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08/06/2009

Le crash du Rio-Paris dû à un attentat? Une hypothèse très probable

http://www.france-info.com/IMG/jpg/Crash-VolAF447-Q.jpg

A ce stade, la version officielle du crash de l’avion Air France est que primo la vitesse de l'Airbus A330 était « erronée » et que secundo un « enchaînement d'événements catastrophiques » a conduit à sa désintégration en vol.  Un peu court comme analyse… Albert Soued, spécialiste du Moyen Orient, effectue (en réponse à ma demande et en exclusivité pour monde-info et drzz.info) l’analyse suivante, un peu plus étoffée que la version officielle : « Les experts restent très prudents et n'écartent plus l'"éventualité d'un attentat", à moins que, fort de 11 000 heures d'expérience en vol, le pilote chevronné ne soit devenu assez fou pour entrer de plein fouet dans l'oeil d'une forte turbulence, au lieu de la contourner.

 

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FOX NEWS révèle qu'Air France avait reçu des menaces de bombes, une première fois en Argentine, le 27 mai et peut-être avant ce vol. En effet, il y a des habitudes qui ont été prises vis à vis d'une France considérée comme le maillon faible de l'Europe, puisqu'elle préfère l'apaisement à la confrontation ("la paix à tout prix") : - les attentats télécommandés par l'Iran dans les années 80/90 ; - l'attentat de Toulouse camouflé en accident :on a confirmé les 2 détonations, c'est à dire qu'un explosif assez puissant a déclenché l'explosion de l'engrais normalement inerte ; - aujourd'hui un crash suspect, car 2 avions allemands passant quelques minutes après l'avion d'Air France n'ont rien subi, et les avions sont superprotégés contre le risque de foudre. Il faut savoir que Rio est infesté d'agents du Hezbollah.

 

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Par ailleurs, la France a ouvert une base sur le golfe persique, en grande pompe et en pays sunnite, et cela ne plaît guère aux ayatollahs. La France ne veut pas perdre le Liban lors des élections du 7 juin : on ne serait pas étonné que nos responsables aient reçu un message leur demandant de ne pas s'opposer à l'arrivée au pouvoir au Liban d'une coalition pro-iranienne...sinon les attentats vont continuer... On n'a pas fini de parler du Moyen Orient, surtout avec Obama. Celui-ci se pliera aux exigences nucléaires d'un Iran messianique, étoile montante de l'Islam et cherchant à supplanter l'Arabie et son wahhabisme. Il ne faut pas oublier que 90% des réserves de pétrole du Moyen Orient sont en territoire shiite, même en Arabie. Il faut peut-être se préparer à un futur renversement des alliances » (Albert Soued et Miguel Garroté pour monde-info et pour drzz.info).


PNF:

Autre hypothèse: l'attentat a pu être commis par des groupes militants basés en Amérique du Sud qui veulent envoyer un signal clair à la politique pro-américaine et pro-israélienne de Sarkozy, qui a rompu totalement avec la tradition gaulliste et humaniste de la France.
La France doit retirer ses troupes d'occupation en Afghanistan, et se retirer de l'OTAN dès que possible. Souhaitons pour notre pays que Dominique de Villepin puisse se présenter aux prochaines élections, afin de proposer une alternative à l'américanisme et au sionisme qui violent l'indépendance de notre pays et entachent son honneur.

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Europe politique : illusions perdues

30 ans après les premières élections au Parlement européen, on annonce un taux d'abstention record dans un climat de désillusion assombri par la crise économique et l'absence de renouvellement du personnel dirigeant impliqué dans les échecs passés...

L'Europe ne fait plus recette. Faut-il incriminer l'incivisme des électeurs ? Les leaders politiques avant tout préoccupés par leur carrière nationale ?...

Les causes du désintérêt sont bien plus profondes et bien plus graves si l'on veut bien se souvenir qu'en 1992 (référendum sur le traité de Maastricht) comme en 2005 (référendum sur le traité constitutionnel), les citoyens français (et hollandais) se sont passionnés comme jamais pour les enjeux européens avec des taux de participation exceptionnels et des résultats à l'arraché.

Scrutin peu démocratique

La première explication au désintérêt des citoyens tient au scrutin de liste à la proportionnelle (avec quelques variantes autorisées par la décision européenne de 1974 : proportionnelle intégrale comme en France ; panachage et sélection partielle des candidats comme en Allemagne).

En théorie, ce mode de scrutin est parfaitement démocratique car il permet à toutes les sensibilités d'être représentées au Parlement. Dans les faits, c'est une entrave majeure à l'expression démocratique ! Voir à ce propos notre article : Quel mode de scrutin pour nos députés ?

Il n'est pas difficile de s'en apercevoir, en particulier en France où le scrutin se déroule à la proportionnelle intégrale (chaque parti impose l'ordre dans lequel seront désignés ses candidats) : on connaît à l'avance le nom de 80% des futurs élus, l'incertitude tenant aux imprécisions sur les scores des différents partis (ainsi Benoît Hamon, 3e sur la liste socialiste en Île-de-France n'est-il pas encore certain de son élection).

Les candidats n'ayant aucun effort à fournir ni aucune compétence à démontrer, leur désignation (et leur élection) relève du seul bon vouloir des appareils des partis. Élue d'office car 2e sur la liste UMP (droite) de l'Île-de-France, Rachida Dati peut ainsi se permettre d'afficher son mépris pour sa future fonction ; 3e sur la même liste, Jean-Marie Cavada sera lui aussi inévitablement élu alors qu'il a été deux fois défait lors d'élections nationales au scrutin uninominal.

Le déclin de la participation aux élections européennes est très sensible dans tous les pays où le vote n'est pas obligatoire, y compris ceux qui appliquent une proportionnelle tempérée par le panachage (faculté de choisir les députés sur les listes des partis). En Allemagne, le taux de participation est tombé de 66% en 1979 (France : 61%) à 43% en 2004 (France : 43%). Le mal ne tient pas seulement au mode de scrutin. Il est bien plus profond...

Mainmise de l'oligarchie

Le plus inquiétant est la rupture entre les élites dirigeantes de l'Europe et les citoyens. Celle-ci remonte assez clairement aux années 1990.

Après la chute du mur de Berlin et en pleines guerres de Yougoslavie, tandis que triomphe en Europe l'idéologie néolibérale, la Communauté économique européenne (CEE) engage au forceps une nouvelle étape de la construction européenne. Plutôt qu'un acte politique fort, les dirigeants européens font le choix d'une intégration économique accrue et de la mise en place d'une monnaie unique. C'est le traité de Maastricht.

Les réticences sont fortes chez les citoyens qui craignent que les États ne soient dépossédés de leur pouvoir en matière sociale et économique. Beaucoup jugent qu'une initiative politique eut été mieux appropriée aux circonstances (guerres yougoslaves, éclatement du bloc soviétique).

En France, où le président François Mitterrand se risque à un référendum, le traité de Maastricht est approuvé d'extrême justesse après que l'on eut assuré les citoyens sceptiques que les domaines de compétences des États seraient préservés selon le «principe de subsidiarité» inscrit à l'article 3 du traité. Le mot, emprunté au vocabulaire ecclésiastique fait florès.

Mais la Commission européenne va retourner comme un gant ledit principe et s'en servir pour intervenir tous azimuts dans les domaines les plus dérisoires et les plus inattendus, au gré des sollicitations des lobbyistes qui hantent les administrations de Bruxelles. Dans le même temps, elle va fermer les yeux sur les dérives sanitaires (crise de la vache folle) et ranger au placard la «préférence communautaire» inscrite dans le traité de Rome.

C'est le triomphe des grandes entreprises et en particulier de la grande distribution, dans l'électronique, le textile, l'équipement de la maison, les jouets... Au nom de l'ouverture des marchés et de la libre concurrence, ces entreprises se détournent de leurs fournisseurs européens qui leur proposent des produits à 40 euros qu'elles revendent 100 euros ; elles préfèrent acheter en Chine des produits équivalents mais de médiocre qualité qui ne leur coûtent que 10 euros et qu'elles revendent 90 euros (ces chiffres sont des ordres de grandeur relatifs mais vraisemblables et attestés par de nombreux exemples).

L'Europe commence de la sorte à se désindustrialiser cependant que les instances européennes, au lieu de revoir leur pratique, mettent le pied sur l'accélérateur en invoquant les grands principes («une Europe ouverte sur le monde est facteur de paix», «la libre concurrence est garante de la baisse des prix»,...).

À cette première tromperie sur le «principe de subsidiarité» et la «préférence communautaire» viennent s'ajouter en 2003 la question de la Turquie et en 2005 celle du traité constitutionnel.

Pas besoin de débattre sur le cas de la Turquie : la question a été résumée par Michel Rocard, ancien Premier ministre socialiste, qui assure que «l'intégration politique de l'Europe n'étant plus d'actualité, rien ne s'oppose à l'admission de ce pays au sein de l'Union». Tout est dit. Pour l'oligarchie européenne, l'Union a vocation à devenir une simple zone de libre-échange et, dans cette perspective, il n'y a pas de raison d'en exclure aujourd'hui la Turquie, demain le Maroc et Israël, la Libye et l'Algérie,... Beaucoup de citoyens, cependant, ne se résignent pas à la fin du rêve européen et souhaitent, par-dessus des États forts, une Union qui les protège contre les menaces extérieures, aussi bien le dumping économique de la Chine que les conflits du Moyen-Orient, Turquie incluse.

Dès 2004, nous avons subodoré sur Herodote.net que les atermoiements de la classe politique à propos de la Turquie pourraient entraîner un rejet du traité constitutionnel. Il a été effectivement rejeté par les Français le 29 mai 2005 à cause de cela mais aussi de ce que nombre de citoyens doutaient de la justesse de la vision néolibérale en filigrane dans le traité («concurrence libre et non faussée», ...).

La crise économique qui a frappé la planète en 2007-2008 a révélé au grand jour l'ineptie et la dangerosité de ce néolibéralisme, aussi éloigné du libéralisme des Lumières que le socialisme soviétique de la social-démocratie scandinave. Or, rien n'a changé en Europe, sinon que l'on a transféré sur le dos des contribuables les dettes impunément accumulées par les banquiers.

Les dirigeants politiques qui ont porté à bout de bras la politique néolibérale n'ont pas résigné leur fonction et même pas amorcé un mea culpa. Plus fort que ça, ils ont recyclé mot pour mot, sous le nom de «traité modificatif» ou traité de Lisbonne, le traité constitutionnel rejeté par deux des trois peuples qui se sont exprimés à son propos.

La palme de la désinvolture appartient à la chancelière allemande et au président français qui, à leur électorat, tiennent un discours vigoureux sur la Turquie mais se gardent à Bruxelles de freiner le processus d'intégration. Difficile dans ces conditions de faire reproche aux citoyens de mettre peu d'enthousiasme à se rendre aux urnes...

Joseph Savès

Source: Herodote http://www.herodote.net/articles/article.php?ID=560

06/06/2009

Copenhague 2009: signez l'appel

Clearstream: le Conseil d'Etat rejette une requête de Villepin

PARIS (Reuters) - Le Conseil d'Etat a rejeté une requête déposée par Dominique de Villepin demandant l'annulation d'un décret pris par Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Clearstream.

L'ancien Premier ministre contestait la prolongation dans ses fonctions à Paris du juge d'instruction Henri Pons, qui a permis à ce dernier de le renvoyer en correctionnelle.

Selon Dominique de Villepin, cette décision constituait un détournement de pouvoir de la part du chef de l'Etat et avait pour objet la mise en place d'une instruction partiale de cette affaire de manipulation présumée.

Le Conseil d'Etat a jugé que la décision de reporter du 3 au 20 novembre 2008 la prise de fonctions à Montpellier du juge d'instruction "n'est pas de nature à caractériser un détournement de pouvoir", dit-il dans un communiqué.

Quant au risque d'instruction partiale, "le Conseil d'Etat considère qu'aucun élément du dossier qui lui a été soumis ne permet d'étayer cet argument".

Cet affrontement judiciaire entre un ancien chef de gouvernement et un président de la République en exercice constitue une première en France, d'autant que les deux appartiennent au même mouvement politique.

Il fait figure de prélude au procès de l'affaire Clearstream proprement dite, programmé du 14 septembre au 14 octobre au tribunal correctionnel de Paris.

Dominique de Villepin sera jugé pour une manipulation présumée menée en 2004 avec de fausses listes de comptes bancaires de la société Clearstream, transmises à la justice.

Poursuivi pour "complicité de dénonciation calomnieuse", il est soupçonné d'avoir utilisé à des fins de déstabilisation ces listes, imputant la détention de fonds de corruption à des centaines de personnalités, dont Nicolas Sarkozy.

Ce dernier est partie civile au dossier, ce que Dominique de Villepin juge, là aussi, irrégulier puisque le président de la République est en position de donner des ordres au procureur, via le ministère de la Justice.

Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse

Air France : un rapport interne accablant sur « la sécurité des vols »

Bakchich revient avec un spécialiste du transport aérien, François Nénin, sur les procédures mises en place par Air France en matière de sécurité. Un bilan pas si flatteur !

«  Nous n’avons aucune idée de l’origine du crash et nous risquons de ne jamais rien savoir », confiait mardi 2 juin au matin à Bakchich un conseiller de la direction d’Air France.

Effectivement, rien ne montre aujourd’hui que la compagnie ait la moindre part de responsabilité dans cette tragédie.

Pour autant, dès les premières heures, la direction de la communication d’Air France ne pouvait s’empêcher d’évoquer «  la foudre » comme cause probable de l’accident. Avant de faire brutalement marche arrière devant l’incrédulité des spécialistes face cette explication unanimement jugée un peu courte.

Avant « la foudre », c’était « la météo »

En 1992, immédiatement après le crash du Mont Saint Odile (87 morts), la direction d’Air Inter avait, elle, évoqué « la météo » pour expliquer un accident qui nécessitera pas moins de 14 années d’instruction judiciaire ( !) avant qu’une vérité officielle (très contestée) ne soit établie.

Selon un principe solidement établi dans notre espace aérien, ni le constructeur, ni la compagnie aérienne ne sauraient jamais être mis en cause en cas de catastrophe. Sont-ils infaillibles pour autant ?

A l’évidence non, comme le prouve le rapport interne que nous publions. Réalisé en juin 2006 par la Direction générale des opérations aériennes,, ce rapport répondait à une série d’incidents graves et pour la plupart ignorés du grand public.

Au terme de cet audit, les rapporteurs concluaient que « Air France est particulièrement exposée aux risques aériens du fait des particularités de son réseau, de l’architecture de sa base principale et enfin de son histoire récente ».

Cliquer sur l’image pour télécharger le rapport complet

Rapport_airfrance-1ebcd.jpg 
Rapport sur la sécurité aérienne
Cliquer sur l’image pour télécharger le rapport en intégralité

Air France, pas si sûre

Ils pointaient en outre que «  des faiblesses importantes en terme de formation, d’appropriation réelle et concrète et de capacité d’évaluation de ces facteurs humains, ont été observées dans la population PNT comme d’ailleurs dans toutes les populations dont les actions et les décisions ont des conséquences directes sur la sécurité des vols »

Des faiblesses qui, ajoutaient les trois rapporteurs, « n’ont pas permis à l’entreprise d’avoir une vue claire et objective de ses performances en matière de sécurité aérienne et d’y apporter les solutions concrètes et adaptées, en temps et en heure ».

Et la commission de s’affirmer convaincue qu’il y a lieu d’établir « un lien formel de causalité entre les faits constatés et ses résultats en terme de sécurité ».

François Nénin, journaliste indépendant, est spécialiste du transport aérien. Il dirige aussi securvol.fr, un site Internet spécialisé dans l’évaluation de la sécurité des compagnies aériennes. Air France, il s’y intéresse depuis des années. Selon lui, derrière la belle image de la compagnie se cache depuis longtemps de nombreuses défaillances.

Source: http://www.bakchich.info/Air-France-un-rapport-interne-de...

L'islamisation planifiée de l'Occident

Philippe de Villiers, porte-parole de l'Elysée ?

P2V

Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, le conteste et déclare que "Philippe de Villiers n'est pas le porte-parole de l'Elysée. Celui-ci multiplie les déclarations à ce sujet, déclarations qui sont évidemment sujettes à caution."

Les déclarations en question sont celles faîtes par Philippe de Villiers dans l'hebdomadaire Famille Chrétienne :

Pourquoi êtes-vous autant focalisé sur le thème de la Turquie et de l’islamisation ?

"Tout simplement parce que nous verrons les premières transformations d’églises en mosquées dans les trois ans qui viennent. En tout cas, c’est ce que m’a dit Nicolas Sarkozy."

Quand ?

"J’ai eu une discussion de fond avec lui à l’Elysée à la fin de l’année dernière ; il m’a dit : « Toi tu as les intuitions, moi j’ai les chiffres. Et tes intuitions sont confirmées par mes chiffres. L’islamisation de l’Europe est inéluctable. » Attention : c’est un processus qui ne se fera pas instantanément, mais qui prendra quelques décennies."

Pourquoi cette question vous paraît-elle centrale ?

"La plupart des hommes politiques ont une douce ignorance de ce qu’est l’islam et se proposent de transformer l’Europe en supermarché des religions concurrentes. Sans prendre conscience que l’islam n’est pas seulement une religion, mais que, confondant le temporel et le spirituel, il impose un droit. Mais derrière cette douce ignorance des hommes politiques, il y a ceux qui savent (...) La réalité c’est que nous allons vers un chassé-croisé avec, d’un côté en Europe l’avortement de masse et la promotion du mariage homosexuel et, de l’autre, l’immigration de masse (...)"

Vous n’exagérez pas les dimensions du phénomène ?

"Non. Le fond de la question est simple : l’Europe refuse son propre avenir démographique. Pour cela, elle a une arme redoutable, présente dans la charte des droits fondamentaux annexée au Traité de Lisbonne : la promotion du mariage homosexuel. Ce qui se fait par le principe de non-discrimination et la dissociation du mariage et du sexe des époux (qui figure dans l’article 7 de la Charte des droits fondamentaux). En réalité, il y a deux armes utilisées par les dirigeants européens pour tuer l’Europe démographiquement : la promotion du mariage homosexuel et l’avortement de masse. Et une troisième : le recours à une immigration à 80% islamique pour remplacer le peuplement manquant (...)"

Philippe Carhon

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/06/philippe-de-villiers-porteparole-de-lelys%C3%A9e-.html#comments

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Copenhague 2009: Dites oui à la planète

00:38 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

05/06/2009

Elle est convoquée au commissariat pour avoir écrit "Hou la menteuse" dans un commentaire sur Internet

Cette mère de famille de trois enfants est convoquée jeudi prochain au commissariat de Dax, dans les Landes.

Une convocation pour « injures publiques envers un membre du ministère ».

Les raisons de cette convocation pour cette femme de 49 ans demeurant à Saint-Paul-les-Dax trouvent leur origine dans un simple commentaire de trois mots…

Un commentaire de trois mots qui a fait l’objet d’une plainte en février dernier, de Nadine Morano, la secrétaire d’Etat à la Famille.

Sur le site Dailymotion, cette mère de famille a déposé le commentaire suivant:

« Hou la menteuse ».

Un commentaire à la suite d’une vidéo où Nadine Morano, sur le plateau d’ITélé, s’expliquait sur son apparition « en catimini » à un meeting de Ségolène Royal.

Selon le Point, , le Parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 13 février pour "injure publique" .

A la suite de cette enquête préliminaire, les sites Dailymotion et YouTube ont reçu une réquisition judiciaire de la Brigade de répression de la délinquance contre les personnes (BRDP).

Une réquisition afin  d’obtenir "en urgence la date, l'heure et les adresses IP utilisées et tout élément d'identification, pour la mise en ligne des commentaires", selon Sud Ouest.

Et c’est ainsi que jeudi prochain, cette mère de famille va se retrouver au commissariat de Dax, entendu jeudi prochain par un officier de police judiciaire de la BRDP, une unité dépendant du 36 quai des Orfèvres et basée à Paris, pour avoir osé écrire cette terrible phrase :

« Hou la menteuse ».

Source: http://fr.news.yahoo.com/63/20090605/tfr-elle-est-convoqu...

 

Commentaires du PNF:

Cet événement est tellement grotesque qu'il peut prêter à sourire. Mais non, vous ne rêvez pas! Aujourd'hui en France, on peut voler des vélos, des voitures, insulter et cracher sur les gens dans la rue en toute impunité, mais on ne peut pas écrire "Hou la menteuse" sur un blog internet!

Notre pays est devenu complètement fou. Vite, ressaisissons-nous, Français, et sanctionnons dimanche ce gouvernement de traîtres de la nation!

 

12:43 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hou la menteuse |  Facebook | |

04/06/2009

Rio-Paris : un pilote a vu un « éclat intense »

Le commandant du vol 974 d’Air Comet a fait un rapport sur ce qu’il a vu dans la nuit de dimanche à lundi, dans une zone proche de l’accident, écrit le quotidien espagnol. Il a transmis son rapport à la direction de sa compagnie, laquelle a transmis l’information à Air France, Airbus et à la Direction générale de l’aviation civile espagnole.

tour de controle.jpg« Soudain, nous avons observé au loin un éclat fort et intense de lumière blanche, qui a suivi une trajectoire descendante et verticale et qui s’est dissipé en six segments », écrit le pilote.

Le copilote ainsi qu’une passagère ont vu la même chose, selon le journal.

A ce moment, l’avion d’Air Comet se trouvait en latitude à 7 degrés au nord de l’équateur et en longitude à 49 degrés ouest tandis que la position estimée du vol Rio-Paris était sur l’équateur et à 30 degrés ouest, selon El Mundo.

« Compte tenu de la coïncidence en terme d’heure et de lieu, je porte à votre connaissance ces éléments pour qu’ils puissent être, éventuellement, utiles à l’éclaircissement des faits », écrit le pilote dans son rapport dont a eu connaissance El Mundo.

Le journal estime que « le rapport du pilote met sur la table une des hypothèses écartées comme cause de l’accident : l’explosion d’une bombe à bord de l’avion ».

Source: Le Soir (Belgique)

01:25 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rio, paris, airbus, attentat |  Facebook | |

03/06/2009

Crash du vol Rio - Paris: un attentat?






2 juin 2009 (Nouvelle Solidarité) – Si l’hypothèse principale retenue par les médias pour expliquer « la disparition » étrange de l’Airbus A330 d’Air France reliant Rio à Paris est celui de la foudre, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour croire que l’hypothèse d’un attentat ne peut être écartée d’un revers de manche.

Dans un entretien au Figaro, un pilote de ligne désirant garder l’anonymat, relève d’abord que « dans l’histoire de l’aviation, on ne connaît pas aujourd’hui de cas de foudroiement qui aboutisse à la perte d’un avion. »

Ensuite il s’interroge sur le message électronique annonçant une panne de circuit électrique : « Il y a cinq sources d’énergie électrique à bord d’un appareil. Pour qu’il y ait une panne totale, il faudrait que ces cinq sources ne fonctionnent plus. Lorsque tout tombe en panne, une batterie prend de façon transitoire et partielle le relais, ainsi qu’un moteur qu’on utilise généralement au sol. Une sorte d’éolienne est déclenchée pour générer de l’électricité. Pour que le commandant de bord n’ait plus aucune capacité à piloter l’avion, il faudrait que toutes ces sources d’électricité soient endommagées. Ça me paraît difficile. »

Enfin, il n’hésite pas à affirmer que l’on « peut très bien imaginer qu’une bombe a provoqué une dépressurisation de l’appareil, et que l’avion prenne du temps à se démonter en morceaux. De même, ça peut carrément être une grosse bombe qui a fait exploser tout l’avion, ce qui expliquerait que l’appareil n’a pas eu le temps d’envoyer un signal d’alerte. »

Dans un point de vue publié par Le Télégramme de Brest d’aujourd’hui, le spécialiste du renseignement Jean Guisnel, pourtant en guerre contre le conspirationnisme, évoque également la thèse de l’attentat :

« Nous n’évoquons pas cette éventualité pour nourrir une quelconque théorie du complot, d’autant moins que les services spécialisés estiment n’avoir pas eu d’indice d’une particulière montée de tension, ni avoir identifié de menace spécifique. Pour autant, ne laissons pas complètement de côté cette éventualité, à tout le moins tant que des éléments techniques ne l’auront pas exclue. N’oublions pas que des groupes moyens-orientaux sont très implantés en Amérique du Sud, et qu’ils y font d’ailleurs l’objet d’une surveillance attentive des services spécialisés. L’histoire ne manque pas, hélas, d’attentats non revendiqués, non annoncés, et ne faisant l’objet d’aucune explication. Mais la France, très engagée au Moyen-Orient, dans le Golfe, en Afghanistan, et ailleurs, n’aurait-elle reçu aucun avertissement ? Et si c’était le cas, l’aurait-elle dit ? Il ne s’agit que d’une hypothèse parmi d’autres, et rien de plus. Mais ne la balayons pas d’un revers de manche... »

Sans tirer de conclusion, signalons l’inquiétude exprimée par certains de nos militaires depuis le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN.

D’après Le Canard Enchaîné du 27 mai, parlant de la nouvelle base française d’Abou Dhabi, située à 220 km des côtes iraniennes et que le président Sarkozy vient d’inaugurer, ces spécialistes « décèlent chez Sarkozy ‘un comportement à risque’, car, lors d’une crise majeure, la France pourrait être impliquée dans un éventuel conflit. Et sans qu’elle l’ait voulu, en cas de raids israéliens ou américains contre des sites nucléaires iraniens. »

A lire : France/OTAN : Jeune recrue déjà cocufiée !

 http://bridge.over-blog.org/article-32165441-6.html

Source: http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=4112

Commentaires du PNF:

Souvenez-vous du 11 septembre dernier. Des chauffeurs routiers se trouvant dans une navette du Tunnel sous la Manche entendent deux explosions. Un incendie se déclare ensuite et endommage très sévèrement l'infrastructure du tunnel.

Aucun média ne mentionne alors l'hypothèse de l'attentat, pourtant évidente.

Quatre Français d'origine maghrébine seront arrêtés le lendemain à Rennes, pour activité terroriste...

Aujourd'hui, bis repetita de la part des médias français, qu ne remplissent pas leur devoir d'information. On nous raconte que la foudre (d'Allah?) se serait abattue sur l'avion... Ce serait même évident, car c'est une zone extrêmement dangereuse pour les avions, avec des orages, etc, etc...

Certes, le risque zéro n'existe pas. Mais à l'aune des connaissances actuelles, l'hypothèse d'un attentat n'est absolument pas à écarter, ce que semblent faire les médias.

La France vient de rentrer sous le commandement américain de l'OTAN. D'autre part, il y a juste quelques jours, Sarkozy était à Abu Dhabi pour signer l'accord de défense avec l'émirat, voisin de l'Iran. Par ailleurs, le jour même du crash du vol Rio-Paris correspond au premier voyage commercial de l'A380 en Europe continentale. Une fête était même prévue à Paris pour fêter l'arrivée de l'A380 de la Singapore Airlines. Enfin, nous ne sommes qu'à quelques jours des élections européennes. Sans compter qu'au Brésil,  est célébrée cette année l'année de la France. On pourrait aussi rajouter parmi les critères de risque qu'il existe au Brésil une importante communauté juive.

Les médias veulent-ils encore aider leur chouchou Sarkozy, qui pourrait attendre la fin des élections européennes pour annoncer la nouvelle de l'attentat, résultat de sa politique pro-sioniste?