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14/04/2010

Violences urbaines en Belgique: les peines de moins de 3 ans ne sont pas appliquées

 

En Belgique le débat sur les violences urbaines fait rage après une série d’agressions et de braquages.

 

Les peines de moins de 3 ans ne sont pas appliquées ...
envoyé par LeCL0Wn. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

 

Source: François de Souche

25/11/2009

Insécurité : Marine Le Pen appelle à rétablir la double peine

marine le pen.jpgLa vice-présidente du Front national a réclamé, mercredi 25 novembre, le rétablissement de la "double peine" à l'égard des "délinquants étrangers", afin de lutter contre l'insécurité en France. "Il faut renvoyer les étrangers délinquants, c'est-à-dire faire l'inverse de ce que Nicolas Sarkozy a empêché [sic]", en décidant "la suppression de la double peine", a déclaré Mme Le Pen, interrogée par iTélé depuis Bruxelles où elle exerce un mandat de député européen.

Le régime de la double peine, qui prévoyait l'expulsion des étrangers condamnés, a été réformé en 2003 par M. Sarkozy, alors ministre de l'intérieur. "Il faut rétablir la possibilité pour les Français de ne pas être soumis à la triple peine, celle qui consiste à être victime de l'infraction de la part des étrangers, à payer leur place en prison et, de surcroît, être obligé de les conserver après", a affirmé Mme Le Pen.

"ZONES TRIBALES"

Au lendemain du déplacement du chef de l'Etat en région parisienne, la vice-présidente du FN a affirmé que "la situation dans les banlieues est dramatique". "Il y a quasiment des zones tribales comme au Pakistan, où on est obligé de faire protéger par la cavalerie des bus pour traverser des quartiers. Et demain, on va faire quoi ? On va mettre des chars ?", a-t-elle lancé.

Selon Mme Le Pen, "ce n'est pas en diminuant de 3 000 les policiers et les gendarmes tous les ans jusqu'en 2012, que l'on va régler le problème de la sécurité". "C'est bien gentil de parler de vidéosurveillance, c'est bien gentil de parler de policiers référents, mais à ce moment-là, il en faut plus, pas moins. Sinon, on est dans le mensonge total, ce qui est évidemment le cas", a-t-elle ajouté.

Source: Le Monde

10/07/2009

Une politique qui encourage les émeutiers

Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Les émeutes qui ont secoué Firminy pour la troisième nuit consécutive, marquées notamment cette fois par l’incendie de sept commerces, apportent une nouvelle preuve que, malgré les rodomontades de M. Sarkozy, les forces de l’ordre ont la consigne de ne pas faire respecter l’ordre, ni de protéger les personnes et les biens.

firminy-violences-pompiers-3401880xjqkc.jpgL’obsession de la « bavure » réduit le rôle des policiers à celui de spectateurs des destructions. Et qui, eux, prennent des coups.

Il est honteux de laisser entendre, tant à la population pacifique qu’aux émeutiers, que la police nationale est incapable de rétablir l’ordre.

Cette politique de lâcheté ne fait qu’encourager les voyous dans leurs zones de non-droit.

Elle est criminelle.

Source: http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=2067

01/07/2009

La France, sa dette et ses besoins d'emprunt

euros.jpgÀ Versailles, le 22 juin 2009, devant le Parlement français réuni en Congrès, le président Nicolas Sarkozy a annoncé le lancement d'un emprunt d'État auprès du public et non plus seulement des banques, en vue de financer des « investissements d'avenir». Michel Psellos, spécialiste de finances publiques, nous éclaire sur les emprunts à travers l'Histoire.

Recettes, ressources et emprunts

Au départ, il importe de rappeler la différence entre «recettes» et «ressources» pour une entreprise comme pour l'État :

- Les «recettes» : c'est le chiffre d'affaires annuel réalisé par l'entreprise ou les impôts encaissés par l'État, desquelles on soustrait les «dépenses» ou «charges» annuelles pour calculer le bénéfice ou le déficit.

- Les «ressources» sont constituées des nouveaux emprunts et du bénéfice (si ce dernier est positif) ; elles permettent de financer les besoins de l'entreprise ou de l'État, c'est-à-dire les remboursements d'emprunts passés, les investissements... et l'éventuel déficit.

Ce rappel de vocabulaire permet de comprendre quelques évidences souvent malmenées par des discours politiques aussi creux que captieux :

1) Toute bonne gestion financière doit partir du déficit, qui provient de recettes trop faibles ou de charges trop élevées, pour en déduire le montant des ressources à trouver afin de financer ce déficit et les autres besoins. Faire l'inverse, autrement dit fixer le déficit en fonction des ressources de financement que l'on pourrait mobiliser, est une politique de gribouille !

2) Si les marchés financiers ont une capacité suffisante pour prêter à l'entreprise ou l'État les ressources nécessaires, il n'y a aucun besoin d'emprunter directement auprès des particuliers, ce qui s'effectue toujours dans des conditions plus coûteuses : les particuliers attendent un taux d'intérêt plus élevé que celui qui leur est proposé par les banques (ou un avantage fiscal) ; d'autre part, le placement de l'emprunt auprès de centaines de milliers de personnes est inévitablement plus coûteux qu'auprès de quelques dizaines de banques.

On peut néanmoins décider, pour de pures raisons de communication d'entreprise ou d'affichage politique, d'emprunter auprès des particuliers une part modeste du besoin de financement annuel, bien que ce soit plus coûteux : EdF vient ainsi d'emprunter 2 md€ auprès des Français sur un programme annuel d'emprunt de l'ordre de 10 md€, et l'État, par la voix du président de la République, projetterait d'emprunter de l'ordre de 10 md€ auprès des particuliers sur un programme annuel d'emprunt d'environ 150 md€ (dont 140 resteront apportés par les marchés, qui auraient pu sans difficulté aller jusqu'à 150).

L'époque où les marchés financiers n'avaient pas une capacité suffisante pour absorber des besoins parfois importants d'emprunts d'EdF ou de l'État est révolue depuis les années 1980 : les emprunts Lepercq à la Libération, Pinay en 1958 ou Giscard en 1965 puis 1973 pouvaient encore apparaître justifiés, mais l'emprunt Balladur de 1993 ne l'était plus et celui de Sarkozy en 2009 ne le sera pas plus : leur unique fonction est politique, malgré leur surcoût financier.

Affirmer qu'un tel emprunt «apporte des recettes nouvelles pour investir» est une ineptie : on ne fait que substituer un mode de financement plus coûteux à un autre. Si on entend par là que l'État augmentera ses dépenses d'investissement à due concurrence des ressources apportées par cet emprunt particulier, on reconnaît alors avoir décidé d'augmenter le déficit budgétaire d'autant, ce qui dénote un laxisme invétéré.

Enfin, l'insistance mise à ce que les ressources de cet emprunt ne financent que des dépenses «productives» est tout simplement puérile : c'est oublier que le reste des emprunts financera d'autant plus largement des dépenses «improductives», tant il est vrai que l'argent est «fongible». Dans les entreprises comme pour le budget de l'État, la pré-affectation des ressources est une vue de l'esprit.

Rigueur, laxisme et euro

Après le redressement de la fin des années 1990, qui a permis à la France de se qualifier pour l'euro, la période 2002-2008 a connu une dégradation larvée du déficit budgétaire et des comptes extérieurs, dont le montant cumulé équivaut à celui des premières années de François Mitterrand en 1981-1982. Mais aucun plan de redressement équivalent à celui de 1983 n'est venu redresser la barre, bien que l'endettement public ait depuis lors doublé et malgré les discours martiaux tenus à ce propos en campagne électorale...

C'est que, d'une part, la contrainte extérieure liée au risque de crise du franc a disparu avec la création de l'euro, d'autre part, que le gouvernement français refuse la contrainte de substitution des «critères de Maastricht» (il faudrait que le déficit des comptes publics ne dépasse pas 3% du PIB), comme le montre le report perpétuel de la date de retour à l'équilibre (en 2010, puis 2012, puis 2015,...) depuis l'élection de Nicolas Sarkozy en 2007.

Dénonçant en 1983 la politique de rigueur, les communistes et certains socialistes, dans la mouvance de Jean-Pierre Chevènement, développaient de savantes arguties sur la différence entre le déficit «choisi» ou «vertueux» qui «prépare l'avenir» par l'investissement, et le déficit «subi» qui ne ferait qu'augmenter la dette.

Les mêmes palinodies sont aujourd'hui reprises par le président de la République Nicolas Sarkozy et sa ministre des finances Christine Lagarde, pour tenter d'éluder la contrainte européenne du retour à l'équilibre financier en effectuant une savante distinction entre des déficits 1) structurel, 2) de crise et 3) de soutien à l'activité.

Ces arguties n'avaient pas plus été retenues en 1983 par les responsables des finances publiques (le président François Mitterrand et son ministre des Finances Jacques Delors) qu'elles ne le sont aujourd'hui par les responsables européens, chargés de veiller au sérieux de la politique budgétaire de chaque État adhérent à l'euro. Tout au plus, les néo-laxistes de 2009 parviendront-ils à retarder un peu l'échéance de la politique de rigueur, comme les laxistes de 1982 l'avaient retardée d'un an, mais il est plaisant dans l'intervalle de voir leurs discours converger avec ceux des Marchais et Chevènement d'alors...

La réalité financière ne pourra que reprendre ses droits d'ici un an ou deux, quand la reprise économique permettra aux autorités européennes d'exiger un assainissement : la France pourrait alors devoir s'infliger une augmentation de 3 points de la TVA ou de la CSG, tout comme l'Allemagne en 2005, lorsque sa situation, aussi détériorée que celle de la France, avait conduit le chancelier Schröder à prendre des mesures de redressement que le président français Chirac n'avait pas voulu consentir. Prévisible à brève échéance, cette hausse ne ferait d'ailleurs que combler le déficit actuel de 30 md€ de la Sécurité Sociale, dont la seule existence à côté du déficit du budget de l'État devrait constituer un scandale intolérable pour ceux qui ont fait campagne en répétant que la dette était insoutenable, et son transfert aux générations futures injustifiable.

Le futur emprunt d'État est donc une «ressource» de substitution mais ne constitue en rien une «recette» nouvelle, laquelle ne pourra provenir que des impôts qui viendront inéluctablement, à moyen terme, se conjuguer aux économies de dépenses pour rééquilibrer les finances publiques.

Michel Psellos.
Source: Hérodote

20/05/2009

Les établissements veulent éviter un conflit sur le paiement des jours de grève

Les universitaires grévistes verront-ils leur fiche de paie amputée ? Le 16 mars, Valérie Pécresse avait, dans une note sur l'exercice du droit de grève, rappelé aux universités les principes fixés par la loi. La ministre de l'enseignement supérieur avait réaffirmé la règle dite du "trentième indivisible" : même pour une grève de quelques heures, un fonctionnaire ne peut se voir retirer moins d'une journée de salaire. Cette règle "s'applique en cas de service non fait mais aussi en cas de service incomplet", avait-elle rappelé.

Des étudiants de l'université Bordeaux III assistent à un cour en plein air devant la mairie, le 19 mai.
Toutefois, sauf coup de théâtre, il semble que le souci d'apaisement prime aujourd'hui : ni le gouvernement, ni les présidents d'université ne s'orientent vers des retenues salariales massives, comme celles qui, en 2003, avaient durablement traumatisé les grévistes de l'enseignement primaire et secondaire.

Dans les universités, la situation est confuse. Les obstacles sont nombreux pour appliquer les retenues salariales aux enseignants du supérieur. Encore faut-il que les grévistes soient recensés ou se déclarent eux-mêmes... Mais pour des personnes dont le temps d'enseignement se calcule sur l'année, une telle déclaration, "n'est pas pertinente" assure Jean-Louis Fournel, du collectif Sauvons l'université. Le principal syndicat du secteur, le Snesup-FSU, demande à ses adhérents, sur son site Internet, de ne pas remplir les formulaires de déclaration envoyés par les établissements.

"SANS ÉTAT D'ÂME"

Exemple parmi d'autres, l'université Lumière Lyon-II, très mobilisée depuis le début du conflit, a enregistré, pour 976 universitaires, 159 journées de grève en février, 24 en mars et aucune après. "Il n'y a pas d'obligation de se déclarer gréviste dans le supérieur", rappelle le responsable local du Snesup-FSU, Philippe Selosse, selon qui "personne n'a idée du nombre réel de grévistes qu'il y a eu". De premières retenues ont cependant été opérées sur les salaires d'avril.

A l'université de sciences sociales Toulouse-I, où 4 % de grévistes ont été décomptés selon Bruno Sire, son président, celui-ci déclare qu'il ne fait "rien d'autre qu'appliquer la loi, sans état d'âme". "Simple principe d'équité, ajoute-t-il, je ne vais pas dire au personnel administratif qu'il n'est pas payé et payer les enseignants-chercheurs !"

La bataille qui se profilait à l'université de Toulon n'aura pas lieu. Son président, Laroussi Oueslati, a annoncé, mardi 19 mai, qu'il reculait. Les lettres adressées le 11 mai à une quinzaine d'enseignants-chercheurs, les menaçant de retenir l'équivalent de 98 jours de salaire s'ils ne justifiaient pas de leur emploi du temps depuis le début du mouvement en février, "sont nulles et non avenues", a-t-il indiqué.

Certains présidents d'université impatients de voir la situation retourner à la normale, sont tentés de frapper les contestataires au portefeuille, afin, notamment de faire cesser les rétentions des notes du premier semestre, mot d'ordre lancé dès février par la coordination nationale des universités.

Selon le Snesup-FSU, les universités d'Amiens, Aix-Marseille-II, Lyon-I, Nancy-I, Nantes, Nice, Reims, Rennes-I ou Tours, ont employé ce type de "menaces". Avec les examens qui se profilent, il devient néanmoins urgent de réunir l'ensemble des notes pour les jurys de diplômes.

Pour récupérer ces données, le président de Toulouse-I indique avoir "envoyé une note de service stipulant que, conformément à la loi, une non exécution d'une obligation de service, était assimilable à un fait de grève, donc passible de la retenue d'un trentième de salaire". Aujourd'hui, dit-il, "toutes les notes ont été transmises".

A Lille-II (droit et santé) en revanche, dix enseignants refusent toujours de remettre ces notes. Une première lettre envoyée le 8 avril n'ayant pas eu l'effet escompté, le président a averti qu'à dater du 20 avril, il allait procéder à des retenues "pour service non fait".

"Pour ne pas pénaliser les étudiants, nous les avons informés de leurs notes, plaide Philippe Enclos, maître de conférence et responsable du Snesup-FSU. De même, nous avons décidé de repousser les délibérations des jurys en fin d'année. Mais le président a refusé de nous recevoir". Les enseignants concernés ont théoriquement perdu l'équivalent d'un mois de salaire, mais le président se déclare "prêt à discuter" une fois les notes rendues.

Christian Bonrepaux, Luc Cédelle et Philippe Jacqué
Commentaires du PNF:  Le laxisme de Sarkozy
Deux ans ont passé depuis l'élection de Nicolas Sarkozy au pouvoir. Et plus le temps passe, plus l'on se rend compte que Sarkozy a bien trompé tout son monde (au moins le monde de ses électeurs...) lors des élections présidentielles. Car il affiche un laxisme digne des gouvernements de gauche!
Sarkozy, bien trop occupé à être réélu en 2012, n'a pas défendu lors de ce conflit la majorité silencieuse des étudiants qui était contre le blocage des universités. Il affiche un laxisme scandaleux qui va coûter très cher à bon nombre d'étudiants, étudiants le plus souvent en bas de l'échelle sociale et n'ayant pas les moyens d'aller dans le privé, là où les cours ont réellement lieu...

17:03 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grève, laxisme |  Facebook | |

23/03/2008

Doubs: Kaled Zacharia condamné à la perpétuité pour viols avec tortures et actes de barbarie

BESANCON - La cour d'assises du Doubs, suivant les réquisitions de l'avocat général Hubert Bonin, a condamné vendredi à la réclusion à perpétuité accompagnée d'une peine incompressible de 22 ans Kaled Zacharia, pour viols avec tortures et actes de barbarie ayant entraîné une infirmité permanente.

1818871144.jpgAu cours de la nuit du 4 au 5 octobre 2004, vers 21h30, Kaled Zacharia, âgé alors de 19 ans, avait agressé une étudiante de 23 ans dans un parc de Besançon (Doubs). Il l'avait jeté du haut d'un escalier de pierre, lui brisant la colonne vertébrale. Sur un palier de pierre, il l'avait violée à plusieurs reprises alors qu'elle était devenue paraplégique, selon les experts. Ce n'est que vers 8h du matin que la jeune victime était secourue par une passante, intriguée d'entendre des gémissements.

L'étudiante avait pu fournir un vague signalement de son violeur. Une tentative d'agression sur une habitante de Planoise, peu après, avait permis à la police de l'arrêter.

Kaled Zacharia était arrivé de Mayotte, le 22 août précédent, pour vivre chez sa soeur. Bénéficiant d'une libération conditionnelle d'un juge d'application des peines de Mayotte, le jeune Mahorais avait été autorisé à se rendre en métropole. Dans son île natale, il avait été déjà condamné pour agressions sexuelles et vols. AP

22/08/2007

Enlèvement du petit Enis : des juges irresponsables et coupables

d91aa692ba6fe2b321ac8de4bc5dce6f.jpgLe Parti National Français dénonce l’attitude scandaleuse des juges dans l’affaire du pédophile Francis Evrard et de l’enlèvement du petit Enis. Francis Evrard, pédophile notoire et multirécidiviste, avait été condamné en 1989 à 27 ans de prison ferme, dont une peine " incompressible " de 18 années.

Le ou les juges incriminés, ont décidé, contre l’avis du parquet, de libérer 9 ans avant la fin de sa peine ce dangereux criminel, qui, comme chacun sait, a récidivé en séquestrant et violant le petit Enis quelques semaines seulement après sa sortie de prison. Comment peut-on accorder une remise de peine de 9 ans à un criminel pédophile multirécidiviste? Sous le prétexte qu’il s’est bien comporté en prison ? Ce n’est pas le cas puisqu’il a été condamné en 2003 pour trafic d’images pédophiles au sein même de la prison, où il avait accès à son ordinateur personnel. Par ailleurs, chacun sait que les pédophiles sont des individus à la personnalité plutôt faible qui ne sont pas du genre à jouer les caïds et à faire régner la terreur dans les prisons. Pour autant, leur comportement non violent en milieu carcéral n’est pas un gage contre le fait qu’ils recommencent à violer des enfants dès leur sortie de prison.

Autre point : la procureure de la République de Caen a affirmé que Francis Evrard avait effectué sa peine " jusqu’au bout "… Il faut comprendre en réalité que Francis Evrard a effectué seulement sa peine incompressible " jusqu’au bout "… Il a donc bénéficié du maximum de clémence de la part des juges qui ne pouvaient le libérer plus tôt, à moins de briser le concept d’incompressibilité de sa peine (ce qui est d’ailleurs possible juridiquement). Mais Francis Evrard devait rester en prison neuf années supplémentaires, et un juge a pris la responsabilité – contre l’avis du parquet, qui représente la société française – de lâcher prématurément dans la nature ce dangereux criminel.

Le Parti National Français considère donc que la première personne responsable de ce drame humain – le viol du petit Enis – est le juge qui a contre l’avis du parquet fait libérer Francis Evrard, neuf ans avant la fin de sa peine. Pour comprendre pourquoi les juges sont si complaisants avec les criminels, il faut lever un tabou bien français : celui des " juges rouges ".

En effet, la magistrature française est aujourd’hui aux mains de gauchistes idéologues qui " font la loi " (ou plutôt la défont…) dans notre pays. Ces " juges rouges " ne croient pas à l’utilité de l’enfermement des criminels pour protéger la société. Ils voient en chaque criminel une victime de la société, coupable de tous les maux.

Peut-on laisser les commandes du système judiciaire, et la défense de nos concitoyens, à ces juges libertaires qui ont leur propre agenda politique ? Assurément non. C’est pourquoi le Parti National Français demande qu’il y ait un système de notation et de sanction automatique des juges lorsqu’ils prennent des décisions contre l’avis du parquet qui mènent à des récidives et à des drames humains qui étaient évitables.

D’autre part, comme le système judiciaire est aujourd’hui corrompu, il ne peut pas être réformé efficacement de l’intérieur. Face à un tel système corrompu, seule une intervention extérieure peut être efficace. Il est donc nécessaire de divulguer les noms des juges responsables de la libération anticipée de criminels dangereux, pour informer la société française et tenter de responsabiliser ces " juges rouges ".