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La véritable histoire serait que Nicolas Sarkozy a échappé de peu à un assassinat. Comme nous l'avons déjà ditICIetICI, il est fort probable que son discours à la Knesset où il plaide pour Jérusalem capitale des deux Etats sera très mal passé chez les extrêmistes religieux, or il faut savoir qu'ils sont nombreux à s'engager dans l'armée, ne serait-ce que pour défendre les colons. Lire ICI. Ces individus-là ne sont pas pour la paix, on a vu ce qu'ils ont fait à Rabin. Enfin, qui peut franchement croire qu'un soldat se serait suicidé au moment du départ du couple présidentiel ? La vérité semblerait toute autre et elle émane des services secrets russes. Un garde du corps de Sarkozy serait aussi mort. Nous citons :
"Selon la Zavtra, quotidien russe, le Service fédéral de sécurité de la Fédération Russe (FSB) aurait fait un rapport au Premier Ministre Poutine et au Président Medvedev aujourd'hui indiquant que le président français Nicolas Sarkozy aurait « échappé de peu » à une tentative d'assassinat au cours de son départ de l'aéroport Ben-Gourion après une attaque qui aurait laissé un agent de sécurité français et un policier israélien morts.
Le quotidien moscovite indique également que, selon les analystes du FSB, la version officielle qui défend la thèse du suicide ne servirait qu'à masquer une « réalité évidente ». Il ajoute encore que cette tentative d'assassinat aurait été planifiée par des intégristes religieux après que, lors de son discours devant la Knesset, le président Sarkozy ait indiqué que Jérusalem devait être divisée." Voir ICI le commentaire à côté de la video et nous faisons confiance à notre Ami.
D'ailleurs n'est-il pas bizarre que le film ne commence que lorsque tout est terminé et que l'on voit Sarkozy et son épouse monter dans l'avion ? Pourquoi est-il coupé ? Il y a là quelque chose d'anormal que l'on essaie de nous cacher. Car il est clair et net que tout le monde devait filmer le départ du couple et les adieux de Perez et d'Olmert, or là, comme par hasard, ces scènes ont soigneusement disparues.
Un jour Nicolas Sarkozy devra comprendre qu'on ne peut pas devenir ami avec les sionistes purs et durs. Les intérêts qu'ils défendent ne sont pas les mêmes que les nôtres et si l'on n'est pas d'accord avec eux, ils sont capables du pire. Nous le savons.
Israël dément toute tentative d'assassinat de Sarkozy
La cérémonie organisée à l'aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv pour le départ de Nicolas Sarkozy a été écourtée, mardi 24 juin, après un incident qui a impliqué un soldat israélien. Selon la police israélienne, l'homme se serait tué pendant la cérémonie mais les circonstances de sa mort sont encore floues.
Alors que la cérémonie prenait fin, au pied de l'avion présidentiel français, des gardes du corps se précipitent, selon une vidéo disponible sur CNN, vers le président français. M. Sarkozy et son épouse, qui ne semblent pas avoir entendu le coup de feu, ne paraissent pas paniqués. Ils sont évacués cependant dans leur avion tandis que le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, et le président Shimon Pérès sont eux emmenés vers leurs voitures blindées. Une fois l'alerte levée, MM. Olmert et Pérès sont montés à bord de l'avion pour prendre congé de M. Sarkozy.
A aucun moment, M. Sarkozy n'a couru de danger, a précisé la radio publique israélienne. La police israélienne a également démenti toute tentative d'assassinat du chef de l'Etat français. Le Zaka, service de secours israélien, a indiqué que le soldat, qui se trouvait sur le tarmac de l'aéroport, s'était vraisemblablement suicidé. Les médias israéliens avançaient une autre hypothèse : l'homme se serait tué en tombant d'un toit et le tir serait parti accidentellement de son arme.
Le président bolivien Evo Morales déclare que les forces de sécurité ont déjoué un complot visant à l'assassiner, ainsi que deux autres responsables, et que trois étrangers ont été tués lors d'une fusillade d'une demi-heure.
Le chef de la police bolivienne, Hugo Escobar, a déclaré que deux Hongrois et un Bolivien avaient été tués dans la fusillade, dans un hôtel de Santa Cruz, en Bolivie.
Morales, socialiste et premier Amérindien à avoir accédé à la présidence bolivienne, s'est heurté à une vive opposition dans les régions les plus prospères du pays, notamment Santa Cruz.
Le président, qui se trouve actuellement au Venezuela, a indiqué qu'un Irlandais pourrait figurer parmi les "mercenaires étrangers" impliqués et il a précisé que deux personnes avaient été arrêtées.
"Hier, j'ai donné l'ordre au vice-président de faire arrêter ces mercenaires et ce matin, j'ai été informé d'une fusillade d'une demi heure dans un hôtel de Santa Cruz - trois étrangers sont morts et deux ont été arrêtés", a dit Morales.
Il a ajouté que, selon ses informations, le complot visait à le tuer ainsi que le vice-président et un ministre.
Morales a dans le passé fait état de plusieurs complots dirigés contre lui, mais les résultats des enquêtes n'ont jamais été divulgués.
L'an dernier, des groupes de droite ont organisé de violentes manifestations contre un nouveau référendum donnant davantage de pouvoir à la majorité indigène.
Morales a expulsé en septembre l'ambassadeur des Etats-Unis qu'il a accusé d'avoir encouragé les manifestations pour tenter de le renverser.
Le président a arrêté mardi une grève de la faim de cinq jours après l'adoption par les députés d'une loi électorale accordant davantage de sièges dans les régions indigènes où il jouit d'un important soutien.
Frank Jack Daniel et Eduardo Garcia, version française Nicole Dupont (Reuters)