa candidature eut été écartée pour conduire la liste en Ile-de-France, s'en est également violemment pris à Claude Guéant.

"Guéant a dit que M. Dieudonné était antisémite tout le temps. Ce n'est même pas français comme phrase. Je rappelle que même Adolphe Hitler quand il caressait son chien avait des petites baisses d'antisémitisme", a-t-il lancé sous les rires de ses sympathisants.

Les trois principaux membres de la liste ont annoncé qu'ils déposeraient leur liste mercredi à 11H00 au ministère de l'Intérieur. Ils s'y rendront à bord d'un car, baptisé le "Dieudonné bus", avec lequel ils entendent faire campagne.

Source: http://www.ladepeche.fr/article/2009/05/09/604285-Dieudon...