Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/08/2009

Groupe Bilderberg: flagrant délit de mensonge dans l'émission C Dans L'air


 

Yves Calvi: "Enfin, ça m'arrange..."

19 août 1953: Renversement de Mossadegh en Iran

mossadegh.jpgLe 19 août 1953, le Premier ministre du chah d'Iran, Mohammad Mossadegh (73 ans), est démis de ses fonctions sous la pression des Britanniques. Ces derniers l'accusent d'être à la solde des Soviétiques. Ils lui reprochent surtout d'avoir nationalisé les gisements pétroliers d'Iran.

L'enjeu pétrolier

Nationaliste farouche, Mossadegh arrive à la tête du gouvernement en avril 1951 avec la ferme intention de chasser les compagnies étrangères.

Il rejette une offre de l'Anglo-Iranian Oil Company de partager par moitié les profits tirés de l'exploitation du pétrole et, dès le 1er mai 1951, fait voter la nationalisation des puits iraniens et l'expropriation de l'Anglo-Iranian.

Il expulse dans la foulée les techniciens britanniques. Mais son pays manque cruellement de cadres qui pourraient les remplacer et n'a pas de pétroliers pour transporter le pétrole. Qui plus est, le Royaume-Uni menace en représailles de saisir les «bateaux pirates» transportant du «pétrole rouge».

Pour ne rien arranger, des experts français révèlent alors les colossales malversations de l'Anglo-Iranian : corruption massive, dissimulation de recettes....

Mossadegh rompt en octobre 1952 les relations diplomatiques avec Londres. La réaction internationale est immédiate : les marchés se ferment au pétrole iranien, occasionnant une grave crise dans le pays et un conflit aigu entre le Premier ministre et le souverain, Mohammed Réza chah Pahlévi (33 ans).

Un an de luttes à couteaux tirés

Mossadegh doit démissionner du poste de Premier ministre sous la menace d'un coup d'État militaire mais le peuple s'insurge en sa faveur et il reprend ses fonctions au bout de quatre jours d'émeutes sanglantes ! La confiance n'est pas pour autant restaurée entre le souverain et son Premier ministre. Un projet d'assassinat de celui-ci, conduit par le chah, des militaires et des ministres, échoue en mars 1953.

En août 1953, suite à un référendum qui donne quitus au gouvernement pour poursuivre les réformes, Mossadegh dissout le Majlis (le Parlement iranien) et annonce de nouvelles élections.

Mossadeghcoup.jpgMais le 16 août 1953, Mohammed Réza chah envoie ses gardes au domicile de son Premier ministre pour l'arrêter. Surprise ! les gardes de Mossadegh désarment ceux du roi... et ce dernier doit fuir son pays pour l'Italie dans la précipitation. Dans les deux jours qui suivent, les habitants de Téhéran manifestent bruyamment leur joie et déboulonnent les statues du chah et de son père, Réza chah Pahlévi (on écrit aussi Pahlavi), le fondateur de la dynastie.

Le chah déchu peut heureusement faire confiance aux services secrets occidentaux. La CIA américaine et le MI6 britannique apportent leur soutien au général Fazlollah Zahedi qui organise le 19 août un coup d'État dans les règles.

La résidence de Mossadegh est bombardée et le Premier ministre ne doit son salut qu'à une fuite par une échelle.

Le chah peut bientôt revenir et faire juger Mossadegh. Celui-ci est condamné à mort mais n'effectuera au final que trois ans de prison.

Les compagnies pétrolières retrouvent leurs biens et tout rentre dans l'ordre ! Un détail : L'Anglo-Iranian Oil Company devient la British Petroleum (BP).

L'éviction de Mossadegh consacre l'échec de la première tentative d'un pays du tiers monde d'acquérir la maîtrise de ses richesses naturelles. L'événement a nourri de profonds ressentiments chez les Iraniens jusqu'à la révolution islamiste de 1978.

René Castillon

Source: Hérodote http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=19530...

30/08/2009

«Nous les Français de souche, on a l’impression de vivre à l’étranger»

A Orgeval (Reims), la population française de souche ne se sent plus chez elle.

Les Français « classiques » se sentent de plus en plus mal à l’aise : «Les Maghrébins ont pris possession du quartier, font régner leurs lois et leur culture et nous n’avons plus qu’à nous taire ou à déménager. Moi, j’ai fait une demande pour changer de quartier », explique une locataire. « Les jeunes n’ont aucun respect pour nous. Je pense que si j’étais maghrébine, je serais mieux considérée. » À condition de porter le voile.

« Les Maghrébins ont pris possession du quartier, font régner leurs lois et leur culture et nous n’avons plus qu’à nous taire »

foulard poste.jpg« À Orgeval, une jeune fille qui se balade seule et sans voile est cataloguée comme salope par les jeunes. Les filles n’ont pas le droit de sortir avec un garçon ou alors en cachette. L’intégrisme n’est jamais loin et favorise des comportements d’intolérance », témoigne un ancien employé de la maison de quartier.

Sur un banc de la place de Fermat, un homme d’origine algérienne prend le pâle soleil de septembre. « Je suis arrivé en France à l’âge de 36 ans et j’en ai 86. La plupart des gens s’entendent bien et vivent bien ensemble. Le problème, ce sont les jeunes. Les jeunes, ça ne va pas. »

« Avec la vieille génération, on s’entend bien. Jamais aucun problème », raconte une « blanche ». « C’est la preuve qu’il n’y a pas de racisme là-dessous de la part des Français. En revanche il nous arrive, nous, de subir du racisme. L’autre jour, un groupe de Maghrébines descendait, l’une d’elles m’a adressé la parole, je n’ai pas compris ce qu’elle disait et elle m’a traitée de sale Française. »

« Il ne faut pas répliquer car sinon c’est la voiture qui brûle.»

Surtout, il ne faut pas répliquer car sinon « c’est la voiture qui brûle, l’appartement qui est cambriolé. Ils considèrent que le quartier leur appartient ».

Même la police n’aurait pas voix au chapitre : « Quand elle vient la police, les jeunes du quartier arrivent aussitôt à une centaine. À se demander d’où ils sortent… La police, elle, repart », affirment plusieurs habitants. « Jamais, ils ne feront d’efforts pour s’intégrer. C’est trop tard, on ne peut plus rien faire sinon partir. »
Une affiche est collée sur la porte du coiffeur pour dames. Impossible à comprendre, c’est écrit en langue arabe. « Ça veut dire qu’on fait des coupes pour les cérémonies », explique avec gentillesse la coiffeuse.
Dans les commerces, difficile de trouver du porc, que ce soit dans les boucheries ou encore à la boulangerie, où les pâtés en croûte champardennais sont introuvables. « Les commerçants, ils sont sympas avec tout le monde, français d’origine ou maghrébin d’origine mais s’ils mettent dans leur magasin un rayon pour les Français, ils risquent de perdre les Maghrébins alors ils ne le font pas. C’est comme ça. », explique Mohamed Zaïda, président de l’association des Algériens de la région qui a ses locaux à Orgeval.
Catherine Frey

« Jamais, ils ne feront d’efforts pour s’intégrer. C’est trop tard, on ne peut plus rien faire sinon partir. »

Le représentant des Algériens ne soutient pas la main mise d’une communauté sur un quartier. « Je ne trouve pas normal qu’une dame de 70 ans aille au Cora à pied pour trouver une bouteille de vin et une côte de porc parce que place de Fermat, il n’y a que nos produits. » (source)

Source: François de Souche

29/08/2009

L'immigration en Europe, les chiffres, les arguments

L’Europe est pour la première fois de son histoire un continent de migrants. 40 millions sont nés dans un autre pays. Plus de 10 % du total.

Comme le titre de son livre l'indique, Caldwell pense qu'une révolution est en train de balayer l'Europe. Dans un des passages les plus mémorables du livre, il se demande « si on peut avoir la même Europe avec un peuple différent », pour Caldwell « la réponse est non ». Incidemment, au Québec, l'immigration et l'euphémisme de diversité croissante ont servi de prétexte pour modifier la charte des droits de la personne et imposer le cours d'éthique et de culture religieuse.

Caldwell rappelle qu'en 1950, il n'y avait pratiquement pas de musulmans en Europe à l'exception des Balkans. En l'an 2000, il y en avait entre 15 et 17 millions : 5 millions en France, 4 millions en Allemagne et 2 millions en Grande-Bretagne. Comme les immigrants aux États-Unis, ils sont jeunes, citadins, prolifiques et surreprésentés dans les prisons. Quarante pour cent des enfants de Paris ont des parents immigrants, à Londres un huitième des habitants sont musulmans. Cinquante pour cent des prisonniers français sont musulmans. À Turin, les immigrants représentent 10 % de la population mais seulement 0,2 % des décès et 25 % des naissances. Les musulmans qui arrivent en Europe font en moyenne plus d'enfants que ceux qui restent au pays, le même phénomène s'observe chez les Mexicains ayant émigrés aux États-Unis.

L’effet de taille compte énormément, écrit Christopher Caldwell, éditorialiste au Financial Times. On dénombre 15 à 17 millions de musulmans en Europe. C’est unique dans l’histoire. Et cette immigration constitue le plus grand problème que rencontre l’Europe. Il est frappant de constater le manque de confiance de la démocratie, sa plus importante valeur morale, à le traiter, écrit-il.

Si l’Europe accueille davantage d’immigrants que ses citoyens ne le souhaitent, c’est une bonne indication que la démocratie fonctionne mal. Dans ce contexte de « confrontation avec l’islam », il dépeint des Européens de souche qui « se sentent exclus chez eux, victimes d’une OPA culturelle » et propose ses propres pistes.

L’islam a brisé bien des habitudes, structures et institutions de l’État. L’immigration, à travers sa main-d’œuvre bon marché, peut être bénéfique à l’économie privée. Pour l’État, c’est différent. Les prestations aux immigrés et à leurs familles dépassent leurs contributions. En Allemagne, les indigènes de 20 à 65 ans paient davantage de contributions qu’ils ne font appel aux prestations sociales. Les Turcs d’Allemagne ne le font qu’entre 28 et 57 ans. La tendance n’est pas encourageante. Entre 1971 et 2000, le nombre de résidents étrangers en Allemagne a explosé de 3 à 7,5 millions, mais le nombre d’étrangers actifs s’est maintenu à 2 millions !

« La Grande-Bretagne reçoit un demi-million de nouveaux immigrés extra-communautaires tous les ans » et déjà environ 80 « tribunaux islamiques » autorisés à résoudre des controverses par la charia, y sont à l'œuvre.

En Norvège, on a assisté à un cas d'intégration à rebours : toutes les élèves d'une école ont mis le voile, convaincues d'être plus mignonnes ainsi.

On soutient que les immigrés « sont une ressource » parce qu'ils font les travaux que les européens ne veulent plus faire. Au contraire, « avec leurs bas salaires, ils maintiennent souvent temporairement en vie des postes de travail de toute façon destinés à disparaître (…) à cause du progrès technologique et de la disponibilité de produits à coûts mineurs provenant de Chine ».

[Notons que ces bas salaires sont également le fait des immigrés au Canada et qu'on ne peut partager l'optimisme de MM. Bouchard et Taylor qui pensent que la sélection des immigrants empêchera au Québec de connaître les affres de l'immigration européenne. D'une part, près de la moitié des immigrés au Canada ne sont pas sélectionnés selon des critères économiques, il s'agit de réfugiés et de personnes qui immigrent au nom du regroupement familial. D'autre part, rappelons, en effet, que près du tiers des Maghrébins au Québec, le gros de la nouvelle immigration en hausse qu'encourage le gouvernement du Québec, est au chômage ! En outre si, en 1980, les nouveaux immigrants de sexe masculin qui avaient un revenu d'emploi gagnaient 85 cents pour chaque dollar de revenu d'emploi des hommes nés au Canada. En 2005, ils n'en gagnaient plus que 63. Chez les nouvelles immigrantes, les chiffres correspondants étaient de 85 cents et de 56 cents respectivement. Enfin, les choses ne s'améliorent pas pour tous les immigrants de deuxième génération. En effet, selon une étude récente de Statistiques Canada, toutes choses étant égales par ailleurs, certains hommes de minorités visibles dont les deux parents sont immigrants semblaient avoir un désavantage significatif au chapitre des gains comparativement à leurs pairs dont les parents sont nés au Canada.]


De plus en plus, lorsque les immigrés se naturalisent, ils ne veulent plus faire certains travaux.

On dit aussi que ce sont les immigrés qui vont « payer nos retraites ». Mais « en général, ils font des travaux peu rémunérés, leurs contributions sont donc relativement basses ». Ajoutons que « eux aussi vieillissent et deviennent retraités. En outre, très vite, ils ont des problèmes de santé que les assurances sociales doivent prendre en charge ». Sans compter que « en Allemagne et en France 70% des immigrés extra-communautaires ne travaillent pas - soit parce qu'ils sont trop jeunes, soit parce qu'ils sont au chômage donc ils ne payent pas de cotisations, alors qu'ils constituent un coût pour le système de protection sociale ».

[Voir aussi pour le Canada Immigration et population vieillissante]


En somme, rien ne permet de conclure « qu'il soit moins coûteux pour l'Europe d'accueillir des millions d'immigrés extra-communautaires plutôt que de destiner les mêmes ressources à les aider dans leurs pays d'origine ».

Cela vaut aussi pour les diplômés originaires du Tiers-monde : « en faisant ainsi, on soustrait aux pays d'origine justement ces élites qui leur seraient indispensables pour sortir du sous-développement ».

En outre, l'Europe [et le Québec] « est tellement plongée dans le relativisme qu'elle n'a vraiment pas les idées claires sur la culture qu'elle veut défendre et proposer aux immigrés. Il semble que les réactions se produisent dans un seul domaine, qui comprend le féminisme et les droits des homosexuels ».

Ainsi, nous le rappelle Caldwell, les Pays-Bas ont décidé « de proposer aux nouveaux immigrés les « valeurs hollandaises » résumée dans une vidéo qu'ils doivent obligatoirement voir. On y voit, entre autre, deux homosexuels qui échangent des effusions en public et une baigneuse "topless". Il n'est pas certain que la majorité des Néerlandais se reconnaissent dans ces valeurs. Pour contre, il est très certain que la vidéo confirmera les immigrés musulmans dans leur sentiment de supériorité par rapport à l'Occident décadent. Dans d'autres Pays les cours sur la citoyenneté proposés aux immigrés exaltent le droit à l'avortement ».

L’immigration et l’État social se marient mal. « Une fois que les immigrés comprennent le système d’État social, ils peuvent changer les objectifs des assurances sociales. Au lieu de dépenser les prestations sociales, par exemple en nourriture, l’argent peut financer l’islam. Les deux tiers des imans en France sont à la sécurité sociale », explique Caldwell.

Certes la gestion cohérente des flux de population n’est pas aisée avec une économie globale complexe et les conséquences culturelles qui en résultent. Il ne s’agit pas seulement d’importer des facteurs de production, mais aussi le changement social. Car avec l’immigration de masse, la diversité, la tolérance, le sécularisme sont mis à rude épreuve.

Ces 20 dernières années mettent en lumière l’absence d’assimilation. Caldwell observe même une détérioration avec les nouvelles générations. Des zones de non-droit émergent dans les banlieues. Nicolas Sarkozy est le seul chef d’État à condamner les responsables d’émeutes dans les banlieues et non pas le manque de générosité à leur égard. Ce n’est pas à des délinquants de déterminer l’agenda politique. Caldwell approuve avec force. Mais est-il trop tard ? Les lois sur la tolérance ont commencé à profiter aux intolérants, dit-il.

Caldwell s’en tient aux faits : 19 % des Européens pensent que l’immigration est bonne pour leur pays. Les autres ne sont pas devenus moins généreux envers les immigrés. « Simplement, ils paient la facture ». Beaucoup d’Européens sont à la recherche d’une vie meilleure, comme les immigrés. Mais, contrairement à ces derniers, « ils n’ont pas voulu le changement », explique l’auteur. Ils sont pourtant expulsés de la culture de leurs parents. Certaines de leurs traditions sont parfois rejetées sous prétexte que les immigrés musulmans pourraient se sentir exclus. La réciprocité des pays musulmans à l’égard de religion chrétienne n’est pourtant de loin pas garantie.

Pour l’auteur, l’histoire de l’Europe est, depuis la Seconde Guerre mondiale, une histoire d’émancipation à l’égard des États-Unis. La création de l’Union européenne s’inscrit dans ce contexte. La solution à l’immigration de masse risque toutefois d’obliger l’Europe à suivre l’exemple américain. Les États-Unis sont, en théorie, libres, ouverts et occidentaux. En pratique, « l’Amérique exerce des pressions dignes de Procuste sur les immigrés pour qu’ils se conforment à leur système. Ce sont ces pressions et non son ouverture qui font des Etats-Unis un peuple ». L’immigré peut maintenir sa culture ancestrale, mais « si elle l’empêche de parler l’anglais ou d’être à l’heure au travail, il aura faim. Il rentrera dans son pays et personne ne le regrettera ». Le modèle américain ne peut toutefois être transposé intégralement. Il résulte de conditions historiques particulières et d’une réforme du système pénal, sous Nixon, destiné à lutter plus férocement contre la drogue. De plus, l’Amérique compte seulement 2 millions de musulmans.

« Le problème de base avec l’islam et avec l’immigration tient au fait que les communautés les plus fortes en Europe ne sont pas des communautés européennes », selon Caldwell. Ce problème existe malgré le multiculturalisme des Pays-Bas et la laïcité de la France. L’islam est une religion magnifique, mais ce n’est pas la religion de l’Europe et ce n’est en aucune manière la culture européenne. Il est certain que l’Europe sortira changée de la confrontation.

Quand une culture malléable, incertaine et relative rencontre une culture confiante, bien ancrée, renforcée par des doctrines communes, c’est la première qui s’adapte à la seconde.

Reflections on the Revolution In Europe: Immigration, Islam, and the West
par Christopher Caldwell
432 pages
Doubleday (juillet 2009)
ISBN-10: 0385518269
ISBN-13: 978-0385518260

 

Source: http://pouruneecolelibre.blogspot.com/2009/08/limmigration-en-europe-les-chiffres-les.html

23:51 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, europe |  Facebook | |

L'AIEA a démontré le caractère civil du nucléaire, clame Téhéran

L'Iran estime que le rapport de l'AIEA sur son programme nucléaire fait la preuve de son caractère pacifique et entend résister aux tentatives de le faire renoncer à ces activités, rapporte l'agence Fars.

L'Agence internationale de l'énergie atomique a noté vendredi dans un rapport que l'Iran avait légèrement réduit l'expansion de son programme et accédé à certaines demandes de surveillance.

Les craintes concernant la recherche de la bombe atomique demeurent crédibles, a cependant souligné l'institution, dont le document servira de base à la réunion, mercredi, des six puissances qui dialoguent avec l'Iran sur ce dossier.

"Le rapport insiste (...) sur le fait que les activités nucléaires de l'Iran sont pacifiques", a déclaré l'émissaire iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, à l'agence semi-officielle Fars.

"Il montre que l'Iran poursuit sa coopération avec l'agence (...) mais qu'il n'acceptera pour autant pas de pression politiques visant à lui faire adopter des mesures dépassant ses engagements légaux", a-t-il ajouté.

Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de chercher à se doter d'un arsenal atomique, ce dont l'Iran s'est toujours défendu, affirmant avoir pour seul objectif la production d'électricité.

Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont jugé vendredi, au vu du rapport de l'AIEA, que la République islamique ne coopérait toujours pas pleinement avec l'agence onusienne.

Ces deux pays, ainsi que la France et l'Allemagne, tenteront mercredi de convaincre la Chine et la Russie d'adopter de nouvelles sanctions contre l'Iran, mais les conclusions mitigées de l'AIEA pourraient miner leurs efforts.

Les Occidentaux réclament la suspension des activités d'enrichissement de l'uranium et le président américain Barack Obama a donné jusqu'en septembre à Téhéran pour ouvrir des négociations directes sur cette question.

23:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nucléaire civil, iran |  Facebook | |

Sociétés secrètes ou "confréries" aux Etats-Unis: la Skull and Bones

(l'Express, 27/09/2004) Confrérie la plus influente du pays, Skull and Bones («Crâne et os») est aussi un club très fermé. Les deux candidats à la présidentielle en sont membres

Certains l'affirment, le maître du monde n'occupe pas la Maison-Blanche. Il résiderait, selon eux, sur High Street, dans un mystérieux édifice aveugle, à New Haven, à une heure et demie au nord de Manhattan. Ce bâtiment en pierre, en bordure du campus de Yale, la célèbre université, porte un nom que l'on dirait inventé par le comte Dracula: The Tomb. C'est là que se réunissent les membres de la société la plus secrète des Etats-Unis, Skull and Bones («Crâne et os»). Depuis sa fondation, en 1832, cette organisation est restée dans l'ombre. Jamais aucun de ses membres n'a parlé. Aucun n'a jamais admis, même à ses proches, faire partie de ce club très sélect. La règle est d'airain: si quelqu'un évoque le simple nom de l'organisation en présence d'un «Bonesman» (le nom donné à ses membres), celui-ci doit sortir de la pièce. Pourtant, depuis quelques semaines, les projecteurs sont braqués sur «la Tombe»: les deux candidats à la présidence des Etats-Unis en sont, en effet, membres, John F. Kerry depuis 1966, George W. Bush depuis 1968. «C'est la société secrète la plus influente dans ce pays, affirme l'écrivain Ron Rosenbaum, auteur d'une enquête sur le sujet. Trois des cinq derniers présidents étaient des Skull and Bones.

Ceux qui ont forgé le caractère de l'Amérique depuis qu'elle n'est plus une puissance mineure ont eux-mêmes été formés dans cette crypte. A une époque où tout ce qui pouvait être caché a été mis au jour, ces murs détiennent les derniers secrets qui existent encore dans ce pays.» A cause du mystère qui l'enveloppe et qu'elle entretient avec soin depuis cent soixante-douze ans, Skull and Bones est l'objet de rumeurs et de craintes. On redoute son pouvoir occulte, la puissance du lien qui unit tous ses membres. «Il n'y a pas de conspiration. C'est une société qui ressemble à ce que les Anglais appellent le «Old Boys Network», le réseau d'hommes qui ont fréquenté Eton, Oxford, Cambridge et qui, très tôt dans la vie, ont noué des liens. Plus tard, ils peuvent se donner un coup de main», explique Rosenbaum. «La seule et unique raison de l'existence de cette société, renchérit Alexandra Robbins (Secrets of the Tomb, éd. Little, Brown & Company), c'est de placer ses membres à des postes d'influence.» Avec quelque succès. On compte dans ses rangs trois présidents, deux juges de la Cour suprême, un patron de la CIA, une multitude de sénateurs et même des acteurs, sans compter les hommes d'affaires. George Bush, dont le père, le grand-père et le cousin sont aussi des Bonesmen, a choisi pour son cabinet et certains postes importants de la diplomatie nombre de ses «frères», comme Evan Galbraith, ex-ambassadeur en France, aujourd'hui représentant en Europe du secrétaire à la Défense, ou bien le responsable de la Securities and Exchange Commission, le gendarme de la Bourse, ou encore le directeur adjoint du groupe des conseillers économiques. La «Confrérie de la mort» (The Brotherhood of Death), comme la société aime se nommer, a été dominée par les noms les plus éminents de l'establishment américain et les grandes fortunes - Bush, Harriman, Phelps, Rockefeller, Taft, Whitney. «Il est un peu ahurissant qu'un club de seulement 800 membres vivants en compte tant à des postes clefs», constate Robbins. Pas étonnant, alors, que George Bush, comme son père et son grand-père avant lui, se soit adressé à un ancien de Skull and Bones - Robert Gow - pour trouver son premier emploi. Et, quand il a fondé son entreprise, son oncle a trouvé 28 investisseurs pour mettre la main au portefeuille, dont le plus généreux était également un «affranchi». John Kerry, dont les liens avec ses frères Bonesmen restent étroits - le frère de sa première femme, l'un des responsables de sa campagne présidentielle, était lui-même un Bonesman - ne s'est pas servi de son réseau pour construire sa carrière. Mais il apprécie, selon Alexandra Robbins, l'amitié qui lie tous les membres et surtout la liberté de se laisser aller, de parler librement en sachant que rien ne sera jamais révélé.

Skull and Bones, dont l'emblème ressemble au drapeau des pirates des Caraïbes - un crâne au-dessus de deux tibias croisés - a été fondé (les faits, comme tout ce qui touche à cette société, demeurent un peu mystérieux) par un certain William Huntington Russell, étudiant à Yale. Il aurait rapporté cette idée d'Allemagne en 1832. Le club s'inspire d'une pure légende. Lorsque l'orateur grec Démosthène mourut, en 322 avant Jésus-Christ, Eulogia, déesse de l'éloquence, monta au ciel. Selon la mythologie de Skull and Bones, la déesse serait revenue sur terre et aurait désormais établi sa résidence parmi les membres de ce club. Pour cette raison, le nombre 322 est sacré pour les Bonesmen: par exemple, c'était la combinaison de l'attaché-case dans lequel Averell Harriman, ambassadeur des Etats-Unis en URSS, transportait les dépêches ultraconfidentielles entre les deux gouvernements. John Kerry l'utilise encore comme code.

Personne ne peut décider de devenir membre de Skull and Bones. Il faut être choisi. «Toute sa vie, l'écrivain John O'Hara est resté amer de ne pas avoir été initié», raconte l'écrivain Adam Gopnik. Chaque année, en avril, sur le campus de Yale, 15 étudiants de troisième année sont désignés par une simple tape sur l'épaule. «Skull and Bones recherche des étudiants qui ont montré des qualités de leader - le capitaine de l'équipe de football de Yale, le rédacteur en chef du journal étudiant, par exemple - explique l'historien de Yale Gaddis Smith. George Bush a été choisi à cause de sa famille, associée à cette organisation depuis longtemps.» Si l'étudiant accepte de rejoindre la confrérie, ordre lui est intimé de se rendre le lendemain à High Street en n'ayant sur lui «ni métal, ni soufre, ni verre». L'initiation, très théâtrale, consiste en deux soirées: au cours de la première, les futurs «chevaliers» doivent narrer par le menu devant l'assemblée - qui compte des femmes depuis 1991 - leur histoire sexuelle. Lors de la seconde, les nouveaux font le récit de leur vie. Chaque initié reçoit un nom ou s'en choisit un. George Bush, incapable d'en trouver un, fut affublé de celui de «Temporary», qui lui est resté. On ne connaît pas le surnom de Kerry. «Ces séances sont prises très au sérieux, raconte Alexandra Robbins. Chacun dispose d'une soirée entière pour se raconter. La principale occupation, à Skull and Bones, est de parler.» Parfois, les anciens qui occupent des postes importants dans le gouvernement viennent dans la Tombe discuter de leurs dossiers, même les plus confidentiels. Les membres de Skull and Bones se retrouvent au dîner, tous les jeudis et tous les dimanches, lorsque la nuit est tombée, afin que personne ne les repère. «Ces rituels et cette obsession de notre mortalité servent à rappeler aux jeunes bourgeois que la vie est courte et qu'ils ont donc intérêt à en faire quelque chose», explique Rosenbaum. Chaque nouvel arrivant reçoit une somme importante - on en ignore le montant exact - dont il dispose à sa guise. Il peut aussi se réfugier lorsqu'il le souhaite sur Deer Island, l'île privée offerte à la société par un riche Bonesman.

Toutes les grandes universités américaines possèdent des sociétés secrètes. Ainsi, à Yale, les concurrentes de Skull and Bones sont Berzelius ou bien Scroll and Key. Bob Woodward, journaliste au Washington Post, est membre de Book and Snake. C'est pour cette raison que l'on a longtemps soupçonné deux condisciples de Book and Snake, membres influents de l'équipe de Richard Nixon, d'être la fameuse «Gorge profonde», son informateur clef dans l'affaire du Watergate. Ce qui est certain, c'est que Skull and Bones a été l'un des réservoirs importants de la CIA. «A l'époque de Bush et de Kerry, raconte Alexandra Robbins, l'agence était connue comme «l'employeur de dernier recours». Bush père en a d'ailleurs été directeur. Si vous ne pouviez pas trouver un travail ailleurs, il y avait toujours la CIA.» Parmi les hommes qui ont façonné la politique extérieure des Etats-Unis depuis un siècle, un grand nombre - Henry Stimson, secrétaire à la Guerre de Roosevelt, l'ambassadeur Averell Harriman, ou bien encore McGeorge Bundy, conseiller pour la Sécurité de John Kennedy - faisaient partie de Skull and Bones. Quel que soit le résultat de la prochaine élection, l'organisation est sûre d'une chose: le prochain occupant de la Maison-Blanche sera l'un des siens.

Source: l'Express

Le comité Léger prône la fin du juge d'instruction

Le rapport du comité Léger sur la réforme de la justice pénale recommande la suppression du juge d'instruction voulue par Nicolas Sarkozy sans donner au parquet son indépendance, révèle le Journal du dimanche.

L'hebdomadaire publie dans son édition de samedi les conclusions de ce rapport qui sera remis mardi au président français sur un dossier très sensible pour la magistrature.

Le comité, qui porte le nom de Philippe Léger, un haut magistrat à la retraite, estime que la fonction de juge d'instruction, inamovible et indépendant, doit disparaître.

"Il cumule les fonctions d'un juge avec celles d'un enquêteur. En d'autres termes, il n'est pas totalement juge, et pas totalement enquêteur", tranche le rapport selon le JDD, qui dit avoir eu accès à l'intégralité du texte.

Tous les pouvoirs d'enquête seraient donc confiés aux seuls procureurs, qui resteraient hiérarchiquement soumis au ministre de la Justice. L'idée de leur accorder leur indépendance pour compenser la suppression du juge d'instruction est abandonnée.

Le comité Léger suggère toutefois que les enquêtes pénales se déroulent à l'avenir sous le contrôle d'un "juge de l'enquête et des libertés" qui serait notamment chargé d'autoriser les mesures "les plus attentatoires aux libertés", comme les perquisitions et les écoutes téléphoniques.

L'Union syndicale des magistrats et le Syndicat de la magistrature avaient vivement critiqué le projet annoncé en janvier dernier par Nicolas Sarkozy, estimant que les procureurs dépendant de l'exécutif enterreraient les affaires sensibles.

Le député socialiste André Vallini, ancien président de la commission Outreau, un scandale judiciaire dans lequel un juge d'instruction avait été accusé de s'acharner contre des personnes détenues préventivement pour des accusations fantaisistes de pédophilie, s'est ému de ces conclusions.

"REPRISE EN MAIN"

Il juge "regrettable" dans le JDD que le comité Léger n'ait pas suivi la piste de l'instruction menée collégialement, qui avait été prônée à l'unanimité par cette commission.

André Vallini estime que la suppression du juge d'instruction constitue un danger pour l'indépendance de la justice puisqu'il sera remplacé par un procureur "membre du parquet aux ordres du gouvernement".

Le juge Renaud Van Ruymbeke, qui a instruit de nombreuses affaires sensibles pour le pouvoir, estime quant à lui que cette réforme pourrait signifier la fin de telles enquêtes.

"On assiste à une reprise en main par le pouvoir politique de l'action pénale", estime-t-il en parlant de "régression des libertés publiques".

Michèle Alliot-Marie avait assuré vendredi à Bordeaux que la suppression programmée du juge d'instruction s'accompagnerait de garanties supplémentaires pour les victimes et la défense.

"Il serait inexact de réduire cette réforme à la suppression du juge d'instruction alors qu'elle garde un équilibre entre les droits de la défense et la nécessité de l'action publique", avait déclaré la ministre de la Justice.

Elle avait également dit que prétendre que cette réforme faciliterait l'intervention du pouvoir politique, "c'est ignorer la situation. Faire disparaître une affaire dans la société française c'est devenu aujourd'hui impossible".

Selon le JDD, le comité Léger avance aussi des propositions pour simplifier les procédures, tout en renforçant les droits des victimes et des personnes mises en cause.

Des mesures pour limiter les gardes à vue et raccourcir la détention provisoire sont notamment prônées, de même que l'allègement des procès d'assises quand l'accusé reconnaît sa culpabilité.

Source: Reuters

Eunice Barber n’aime pas les Blancs

Posté le 2 décembre 2008, sur FDS

A l’origine de cette « affaire », une simple infraction au Code de la route : Eunice Barber s’engage dans une rue interdite à la circulation. Refus d’obtempérer, rébellion et outrage. Les policiers l’accusent d’avoir mordu deux agents et d’avoir traité une fonctionnaire de « sale Blanche ».

Le tribunal n’a retenu aucune faute de la part des fonctionnaires de police, et condamné la championne à 5.000 euros d’amende. La double championne du monde devra en outre indemniser les six policiers. (source) (via Ribeliu)

Source: http://www.fdesouche.com/articles/13618

Taxe carbone: Duflot tacle Royal

La secrétaire nationale des Verts Cécile Duflot s'en est vivement prise samedi à Ségolène Royal, sans la nommer, pour avoir critiqué la taxe carbone et demandé vendredi au gouvernement de renoncer" à cette taxe "absurde" et "injuste".

Invitée de l'université d'été du PS à La Rochelle, Cécile Duflot a estimé que "toutes celles et tous ceux qui s'aventurent à critiquer dans son principe et dans ses fondements la fiscalité écologique ne sont que des démagogues face au mur de la réalité".

"Cette fiscalité écologique, cette contribution climat énergie (CCE) devra être, doit être la première pierre d'une nouvelle redistribution, d'un partage des risques parce que ceux qui polluent plus, ce ne sont pas les plus démunis". Ces derniers "devront recevoir le produit intégral de cette taxe pour transformer leur mode de vie".

Sur ce point, la ministre de l'Economie Christine Lagarde assure dans "Le Monde" daté de dimanche que l'instauration de la CCE se fera pour les ménages "à prélèvements obligatoires constants". "Nous apporterons des compensations aux ménages fragiles qui seront les plus touchés par la réforme", assure-t-elle. "Ma conviction est qu'il faut redistribuer intégralement aux ménages le produit de la contribution climat-énergie qu'ils supporteront".

Et d'affirmer que l'intention du gouvernement "n'est pas d'alourdir le fardeau fiscal (...) mais de modifier en profondeur notre système fiscal".

Intervenant vendredi à l'université du PS, Ségolène Royal avait fustigé l'idée de la taxe carbone, parlant d'un "impôt absurde, un impôt injuste, un impôt historiquement décalé dans le temps, un impôt insupportable pour toutes celles et tous ceux qui n'ont pas le choix entre acheter un véhicule polluant, puisqu'il n'y a que ça sur le marché, ou acheter une voiture électrique parce qu'à cause de la faiblesse de la politique gouvernementale industrielle, celle-ci n'est pas encore fabriquée en grand nombre".

Mais, pour Céline Duflot, "l'écologie, c'est pas pour les bobos". "L'écologie, c'est un projet qui anticipe que demain ce seront les prolos qui paieront le plus la facture de la crise que nous sommes en train de connaître", a-t-elle déclaré samedi. "L'écologie, c'est assumer que cette facture sera encore plus lourde pour les plus fragiles parce que des dirigeants auront choisi, consciemment ou non, hypocritement ou non, de fermer les yeux". AP

19:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : climat, taxe |  Facebook | |

Codex alimentarius

Le Codex Alimentarius est un programme commun de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) consistant en un recueil de normes, codes d'usages, directives et autres recommandations relatifs à la production et à la transformation agro-alimentaires qui ont pour objet la sécurité sanitaire des aliments, soit la protection des consommateurs et des travailleurs des filières alimentaires, et la préservation de l'environnement.

monsanto-1.jpg

 

La Commission du Codex Alimentarius, en est l'organe exécutif. Cette organisation internationale, où siègent les représentants de près de 200 pays, a été créée en 1963 par la FAO et l'OMS. Elle est chargée d'élaborer des normes alimentaires, des définitions et des critères applicables aux aliments, de contribuer à leur harmonisation et donc, notamment, de faciliter les échanges internationaux. Elle joue un rôle prépondérant dans la normalisation alimentaire mondiale et a été reconnue à ce titre par les accords de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en 1994 sous réserve que ses prescriptions n'entravent pas les échanges si elles ne sont pas suffisamment scientifiquement étayées.

Controverse

Quelques personnalités médicales controversées, comme le docteur Matthias Rath[1] , [2] pensent que le codex alimentarius ne sert pas les intérêts des consommateurs mais plutôt ceux des grandes multinationales de l'industrie agroalimentaire, de la pharmacie, de la chimie ou de la biotechnologie[3] en indiquant par exemple que le codex a permis à au moins 8 pesticides interdits (aldrine, dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT), polychlorobiphényle (PCB), endrine, dieldrine, hexachlorobenzène, chlordane) d'être à nouveau autorisés[réf. nécessaire] ou que le codex recommande que le bétail soit traité aux antibiotiques, et à l'hormone de croissance commercialisée par Monsanto.

Source: Wikipédia