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26/06/2009

24 juin 2008 - Le président français Sarkozy visé par des assassins en Israël : deux morts

Par Sorcha Faal


24 juin 2008 - Le Service de la Sécurité Fédérale de la Fédération de Russie fait savoir ce jour au Premier ministre Poutine et au Président Medvedev que le président français Nicolas Sarkozy a « échappé de justesse » à une tentative d'assassinat, lors de son départ de l'aéroport israélien Ben Gourion (à Tel Aviv), au cours d'une attaque qui s'est soldée par la mort d'un officier de sécurité français et d'un policier israélien.

tentative assassinat 1.jpgQuant au récit « aseptisé » que la propagande occidentale fournit à ses peuples, au sujet de cette tentative d’assassinat de Sarkozy, nous pouvons le lire sur le site israélien [du quotidien Yediot Ahronot] Ynet News Service :

«
L’incident a causé une grande frayeur durant la cérémonie (d’adieu), amenant des gardes du corps à éloigner précipitamment des lieux de hautes personnalités. Les voitures blindées du Président (israélien) Shimon Peres et du Premier ministre Ehud Olmert ont été très rapidement dépêchées sur le site de la cérémonie, et ces deux personnalités ont été éloignées de l’endroit.

En même temps, le Président français était promptement emmené à l’intérieur de son avion (privé), qui attendait sur la piste, par ses propres gardes du corps. Les circonstances de l’incident ayant été élucidées, les gardes du corps ont autorisé Peres et Olmert à monter à bord de l’avion (présidentiel français), où ils ont salué et souhaité un bon voyage à Sarkozy.
»

Les analystes de la Sécurité russe affirment, par ailleurs, que cette « première version » des reportages médiatiques de la propagande occidentale, à savoir qu’un Policier des Frontières israélien se serait « suicidé » durant la cérémonie d’adieu à l’issue de la visite du Président Sarkozy est « rocambolesque », et qu’elle ne parvient pas à démentir cette tentative d’assassinat, étant donné que seuls, les policiers les plus formés et ayant le plus de « bouteille » sont autorisés à approcher des chefs d’Etat étrangers par l’Institut Israélien du Renseignement et des Opérations Spéciales, plus connu sous son acronyme hébreu de Mossad.

Ces rapports d’analyse des services russes insistent sur le fait que le Premier ministre israélien Olmert venait tout juste (la semaine passée) de prolonger le mandat du directeur du Mossad, Meir Dogan, pour deux années supplémentaires, en raison de la colère « extrême » de Dogan à l’encontre du dirigeant français, motivée par le fait que celui-ci a rétabli les relations entre son pays et le Liban et la Syrie, deux anciens protectorats coloniaux français.

La « colère » de cet extrémiste de droite israélien contre le président Sarkozy s’est transformée en « haine », poursuivent ces rapports, après le discours de Sarkozy devant la Knesset, au cours duquel il a affirmé que Jérusalem doit être partagée, et, comme nous pouvons le lire dans la dépêche du Washington Post News Service :

« Le Président français Nicolas Sarkozy a dit, devant le Parlement israélien, lundi, qu’il ne saurait y avoir de paix au Moyen-Orient tant qu’Israël ne serait pas revenu sur son refus de céder sa souveraineté sur certaines parties de Jérusalem revendiquées par les Palestiniens, défiant ainsi une des positions israéliennes les plus intangibles émotionnellement. »

A encore alimenter la colère d’Israël contre le Président Sarkozy fut la demande que celui-ci a adressée aux Israéliens de mettre immédiatement un terme à leur construction de colonies sur le territoire palestinien, ainsi que la précipitation dont la France fait montre, depuis récemment, à fournir des centrales nucléaires à ses alliés arabes (dont, notamment les Emirats Arabes Unis, la Jordanie et le Maroc).

tentative assassinat 2.jpg

Les analystes stratégistes russes indiquent que les factions de droite du gouvernement israélien sont susceptibles de se sentir « entièrement fondées » à assassiner le Président Sarkozy, étant donné qu’il est lui-même d’origine juive (et qu’il a perdu cinquante-sept membres de sa famille lors du génocide nazi), et qu’en vertu de la législation israélienne, il est un citoyen d’Israël et que, donc, en raison de ses négociations avec des ennemis d’Israël au sein du monde arabe, il est, toujours sous l’empire de cette législation, un traître.

Il convient de rappeler que les forces fanatiques de l’extrême droite israélienne ont souvent recouru aux assassinats par le passé, avec notamment, en 1995, l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin par le juif orthodoxe Yigal Amir, « motivé » par le fait que Rabin avait négocié les accords d’Oslo avec les Palestiniens.

Source :
Whatdoesitmean

Traduction : Marcel Charbonnier

Elizabeth Levy avoue, hors-micro, que les ministres français reçoivent leurs ordres directement du CRIF

France = judéocratie (plus que jamais sous l'ère Sarkozy!)


 

Voir la biographie de Roger Cukierman, ancien président du CRIF et vice-président du Congrès Juif Mondial:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Cukierman

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25/06/2009

Karachi, les curieux oublis de la justice

Par GUILLAUME DASQUIE

Site de l'attentat qui a fait 14 morts et et 12 blessés le 8 mai 2002 à Karachi.

Site de l'attentat qui a fait 14 morts et et 12 blessés le 8 mai 2002 à Karachi. (© AFP Rehan Arif)

Dès le début de l’affaire, les cadres de la DCN (Direction des constructions navales) se montrent convaincus que l’attentat du 8 mai 2002 contre son personnel à Karachi résulte directement de ses engagements contractuels dans ce pays. C’est-à-dire un contrat signé le 21 septembre 1994 pour livrer et fabriquer trois sous-marins au Pakistan. Enjeu : 950 millions de dollars. C’est l’une des nombreuses révélations du dossier d’instruction dont Libération a pu prendre connaissance, et qui éclairent l’hypothèse d’un attentat lié à des différends autour de commissions versées en marge de la vente des sous-marins.

L’avertissement de la DCN

Ainsi, le 2 septembre 2002, Philippe Japiot, patron de la branche internationale du groupe, écrit au juge Jean-Louis Bruguière pour que sa société se constitue partie civile. Argument avancé dans ce courrier de trois pages : «C’est à raison de l’exécution de ce contrat que les onze ingénieurs et techniciens ont été assassinés [dans l’explosion du bus, ndlr] dans des conditions particulièrement odieuses et que douze de leurs collègues ont été gravement blessés dans l’exercice de leur mission.» Et d’affirmer que la DCN «se trouvait directement visée par les faits de terrorisme». Philippe Japiot termine sa lettre en soutenant : «C’est parce que DCN-International a conclu et mené à bien le contrat du 21 septembre 1994 que des personnels ont été pris pour cible.» A la lecture de cette correspondance, personne ne semble croire à l’hypothèse d’un attentat aveugle chez les responsables militaires français (la DCN, dont les avocats ont accès au dossier, est à cette époque une émanation directe du ministère français de la Défense, alors sous la tutelle de Michèle Alliot-Marie).

Mieux, pour que le magistrat instructeur suive ce raisonnement, Philippe Japiot lui transmet un exemplaire - certes tronqué - du fameux contrat du 21 septembre 1994. Sur les 162 pages de cet accord, Jean-Louis Bruguière n’en reçoit que sept. Celles-ci comportent un sommaire général du contrat, où apparaît l’existence d’une clause numéro 47 consacrée aux paiements de commissions, précédée d’une clause secrète frappée du numéro 46. Jamais le juge d’instruction ne demandera une copie intégrale du contrat.

Les confidences américaines

Pourtant, les premières investigations effectuées à Karachi auraient pu orienter le magistrat. Dès le 11 mai 2002, le procureur Michel Debacq, en charge du pôle antiterroriste de Paris, installe ses quartiers au consulat de France de Karachi pour mener l’enquête en accord avec les autorités civiles pakistanaises. Il reçoit la visite de Randall Bennett, responsable du service de sécurité diplomatique de l’ambassade des Etats-Unis. Cet enquêteur américain dirige alors depuis quatre mois une cellule d’investigation travaillant en étroite collaboration avec la police pakistanaise pour tenter de retrouver les assassins du journaliste Daniel Pearl. Il répercute à Michel Debacq les confidences que ses équipiers ont recueilli auprès de leurs collègues pakistanais. Selon eux, l’attentat ne serait pas imputable à Al-Qaeda et ne serait pas lié aux tensions entre des groupes islamistes et des puissances occidentales. Le mobile serait à rechercher dans la coopération bilatérale pour la vente et la construction des sous-marins.

Un courriel émanant d’un adjoint de Bennett, versé au dossier, confirme que dès le 9 mai les policiers locaux privilégient cette analyse. À l’exception de ce courriel, tous les procès-verbaux provenant de ce transport judiciaire à Karachi seront annulés en 2003 par la cour d’appel de Paris, pour vice de compétence territoriale. Simple problème de procédure regrette-t-on alors à la chancellerie. Mais jamais on ne tentera de reconvoquer Randall Bennett pour recueillir dans de meilleures conditions, à Paris, ses informations. Pourtant, l’homme ne se cache pas. Il y a quelques mois, nous avons retrouvé sa trace alors qu’il travaillait pour l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad.

L’investigation financière

Ces conjonctions d’appréciations s’inscrivent dans un contexte particulier. Entre l’été 2001 et début 2002, une tempête judiciaire secoue les arrangements financiers entre l’état-major de Karachi et la DCN. La Cour des comptes pakistanaise boucle des investigations sur des pactes de corruptions passés par des officiers pakistanais avec des responsables français pour obtenir la signature du contrat des sous-marins Agosta 90B. Le 30 janvier 2002, lors d’une audience devant la première chambre de Rawalpindi, l’amiral en chef de la marine, Mansur ul-Haq, plaide coupable pour avoir reçu des Français près de 7 millions de dollars en guise de remerciement. Le chef du service de renseignement de la marine pakistanaise écope de sept ans de prison, et un capitaine de trois ans de prison.

Dans le dossier pénal de l’attentat, aucune trace de ces affaires sulfureuses, alors même qu’elles paraissent avoir conditionné le partenariat autour du chantier de la DCN à Karachi. Curieux. D’autant qu’à Paris, des homologues à la Cour de discipline budgétaire partagent le même intérêt pour les volets financiers de ces relations sous-marines. Un magistrat détaché auprès de la Cour sollicite le 28 mars 2002 la levée du secret-défense pour obtenir des comptes rendus de réunions tenues à Matignon (sous le gouvernement d’Edouard Balladur, dont le ministre du Budget était Nicolas Sarkozy), entre le 2 juillet 1993 et le 2 septembre 1994 et portant sur les volets financiers de la vente des sous-marins. Le 6 juin 2002, la Commission consultative du secret de la défense nationale a donné son accord à la déclassification de ces notes. Hélas, là encore, le dossier pénal n’en a pas profité. Jusqu’à présent.

L’enquête relancée

Depuis quelques mois, les juges Yves Jannier et Marc Trévidic, qui remplacent Jean-Louis Bruguière (après son départ pour suivre une carrière politique aux côtés de l’UMP), ne semblent pas vouloir écarter d’emblée l’examen d’un éventuel mobile financier. La semaine dernière, ils confiaient aux familles des victimes qu’il s’agissait d’une «piste cruellement logique». Deux semaines plus tôt, le 15 mai, ils auditionnaient le directeur financier de la DCN, un ancien cadre de la direction du Trésor. Un pro des comptes qui a éclairé la répartition des 10,25 % de commissions prévues par le contrat, soit près de 100 millions de dollars. Un pactole distribué, parfois de manière occulte, vers divers intermédiaires politiques et militaires en France et au Pakistan. Certains fréquentables, d’autres un peu moins. Après sept ans d’une prudence consommée, l’enquête démarre enfin.

Source: Libération

http://www.liberation.fr/societe/0101576062-karachi-les-c...

“Pendre Saakachvili” : Poutine persiste et signe

Reprise d'article

Posté par Kris Roman le décembre 4, 2008

http://tempsreel.nouvelobs.com/index.html

A la question : “Est-il vrai que vous avez voulu pendre [le président géorgien, ndlr] Saakachvili par un endroit particulier ?”, le Premier ministre russe a répondu : “Pourquoi par un seul endroit ?”

Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a laissé entendre jeudi qu’il aurait volontiers pendu par les testicules le président géorgien Mikheïl Saakachvili au cours de la guerre russo-géorgienne en août.
“Est-il vrai que vous avez voulu pendre Saakachvili par un endroit particulier ?”, a demandé un auditeur en direct au téléphone au cours d’une séance de questions-réponses télévisée.
“Pourquoi par un seul endroit ?”, a répondu Vladimir Poutine avec un regard rigolard bien appuyé, déclenchant dans le studio des rires et quelques applaudissements.

Même sort que Saddam

“Parlons sérieusement. Nous connaissons des événements tragiques dans une région, l’Irak”, où les forces américaines sont intervenues “sous prétexte de chercher des armes de destruction massive qui n’ont jamais été trouvées”, a-t-il poursuivi.
“Le chef de l’Etat (Saddam Hussein) a été pendu pour des exactions dans des villages chiites. Saakachvili a organisé un bain de sang et des exactions contre les Ossètes”, a affirmé Vladimir Poutine.

Sainte Russie

“S’il n’y avait pas eu d’agression [géorgienne en Ossétie du Sud, ndlr], la Russie aurait continué de créer les conditions pour une réunification de la Géorgie. Le peuple géorgien doit décider quelle est la responsabilité de l’homme politique qui a conduit à une telle situation”, a-t-il souligné.
L’auditeur faisait allusion à des propos publiés mi-novembre dans Le Nouvel Observateur, selon lequel le Premier ministre russe aurait dit vouloir “faire pendre par les couilles” le président géorgien Mikheïl Saakachvili pendant la guerre en Géorgie.

Coutumier des déclarations de ce genre

Vladimir Poutine avait déclaré le 12 août au cours d’une rencontre avec le président français Nicolas Sarkozy venu négocier à Moscou un cessez-le-feu : “Saakachvili, je vais le faire pendre par les couilles”, selon des propos du conseiller diplomatique à l’Elysée, Jean-David Levitte, rapportés par Le Nouvel Observateur.
Ces propos n’ont pas été démentis en novembre par le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov.
Vladimir Poutine est un adepte des déclarations fleuries de ce genre. Il s’est notamment illustré en se disant prêt à “buter les terroristes jusque dans les chiottes”.

Source: http://eurorus4fr.wordpress.com/2008/12/04/pendre-saakach...

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23/06/2009

Liberté d'expression en France: "C dans l'air" condamnée pour provocation à la haine envers les Roms

Article publié le 07 Mai 2009

L'ancien PDG de France Télévisions, Marc Tessier, a été condamné, jeudi 7 mai, par le tribunal correctionnel de Paris pour provocation à la haine envers les Roms, après avoir diffusé en février 2005, sur France 5, une émission "C dans l'air" consacrée à la délinquance parmi les gens du voyage. En revanche, l'animateur Yves Calvi, ainsi que le criminologue Xavier Raufer, invité sur le plateau de l'émission, ont été relaxés, les magistrats de la 17e chambre considérant que leurs propos n'avaient pas "incité le public à la discrimination envers les Roms".

Source : LE MONDE.FR avec AFP

Commentaires du PNF:

Cette condamnation envers une émission d'information, est une énième preuve de la dérive liberticide et du terrorisme intellectuel qui sévissent en France. Tout le monde sait que les Roms, gentiment appelés "gens du voyage", vivent le plus souvent de vols et autres arnaques aux services sociaux. Le fait qu'il n'est même pas permis d'exprimer cette réalité et d'en débattre est tout simplement une honte pour la justice de notre pays et une atteinte à nos libertés fondamentales.

 

 

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22/06/2009

Villepin, absent au Congrès, tacle Dati et Sarkozy

L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin ne se rendra pas au Congrès réuni par Nicolas Sarkozy lundi et conseille au président de la République d'arrêter "les petites réformes dont on ne voit pas toujours le résultat".

DOMINIQUE DE VILLEPIN CRITIQUE LES "PETITES RÉFORMES" DE NICOLAS SARKOZY

Interrogé sur Canal Plus, Villepin a également critiqué l'action au ministère de la Justice de Rachida Dati, qui devrait quitter le gouvernement la semaine prochaine en raison de son élection au Parlement européen.

Prié de dire s'il irait à Versailles, en tant qu'ancien Premier ministre, pour assister au discours de Nicolas Sarkozy devant les parlementaires, Dominique de Villepin a répondu sans s'attarder sur le sujet : "Je n'y serai pas puisque je serai à Strasbourg".

Jacques Chirac et le président du Conseil constitutionnel Jean-Louis Debré seront également absents, selon Le Figaro.

Dominique de Villepin a souhaité que Nicolas Sarkozy, qui dévoilera les grands axes de sa politique lundi, soit "plus concentré sur des réformes de grande ampleur plutôt que dispersé sur une multitude de petites réformes dont on ne voit pas toujours le résultat."

"Est-ce que nous ne nous sommes pas trop dispersés dans l'action que nous avons menée, est-ce que nous n'avons pas négligé un certain nombre de sujets importants pour les Français?", a-t-il demandé.

Les priorités de la majorité devraient être, selon lui, de "réduire les déficits publics" et de "donner la priorité à l'emploi".

"Après, on pourra, si besoin est, considérer l'allongement de la durée du travail. Faisons en sorte que le marché du travail fonctionne et on allongera éventuellement si c'est nécessaire", a-t-il dit.

Interrogé sur le bilan de Rachida Dati au ministère de la Justice depuis deux ans, l'ancien Premier ministre a répondu en souriant : "C'est à Nicolas Sarkozy de répondre."

Explicitant sa réponse, Dominique de Villepin a poursuivi : "Je crois qu'il y a eu beaucoup d'occasions perdues, beaucoup d'attente du coté du monde judiciaire, beaucoup de dossiers qui sont restés pendants, beaucoup de réformes qui ont été engagées et pas toujours abouties."

Malgré tout, l'UMP reste sa "famille politique". "On peut être chez soi même quand il y a des tensions et parfois quelques inélégances", a dit Dominique de Villepin, qui comparaîtra en correctionnelle à partir du 21 septembre dans le cadre de l'affaire Clearstream.

Il est soupçonné d'avoir participé à une machination visant à déstabiliser Nicolas Sarkozy. L'ancien ministre des Affaires étrangères puis Premier ministre de Jacques Chirac s'est dit persuadé d'être innocenté par la justice.

Clément Guillou, édité par Guy Kerivel (Reuters)

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20/06/2009

Affaire Sarkozy/Balladur: la France aurait déjà riposté à l'attentat de Karachi

Les magistrats chargés de l'enquête sur l'attentat anti-français de Karachi en mai 2002 suspectent les services secrets français d'avoir déjà conduit une opération de représailles au Pakistan, apprend-on de source proche du dossier.

Des agents français ont mené une action armée contre des militaires pakistanais tenus pour responsables de l'attentat qui a tué 14 personnes, dont 11 ingénieurs et techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN), selon au moins un témoignage et un document versés au dossier.

Citant des sources non identifiées, le journal Libération affirme samedi que les agents français de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) ont "cassé les jambes" de trois amiraux pakistanais et tué un officier de rang inférieur.

Ce bilan supposé ne figure cependant pas au dossier judiciaire. Le ministère de la Défense français ne commente pas "tout ce qui de près ou de loin, vrai ou faux, concerne une procédure judiciaire en cours", a dit un porte-parole.

Selon les pièces du dossier, l'action de la DGSE semble avoir été menée après l'attentat, mais elle pourrait aussi l'avoir précédé, les militaires pakistanais menaçant déjà à ce moment les autorités françaises pour qu'elles paient des sommes estimées dues sur un contrat d'armement.

Pour Me Olivier Morice, avocat des familles de victimes, l'existence d'une action, si elle se confirme, démontre que l'Etat savait dès le départ que l'attaque de Karachi ne pouvait pas être imputée à des activistes islamistes.

"C'est invraisemblable que les familles n'aient pas été prévenues", a-t-il dit à Reuters samedi.

"Si l'action a été menée avant l'attentat, on aurait pu prendre des mesures pour protéger nos ressortissants. Si c'est après, l'Etat français savait que l'attaque n'était pas un attentat terroriste", a-t-il ajouté.

DEMANDES D'AUDITION

Me Morice entend demander dès la semaine prochaine aux magistrats des auditions dans le milieu de la défense nationale et veut qu'ils entendent aussi des responsables politiques.

La version d'un attentat mené par des activités islamistes a été soutenue officiellement par la France et le Pakistan pendant sept ans. Deux islamistes condamnés à mort en 2003 au Pakistan ont cependant été acquittés en appel en mai.

Les deux juges d'instruction chargés de l'affaire, Yves Jannier et Marc Trévidic, ont officiellement informé les victimes jeudi qu'ils privilégiaient le scénario d'une implication des services pakistanais.

Selon des participants à la réunion, le juge Marc Trévidic leur a déclaré que la piste d'une opération commanditée par des militaires pakistanais était "cruellement logique".

Les juges disposent d'éléments matériels démontrant que le paiement de commissions, légal à l'époque, avait été convenu au moment de la signature en 1994 entre la DCN et le Pakistan d'un contrat sur la livraison de sous-marins Agosta.

D'autres pièces du dossier montrent que le paiement de ces commissions a été interrompu en 1996 sur ordre de Jacques Chirac, devenu alors chef de l'Etat.

Enfin, les juges ont obtenu la transmission à leur procédure des documents d'une autre enquête visant la DCN, où est soupçonné un financement de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995 via les marchés d'armement, a-t-on appris samedi de source proche du dossier.

L'hypothèse est donc que l'arrêt des paiements de commissions au Pakistan serait lié au fait que Jacques Chirac avait découvert un retour d'argent ayant profité à Edouard Balladur, son rival malheureux à la présidentielle de 1995.

En 2000, le versement de commissions a été rendu illégal après la signature par la France d'une convention internationale, ce qui pourrait être l'origine du litige avec le Pakistan.

Ministre du Budget en 1993-1995, et directeur de la campagne d'Edouard Balladur, le président Nicolas Sarkozy a déclaré vendredi à Bruxelles que le scénario retenu par les juges était fantaisiste.

"Ecoutez, franchement, c'est ridicule", a-t-il dit "C'est grotesque, voilà. Respectons la douleur des victimes. Qui peut croire à une fable pareille ?".

Thierry Lévêque, édité par Guy Kerivel (Reuters)

19/06/2009

Le nom de Nicolas Sarkozy dans une affaire de corruption?

Ca remonte à 1993-95, quand il était ministre du budget

Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy
REUTERS/© Charles Platiau / Reuters

C'est quoi cette histoire?
Ca remonte à longtemps, la période 1993-95, où Nicolas Sarkozy est ministre du budget du gouvernement d'Edouard Balladur. D'après Bakchich.info, il aurait donné son accord pour la création d'une entreprise au Luxembourg, baptisée Heine, qui servait à faire transiter des commissions dans les affaires de ventes d'armes. Un peu comme l'affaire des frégates de Taïwan (pour vous rafraîchir la mémoire, cliquez ici). La DCN (direction des constructions navales) aurait vendu pour 60 milliards de francs d'armes entre 1991 et 2002, dont 6 milliards de commissions.

Là où le bât blesse
"La création de la société Heine au second semestre 1994 s'est faite après accord de Nicolas Bazire, directeur de cabinet du premier ministre Edouard Balladur, et du ministre du budget Nicolas Sarkozy, et fait un lien entre le financement de la campagne électorale de M. Balladur pour l'élection présidentielle de 1995" peut-on lire dans le rapport de police que s'est procuré Bakchich. Deux précisions. Les commissions étaient autorisées jusqu'à l'an 2000 (et la mise en place de la charte de lutte contre la corruption). En revanche, le financement de la campagne électorale, s'il était avéré, ne l'était pas.

A l'origine d'un attentat?
Mediapart.fr évoque le rôle trouble d'un agent français né au Liban Ziad Tiakkedine qui aurait facilité la vente de sous-marins au Pakistan en 1994. Mais une fois que Jacques Chirac a été élu, il a coupé court aux versements des commissions. Ce qui aurait entraîné en représailles l'attentat de Karachi, au Pakistan, en 2002, où 12 Français travaillant pour la... DCN avaient trouvé la mort.

No comment
20minutes.fr a joint l'Elysée, qui n'a pas souhaité faire de commentaires.

18/06/2009

Air France porte plainte après un acte de sabotage

Deux faisceaux électriques reliés à un détecteur de fumée ont été sectionnés sur l'aéroport de Düsseldorf. Une "panne" cependant sans gravité.

C’est au moment du décollage, le 4 juin dernier sur l’aéroport de Düsseldorf en Allemagne, qu’un voyant a signalé une panne du détecteur de fumée situé dans une soute à bagages, sur un Airbus A318 d’Air France. Un incident pour lequel la compagnie française a décidé de porter Air-France-porte-plainte-apres-un-acte-de-malveillance_img_234_199.jpgplainte, estimant qu’il s’agissait là d’un acte de malveillance. Une hypothèse également retenue par la gendarmerie des transports aériens.

L’alerte a été donnée par le commandant de bord. Mais cette panne de niveau 2 n'étant pas considérée comme majeure, l'avion n’a pas été contraint d’être immobilisé et a pu rallier l'aéroport de Roissy normalement.

Après l’atterrissage en France, des mécaniciens d'Air France ont découvert que deux faisceaux électriques reliés à ce détecteur avaient été sectionnés. "Apparemment, le saboteur disposait d'un accès aux pistes et il avait des connaissances en aéronautique", précise Le Point. Les fils électriques auraient pu être coupés grâce à un cutter.

Air France assure que ce type de panne [on croit rêver, ils utilisent le mot "panne" au lieu du mot "sabotage". Décidément, la guerre sémantique fait rage chez Air France...] n’est pas exceptionnel. Mais "cet incident prend un relief particulier après la catastrophe du Rio-Paris", reconnaît une source aéroportuaire. Le vol AF 4447 Rio-Paris a disparu au large des côtes brésiliennes dans la nuit du 31 mai au 1er juin avec 228 personnes à bord.

Source: http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Faits-divers/...

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17/06/2009

Dieudonné s'exprime librement sur la télévision québécoise


 

PNF:

Nous ne sommes bien entendu pas d'accord avec Dieudonné sur la question essentielle de la Turquie, et également concernant l'immigration en France. Sur le reste, Dieudonné est un valeureux défenseur de la liberté d'expression, en cela il faut le défendre, car on est peu de choses aujourd'hui en France face au tout-puissant lobby sioniste.