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27/04/2010

Charleville-Mézières: des centaines de Maghrébins agressent lâchement quelques dizaines de personnes manifestant contre le racisme anti-français

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes). C'est lui qui, samedi, brandissait le drapeau bleu-blanc-rouge. Assez crânement, dans le contexte actuel, Cédric Hurpet, 24 ans, étudiant en DUT commerce à l'IUT de Charleville, est venu nous voir avec sa voiture, vandalisée de rageuses mentions gravées au cutter : PD et NTM sur le capot.
Il a souhaité ramener les événements à leur juste proportion. Selon lui, rien ne s'est passé comme cela aurait dû. « Notre unique intention était d'appeler l'attention sur toutes les formes de racisme anti-blanc qui s'expriment actuellement, non seulement en France, mais partout dans le monde, notamment en Corée. On en a marre d'entendre « La Marseillaise » sifflée dans les stades ; marre qu'on brûle le drapeau français ; honte de voir l'image de ce type qui, pour un concours photo de la Fnac, se torchait le cul avec ! »

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Cédric Hurpet : « Je suis dégoûté de ce qui s'est passé. Désormais, nous allons nous mettre en sommeil, en attendant d'être mieux structurés ».

A l'appel d'un ami, lycéen à Charleville, nous avons donc décidé, il y a environ un mois, d'organiser une manifestation pacifique pour dénoncer cet état de fait. Et nous avions sollicité les autorisations nécessaires à la mairie de Charleville et à la préfecture qui nous l'avait accordée. La preuve, samedi, il y avait deux véhicules sérigraphiés à hauteur des marchands de glace, à l'entrée de la rue piétonne, et un véhicule de la Bac. Tout le monde était donc parfaitement au courant et nous a laissé faire.
Nous nous sommes rassemblés autour de la fontaine centrale. A aucun moment, il n'y a eu ni bras tendu, ni propos raciste. A un moment donné, nous nous sommes mis en mouvement, dans l'intention de rejoindre l'Hôtel de Ville de Mézières.
Nous avons emprunté tranquillement la rue piétonne, en nous faisant insulter et cracher dessus par des jeunes maghrébins qui, depuis un bon moment déjà étaient rassemblés, en nombre, sous les arcades. Jusqu'à la statue de Gonzague, il n'y a pas eu d'autre hostilité. Puis, nous nous sommes engagés sur le cours Briand. Pour ne pas gêner la circulation, nous avons emprunté le trottoir. C'est là que, brusquement, les autres sont arrivés dans notre dos, en hurlant. Nous nous sommes mis à courir, mais ils étaient bien plus nombreux et ont commencé à frapper, avec une sauvagerie inouïe, aussi bien les garçons que les filles de notre cortège, leurs filles à eux étant d'ailleurs les plus hystériques.


Nous avons été piégés
Nous avons eu plusieurs blessés graves, dont l'un frappé à coups de pavé sur la tête, alors qu'il était à terre et un autre qui a failli être empalé à la gare. Nous n'avons dû notre salut qu'à la fuite, sinon on aurait été massacrés. Dans cette affaire, il y a un malentendu. A aucun moment il n'a été question de nous en prendre aux jeunes des quartiers de Charleville. A la fac, j'entretiens d'ailleurs de bonnes relations avec plusieurs d'entre eux, qui sont même d'accord avec notre vision d'une France, qui répond aux valeurs de liberté, d'égalité, fraternité.
Samedi, nous avons été piégés. On s'est fait avoir comme des bleus. D'après Facebook, on aurait dû être 700 ou 800. Or nous nous sommes retrouvés une poignée, une cinquantaine tout au plus, alors que les autres étaient dix fois plus nombreux.
Ce qui est anormal, c'est que la police a laissé faire. S'ils avaient voulu intervenir, ils le pouvaient. Ils nous ont laissé emprunter la rue piétonne, sous les insultes et les crachats. Ils devaient bien se douter que ça allait mal tourner, mais on ne les a plus vus.
Je suis dégoûté de ce qui s'est passé. Désormais, nous allons nous mettre en sommeil, en attendant d'être mieux structurés. Une autre manifestation est d'ores et déjà prévue en Rhône-Alpes, mais ici, pour le moment, c'est terminé pour nous… »
Recueilli par G.G.-M.

Source: L'Union

15/04/2010

Citation du jour

Le vrai racisme ne serait-il pas de considérer comme raciste le sentiment identitaire chez les Français quand on l’encourage et le célèbre chez les autres peuples ? Ce n’est pas un crime d’être français de souche !

François Desouche (interview), lepost.fr, 21 octobre 2009

 

Source

12/04/2010

Racisme anti-blanc à Grenoble : “lynché” dans un tramway par une quinzaine de “jeunes”

Un jeune homme de 23 ans a été “lynché gratuitement” vendredi soir dans le centre-ville de Grenoble par un groupe d’une quinzaine de jeunes en fuite et transporté dans un état critique à l’hôpital de Grenoble, a-t-on appris de source policière. La victime, qui revenait d’une soirée avec trois amis, a été très violemment frappée à coups de pieds au visage, avant de recevoir deux coups de couteau au bras et dans le dos, a-t-on précisé de même source, confirmant une information parue dans le quotidien régional Le Dauphiné libéré.

racisme anti-blanc grenoble.JPG

 

Le jeune homme, dont l’un des poumons a été perforé, se trouvait dans un état stable dimanche mais “les médecins sont réservés quant à de possibles séquelles neurologiques”, a rapporté la police. Agés d’une vingtaine d’années, les agresseurs, qui venaient d’être expulsés du tramway dans lequel la victime et ses amis avaient pris place, ont alors attaqué verbalement puis physiquement ces derniers, arrivés à leur destination et qui tentaient de les ignorer, a-t-on ajouté de même source.

La quinzaine d’agresseurs, montés dans le tramway à une station située dans les quartiers sensibles de Grenoble, étaient toujours activement recherchés dimanche.

Source: AFP et FDS

Plus d'infos sur cette terrible agression avec le Dauphiné Libéré

03/09/2009

Ça chauffe au Gabon : « Il faut tuer les Français ! »

ordre2.jpegLes Gabonais voient dans l'élection du fils d'Omar Bongo une influence de la France. Les incidents se multiplient. Il pourrait y avoir déjà un mort.

Il était ministre de la Défense du Gabon quand son père, Omar Bongo, était alors Président. Décédé le 8 juin dernier à l'âge de 73 ans, Omar Bongo régnait sur ce petit pays d'Afrique centrale depuis 41 ans.

En politique, « les histoires de fils, ça ne marche pas » avait déclaré Omar Bongo à l'automne 2008, rapporte L'Express. Et pourtant... Ce jeudi, c'est pourtant bel et bien son fils qui vient de remporter l'élection présidentielle anticipée du 31 août, avec 41,73 % des voix. « Je serai toujours le Président de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais », a déclaré Ali Bongo, indique 20minutes.

Entre dimanche, jour du vote et ce jeudi, jour des résultats, l'attente a créé des suspicions et des tensions. Les deux principaux concurrents d'Ali Bongo dans la course à la présidentielle ont interprété ce délai comme une manipulation des résultats.

Pourquoi ? Le verdict des urnes était attendu mercredi. Ce jour-là, rien ; mais les réseaux de téléphones portables étaient paralysés. Et des présidents de bureau de vote convoqués pour signer de nouveaux procès-verbaux. Bizarre, bizarre...

voleurs.jpegCe jeudi matin, peu après la proclamation des résultats, le consulat général de France à Port-Gentil a été incendié par des partisans de l'opposition. L'histoire de quelques minutes, on a cru aussi qu'une concession Total avait été pillée, mais la firme française vient de démentir d'après 20minutes.

Des Gabonais reprocheraient à la France de leur avoir « imposé » le fils du Président Omar Bongo, selon Le Monde.

« On en a marre de ces Français, il faut les chasser, les tuer ! », auraient déclaré des Gabonais, selon Ouest France.

Du coup, Bernard Kouchner a voulu se montrer rassurant, affirmant qu'un « dispositif était prêt pour protéger les Français au Gabon ». Sur son compte Twitter, le candidat Ben Moubamba explique que les Français ont été regroupés à la base militaire de Port-Gentil.

Du coup, la France s'en mêle et appelle au calme... au Gabon. « Il faut absolument que les candidats qui n'auront pas gagné respectent les résultats du scrutin », a déclaré Alain Joyandet, secrétaire d'État à la coopération, selon Le Monde.

Ça chauffe aussi à Libreville, la capitale du Gabon. Des voitures auraient été brûlées, des sculptures cassées, des poubelles renversées.

La Gabon est au bord de l'implosion. « On entend l’armée qui tire, on n’ose pas sortir. Nous n’avons plus l'électricité », explique une Gabonaise qui soutient le chef de l'opposition, Pierre Mamboundou, à 20minutes. Arrivé en troisième place aux élections, Pierre Mamboundou aurait été grièvement blessé à la tête et à l'épaule lors d'une dispersion, ce jeudi.

« Je suis allé voir les lieux stratégiques de la ville, où pourraient commencer les débordements. Ils sont quadrillés par la police antiémeutes. Les choses vont certainement monter en puissance », a déclaré un journaliste franco-gabonais sur place à 20minutes.

16 h 30, le candidat Ben Moubamba annonce sur son twitter : « Premier mort à Okembo. La Garde républicaine vient de tirer à balles réelles sur la foule. Il y aurait un mort. »

Source: Le Post

09/04/2009

Agression dans un Bus : Réaction de Marine Le Pen

Insécurité : Sarkozy protège les barbares !

Quatre mois après l’agression sauvage et raciste d’un Français par des jeunes d’origine étrangère dans un bus à Paris, rendue publique par la diffusion sur le site dailymotion d’une vidéo, aujourd’hui censurée, on apprend avec stupéfaction qu’une enquête va être diligentée non pas pour retrouver les auteurs de ces actes barbares, mais pour déterminer si dans cette affaire, des policiers n’auraient pas violé le secret de l’enquête en diffusant les images.
marine-le-pen-.jpgIncapable de juguler la submersion migratoire, l’insécurité et le racisme anti-français, Sarkozy tente aujourd’hui de le dissimuler en censurant l’information.
Marine Le Pen, vice-présidente du FN dénonce cette scandaleuse bienveillance du pouvoir à l’égard des délinquants ethniques et apporte tout son soutien aux forces de l’ordre abandonnées par l’Etat dans leur périlleuse mission et qui payent un lourd tribut à la montée exponentielle de toutes les violences.
Elle informe également les Français que des actes de cette nature se déroulent quotidiennement dans notre pays et qu’ils sont systématiquement passés sous silence.

MARINE LE PEN
Vice-Présidente du Front National

Source: http://www.nationspresse.info/?p=36991

VIDEO DE L'AGRESSION ANTI-BLANC:

http://www.fdesouche.com/articles/33981

(la vidéo a été censurée à plusieurs reprises sur You Tube et Daily Motion ! Pourquoi? Je vous laisse deviner...)