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15/06/2010

Racisme anti-blanc: un Noir frappe une Blanche qui refusait de lui donner son numéro

Vidéo postée sur Facebook, par son auteur “BBR Négeu“, originaire de Bamako (Mali) et résidant à Bobigny (93)…

Une adolescente blanche refuse de donner son numéro de portable, elle se fait frapper…
La scène semble se dérouler sur l’espace de circulation entre le centre commercial Bobigny 2 et l’esplanade de la préfecture à Bobigny, près du métro et du tramway.

Les commentaires, sur Facebook, des amis de l’auteur de la vidéo sont assez éloquents.

 

 

Commentaire de Manuel Blancos sur FDS:

Les habituelles ficelles de l’anti-racisme à étages.

Scénario N°1 :
D’abord dire qu’il n’y a pas agression.
Ensuite parler de provocations de la victime.
Evoquer le racisme de la victime.

Scénario N°1 bis :
Parler de fait isolé
Devant l’évidence, parler de “quelques uns”
En appeler à la colonisation d’il y a 10 à 20 générations

Scénario N°1 ter :
Idem que le 1bis, mais rappeler qu’ils sont pauvres
Variante acceptée : ils sont pauvres et victimes de racisme continuellement

Scénario N°2 :
La victime est morte/violée/frapée/ou un mélange des 3 sans que le “sale blanc/che” n’a été prononcé.= pas de racisme

Scénario N°3:
Le “sale blanc/blanche” entendu avant de remplacer le drapeau Français par l’Algérien est un “débordement festif”

Scénario N°4:
La Marseillaise sifflée et conspuée comme en tunisie Dimanche soir est un “accueil chaleureux” (cf TF1)

Scénario N°5 :
Un cartographe se jette sur un couteau…

Scénario N°6 :
…etc etc etc

95% des réactions officielles utilisent 1 ou plusieurs de ces anti-racismes à géométrie variable et anti-France.

 

Source: François de Souche

14/06/2010

M6 : “Le racisme anti-Blancs en Afrique du Sud”, “un apartheid à l’envers”

M6 – Emission 66 Minutes (13/06/10) : “Afrique du sud : le racisme anti-blancs” – Zoé de Bussières

"Des Noirs de plus en plus riches, des Blancs qui s’appauvrissent : la situation pourrait devenir explosive et préoccupe les autorités sud-africaines au moment où la Coupe du Monde met le pays sous les projecteurs du monde entier.” M6

 

 

Source

05/06/2010

Il violait les Blanches pour se venger…

Un document de Marie-Ange Le Boulaire – Envoyé spécial  – France 2 – 27/05/2010

 

 

Source

15/05/2010

Racisme anti-blanc à Genève: lynché "sans raison" dans le préau d'une école

Un groupe de quatre personnes agresse un Genevois "sans aucun motif apparent" (sic). La victime souffre d'une commotion cérébrale

racisme anti-blanc Genève.jpg

Son seul tort: avoir voulu traverser le préau de l'Ecole des Grottes à Genève jeudi soir vers 21 h 30. «Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un groupe de quatre hommes, peut-être des ressortissants du Proche-Orient, âgés entre 30 et 40 ans, assis sur un banc et qui buvaient des bières. L'un d'eux m'a lancé en anglais: «Va te faire f..., homme blanc.» Serge Cabrito, un prothésiste dentaire de 38 ans, actuellement au chômage, passe son chemin sans réagir. Mais, bien vite, il sent une présence sur sa gauche. L'un des buveurs de bière tente de lui cracher à la figure, mais la déjection atterrit sur le toboggan du préau. «Ce n'est pas malin de salir ainsi un jeu destiné aux enfants», lance encore le Genevois, sans s'être rendu compte que les trois autres compères étaient déjà dans son dos. «Ils se sont mis à me frapper à coups de poing, puis une fois à terre ils m'ont roué de coups de pied.» Pour éviter les coups, Serge Cabrito se met en position foetale et tente de se protéger le visage avec les bras, autant que possible. Mais, alors que l'agression baisse d'intensité, la victime découvre avec horreur que l'un des attaquants a sorti un couteau. «J'ai réagi avec l'énergie du désespoir. J'ai réussi à me lever et à m'enfuir.» La course de Serge Cabrito aurait dû s'achever dans un restaurant espagnol de la rue de la Servette. Sauf que les occupants, au lieu d'écouter ses appels à l'aide, l'éjectent du local. «Mes agresseurs se trouvaient à ce moment de l'autre côté de la rue. Quand ils ont compris qu'ils pouvaient encore m'atteindre, ils ont repris leur poursuite.»

«Personne n'a réagi»


Blessé, avec les forcenés sur ses talons, Serge Cabrito tente une nouvelle fois de se réfugier à l'intérieur d'un autre restaurant. Mais l'accueil n'est guère plus aimable. «Imaginez les agresseurs qui tentent de forcer la porte du restaurant pendant que j'essaie de les en empêcher. Malgré mes appels à l'aide, personne n'a réagi dans un premier temps.» Finalement, alors que la situation empire, une jeune femme brandit son téléphone portable devant la porte d'entrée vitrée. Le stratagème réussit, les agresseurs prennent peur et s'enfuient enfin. «Le piquant de l'affaire, c'est que cette femme, qui m'a peut-être sauvé la vie, m'a alors demandé d'appeler la police: elle ne connaissait pas le numéro de téléphone d'urgence 117!»

Serge Cabrito, sous le choc, va passer le reste de la nuit chez un cousin. Avec un mal de tête carabiné et des douleurs sur tout le corps, il se rend hier après-midi chez son médecin traitant: «Mon patient souffre d'une commotion cérébrale avec suspicion de fractures du crâne et d'un os de la main droite, souligne le médecin, qui préfère garder l'anonymat. Des radios doivent encore appuyer le diagnostic. De plus, j'ai constaté la présence d'une trentaine d'hématomes et de nombreuses suffusions, ces lignes où le sang arrive à fleur de peau. Si les douleurs à la tête persistent et s'aggravent, mon patient devra se rendre au service des urgences et il sera hospitalisé.»

Une affaire révélatrice


De cette affaire, Serge Cabrito a retenu une triste leçon. «Au-delà de cette agression, le comportement des gens qui ont refusé de me venir en aide me choque profondément. C'est à vous dégoûter du genre humain.»

Pour le secrétaire général du MCG, appelé sur les lieux par la victime, cette affaire est révélatrice. «Elle démontre la montée de la violence à Genève et son déplacement dans des quartiers autrefois épargnés», souligne François Baertchi.

Un constat de police effectué par la gendarmerie de la Servette va servir de base à une plainte pénale que Serge Cabrito veut déposer lundi.

Victor Fingal - le 14 mai 2010, 21h05




13/04/2010

Racisme anti-blanc à Montréal: une Blanche est agressée sauvagement par une bande de Noires

Rioufol / Grenoble : “Demander des comptes aux associations antiracistes”

Violente charge du journaliste du Figaro contre le silence des associations antiracistes sur la montée du racisme anti-Blancs et des agressions de plus en plus violentes qui l’accompagnent :


Les organisations antiracistes n’ont rien à dire. Non, elles ne voient pas où est le problème, quand un paisible géographe de 23 ans se fait lyncher et poignarder sans motif, vendredi soir en plein centre de Grenoble, par des voyous qui venaient de se faire expulser d’un tramway par des contrôleurs. La victime, rouée de coups de pieds et de poings, a reçu des coups de couteau dont un qui lui a perforé le poumon. Ses jours ne seraient pas en danger, mais les médecins se disent “réservés quant à de possibles séquelles neurologiques”.

Si le Mrap, Sos Racisme, la Licra, le Cran, la Halde, avaient un minimum d’honnêteté intellectuelle, leurs représentants se seraient précipités pour dénoncer cet acte de haine pure, de discrimination avérée, de racisme gratuit. Or ces donneurs de leçons, s’ils ont l’indignation immédiate dès qu’il s’agit de culpabiliser la société d’accueil, n’ont jamais un mot pour dénoncer les actes de rejet contre cette même société.

Il y a un an, un même silence avait accompagné la révélation, par une vidéo détournée, de l’agression d’un jeune étudiant par quatre adolescents dans un bus parisien de nuit (le Noctilien) au cri de “Sale Français !”. La victime, étudiant à Sciences Po Paris, s’était même empressée de défendre ses agresseurs en portant plainte contre celui qui avait diffusé cette scène. Ce que j’ai appelé, par la suite, le “syndrome du Noctilien”, c’est-à-dire ce comportement politiquement correct qui justifie le fautif et accable le témoin, reste le ressort de ces mouvements antiracistes qui se déshonorent à vouloir nier le nouveau racisme anti-blanc et anti-Français que la contre-société produit, victimisée par un unilatéral discours de l’excuse. Quand, ce week-end, des inconnus incendient une école maternelle à Clayes-sous-Bois (Yvelines) c’est cette même détestation de ce qu’est la République, sa culture, son éducation qui se laisse voir par cet acte de barbarie. Ne serait-il pas temps de demander des comptes à ces mouvements antiracistes, généreusement subventionnés par l’argent public ?

Source : FDS

12/04/2010

Citation du jour

"Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne."

Le Général de Gaulle, 1959

 

Source

Racisme anti-blanc à Grenoble : “lynché” dans un tramway par une quinzaine de “jeunes”

Un jeune homme de 23 ans a été “lynché gratuitement” vendredi soir dans le centre-ville de Grenoble par un groupe d’une quinzaine de jeunes en fuite et transporté dans un état critique à l’hôpital de Grenoble, a-t-on appris de source policière. La victime, qui revenait d’une soirée avec trois amis, a été très violemment frappée à coups de pieds au visage, avant de recevoir deux coups de couteau au bras et dans le dos, a-t-on précisé de même source, confirmant une information parue dans le quotidien régional Le Dauphiné libéré.

racisme anti-blanc grenoble.JPG

 

Le jeune homme, dont l’un des poumons a été perforé, se trouvait dans un état stable dimanche mais “les médecins sont réservés quant à de possibles séquelles neurologiques”, a rapporté la police. Agés d’une vingtaine d’années, les agresseurs, qui venaient d’être expulsés du tramway dans lequel la victime et ses amis avaient pris place, ont alors attaqué verbalement puis physiquement ces derniers, arrivés à leur destination et qui tentaient de les ignorer, a-t-on ajouté de même source.

La quinzaine d’agresseurs, montés dans le tramway à une station située dans les quartiers sensibles de Grenoble, étaient toujours activement recherchés dimanche.

Source: AFP et FDS

Plus d'infos sur cette terrible agression avec le Dauphiné Libéré

01/04/2010

Racisme anti-blanc: agression sauvage dans le métro de Bruxelles

Imaginez un peu quelle aurait été la réaction des médias et des pseudo-intellectuels engagés si les agresseurs avaient été blancs et la victime noire, arabe ou portant une kippa?

Quand un blanc est victime de sauvageons venus d'ailleurs, ça n'intéresse pas les défenseurs de la "diversité":

 

 

BRUXELLES Pour la première fois, le miraculé du métro de la Porte de Namur parle. C'est lui qui, la nuit du nouvel an, a été jeté du niveau - 1 au niveau - 2 sur les voies. Nous l'avons rencontré à l'hôpital Érasme, chambre 708, où l'étudiant de 22 ans se demande toujours : "Pourquoi ?" .

Plusieurs cervicales fracturées : selon ses médecins, le miraculé en aurait encore pour cinq à six semaines à porter une minerve... "si tout va bien".

Sur son lit, Lyuben explique qu'en fait il a été victime d'une double agression commise par deux bandes distinctes, la seconde prenant le relais de la première qui l'avait pourtant laissé inconscient à terre, pour le jeter dans le vide sur les voies d'une hauteur "de 7 à 10 mètres" , selon les calculs de la police fédérale.

D'origine bulgare, Lyuben, 22 ans, fêtait la Saint-Sylvestre dans le centre-ville. Retenu pour un stage au Parlement européen, l'étudiant en droit avait décidé, à 3 h, qu'il était temps de rentrer chez lui, à Woluwe.

"Tout a commencé parce que je prenais des photos. Ce n'était pas intentionnel mais voilà, deux filles arrivaient juste à ce moment. J'ai pourtant montré aux garçons qui les accompagnaient qu'il ne fallait pas en faire un plat : j'avais déjà supprimé les photos. Mais non : ils m'ont jeté à terre et ça été le passage à tabac. Terrible, et pourtant un copain qui m'accompagnait, et qui pratique les arts martiaux, a cherché encore à me protéger. Je crois avoir perdu connaissance. Quand la première bande est partie, j'étais dans un tel état qu'on a voulu commander un taxi, mais l'autre bande est alors arrivée : cinq ou six Africains, des Rwandais probablement. D'après la police, les images montrent que je me serais défendu et que j'aurais essayé de me protéger : je n'ai aucun souvenir. Ils m'ont pris pour me balancer dans le vide. Cette nuit-là, les métros roulaient jusqu'à 5 h du matin et il était 3 h. De ce que l'on m'a dit, des gens m'ont tiré des voies et la police serait arrivée très vite. On me dit que oui, j'ai eu de la chance. Beaucoup de chance."

Nuque brisée et risques de séquelles sévères, vision et audition. Sur son lit, Lyuben a trois pensées. La première, pour remercier ces gens que "je ne connais même pas" , dit-il, qui lui ont sauvé la vie le jour de l'an.

La deuxième, parce qu'il veut comprendre : "C'est même plus fort que la fureur que je ressens : pourquoi ?"

La troisième, pour s'interroger sur l'impunité : le jeune homme se désole d'apprendre que l'appareil police-justice n'arrêtait jamais ces derniers temps les auteurs d'agressions majeures dans le métro : ni les siens, ni les agresseurs de Christophe B. qui fut scalpé fin septembre entre Aumale et Beekkant, ni ceux de cet usager jeté sur les voies à Beekkant le mois d'après.

Source

 

 

11/11/2009

Affrontements OM PSG: un conflit à forte composante ethnique

 

Remarquez au passage le supporter maghrébin marseillais qui vole le sac du pauvre Parisien, quasiment inanimé (passage: O mn 29 sec)... on ne se refait pas!