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09/01/2010

Marseille : torturée sous une douche brûlante

Calvaire d'une mère dans un hôtel meublé de Saint-Charles

Elle a osé sortir avec sa fille de 10 mois, sans son autorisation. Alors, il l'a punie. Torturée même. Pendant cinq minutes interminables, Saïd a laissé Aurélie brûler sous l'eau surchauffée de la douche, dans leur hôtel meublé de Saint-Charles (1er ).

Pieds et poings liés, un bâillon dans la bouche, la jeune mère de famille a vécu un véritable calvaire. Elle souffre aujourd'hui de brûlures aux 2e et 3e degrés sur 20% de son corps. Les faits se sont produits à la fin du mois de novembre dernier et le suspect a été interpellé mardi matin, après une enquête de la brigade criminelle de la Sûreté départementale.

Sa compagne avait quitté l'hôpital où elle se trouvait depuis un mois et demi et Saïd s'était hasardé à lui fixer un rendez-vous dans le quartier de Notre-Dame-du-Mont (6e ), où il a été localisé grâce à des éléments techniques dont disposaient les enquêteurs.

La police l'a finalement placé en garde à vue et le suspect, âgé de 20 ans, comme la victime, n'a rien nié des lourdes charges qui pèsent sur lui. Il a confirmé qu'après une dispute pour un motif futile, il a déshabillé la jeune fille, a attaché ses mains et ses pieds et l'a bâillonnée avec la paire de collants du bébé.

Ce n'est qu'après avoir réussi à crier sa douleur que la maman a vu son concubin arrêter le jet d'eau bouillante qui lui meurtrissait la peau. Le garçon, réalisant à peine son geste insensé, a fini par se rendre dans une pharmacie toute proche pour se procurer de la pommade, censée apaiser les brûlures.

Mais à son retour à l'hôtel, Saïd n'est pas remonté. Aurélie a donné l'alerte. Le marins-pompiers et la police avaient déjà investi les lieux. Le garçon s'est alors résolu à prendre la fuite.

Se cachant de squats en squats, du centre ville, à l'extrême sud de Marseille, déjà inquiété par la police pour infraction à la législation sur les étrangers, il a fini par réapparaître et se faire interpeller.

Hier après-midi, le suspect a été mis en examen pour "violences volontaires, actes de tortures et de barbarie et séquestration". Il devait être placé en détention dans la nuit.

Romain LUONGO et Denis TROSSERO

Source: La Provence

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Emeutes ethniques en Calabre

 

emeutes calabre.jpg

 

Deux immigrés ont été blessés par des inconnus vendredi dans la petite ville italienne de Rosarno où, la nuit précédente, des émeutes avaient éclaté après l'agression d'ouvriers agricoles africains par une bande de jeunes Calabrais.

Les deux immigrés en question ont été blessés aux jambes par des tirs de carabines à air comprimé, quelques heures après les émeutes nocturnes.

Vendredi soir, plusieurs centaines d'habitants de Rosarno se sont rassemblés devant la mairie, demandant pour une grande part à ce que le gouvernement prenne des mesures contre les immigrés.

"Ce sont eux qui devraient avoir peur maintenant, ils devraient foutre le camp !", a déclaré un habitant à la chaîne de télévision Sky Italia.

Le chef de l'Etat italien, Giorgio Napolitano, a quant à lui appelé à l'arrêt immédiat des désordres.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, des dizaines d'immigrés africains ont incendié des voitures, brisé des vitrines et mis le feu à des poubelles de Rosarno. Des passagers d'une voiture ont été blessés dans la localité pendant ces émeutes, parmi les plus graves de ces dernières années dans la Péninsule.

Les migrants, qui ont en outre bloqué un axe routier, se sont heurtés aux policiers en tenue anti-émeute. Sept étrangers ont été arrêtés, selon les chiffres de la police, et une quinzaine d'immigrés ainsi que 18 policiers ont été blessés.

Les incidents ont éclaté après que de jeunes Calabrais circulant en voiture ont tiré à la carabine sur un groupe de migrants africains revenant des champs. Deux de ces étrangers ont été blessés.

"Ces types nous tiraient dessus comme s'ils étaient à la fête foraine, et ils riaient. Je hurlais, d'autres voitures sont passées mais personne ne s'est arrêté, personne n'a appelé la police", a témoigné Kamal, un Marocain, au journal La Repubblica.

Vendredi matin, 2.000 migrants ont manifesté devant l'hôtel de ville de Rosarno pour protester contre le comportement, à leurs yeux raciste, de certains habitants de la région à leur égard. Des manifestants scandaient "Nous ne sommes pas des animaux !" et brandissaient des pancartes affirmant "Les Italiens ici sont racistes !".

POLÉMIQUE

Des actes de vandalisme isolés, commis par des immigrés, se sont poursuivis en ville dans la matinée et des vitrines de magasins ont été brisées. A deux reprises, des automobilistes de Rosarno ont tenté d'écraser des immigrés. Les écoles de la ville sont restées fermées, tout comme nombre de magasins. Selon des informations émanant des médias, un habitant, blanc, a tiré en l'air à balle réelle d'une terrasse.

Le ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni, a ordonné l'envoi de renforts de police dans la région et mis en place une cellule de crise pour traiter des racines de ces violences.

Le ministre, qui est issu de la Ligue du Nord, parti d'extrême droite anti-immigration membre du gouvernement de coalition de Silvio Berlusconi, a provoqué une polémique en déclarant que l'une des causes de la violence résidait dans le fait que l'immigration clandestine avait été tolérée pendant de trop nombreuses années.

Le chef de l'opposition de centre-gauche, Pierlugi Bersani, a répliqué en l'accusant de jeter de l'huile sur le feu. "Maroni est en train de faire porter le chapeau (à d'autres) (...) Il faut aller au coeur du problème, à savoir la mafia, l'exploitation, la xénophobie et le racisme", a-t-il expliqué.

Pour sa part, le gouverneur de Calabre, Agazio Loiero, a déclaré que si les violences déclenchées par les immigrés étaient à ses yeux entièrement injustifiées, il y avait eu "une forte provocation".

Dans la région de Rosarno, les immigrés sont employés comme journaliers pour la récolte des fruits et des légumes. Ils sont environ 1.500 à vivre dans des usines désaffectées, sans eau courante ni électricité. Des mouvements des droits de l'homme disent qu'ils sont exploités par le crime organisé.

L'Italie a, ces dernières années, durci sa position contre l'immigration clandestine. Certains bateaux d'immigrants venus d'Afrique ont été refoulés en haute mer.

Huit mille immigrés clandestins vivent en Calabre. Les relations avec la population locale sont souvent tendues.

Version française Nicole Dupont et Eric Faye

Source: Reuters

00:23 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : émeutes, calabre, rosarno |  Facebook | |

08/01/2010

« J’ai vécu avec des musulmans ». Une expérience multi-culturelle en Grande-Bretagne

Extraits :

Dès la première nuit, ça a commencé. Les voisins pakistanais du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. (…)

J’ai découvert que mon nouveau quartier était l’une des plus grosses communautés musulmane d’Ecosse. Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait. Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”. (…)

J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. Ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent, seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement, ils nous ignoreraient complètement.


« Mon histoire commence à Bristol, dans le Sud-Ouest de l’Angleterre.

En juin 2003, je voulais quitter Bristol : j’avais été témoin d’une succession d’événements qui m’avaient à la fois terriblement choqués et déprimés. Le plus grave d’entre eux était une violente agression contre un étudiant, un soir. C’était dans le quartier Saint Paul, un coin très touché par la délinquance et la criminalité, un des coins préférés des immigrés et des afro-caribéens. Le jeune homme rentrait chez lui et nous l’avons vu se faire attaquer, se faire voler son portable. Des types l’ont frappé et il est tombé, inconscient. On s’est précipité pour l’aider et les mecs se sont enfuis. L’étudiant était couvert de sang. »

Parmi les autres événements qui m’ont décidés à quitter la ville, il y a eu l’apparition de patrouilles de policiers armés dans les rues de Bristol. Il s’agissait d’une mesure destinée à lutter contre les guerres de gangs que se livraient des bandes de noirs rivaux.

Bristol, c’est la plaque tournante du crack en Angleterre. Ces gangs, c’est un mélange d’Afro-caribéens, de Somaliens, plus quelques locaux. Les gens qui vivent dans ces quartiers sont constamment victimes de vols, d’agressions par des types drogués et défoncés au crack.

J’en ai eu assez. Tout ça, c’était trop pour moi. J’ai fait mes valises. Le jour de mon départ, je me souviens avoir vu une longue queue de types qui poireautaient sur le trottoir : essentiellement des africains et des immigrés de l’Est. C’était à l’extérieur du Centre pour les demandeurs d’asile.

L’Ecosse, j’y ai grandi. Dans les lowlands. Une région magnifique de landes et de collines, l’un des coins les moins peuplés de Grande-Bretagne. En arrivant chez mes parents, j’ai su que j’avais pris la bonne décision et je me suis tout de suite senti chez moi au milieu des arbres et des collines.

Après quelques mois, je me suis mis à chercher du boulot. J’avais des amis à Glasgow, 150 km plus au nord, et c’est là que j’ai décider de tenter ma chance. J’ai toujours aimé Glasgow, l’une des villes les plus riches de l’Empire à une époque. Une ville à l’histoire tourmentée mais animée, et pleine d’énergie.

Finalement, j’ai décidé de m’y installer, et j’ai choisi Pollokshields, un quartier dans le sud. C’était à l’origine l’une des premières “banlieues-jardin” de Grande-Bretagne : de belles maisons, des immeubles grands et spacieux. C’était aussi l’un des rares quartiers dans mes prix. J’ai décidé d’acheter un appartement. J’étais plein d’espoir, la tête rempli d’idées et de l’énergie à revendre.

Dès la première nuit, ça a commencé. Les voisins du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. Ils étaient pakistanais.

C’est alors que j’ai découvert que j’étais passé à coté de le la dimension sociale de mon nouveau quartier. J’avais été séduit par l’esthétique des maisons et l’architecture géorgienne, mais le quartier était en fait l’une des plus grosses communautés pakistanaise musulmane d’Ecosse.

Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait.
Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”.

Une semaine plus tard, j’ai remarqué un jeune type qui conduisait de façon très agressive à un carrefour, et qui a failli percuter un gars à moto. Le type a bondi hors de sa voiture et a hurlé “batard de blanc”, avant de redémarrer en trombe.

La même semaine, alors que je marchais, j’ai vu un gamin d’environ 8 ans se faire chasser du parc par deux jeunes pakistanais. Je suis intervenu car le garcon avait l’air bouleversé. Les deux autres m’ont regardé sans trop savoir quoi faire, et ont crié des trucs dans une langue que je ne comprenais pas.

Mais un peu plus tard, on était alors en mars 2004, un jeune garcon anglais, originaire de Glasgow a été kidnappé à quelques rues de chez moi, par quatre musulmans pakistanais. Il a été torturé, puis brulé vivant. Je ne vais pas entrer dans les détails mais peut-être avez-vous entendu parler de la mort atroce de Kriss Donald, mort pour la seule raison qu’il était blanc.

A cet instant, j’ai réalisé que ma situation était en fait pire que celle que j’avais fuie à Bristol.Mes rêves et mes belles idées multiculturelles étaient en lambeaux.

J’ai essayé de vendre mon appartement, mais personne ne voulait l’acheter, à part des musulmans. J’ai essayé de le louer : les gens trouvaient mon appart super mais personne ne voulait habitait dans le quartier. Quelques mois plus tard, mes voisins, des allemands, ont déménagé pour la Grèce. C’étaient les seuls amis que j’avais dans le quartier. Ils ont vendu leur appart à des musulmans, qui y ont ouvert une école islamique. Je me suis plaint, mais on m’a ignoré. En fait, à part moi et une dame de 70 ans, tout l’immeuble était occupé par des musulmans.

Nous sommes en février 2007. J’ai finalement réussi à vendre. En mai,je serai parti mais j’ai beaucoup appris. J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. L’islam les consume, les possède, ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Leur but est de faire selon la volonté d’Allah, et c’est là leur objectif principal. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent , seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement,ils nous ignoreraient complètement.

Alors oui, j’ai rencontré des musulmans courtois et agréables. Et je suis sur qu’il existe toutes sortes de musulmans différents. Mais l’islam écrase toutes ces différences. L’islam homogénéise des nations entières, élimine la raison, les individualités et les libertés. Je l’ai lu dans les yeux des femmes pakistanaises incultes qui débarquent à Glasgow de leur lointain Kashmir. Je l’ai lu dans les yeux des musulmans de 2e et 3e génération : tout simplement, ils n’aiment pas l’occident ; ils baignent dans un monde qui est totalement incompatible avec les valeurs européennes. Ils cherchent le réconfort dans une religion sécrétée par les sables du désert il y a 14 siècles, ils cherchent une consolation dans des mosquées payés par les dollars du pétrole wahabite… Ils veulent le mode de vie ocidentales, mais en même temps, ils nous détestent.
Et pour ma part, j’ai bien vu que je ne pouvais pas aimer l’islam. Comme beaucoup de gens maintenant, je le considère comme une menace majeure contre toutes les valeurs auxquelles l’Europe devrait être fidèle.

Maintenant que Tony Blair est sur le départ, les gens lui demandent ce qu’il va nous laisser. Ce qu’il nous laisse, c’est le début d’un processus d’islamisation de la Grande-Bretagne, d’une balkanisation de l’Angleterre. Je l’ai vu et je l’ai vécu. Quand les effets du boom économique auront disparu, la réalité de la “multi-culturalité” apparaîtra : des communautés rivales juxtaposées, sans aucun lien entre elles, sans aucune valeur ou identité commune, incapable de se rejoindre pour un but commun.

Les politiques des néo-marxistes, avec leurs références perpétuelles à des abstractions comme les “Droits de l’homme”, nous ont conduit sur un chemin extrêmement dangereux. Le monde change. L’invasion de l’Europe n’est pas forcément consciente de la part des musulmans et des immigrés, mais elle est devenue inévitable, vu la pression sur les ressources mondiales, l’expansionisme de l’islam et la chute vertigineuse des naissances chez les européens de souche.

L’Ouest a signé un pacte faustien avec l’islam, et si rien ne change, nous en paierons le prix.

Pour ma part, je cherche toujours un foyer. Toutes ces conclusions auxquelles j’ai abouties sont survenues en un lieu que je n’imaginais pas, un endroit où je ne me sens pas chez moi : mon propre pays.

Ce sont les élites libérales le véritable ennemi. Les musulmans font juste ce qu’ils ont toujours fait et ce qu’ils sont sensés faire, et finalement je ne les blame pas, mais ils ne sont pas européens. Je n’aime pas leurs valeurs, je n’aime pas leur idéologie et l’islam n’est clairement pas une religion au sens occidental du terme. C’est une construction idéologique, théocratique et totalitaire. Nos dirigeants, négligeant cela, nous mettent en péril.

Les Montagnes Rocheuses, au Canada, c’est plutôt joli en cette saison, je crois… » (traduit de cet article)

Source: François de Souche

22:52 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, islam, europe |  Facebook | |

Citation du jour

La pensée de Léo Pinsker en 1882:

"Les associations juives doivent réunir un congrès national pour acquérir un territoire et organiser l'émigration massive des Juifs menacés par l'antisémitisme sous la garantie des grandes puissances. Mais peu lui importait la localisation de ce futur Etat, Amérique du Nord ou Turquie d'Asie, l'important était de créer un refuge pour les Juifs de Russie et de susciter un réveil national."

"Les origines du sionisme" par Alain Boyer, Collection "Que sais-je?", PUF.

La société multiraciale sans-frontière a-t-elle été planifiée ?

 

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Les conférences Macy, organisées à New York par la fondation Macy à l’initiative du neurologue Warren McCulloch, réunirent à intervalles réguliers, de 1942 à 1953, un groupe interdisciplinaire de mathématiciens, logiciens, anthropologues, psychologues et économistes qui s’étaient donné pour objectif d’édifier une science générale du fonctionnement de l’esprit. Elles furent notamment à l’origine du courant cybernétique, des sciences cognitives et des sciences de l’information.

Dès 1946, la société globalisée postnationale multiraciale et sans frontières codifiées y fût conceptualisée…

“L’homme national est obsolète, il doit céder la place à un homme mondial."

"Il apparaît nécessaire de changer la nature de l'homme et son modèle culturel."

 

Extraits du documentaire “Das netz” de Lutz Daambeck :

 

Source: FDS

 

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07/01/2010

France et justice politique: nouvel épisode avec la condamnation de Philipe Vardon, fondateur des Jeunesses Identitaires

vardon.jpgLa cour d’appel d’Aix-en-Provence a rendu son verdict dans les procès opposant Philippe Vardon à SOS-Racisme, au MRAP et - surtout -au procureur de Nice, Eric de Montgolfier.

Pour un tract distribué à l’entrée d’un lycée niçois et intitulé ” Ni Voilée - Ni violée ” et considéré comme ”islamophobe” : 5 000 euros d’amende pour Philippe Vardon et 4 mois de prison avec sursis, coupable d’avoir rédigé le tract, 3 000 euros d’amende pour un lycéen, coupable d’avoir distribué le tract, 3 000 euros d’amende pour un adulte, coupable d’avoir distribué le tract, 5 000 euros d’amende et 4 mois de prison avec sursis pour un adulte, coupable d’avoir distribué le tract, et d’avoir refusé de se faire arracher les tracts des mains.

Devant ce même tribunal, les Jeunesses Identitaires étaient poursuivies pour le délirant motif de ” reconstitution de ligue dissoute “. La condamnation est la suivante : 30 000 euros d’amende pour les Jeunesses Identitaires dont 10 000 pour Philippe Vardon au titre d’ancien président, plus 1 100 euros pour le MRAP et SOS-Racisme. La cour d’appel a ajouté par ailleurs 2 ans de privation de droits civiques et (à nouveau) 4 mois de prison avec sursis pour Philippe Vardon.

Cette condamnation est un acte de franchise du Système : 50 000 euros d’amende, une privation de droits civiques, de la prison avec sursis pour un responsable politique. Il s’agit clairement d’empêcher Philippe Vardon de mener une liste identitaire aux Régionales de 2010 en région PACA et d’être candidat aux élections partielles qui auront lieu dans les mois qui viennent à Nice. Il s’agit de réduire au silence un mouvement de résistance.

Mais d’ores-et-déjà, la contre-offensive s’organise.

Source: http://www.soutien-vardon.com/ et François de Souche

La colère des Palestiniens de Gaza contre l'Egypte

Les soldats égyptiens casqués et arme à la main sont nerveux. Une douzaine d'entre eux sont postés à faible distance de la ligne de démarcation avec Gaza. Le terminal de Rafah a été ouvert lundi, mais, ce mercredi 6 janvier, le maigre trafic des passagers, que l'Egypte autorise en général une fois par mois, est interrompu.

Un checkpoint à Hawara, en Cisjordanie, le 28 août 2007. Selon un rapport de la Cnuced, le poids des contrôles aux frontières nuit à l'économie palestinienne.

La tension qui ne cesse de monter entre le gouvernement du Mouvement de la résistance islamique (Hamas), qui contrôle Gaza, et l'Egypte, depuis que Le Caire a entrepris de construire une barrière métallique souterraine pour endiguer le flot de marchandises acheminées par les tunnels de contrebande, vient de dégénérer. Un échange de tirs entre gardes-frontières égyptiens et policiers du Hamas a fait un mort et une demi-douzaine de blessés côté égyptien, et une quinzaine de blessés côté palestinien.

CORDON OMBILICAL

L'incident s'est produit à un peu plus d'un kilomètre de là, à la porte Salahuddin, le long du "couloir de Philadelphie" qui marque la frontière entre les deux territoires. Des manifestants palestiniens s'étaient rassemblés pour protester contre la construction de la barrière égyptienne. Les slogans hurlés par les adolescents palestiniens se sont accompagnés de jets de pierres, auxquels ont répondu des tirs de semonce, et puis tout s'est embrasé.

Les gardes-frontières égyptiens avaient été rendus nerveux par la perspective de l'arrivée imminente d'un convoi humanitaire international à destination de Gaza, bloqué dans le port égyptien d'Al-Arich mercredi soir.

Chez les Gazaouis, l'incompréhension le dispute à une sourde appréhension devant l'avenir : l'"économie des tunnels" est le cordon ombilical de la bande de Gaza.

A Rafah, Ghazi Hamad, responsable de tous les points de passage officiels reliant Gaza à Israël et l'Egypte, se désole : "Nous espérons que nos frères égyptiens vont renoncer, insiste-t-il, qu'ils vont se souvenir que nous sommes comme eux des Arabes et des musulmans et qu'ils doivent nous aider, parce que la relation entre nos deux territoires est stratégique."

Dans la ville de Gaza, Ahmad Youssef, conseiller politique du premier ministre du Hamas, Ismaïl Haniyeh, ne décolère pas : "Pourquoi les Egyptiens apportent-ils leur concours aux efforts des Israéliens pour nous étrangler ? Dans tout le monde arabe, on nous soutient, sauf en Egypte. J'espère que les Egyptiens vont comprendre que cette attitude nuit à leur image."

M. Youssef remarque que "les gens" en concluent que Le Caire cède aux pressions des Etats-Unis et d'Israël.

L'EGYPTE INQUIÈTE DE L'INFLUENCE DU HAMAS

gaza mur egyptien.jpgCette vox populi sonne juste : l'administration américaine a manifestement décidé de rappeler à l'Egypte qu'en échange de son aide annuelle de quelque 1,7 milliard de dollars, elle attend du Caire une attitude plus ferme contre la contrebande d'armes, laquelle emprunte aussi le réseau des tunnels. L'Egypte se fait d'autant moins prier qu'elle s'inquiète depuis longtemps de l'influence du Hamas.

Le régime du président égyptien Hosni Moubarak a, d'autre part, été ulcéré par l'attitude du mouvement, qui, contrairement au Fatah de Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a refusé de signer un plan de réconciliation interpalestinien négocié par l'Egypte.

Omar Shaban, qui dirige à Gaza le centre d'analyses Pal Think, n'a aucun doute : il y a bien, selon lui, une coordination entre Israël, l'Egypte et les Etats-Unis contre le Hamas : "L'Egypte n'avait pas besoin de construire un tel mur, au risque de précipiter une nouvelle catastrophe humanitaire à Gaza, pour adresser un message politique au Hamas. Si elle le fait, c'est parce que tout cela fait partie d'un plan plus vaste."

Pour compenser à terme cet étranglement de la frontière, Israël, assure-t-il, va relâcher l'étreinte du blocus, dans le cadre d'un accord avec le Hamas sur la libération du soldat israélien Gilad Shalit. Cette perspective reste incertaine.

La réalité, les adolescents de Rafah l'observent en grimpant sur les monticules de terre qui bordent la frontière: la "machine de guerre" égyptienne, cette gigantesque foreuse qui creuse la terre pour y enfouir des panneaux d'acier de 18 mètres de hauteur, poursuit son travail de sape contre les tunnels de Gaza.

Laurent Zecchini

21:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gaza, mur, egypte, étranglement |  Facebook | |

Lionel Jospin critique la "désinvolture" de Nicolas Sarkozy

Lionel Jospin anticipe une fin de mandat "difficile" pour le chef de l'Etat. "Quand je vois la désinvolture avec laquelle le président Sarkozy traite son gouvernement et sa majorité, son obstination à se mettre seul constamment en scène, je me dis que la deuxième partie de son quinquennat peut être difficile", explique-t-il.

Prenant l'exemple de la taxe carbone, M. Jospin estime que "l'obsession de l'effet d'annonce et la prise de décision sans débat, dans un cercle restreint tout en haut à l'Elysée, font négliger l'expertise et le sérieux dans la préparation des textes". "L'équipe au pouvoir gouverne mal", fait-il valoir.

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16:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

06/01/2010

Jean-Marie Le Pen souhaite en 2010 un référendum sur l'immigration

Jean Marie Le Pen.jpgLe du , Jean-Marie Le Pen, a prôné mercredi, lors de ses voeux à la presse pour 2010, l'organisation d'un "référendum sur l'immigration", estimant que le "critère ethnique" était une composante de l'identité française. "Sachant que l'immigration massive est l'instrument de son appauvrissement et de sa servitude future, c'est elle qui doit être le sujet d'un référendum, dont le résultat s'imposera de gré ou de force aux oligarques qui dirigent la ", a dit M. Le Pen.


"L'immigration massive pèse sur la vie française, sur ses finances, sur la sécurité, sur le chômage, sur l'école, sur tous les problèmes, de telle manière qu'il faut le résoudre sous peine d'être submergé", a-t-il affirmé, depuis le siège du parti à Nanterre (Hauts-de-Seine). En référence à la votation anti-minarets en Suisse, il a souhaité que les Français puissent "oser dire publiquement dans les urnes ce qu'ils murmurent tout bas que le Front national dit tout haut", voyant dans l'immigration le "problème principal de la France". Une déclaration également valable pour les élections régionales, où son parti, en proie à des difficultés financières depuis les législatives catastrophiques de 2007 (moins de 5%), espère "créer la surprise".


Accusant Nicolas Sarkozy de mener "une politique de métissage forcé", le président du FN, réélu député au Parlement européen en juin, a fustigé les "xénomaniaques, fossoyeurs de l'identité française" et les "européistes", qu'il qualifie de "traîtres à la nation". Selon lui, le débat sur l'identité nationale est monopolisé par les "députés babouches", qu'on appelait autrefois "les députés godillots". Les "dérapages" critiqués lors de ces réunions lui semblent "vraiment modestes", a-t-il précisé. "Moi, je ne roule pas sur les rails de la majorité, par conséquent, j'ai toute ma liberté de parole".


M. Le Pen a jugé "évident" que "le critère ethnique" était une composante de l'identité française. "Je ne m'interdis pas l'usage de ce mot, devenu un tabou sous la pression de la pensée unique", selon lui.

 

De son côté, sa fille Marine, favorite à sa succession à la tête du parti, a envisagé d'offrir au ministre de l'Immigration Eric Besson "l'identité nationale pour les nuls", en référence à une collection de livres. Quant aux "dérapages", elle a fait la leçon au chef de l'Etat qui a "cru faire plaisir au peuple" dont il a une "conception erronée": celle "des fronts bas et du gros rouge qui tâche". Pour sa part, elle a appelé à l'inscription dans la Constitution du "refus de tout communautarisme".

 

Source: AFP

 

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Identité nationale: Noël à Barbès

Images tournées le 25 décembre 2009 à Barbès (Paris, France)…

 

Source: Riposte Laïque et François de Souche