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28/01/2010

Vidéo du jour: Conflit ethnique à Bruxelles entre Blancs et Maghrébins

23 mai 2008: suite au viol d'une jeune fille par quatre maghrébins, des émeutes ethniques opposant des blancs et des maghrébins ont éclaté dans le quartier d'Anderlecht à Bruxelles.

Bruxelles, capitale européenne, compte déjà 30% de musulmans parmi sa population, et deviendra majoritairement musulmane dans quelques décennies...

 

 

 

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27/01/2010

Citation du jour

"L’objectif, c’est de relever le défi du métissage. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement (…) Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra alors que la république passe à des méthodes plus contraignantes encore."

Nicolas Sarkozy, 17 décembre 2008

 

Source: François de Souche

26/01/2010

Citation du jour

"Les Turcs conquièrent l’Allemagne comme les Kosovars ont conquis le Kosovo, par une forte natalité."

 

Thilo Sarrazin, administrateur de la Bundesbank, septembre 2009

 

Source: François de Souche

11:13 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : immigration |  Facebook | |

Anniversaire: 30 janvier 1945, le torpillage du Wilhelm Gustloff

GustloffGotenhafen.jpgLe 30 janvier 1945, le Wilhelm Gustloff est torpillé dans la mer Baltique par un sous-marin soviétique. 7.000 à 9.000 passagers périssent, essentiellement des civils allemands fuyant l'avance de l'Armée rouge.

Il s'agit sans doute de la plus grande catastrophe maritime de tous les temps, plus meurtrière que le naufrage du paquebot Lancastria, au large de Saint-Nazaire, le 17 juin 1940 (environ 5200 victimes), ou encore du Titanic, au large de Terre-Neuve, le 14 avril 1912 (1502 victimes).

Un baptême nazi

En Suisse, un Allemand dénommé Wilhelm Gustloff avait été porté à la tête du parti nazi local. Son zèle antisémite était particulièrement vif. Aussi un jeune activiste juif, David Frankfurter, l'assassina-t-il à Davos en 1936. Hitler décida de baptiser de son nom un paquebot en cours de finition.

Le Wilhelm Gustloff fut lancé à Hambourg le 5 mai 1937 en présence de la veuve du "héros" et du chancelier Hitler.

Il s'agit d'un vaisseau de croisière de grandes dimensions : 208 mètres sur 24, conçu pour transporter un total de 1865 personnes. Il n'a pas de classe de luxe contrairement aux usages du temps.

Le navire, qui fait la fierté de l'Allemagne nazie, accomplit quelques croisières à la fin des années 30. Après la déclaration de guerre de 1939, il est transformé en navire-hôpital et sert à rapatrier des blessés de la campagne de Norvège en 1940. Puis il est mis à quai dans le port de Gothenhafen (Prusse orientale), où on l'utilise dès lors comme caserne flottante.


Gustloff1938.jpg Nuit sans lune

Au tournant de l'année 1945, rares sont ceux qui nourrissent encore des illusions sur l'issue de la guerre. En Allemagne orientale, une multitude de réfugiés civils et militaires fuit l'avance des armées soviétiques. Beaucoup ont pris place à bord du Wilhelm Gustloff, lequel lève l'ancre du port de Gotenhafen au matin du 30 janvier 1945. Leur espoir est d'atteindre Hambourg, qui est encore libre de toute occupation.

La liste officielle fait état de 6.050 personnes à bord : membres d'équipage, soldats et réfugiés. Dans les faits, ce nombre est très supérieur. Il dépasse les 8.000 personnes et de récentes recherches (Heinz Schon) avancent le chiffre de 10.050 personnes !

Dès la première nuit, des sous-marins russes sont signalés. Trois d'entre eux sont repérés et considérés comme sans risque. Un quatrième, le S13, sous le commandement d'Alexandre Marinesko, est resté en rade à Turku (Finlande) sans rejoindre son escadre. Le commandant passe pour difficile à contrôler, porté sur la vodka et les femmes. Après quelques jours de patrouille, il câble à Léningrad : Nous avons sillonné les eaux près de la tanière fasciste, mais aucun de ces chiens n'a osé se montrer ».

Sur le paquebot, au soir du 30 janvier, un matelot fait irruption sur la passerelle avec un message radio. Une formation de dragueurs de mines fait route vers le Wilhelm Gustloff. Le commandant ordonne d'allumer les feux de position pour éviter une collision - en réalité les obstacles signalés n'existent pas.

Par malheur, le sous-marin S13 se trouve alors en patrouille de surface à quelques miles de là, le long de la côte basse de Poméranie antérieure. Son officier de quart signale aussitôt cette proie inespérée.

Marinesko tient sa victime et fait armer quatre torpilles dénommées « pour la mère-patrie », « pour Staline », « pour le peuple soviétique » et « pour Léningrad ». Tirées à 700 mètres sur une cible aussi massive, elles n'offrent guère d'échappatoire et le navire dépourvu de blindage est aussitôt transpercé. Au moins deux des torpilles atteignent la salle des machines.

En moins d'une heure, l'orgueilleux paquebot est coulé. La panique devient générale, les canots de sauvetage pris d'assaut sont couverts de glace par une température de -15 ° C.

Selon le témoignage d'Ursula Resas, les femmes prises de panique abandonnent leurs enfants pour s'échapper plus vite, les matelots, pistolet au poing, réservent l'accès des échelles de coupée aux femmes et aux enfants.

Le mécanicien Johann Smrczek rejoint le pont supérieur aménagé pour les blessés du front oriental. «C'est là que j'ai pris conscience du drame qui se déroulait en bas. À travers les vitres blindées, je ne pouvais les entendre crier. Mais les gens étaient serrés comme des sardines et le pont inférieur était déjà à moitié couvert d'eau. Et j'ai vu des éclairs, des coups de feu. Les officiers tuaient leur propre famille».

996 rescapés sont recueillis par des navires accourus à la rescousse. Cette catastrophe d'une ampleur inégalée est restée quasi-ignorée depuis, enfouie au milieu de tant d'autres drames vécus par les réfugiés allemands d'Europe centrale et orientale à cette époque. En outre, l'extermination des Juifs, rendue publique à la même époque, n'a cessé de rendre dérisoire par comparaison toute référence aux souffrances des Allemands, y compris dans leur propre pays.


Bibliographie

Le romancier Günther Grass (prix Nobel de littérature 1999) évoque le naufrage du Wilhelm Gustloff dans un ouvrage paru en 2002 sous le titre Im Krebsgang (Steidl Verlag, Gengen 2002). Il a été publié en français par le Seuil en octobre 2002 sous le titre "En crabe".

par Gabriel Vital-Durand

Source: Hérodote

 

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25/01/2010

Citation du jour

"Il ressort que chaque immigré qui franchit la frontière (250 000 par an) coûte 100 000 euros par an à la collectivité nationale, soit vingt fois plus que les Corses."


Yves-
Marie Laulan, économiste, président de l’Institut de géopolitique des populations, novembre 2005.

 

Source:  François de Souche

18:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

22/01/2010

La citation du jour

"Si on arrive déjà à socialiser les enfants, à parvenir à ce qu’ils s’écoutent, et à leur faire parler une langue qui ressemble au français, je serai content !"

Xavier Darcos, ministre de l’Education nationale, Le Figaro, 22 octobre 2008

 

Source:  François de Souche

13:27 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : darcos |  Facebook | |

20/01/2010

Les sondages de l'Elysée exclus de l'enquête parlementaire

La commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur les sondages de l'exécutif, qui doit être mise en place prochainement, exclura l'Elysée de son champ d'investigation.

La commission des Finances de l'Assemblée, qui examinait ce mercredi la demande du groupe PS de créer cette commission d'enquête, a adopté un amendement en ce sens de son rapporteur, Olivier Carré (UMP).

Après un long débat parfois tendu, l'amendement a été adopté par 38 voix (UMP et Nouveau Centre) contre 25 (PS-PC-Verts). Les trois députés UMP "villepinistes", Marie-Anne Montchamp, Hervé Mariton et François Goulard, se sont abstenus.

Dans l'exposé des motifs de son amendement, Olivier Carré estime que la proposition de résolution socialiste "embrasse un champ trop large qui fragilise l'objet même de la commission d'enquête".

Il affirme que son amendement a pour objet de "préciser que le champ d'investigation de la commission d'enquête portera sur les enquêtes d'opinions commandées et financées sur les crédits des programmes du budget de l'Etat".

Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS, a fustigé la majorité. "Une nouvelle fois la majorité a décidé de violer le droit du groupe socialiste à constituer une commission d'enquête parlementaire sur les sondages, en faisant voter des amendements qui la vident de sa substance", dit-il dans un communiqué.

La demande du groupe PS, telle qu'elle a été modifiée mercredi, sera examinée le 27 janvier en séance publique. Seul un vote hostile à la majorité des 3/5e des députés pourrait empêcher la création de cette commission.

En novembre, la commission des Lois du Palais-Bourbon et le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer (UMP), s'étaient opposés à une première demande du groupe socialiste de créer une commission d'enquête sur les sondages de l'Elysée.

Epinglé l'été dernier par la Cour des comptes pour des sondages payés par l'Elysée et publiés dans des médias proches du pouvoir, la présidence avait communiqué les factures à l'Assemblée. Son budget sondages pour 2008 s'est élevé à 3,281 millions d'euros. Il est évalué à 1,631 million en 2009.

Emile Picy, édité par Yves Clarisse

Source: REUTERS

15:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : élysée, sondages |  Facebook | |

18/01/2010

Zemmour : “Pie XII-Hitler, c’est comme le CRS-SS de 1968″

Ce matin sur RTL, Eric Zemmour réagissait à la visite de Benoît XVI à la Synagogue de Rome.

 

Source: François de Souche

13:02 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zemmour, gauchisme |  Facebook | |

La Norvège se désinvestit de la société israélienne Elbit

europe_israel.jpg(7 septembre 2009). La ministre norvégienne des Finances, Kristin Halvorsen, a annoncé jeudi que la société israélienne Elbit ne serait plus soutenue par le fond de pension scandinave pour des "raisons morales".

Le matériel de l'entreprise est utilisé pour surveiller la barrière de sécurité construite en Judée-Samarie.

"Nous refusons de financer des entreprises qui contribuent ouvertement à l'infraction du droit humanitaire international", a déclaré Halvorsen. Elle a ajouté que les actions avaient discrètement été revendues avant l'annonce officielle.

Selon la ministre, "le mur de séparation entrave de manière éhontée les déplacements des Palestiniens de la Judée-Samarie. Par conséquent, investir dans une entreprise qui participe à un tel projet revient à "contribuer à la violation de normes éthiques fondamentales".

Par ailleurs, deux autres compagnies ont été visées par le communiqué norvégien : l'entreprise française de défense Thales SA et l'exploitant minier d'Afrique du Sud DRD Gold Ltd.

La Norvège est un important exportateur de pétrole et de gaz naturel. Les revenus excédentaires de l'Etat sont placés sur le fond de pension global du gouvernement afin d'éviter que des fonds étrangers ne prennent trop de place dans l'économie intérieure du pays.

Le fond recueille actuellement, sous l'égide de la Banque centrale, l'équivalent de 333 milliards de dollars. Depuis 2004, un conseil éthique vérifie tous les investissements nationaux et publie régulièrement des recommandations.

Source: Parti Antisioniste

11:45 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, boycott, norvège |  Facebook | |

Afghanistan: les talibans lancent des kamikazes à l'assaut de la présidence

Un soldat afghan près d'un bâtiment en feu dans le centre de Kaboul, le 18 janvier 2010 (Photo Shah Marai/AFP)

Lundi 18 janvier 2010, 09h24
Les talibans ont lancé lundi des kamikazes à l'assaut du palais présidentiel et de ministères au centre de Kaboul, d'où retentissaient de puissantes explosions et des tirs nourris, et au moins 13 personnes avaient déjà été blessées en fin de matinée.

Quatre kamikazes sont morts, deux en actionnant leurs bombes et deux ont été tués par les forces afghanes de sécurité, dans ces attaques, a annoncé le porte-parole du ministère de l'Intérieur.

"Les objectifs sont le palais présidentiel, les ministères de la Justice, des Finances et des Mines, et la Banque centrale", a déclaré à l'AFP Zabibullah Mujahid, un porte-parole du commandement des talibans, par téléphone depuis un lieu inconnu.

"Vingt de nos kamikazes sont entrés dans la zone et les combats sont en cours", a-t-il ajouté, affirmant qu'un assaillant avait actionné sa ceinture d'explosifs à l'entrée du palais.

Plus de deux heures après une première déflagration et le début des attaques, des journalistes de l'AFP ont entendu une deuxième puissante explosion et les tirs nourris d'armes automatiques n'ont jamais cessé.

Carte de l'Afghanistan (Photo /AFP/Infographie)

Les télévisions afghanes ont montré un centre commercial en feu - attaqué par les talibans selon elles -, les forces de sécurité prenant position autour.

De la fumée s'élevait près d'un deuxième centre commercial à un kilomètre de là, le Gulbahar Centre, proche de l'hôtel Serena et où des tireurs embusqués de l'armée afghane ont pris position.

Une télévision afghane montrait une voiture calcinée avec les restes d'un corps humain.

L'air était saturé d'odeur de poudre et les rues de Kaboul bloquées par les forces de police dans le centre de la capitale.

"Pour l'heure, treize personnes blessées, pour la plupart des civils, ont été évacuées dans nos hôpitaux", a déclaré Ahmad Farid Rahid, le porte-parole du ministère afghan de la Santé.

La police a "tué au moins deux insurgés armés dans le centre commercial après avoir nettoyé le bâtiment", a indiqué l'Otan dans un communiqué.

Les "objectifs" des talibans sont tous concentrés autour de la place Pachtounistan, un quartier hautement protégé et sécurisé en raison de la présence de bâtiments officiels.

Des policiers afghans sur le site où a explosé une roquette, le 15 janvier 2010 à Kaboul (Photo Massoud Hossaini/AFP)

La force internationale de l'Otan (Isaf) a confirmé l'attaque et assuré aider les Afghans à "sécuriser la zone".

Les piétons ont fui ce quartier commercial très fréquenté, après la première explosion, a déclaré à l'AFP au téléphone un commerçant du quartier, Bahram Sarwary. "J'ai vu de la fumée s'élever d'un bâtiment situé près de la Banque centrale et du palais présidentiel et j'ai vu au moins une personne blessée", a-t-il ajouté.

Les attaques étaient relativement rares à Kaboul depuis la chute du régime des talibans fin 2001, mais elles se multiplient ces derniers mois alors que l'insurrection gagne du terrain.

Le 15 décembre, huit personnes avaient péri dans un attentat suicide près d'un hôtel accueillant des étrangers dans le centre de Kaboul.

Et fin octobre, huit personnes, dont au moins cinq employés étrangers de l'ONU, avaient été tuées dans l'attaque par les talibans d'une maison d'hôtes des Nations unies en plein centre-ville.

Les tirs de roquettes ont également connu une recrudescence dans les quartiers résidentiels de la capitale.

L'Afghanistan est en proie à l'insurrection meurtrière des talibans, en dépit de la présence de plus de 113.000 soldats étrangers.

L'année 2009 a été la plus meurtrière depuis la chute du régime taliban en 2001, aussi bien en ce qui concerne les victimes civiles que les forces de sécurité afghanes et internationales.

Source: L'Internaute