Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/06/2009

« L’absence de communauté nationale est facteur de guerre civile»

aristote.png

 Source: http://www.fdesouche.com/articles/50155#comment-545042

 

La France humiliée par Israël

Les soldats israéliens ont agressé plusieurs fois des diplomates français.

09.jpgSi Nicolas Sarkozy fait beaucoup d’efforts pour se rapprocher de l’Etat hébreu, on ne peut pas dire que la réciproque soit vraie. A preuve la multiplication des «bavures» commises par les forces de sécurité israéliennes à l’encontre de ressortissants français en mission et soigneusement étouffées par le Quai d’Orsay. Lundi, la directrice du centre culturel français de Naplouse (Cisjordanie) a été sortie de son véhicule, jetée à terre et rouée de coups par des militaires israéliens près de Jérusalem. «Je peux te tuer», a lancé en anglais l’un des soldats. Sa voiture portait pourtant des plaques diplomatiques. Depuis, on lui a déconseillé de porter plainte pour ne pas «gêner» la visite de Nétanyahou. Mardi, c’est le directeur du centre culturel de Jérusalem-Ouest, Olivier Debray, qui, à bord d’un véhicule pourvu de plaques consulaires, a été insulté par des policiers.

beat.jpgMiette. D’une façon générale, le corps consulaire français se plaint de la violation régulière par les policiers et les soldats israéliens des usages consulaires. Le 11 juin 2008, Catherine Hyver, consule adjointe à Jérusalem, avait été retenue dix-sept heures sans une goutte d’eau ni une miette de pain par la sécurité israélienne à un point de passage de la bande de Gaza.

3940808462-tapis-rouge-paris-pour-peres-lors-d-une-visite-sous.jpgExcréments. Mais l’incident le plus choquant est l’occupation du domicile de l’agent consulaire français, Majdi Chakkoura, à Gaza pendant l’attaque israélienne de janvier. En son absence, les soldats israéliens ont complètement ravagé les lieux - pourtant signalés à l’armée israélienne -, volé une grosse somme d’argent, les bijoux de son épouse, son ordinateur et détruit la thèse sur laquelle il travaillait. Et ils ont souillé d’excréments le drapeau français. Le Quai d’Orsay n’a là encore élevé aucune protestation. Une occupation semblable s’est produite au domicile d’une professeure palestinienne du centre culturel français. Avec ce tag écrit en français sur la bibliothèque dévastée : «Sale arabe, ont va revenir te tuer». C’est, dit-on à Gaza, la faute de français - le «t» en trop - qui a choqué l’enseignante.

Source: Libération

http://www.liberation.fr/monde/0101576075-la-france-humil...

Pierre Lellouche, un atlantiste pro-turc aux Affaires européennes

C’est au titre de secrétaire d’Etat aux Affaires européennes que Pierre Lellouche, ultra-sioniste notoire, député UMP de Paris, fait son entrée dans le nouveau gouvernement de François Fillon. Avocat d’affaires, expert en relations internationales, et depuis mars dernier représentant spécial de la France pour l’Afghanistan et le Pakistan, ce chaud partisan de l’intervention américaine en Irak, l’est également de l’entrée de la Turquie dans l’union Européenne.

Le choix de Pierre Lellouche apparaît totalement contradictoire, ou plutôt révélateur des véritables intentions du clan Sarkozy. Sa position sur l'Europe tranche en effet clairement avec celle affichée officiellement par le président Sarkozy sur un dossier clé : celui de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. « Nous serions fous de dire non à la Turquie », dit Pierre Lellouche, arguant que l'Europe n'est ni un club de chrétiens, ni un club de riches.

Mais plus que sur des questions européennes, cet avocat d'affaires et député de Paris âgé de 58 ans, s'est fait connaître comme un atlantiste revendiqué. En 2003, il ose apporter son soutien à la guerre en Irak, s'opposant ainsi à la position du président Jacques Chirac, qu'il juge alors anti-américaine. Ses adversaires le qualifient alors de « bushiste ».

Fin connaisseur du dossier de la défense, Pierre Lellouche rédige en 2000 un rapport sur la prolifération des armes de destruction massive et devient, entre 2004 et 2006, président de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN. En mars dernier, l'expert en relations internationales est nommé représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan. Il n'hésite pas à qualifier de « faillite totale » la guerre américaine contre le terrorisme menée dans cette région.

Source: RFI

http://www.rfi.fr/actufr/articles/114/article_82136.asp

 

Autre articlesur le sujet:

La Turquie a été satisfaite par Nicolas Sarkozy

Ankara se réjouit de la nomination de Pierre Lellouche, très bon ami du ministre turc chargé des affaires européennes, Egemen Bagis, qui a déclaré :

"si Nicolas Sarkozy, qui le connaît bien, l’a nommé à ce poste, c’est pour une bonne raison. Je crois qu’il va influencer les autres membres du gouvernement, qu’il va les convaincre des avantages de l’adhésion de la Turquie et qu’ainsi le bon sens va prévaloir à la fin. Pierre peut être un bon catalyseur".

Source: http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/06/la-turqui...

 

16:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lellouche, sionisme |  Facebook | |

Israël a autorisé de nouveaux logements dans une implantation pour accueillir la population de colonies sauvages

Le gouvernement israélien a approuvé la construction de 50 nouveaux logements dans une implantation juive de Cisjordanie pour accueillir des colons expulsés d'une colonie sauvage voisine, selon un document de justice que l'Associated Press a pu se procurer lundi.

bulldozrs2.JPGSelon un document du ministère de la Défense soumis à la cour suprême israélienne, le gouvernement a autorisé la construction de 50 nouveaux appartements dans la colonie d'Adam, au nord de Jérusalem, pour héberger des colons qui vivent dans l'avant-poste illégal voisin de Migron. Ces constructions entrent dans le cadre d'un projet beaucoup plus important, qui n'a pas encore reçu le feu vert des autorités, pour construire 1.450 nouveaux appartements à Adam. Migron fait partie de la centaine de colonies sauvages construites sans l'autorisation du gouvernement israélien, mais toutefois reliées à l'électricité et l'eau courante par les pouvoirs publics israéliens qui assurent la sécurité des routes.

Les documents ont été fournis par le gouvernement dans le cadre d'un appel devant la cour suprême déposés par des Palestiniens propriétaires du terrain sur lequel se situe l'avant-poste de Migron.

La poursuite des constructions dans les implantations juives de Cisjordanie a tendu les relations entre le gouvernement israélien et l'administration Obama, qui réclame depuis des semaines l'arrêt de l'extension des colonies juives, conformément à la "feuille de route" pour la paix au Proche-Orient élaborée par le Quartet (Etats-Unis, Russie, Union européenne, Nations unies). Le ministre de la Défense Ehoud Barak se rendait lundi à Washington pour tenter d'apaiser les tensions croissantes avec l'administration américaine et tenter de trouver un compromis. AP

14:35 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sionisme |  Facebook | |

Gaza s'enfonce dans la pauvreté et le désespoir

Six mois après la fin de l'invasion israélienne, les 1,5 millions de Palestiniens de Gaza connaissent une pauvreté de plus en plus grande et n'ont pas les moyens de rebâtir leur vie, écrit le Comité international de la Croix Rouge (CICR).

1922057754-palestinians-gather-in-the-rubble-of-a-building-used-by.jpgLes restrictions draconiennes à l'entrée de marchandises sur le territoire freinent les efforts de reconstruction financés par la communauté internationale, qui a pourtant promis 4,5 milliards de dollars d'aide.

La population manque de médicaments, les services de santé et l'approvisionnement en eau sont sur le point de s'effondrer, ajoute le CICR dans un rapport publié lundi.

"Certains quartiers de Gaza particulièrement touchés par les frappes israéliennes continueront à ressembler à l'épicentre d'un tremblement de terre majeur tant que l'on autorisera pas l'entrée sur le territoire de grandes quantités de ciment, d'acier et autres matériaux de construction", écrit le CICR.

De nombreux habitants "sombrent dans un désespoir de plus en plus profond", estime l'organisation.

Les hôpitaux sont dans un état lamentable, une grande partie de leur équipement n'est pas fiable et les coupures de courant sont fréquentes.

"Le système de santé à Gaza ne permet pas d'assurer un traitement adéquat pour les maladies graves. Il est tragique de constater que de nombreux patients ne sont pas autorisés à quitter à temps la bande de Gaza pour être soigné ailleurs", indique le rapport.

hebron.jpgOn assiste à "un accroissement dramatique de la pauvreté", estime le CICR, en soulignant que l'effondrement économique du territoire, conséquence de l'enfermement du territoire, ont porté le taux de chômage à 44% en avril.

Plus de 70% des Gazaouites vivent en-dessous du seuil de pauvreté, avec moins de 250 dollars par mois pour une famille pouvant aller jusqu'à neuf membres.

Stephanie Nebehay, version française Pascal Liétout

Source: Reuters

Le plan russe de nouveau pacte européen de sécurité présenté au sommet de l'OSCE à Corfou

Les ministres des Affaires étrangères de l'OSCE, réunis à Corfou en Grèce, ont débattu dimanche de l'idée d'un nouveau pacte de sécurité en Europe, avancée par la Russie, mais envers laquelle Javier Solana, porte-parole de la diplomatie de l'UE, a émis des réserves.

L-OSCE-discute-a-Corfou-de-l-avenir-de-la-securite-europeenne_medium.jpg

 Cette réunion s'est tenue au lendemain du rétablissement de la coopération officielle entre l'Otan et Moscou sur les menaces à la sécurité, coopération qui avait été gelée après le conflit ayant opposé brièvement en août 2008 la Russie à la Géorgie.

Aucun progrès n'a été enregistré à Corfou sur la question d'un maintien des observateurs de l'OSCE chargés de veiller au maintien de la paix en Géorgie, à la frontière avec les régions séparatistes que sont l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud.

Or, leur mission expire mardi et Moscou s'oppose pour l'heure à toute prise de décision sur la prolongation de leur mandat, insistant pour que soit reconnue au préalable l'indépendance proclamée par les deux régions.

La Russie voit d'un très mauvais oeil un élargissement de l'Otan et le maître du Kremlin, Dmitri Medvedev, estime que les institutions datant de l'ère froide, comme l'Otan, ne sont pas les mieux adaptées pour désamorcer les tensions d'un monde devenu multipolaire.

Le projet russe de Traité sur la sécurité européenne mettrait sur un pied d'égalité les pays qui en seraient signataires. Il exclurait que des alliances militaires prennent des décisions nuisant à la sécurité des autres parties prenantes, et dénierait à tout pays ou à toute alliance le droit de maintenir la paix et la stabilité sur le continent.

"(C'est) peut-être le commencement d'un processus sérieux par lequel nous allons réfléchir à l'architecture de la sécurité en Europe", a déclaré Solana avant de rejoindre la réunion ministérielle, qui s'est tenue à huis clos dans l'île de Corfou.

DOLÉANCES DE LA RUSSIE

Cependant, a ajouté devant la presse Solana, ancien secrétaire général de l'Otan, tout futur traité européen de sécurité doit englober non seulement les questions militaires mais aussi les questions comme l'économie, les droits de l'homme et la gouvernance démocratique.

"Il y a nombre d'aspects concernant la sécurité que nous pouvons développer davantage (mais) sans mettre en péril les structures de base qui apportent une stabilité formidable depuis nombre d'années", a-t-il estimé, en faisant allusion à l'Otan et à l'OSCE.

Le projet russe de traité ne met l'accent que sur les questions de sécurité militaire. Pour les Occidentaux, en outre, Moscou doit renoncer à sa vieille idée de "sphère d'influence" en matière de sécurité.

L'Occident reproche aussi à Moscou sa tendance au retour à l'autoritarisme sur le plan intérieur et les bras de fer qu'il peut avoir avec certaines ex-républiques soviétiques comme la Géorgie.

En retour, le Kremlin accuse les Etats-Unis de chercher à étendre son influence géopolitique dans la région. L'armée russe est notamment préoccupée par le projet américain de bouclier anti-missiles en Europe centrale et par la perspective d'entrée dans l'Otan d'ex-républiques soviétiques comme la Géorgie et l'Ukraine.

"Nous avons écouté les Russes se plaindre longuement, réclamer des améliorations à la sécurité européenne parce que, d'après leur point de vue, tout part à vau l'eau", a déclaré un diplomate européen, s'exprimant sous le sceau de l'anonymat.

"Les Européens ne voient pas la nécessité de modifier les structures, mais il règne un climat de grande ouverture à la discussion", a-t-il ajouté.

"Des divergences persistent. Il reste beaucoup à faire mais nous sommes au commencement de quelque chose", a estimé un autre diplomate.

Version française Eric Faye

Source: Reuters

00:55 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : russie, europe |  Facebook | |

28/06/2009

26 juin 2008: Israël dément toute tentative d'assassinat de Sarkozy et pourtant...

La véritable histoire serait que Nicolas Sarkozy a échappé de peu à un assassinat. Comme nous l'avons déjà dit ICI et ICI, il est fort probable que son discours à la Knesset où il plaide pour Jérusalem capitale des deux Etats sera très mal passé chez les extrêmistes religieux, or il faut savoir qu'ils sont nombreux à s'engager dans l'armée, ne serait-ce que pour défendre les colons. Lire ICI. Ces individus-là ne sont pas pour la paix, on a vu ce qu'ils ont fait à Rabin. Enfin, qui peut franchement croire qu'un soldat se serait suicidé au moment du départ du couple présidentiel ? La vérité semblerait toute autre et elle émane des services secrets russes. Un  garde du corps de Sarkozy serait aussi mort. Nous citons :

"Selon la Zavtra, quotidien russe, le Service fédéral de sécurité de la Fédération Russe (FSB) aurait fait un rapport au Premier Ministre Poutine et au Président Medvedev aujourd'hui indiquant que le président français Nicolas Sarkozy aurait « échappé de peu » à une tentative d'assassinat au cours de son départ de l'aéroport Ben-Gourion après une attaque qui aurait laissé un agent de sécurité français et un policier israélien morts.

Le quotidien moscovite indique également que, selon les analystes du FSB, la version officielle qui défend la thèse du suicide ne servirait qu'à masquer une « réalité évidente ». Il ajoute encore que cette tentative d'assassinat aurait été planifiée par des intégristes religieux après que, lors de son discours devant la Knesset, le président Sarkozy ait indiqué que Jérusalem devait être divisée."
Voir ICI le commentaire à côté de la video et nous faisons confiance à notre Ami.

D'ailleurs n'est-il pas bizarre que le film ne commence que lorsque tout est terminé et que l'on voit Sarkozy et son épouse monter dans l'avion ? Pourquoi est-il coupé ? Il y a là quelque chose d'anormal que l'on essaie de nous cacher. Car il est clair et net que tout le monde devait filmer le départ du couple et les adieux de Perez et d'Olmert, or là, comme par hasard, ces scènes ont soigneusement disparues.

Un jour Nicolas Sarkozy devra comprendre qu'on ne peut pas devenir ami avec les sionistes purs et durs. Les intérêts qu'ils défendent ne sont pas les mêmes que les nôtres et si l'on n'est pas d'accord avec eux, ils sont capables du pire. Nous le savons.



Israël dément toute tentative d'assassinat de Sarkozy


La cérémonie organisée à l'aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv pour le départ de Nicolas Sarkozy a été écourtée, mardi 24 juin, après un incident qui a impliqué un soldat israélien. Selon la police israélienne, l'homme se serait tué pendant la cérémonie mais les circonstances de sa mort sont encore floues.

Alors que la cérémonie prenait fin, au pied de l'avion présidentiel français, des gardes du corps se précipitent, selon une vidéo disponible sur CNN, vers le président français. M. Sarkozy et son épouse, qui ne semblent pas avoir entendu le coup de feu, ne paraissent pas paniqués. Ils sont évacués cependant dans leur avion tandis que le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, et le président Shimon Pérès sont eux emmenés vers leurs voitures blindées. Une fois l'alerte levée, MM. Olmert et Pérès sont montés à bord de l'avion pour prendre congé de M. Sarkozy.

A aucun moment, M. Sarkozy n'a couru de danger, a précisé la radio publique israélienne. La police israélienne a également démenti toute tentative d'assassinat du chef de l'Etat français. Le Zaka, service de secours israélien, a indiqué que le soldat, qui se trouvait sur le tarmac de l'aéroport, s'était vraisemblablement suicidé. Les médias israéliens avançaient une autre hypothèse : l'homme se serait tué en tombant d'un toit et le tir serait parti accidentellement de son arme.

Sources
GNet revue

Posté par Adriana Evangelizt

Source: http://villepin.over-blog.com/article-20764701.html

 

Video:


 

26/06/2009

24 juin 2008 - Le président français Sarkozy visé par des assassins en Israël : deux morts

Par Sorcha Faal


24 juin 2008 - Le Service de la Sécurité Fédérale de la Fédération de Russie fait savoir ce jour au Premier ministre Poutine et au Président Medvedev que le président français Nicolas Sarkozy a « échappé de justesse » à une tentative d'assassinat, lors de son départ de l'aéroport israélien Ben Gourion (à Tel Aviv), au cours d'une attaque qui s'est soldée par la mort d'un officier de sécurité français et d'un policier israélien.

tentative assassinat 1.jpgQuant au récit « aseptisé » que la propagande occidentale fournit à ses peuples, au sujet de cette tentative d’assassinat de Sarkozy, nous pouvons le lire sur le site israélien [du quotidien Yediot Ahronot] Ynet News Service :

«
L’incident a causé une grande frayeur durant la cérémonie (d’adieu), amenant des gardes du corps à éloigner précipitamment des lieux de hautes personnalités. Les voitures blindées du Président (israélien) Shimon Peres et du Premier ministre Ehud Olmert ont été très rapidement dépêchées sur le site de la cérémonie, et ces deux personnalités ont été éloignées de l’endroit.

En même temps, le Président français était promptement emmené à l’intérieur de son avion (privé), qui attendait sur la piste, par ses propres gardes du corps. Les circonstances de l’incident ayant été élucidées, les gardes du corps ont autorisé Peres et Olmert à monter à bord de l’avion (présidentiel français), où ils ont salué et souhaité un bon voyage à Sarkozy.
»

Les analystes de la Sécurité russe affirment, par ailleurs, que cette « première version » des reportages médiatiques de la propagande occidentale, à savoir qu’un Policier des Frontières israélien se serait « suicidé » durant la cérémonie d’adieu à l’issue de la visite du Président Sarkozy est « rocambolesque », et qu’elle ne parvient pas à démentir cette tentative d’assassinat, étant donné que seuls, les policiers les plus formés et ayant le plus de « bouteille » sont autorisés à approcher des chefs d’Etat étrangers par l’Institut Israélien du Renseignement et des Opérations Spéciales, plus connu sous son acronyme hébreu de Mossad.

Ces rapports d’analyse des services russes insistent sur le fait que le Premier ministre israélien Olmert venait tout juste (la semaine passée) de prolonger le mandat du directeur du Mossad, Meir Dogan, pour deux années supplémentaires, en raison de la colère « extrême » de Dogan à l’encontre du dirigeant français, motivée par le fait que celui-ci a rétabli les relations entre son pays et le Liban et la Syrie, deux anciens protectorats coloniaux français.

La « colère » de cet extrémiste de droite israélien contre le président Sarkozy s’est transformée en « haine », poursuivent ces rapports, après le discours de Sarkozy devant la Knesset, au cours duquel il a affirmé que Jérusalem doit être partagée, et, comme nous pouvons le lire dans la dépêche du Washington Post News Service :

« Le Président français Nicolas Sarkozy a dit, devant le Parlement israélien, lundi, qu’il ne saurait y avoir de paix au Moyen-Orient tant qu’Israël ne serait pas revenu sur son refus de céder sa souveraineté sur certaines parties de Jérusalem revendiquées par les Palestiniens, défiant ainsi une des positions israéliennes les plus intangibles émotionnellement. »

A encore alimenter la colère d’Israël contre le Président Sarkozy fut la demande que celui-ci a adressée aux Israéliens de mettre immédiatement un terme à leur construction de colonies sur le territoire palestinien, ainsi que la précipitation dont la France fait montre, depuis récemment, à fournir des centrales nucléaires à ses alliés arabes (dont, notamment les Emirats Arabes Unis, la Jordanie et le Maroc).

tentative assassinat 2.jpg

Les analystes stratégistes russes indiquent que les factions de droite du gouvernement israélien sont susceptibles de se sentir « entièrement fondées » à assassiner le Président Sarkozy, étant donné qu’il est lui-même d’origine juive (et qu’il a perdu cinquante-sept membres de sa famille lors du génocide nazi), et qu’en vertu de la législation israélienne, il est un citoyen d’Israël et que, donc, en raison de ses négociations avec des ennemis d’Israël au sein du monde arabe, il est, toujours sous l’empire de cette législation, un traître.

Il convient de rappeler que les forces fanatiques de l’extrême droite israélienne ont souvent recouru aux assassinats par le passé, avec notamment, en 1995, l’assassinat du Premier ministre Yitzhak Rabin par le juif orthodoxe Yigal Amir, « motivé » par le fait que Rabin avait négocié les accords d’Oslo avec les Palestiniens.

Source :
Whatdoesitmean

Traduction : Marcel Charbonnier

Elizabeth Levy avoue, hors-micro, que les ministres français reçoivent leurs ordres directement du CRIF

France = judéocratie (plus que jamais sous l'ère Sarkozy!)


 

Voir la biographie de Roger Cukierman, ancien président du CRIF et vice-président du Congrès Juif Mondial:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Cukierman

09:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

25/06/2009

Karachi, les curieux oublis de la justice

Par GUILLAUME DASQUIE

Site de l'attentat qui a fait 14 morts et et 12 blessés le 8 mai 2002 à Karachi.

Site de l'attentat qui a fait 14 morts et et 12 blessés le 8 mai 2002 à Karachi. (© AFP Rehan Arif)

Dès le début de l’affaire, les cadres de la DCN (Direction des constructions navales) se montrent convaincus que l’attentat du 8 mai 2002 contre son personnel à Karachi résulte directement de ses engagements contractuels dans ce pays. C’est-à-dire un contrat signé le 21 septembre 1994 pour livrer et fabriquer trois sous-marins au Pakistan. Enjeu : 950 millions de dollars. C’est l’une des nombreuses révélations du dossier d’instruction dont Libération a pu prendre connaissance, et qui éclairent l’hypothèse d’un attentat lié à des différends autour de commissions versées en marge de la vente des sous-marins.

L’avertissement de la DCN

Ainsi, le 2 septembre 2002, Philippe Japiot, patron de la branche internationale du groupe, écrit au juge Jean-Louis Bruguière pour que sa société se constitue partie civile. Argument avancé dans ce courrier de trois pages : «C’est à raison de l’exécution de ce contrat que les onze ingénieurs et techniciens ont été assassinés [dans l’explosion du bus, ndlr] dans des conditions particulièrement odieuses et que douze de leurs collègues ont été gravement blessés dans l’exercice de leur mission.» Et d’affirmer que la DCN «se trouvait directement visée par les faits de terrorisme». Philippe Japiot termine sa lettre en soutenant : «C’est parce que DCN-International a conclu et mené à bien le contrat du 21 septembre 1994 que des personnels ont été pris pour cible.» A la lecture de cette correspondance, personne ne semble croire à l’hypothèse d’un attentat aveugle chez les responsables militaires français (la DCN, dont les avocats ont accès au dossier, est à cette époque une émanation directe du ministère français de la Défense, alors sous la tutelle de Michèle Alliot-Marie).

Mieux, pour que le magistrat instructeur suive ce raisonnement, Philippe Japiot lui transmet un exemplaire - certes tronqué - du fameux contrat du 21 septembre 1994. Sur les 162 pages de cet accord, Jean-Louis Bruguière n’en reçoit que sept. Celles-ci comportent un sommaire général du contrat, où apparaît l’existence d’une clause numéro 47 consacrée aux paiements de commissions, précédée d’une clause secrète frappée du numéro 46. Jamais le juge d’instruction ne demandera une copie intégrale du contrat.

Les confidences américaines

Pourtant, les premières investigations effectuées à Karachi auraient pu orienter le magistrat. Dès le 11 mai 2002, le procureur Michel Debacq, en charge du pôle antiterroriste de Paris, installe ses quartiers au consulat de France de Karachi pour mener l’enquête en accord avec les autorités civiles pakistanaises. Il reçoit la visite de Randall Bennett, responsable du service de sécurité diplomatique de l’ambassade des Etats-Unis. Cet enquêteur américain dirige alors depuis quatre mois une cellule d’investigation travaillant en étroite collaboration avec la police pakistanaise pour tenter de retrouver les assassins du journaliste Daniel Pearl. Il répercute à Michel Debacq les confidences que ses équipiers ont recueilli auprès de leurs collègues pakistanais. Selon eux, l’attentat ne serait pas imputable à Al-Qaeda et ne serait pas lié aux tensions entre des groupes islamistes et des puissances occidentales. Le mobile serait à rechercher dans la coopération bilatérale pour la vente et la construction des sous-marins.

Un courriel émanant d’un adjoint de Bennett, versé au dossier, confirme que dès le 9 mai les policiers locaux privilégient cette analyse. À l’exception de ce courriel, tous les procès-verbaux provenant de ce transport judiciaire à Karachi seront annulés en 2003 par la cour d’appel de Paris, pour vice de compétence territoriale. Simple problème de procédure regrette-t-on alors à la chancellerie. Mais jamais on ne tentera de reconvoquer Randall Bennett pour recueillir dans de meilleures conditions, à Paris, ses informations. Pourtant, l’homme ne se cache pas. Il y a quelques mois, nous avons retrouvé sa trace alors qu’il travaillait pour l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad.

L’investigation financière

Ces conjonctions d’appréciations s’inscrivent dans un contexte particulier. Entre l’été 2001 et début 2002, une tempête judiciaire secoue les arrangements financiers entre l’état-major de Karachi et la DCN. La Cour des comptes pakistanaise boucle des investigations sur des pactes de corruptions passés par des officiers pakistanais avec des responsables français pour obtenir la signature du contrat des sous-marins Agosta 90B. Le 30 janvier 2002, lors d’une audience devant la première chambre de Rawalpindi, l’amiral en chef de la marine, Mansur ul-Haq, plaide coupable pour avoir reçu des Français près de 7 millions de dollars en guise de remerciement. Le chef du service de renseignement de la marine pakistanaise écope de sept ans de prison, et un capitaine de trois ans de prison.

Dans le dossier pénal de l’attentat, aucune trace de ces affaires sulfureuses, alors même qu’elles paraissent avoir conditionné le partenariat autour du chantier de la DCN à Karachi. Curieux. D’autant qu’à Paris, des homologues à la Cour de discipline budgétaire partagent le même intérêt pour les volets financiers de ces relations sous-marines. Un magistrat détaché auprès de la Cour sollicite le 28 mars 2002 la levée du secret-défense pour obtenir des comptes rendus de réunions tenues à Matignon (sous le gouvernement d’Edouard Balladur, dont le ministre du Budget était Nicolas Sarkozy), entre le 2 juillet 1993 et le 2 septembre 1994 et portant sur les volets financiers de la vente des sous-marins. Le 6 juin 2002, la Commission consultative du secret de la défense nationale a donné son accord à la déclassification de ces notes. Hélas, là encore, le dossier pénal n’en a pas profité. Jusqu’à présent.

L’enquête relancée

Depuis quelques mois, les juges Yves Jannier et Marc Trévidic, qui remplacent Jean-Louis Bruguière (après son départ pour suivre une carrière politique aux côtés de l’UMP), ne semblent pas vouloir écarter d’emblée l’examen d’un éventuel mobile financier. La semaine dernière, ils confiaient aux familles des victimes qu’il s’agissait d’une «piste cruellement logique». Deux semaines plus tôt, le 15 mai, ils auditionnaient le directeur financier de la DCN, un ancien cadre de la direction du Trésor. Un pro des comptes qui a éclairé la répartition des 10,25 % de commissions prévues par le contrat, soit près de 100 millions de dollars. Un pactole distribué, parfois de manière occulte, vers divers intermédiaires politiques et militaires en France et au Pakistan. Certains fréquentables, d’autres un peu moins. Après sept ans d’une prudence consommée, l’enquête démarre enfin.

Source: Libération

http://www.liberation.fr/societe/0101576062-karachi-les-c...