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Le Bloc Identitaire appelle au lancement d’un « Collectif des Mâles Blancs »
D’ores-et-déjà, le Bloc Identitaire appelle au lancement d’un « Collectif des Mâles Blancs », ces individus qui, aux yeux d’AREVA, ont le tort d’être des hommes et d’être des blancs. Il invite tous les « mâles blancs » de ce pays à appeler Areva pour demander des explications au sujet du dérapage de sa présidente.
Standard d’AREVA : 01 34 96 00 00.Vous pouvez laisser votre message à un standardiste. Vous pouvez aussi demander Josseline de Clausade, secrétaire du Directoire d’AREVA.
Pour appeler AREVA et dire ou faire dire à sa présidente tout ce que vous pensez de ses déclarations racistes :Mais vous pouvez aussi interroger les trois « hommes blancs » de ce Directoire : Gérald Arbola, Didier Benedetti, Luc Oursel.
Lettre envoyée par un de nos lecteurs à la HALDE. Le nom et la signature ont été supprimés :
C’est avec une immense tristesse que j’ai entendu au cours du journal télévisé de 20 h de France2 du 16 octobre 2009 les propos affligeants de Mme Anne Lauvergeon, présidente du groupe Areva.
Face à un journaliste, celle-ci révèle la politique de recrutement d’Areva et déclare pour se faire qu’ « A compétence égale, eh bien désolée, on choisira … la femme, ou on choisira la personne venant de… enfin autre chose que le mâle blanc pour être claire ».
Cette déclaration est manifestement une atteinte à l’ordre public en ce que la politique de recrutement d’Areva est ouvertement et doublement discriminatoire: d’une part pour les personnes du sexe masculin et d’autre part pour les leucodermes, les personnes de race blanche.
La rupture de l’égalité des citoyens face à la loi se caractérise par une ségrégation sexuelle et raciale sur le plan professionnel excluant ainsi les hommes blancs d’accéder à un emploi chez Areva si ceux-ci n’ont pas des compétences supérieures aux autres groupes. La rupture de l’égalité est indubitablement caractérisée.
Je rappelle que les principaux critères prohibés par la loi selon la Halde sont notamment la discrimination résultant du sexe ou des caractéristiques génétiques.
En l’espèce, Mme Anne Lauvergeon serait donc coupable de ces deux infractions.
En tant que mâle blanc inscrit au Pôle emploi et donc à la recherche d’un emploi, je me sens directement victime d’une telle politique discriminatoire qui limite mon droit à accéder à un emploi. J’estime donc inutile de postuler chez Areva n’ayant que des chances fort limitées d’être embauché.
Sur le plan civil, j’estime avoir subi un préjudice puisqu’il y a manifestement une perte d’une chance à l’accès à un emploi dans la société Areva.
Je demande qu’une enquête soit ouverte pour évaluer les responsabilités pénales et éventuellement civile de Mme Anne Lauvergeon dans cette affaire.
Je me sens discriminé et trahi dans mon propre pays. Pays qui a donné la liberté totale aux femmes sur tous les plans.
Mme Anne Lauvergeon en tant que femme et présidente d’un fleuron de l’industrie française disposant de revenus complétement disproportionnés par rapport au reste de ses concitoyens est pour ma part ingrate vis-à-vis de ceux qui lui ont permis d’accéder à cette fonction. Si la politique de recrutement qu’elle a mis en place s’était appliquée à l’inverse de ce qu’elle préconise, elle ne disposerait certainement pas de cette fonction au combien prestigieuse.
J’espère que la Halde et le Parquet se saisiront de cette affaire ne laissant pas impunis ces propos de haine raciale et sexuelle.
Les Institutions de la Nation ne peuvent certainement pas guérir Mme Anne Lauvergeon de ses dérives psychologiques définies comme mysandrie, racisme anti-blanc et masochisme, mais peuvent et doivent sanctionner les infractions à la loi de cette dernière, compte tenu également de son rôle social de part sa position professionnelle.
Je n’ai aucun doute sur le fait que des mesures judiciaires, on ne peut plus énergiques, auraient été prises à l’encontre d’une personne qui aurait déclaré: « A compétence égale, eh bien désolée, on choisira … l’homme, ou on choisira la personne venant de… enfin autre chose que la femme noire (par exemple) pour être claire »
"Je considère que le lobby juif, pas seulement en ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes, et je tiens à le dire publiquement."
Raymond Barre, Interview sur France Culture (Février 2006)
« Hé bien non. Je regrette. On ne devient pas français en naissant sur le sol français, de la même manière qu’un petit de Français de souche ne naitra pas chinois en naissant sur le territoire de la Chine.»
Jean Sarkozy, fils du chef de l'État français, a été élu administrateur de l'établissement public qui gère le quartier d'affaires de la Défense, le plus important d'Europe.
L'assemblée départementale des Hauts-de-Seine, où l'UMP et le Nouveau centre disposent de 30 sièges sur 45, l'a élu en remplacement d'Hervé Marseille, qui a démissionné dans le but, selon la gauche, de laisser la place au fils du président.
Il a obtenu les trente voix de la majorité contre 15 à la candidate de la gauche, Nadine Garcia.
Il devait s'agir initialement de la première étape vers la présidence de l'Établissement public d'aménagement de la Défense (Epad), qu'il devait briguer le 4 décembre.
Mais Jean Sarkozy, bachelier de 23 ans, a finalement annoncé jeudi soir qu'il renonçait, après deux semaines d'une vive polémique.
Avec l'affaire Jean Sarkozy et l'éloge de la méritocratie prononcé mardi 13 octobre à l'Elysée par le président à l'occasion d'un discours consacré la réforme des lycées, nous atteignons sans doute la limite acceptable de la distorsion entre les paroles et les actes. Nicolas Sarkozy fait-il preuve d'un cynisme sans borne? Ou bien est-ce son discours, en général, qui n'a plus de prise sur la réalité?
Je pencherais plutôt pour la deuxième hypothèse. Pour Nicolas Sarkozy, le discours politique est l'acte politique par excellence. Le discours politique est, la plupart du temps, performatif. Je dis donc je fais. Quand le président dit qu'il nomme telle personnalité la tête de telle direction de l'administration c'est fait, c'est en soi un acte politique. Mais le champ du discours-action, s'il est très étendu pour un homme politique qui veut le pouvoir (les promesses sont des actes politiques qui changent les donnes), se réduit quand il faut exercer le pouvoir.
Dans l'opposition le verbe est, la plupart du temps action. ne dit-on pas que le leader de l'opposition exerce le «ministère du verbe»? La plus grande partie du champ d'action d'un Président en exercice n'est plus performative: «je veux que le chômage baisse». Il ne suffit pas de le dire pour que cela arrive. Ou alors il faut une autorité naturelle hors du commun. Le général de Gaulle pouvait dire en 1958 aux Algérois: «Je vous ai compris», son discours énigmatique a changé le cours de l'histoire! Ces moments sont rares et ne sont pas le fait du premier président venu.
Nicolas Sarkozy surestime toujours le pouvoir de sa propre parole. Pouvait-il imaginer en affirmant, au début de son quinquennat que chaque classe de CM2 devait adopter symboliquement la mémoire d'un enfant victime de la shoah, pouvait-il imaginer que le dire ne suffirait pas pour que cela se fasse? Moins Nicolas Sarkozy a de prise sur le réel, plus il est péremptoire. C'est exactement ce qu'il se passe, par exemple, pour les questions de sécurité, questions marqueurs du sarkozysme par excellence. L'insécurité ne baisse pas, il ne change pas de politique, il fait convoquer les préfets pour leur tenir un discours. Il leur remonte les bretelles!
Tout le monde comprendra que passer un savon à un préfet sans lui donner l'ordre de changer de méthode ou sans lui donner de moyens supplémentaires ne changera rien! Le préfet enguirlandera les directeurs départementaux de la sécurité qui vont s'empresser de gronder les responsables de la police et de la gendarmerie, qui finiront par essayer de faire du chiffre pour avoir la paix. Le président peut affirmer, sur TF1 et France 2 en marge du G20, sans rire et contre toute réalité: «les paradis fiscaux c'est fini».
Ce n'est pas qu'une simple et banale affaire de promesses non tenues ou de mensonges éhontés, c'est plutôt une mauvaise appréciation de la puissance de son discours ou de la puissance de la réalité face sa propre volonté! Depuis le début du quinquennat de Nicolas Sarkozy, il y a un problème d'adaptation de son discours la réalité. On ne compte plus les affirmations qui ne reposent sur rien, les projets ambitieux sans lendemain, les promesses de rupture ensablées, les révolutions annoncées qui n'aboutissent pas. La discrimination positive, la laïcité positive, la réforme de la Françafrique. Travailler plus pour gagner plus... tant d'autres sujets n'ont été que des thèmes de discours sans réalité concrète.
Le Président a l'habitude de dire à son entourage que les Français veulent qu'il mouille sa chemise et qu'il ne se résigne pas. Il se compare toujours à son prédécesseur plan-plan. L'hyper Président se démène. Mais le résultat de cette hyperactivité, de cette multiplication des discours, c'est qu'il n'y a pas plus de résultats. Se différencier de Jacques Chirac commence apparaitre un peu court. C'est peut être Michel Rocard qui avait raison quand il disait que dans notre cinquième République, «les qualités qu'il faut pour être élu ne sont pas celles qu'il faut pour gouverner».
"C'est le coeur lourd" que Me Metzner, l'un des quatre avocats de Dominique de Villepin, a plaidé dans la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris, ce mercredi après-midi. "On veut nous faire croire que c'est un procès comme les autres, mais toutes les parties civiles sont-elles Nicolas Sarkozy? Sont-elles l'homme qui nomme les magistrats qui ont jugé et les procureurs qui ont requis?" Tourné vers Me Thierry Herzog, l'avocat du président de la République, Me Metzner a fait, avec brio, une plaidoirie à la tonalité très politique.
REUTERS/Gonzalo Fuentes
"Pendant son intervention, Me Thierry Herzog a parlé de Dominique de Villepin mais pas d'Imad Lahoud ni de Jean-Louis Gergorin", a explique Me Metzner.
"Voilà ce qu'est ce dossier: on a une cible, on en déduit une origine et on essaye de tracer une ligne entre les deux", a affirmé Me Metzner pour qui "la rivalité politique n'est pas un élément constitutif d'infraction pénale". "Si je (Me Metzner s'identifie alors à son client Dominique de Villepin, ndlr) l'avais commis", ce délit de complicité par abstention, "je ne serais pas le seul: il y aurait aussi Michèle Alliot-Marie (alors ministre de la Défense, ndlr), (son directeur de cabinet) Philippe Marland, le général Rondot -car s'il y en a un qui en sait plus que moi, c'est bien lui-, la DST et même Bercy". Or, poursuit-il, "qui est ministre de l'Economie alors? Nicolas Sarkozy. Et pourtant il ne dit rien jusqu'en 2006". "Mme Alliot-Marie s'est abstenue. Nicolas Sarkozy s'est abstenu", a dit l'avocat, avant de poursuivre: "Bien sûr, ils ne sont pas poursuivis et c'est normal car il n'y a pas d'infraction pénale qui leur soit reprochable". Il n'y a donc, selon son avocat, aucune raison d'accabler Dominique de Villepin de "complicité de dénonciation calomnieuse par abstention".
"Il a eu besoin de quatre heures pour convaincre personne même pas lui!"
Puis Me Metzner, vieux routier des tribunaux, s'est attelé à démonter la plaidoirie très technique de Me Herzog, jusqu'à tourner l'avocat en ridicule. "Pendant son intervention, Me Thierry Herzog a parlé de Dominique de Villepin mais pas d'Imad Lahoud ni de Jean-Louis Gergorin", a-t-il dit avant de préciser: "Il a eu besoin de quatre heures pour convaincre personne même pas lui!" Sous cette pluie de critiques, Me Herzog a feint de dormir. "Je n'ai pas bien entendu la plaidoirie de Me Metzner", dira-t-il à la presse à la fin de l'audience.
Ce dossier, "le scandale du siècle" commente Me Metzner, est victime d'une "paranoïa aiguë". "Il n'y a aucun élément matériel" à l'encontre de mon client, a-t-il répété. Quant à "l'arme du crime, les listings, poursuit-il, comment savoir qu'ils sont juridiquement faux puisqu'il n'y a ni entête, ni signature, ni date..." Rires dans le prétoire. "Si la culpabilité de Dominique de Villepin était si évidente, pourquoi vouloir le 'pulvériser' et le 'pendre à un crochet', a-t-il demandé au tribunal, si ce n'est pour créer un mobile qui n'existe pas".
"Nicolas Sarkozy...euh...Dominique de Villepin est innocent"
Privilège de l'expérience, Me Leclerc, autre avocat de l'ancien Premier ministre, qui succède à Me Metzner, est le seul à s'exprimer sans micro. "Mes prédécesseurs ont déjà dit ce que j'avais dans le coeur et la tête", a-t-il dit, ému de plaider dans cette salle qu'il affectionne depuis 50 ans. "Nicolas Sarkozy...euh...Dominique de Villepin est innocent", a scandé l'avocat qui avait annoncé dès le début de sa plaidoirie qu'il était sujet aux lapsus. "La vérité, c'est que non seulement il n'a rien fait mais qu'il n'y avait rien à faire", a-t-il ajouté. Avant de rappeler au procureur, lui qui le connaît si bien, qu'il avait requis une relaxe avant de se raviser en décembre. Sous-entendant, donc, que Jean-Claude Marin s'est soumis à sa hiérarchie pour écrire ses réquisitions...
Les quatre avocats ont demandé la relaxe de Dominique de Villepin, à l'exception de Me Leclerc qui, victime d'un autre lapsus, a demandé l'acquittement de son client.
Extrait du Figaro (article consacré à l’ouvrage de B. Stora, «Le malentendu algérien») «Si, au fil des événements, de Gaulle a choisi l’option de l’indépendance, c’est d’abord parce qu’il voulait enraciner la France dans l’Europe en la dégageant du fardeau colonial. Surtout, de Gaulle ne crut jamais en la possibilité d’intégrer les masses musulmanes algériennes à la République. «Il a sur l’Islam le regard d’un homme pour qui l’histoire de la nation française est le produit de la civilisation chrétienne. La civilisation musulmane lui apparaît comme un corps étranger, inassimilable», écrit Stora.
«La civilisation musulmane apparaît à De Gaulle comme un corps étranger, inassimilable.»
Une conception dont témoignera Peyrefitte, qui rappelle qu’en 1945, le Général avait donné des directives sur les priorités à accorder en matière de naturalisation : «Sur le plan ethnique, il convient de limiter l’afflux de Méditerranéens et des Orientaux, qui ont, depuis un demi-siècle, profondément modifié la composition de la population française.(…) Il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Allemands, Luxembourgeois, Suisses, Anglais, Danois, etc. )» écrivait de Gaulle. (source) (via André D.)
ORANGE — Le mouvement d'extrême-droite Bloc identitaire, réuni en convention à Orange (Vaucluse) samedi, se constitue en parti politique et va participer aux élections régionales, a annoncé son président, Fabrice Robert, lors d'une conférence de presse.
"Parmi les principales annonces que nous voulons faire aujourd'hui, la première, c'est que le Bloc identitaire se constitue officiellement en parti politique, tout d'abord pour solidifier sa vitrine, mais également pour favoriser son financement", a expliqué M. Robert.
Il était entouré notamment de l'Italien Mario Borghezio, député européen, membre de la Ligue du Nord, et de Dominique Baettig, membre du parti populiste suisse Union démocratique du centre (UDC), invités de la convention.
"Autre annonce importante, c'est que nous allons multiplier, dans les mois à venir, notre présence sur le terrain électoral, tout d'abord, dans les régionales, et dans les mois qui suivront, dans les cantonales", a-t-il ajouté, précisant que "les identitaires vont participer partout où cela sera possible aux prochaines élections régionales".
A cet égard, le Bloc identitaire envisage de rejoindre la liste baptisée "Ligue du Sud" et conduite par le maire d'Orange, Jacques Bompard (MPF), en Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca).
A propos de la possible nomination du directeur de Sciences-Po au ministère de l’Education nationale, Marianne reprend une tribune incendiaire du Vrai Débat, blogueur associé :
(…) Appelez ce camp Système, UMPS MODEM, pensée unique, bien-pensance, peu importe. Il s’agit d’un camp qui rassemble des gens tous libéraux, tous européistes, tous atlantistes, tous bien peu patriotes, tous mondialistes, tous libre-échangistes. (…)
En ce moment, la pensée unique est communautariste. Elle vénère le modèle américain de la « diversité », elle souhaite partout imposer la discrimination positive. Nicolas Sarkozy a donc été chercher l’un des meilleurs ambassadeurs de cette pensée unique communautariste, Richard Descoings. L’actuel directeur de Sciences po Paris sera sans doute en effet le prochain ministre de l’Education nationale, la dernière prise du chef de l’Etat.
L’arrivée de Monsieur Descoings valide parfaitement notre analyse. Venu de gauche, il est surtout du camp de la pensée unique. Ultra européiste, il a contribué à renforcer un esprit bien peu patriotique dans les couloirs de la rue Saint Guillaume, siège d’une école où la haine de la France, ce pays qui a fauté et qui doit sans cesse se repentir, est enseignée plus que jamais. Chantre de la discrimination positive, il a été le premier à la mettre en place dans les faits, en faisant entrer à Sciences po par une voie détournée des lycéens venus de certains quartiers.
Sur quels critères ces quartiers ont-ils été sélectionnés ? Ethniques bien sûr. Qu’on le dise officiellement ou pas, tout le monde le sait. Parce que Monsieur Descoings fait partie de ces hommes qui voit avant tout des blancs, des arabes et des noirs, avant de voir des riches et des pauvres. Pour lui, un Français d’origine étrangère, de préférence maghrébine ou africaine, sera toujours préférable à un Français dit « de souche », quel que soit le milieu social des uns et des autres. (…)