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16/04/2010

Raymond Barre et le lobby juif

15/04/2010

Lobby juif en France et extrêmisme sioniste

Très bonne vidéo qui montre à quel point les juifs sionistes sont extrêmistes, intolérants, dangereux pour nous tous.

 

26/09/2009

Yves Calvi accusé d'antisémitisme par Arthur

Reprise d'article: 25 juin 2003

Piégé en direct en mai dernier par Arthur dans son émission "PlanetArhur", Yves Calvi a demandé la diffusion d'un droit de réponse sur Fun Radio. Le journaliste d'Europe 1 avait été mis en cause par Arthur à la suite d'une émission consacrée à "Nice People" et a qualifié "d'accusations très graves" les propos d'Arthur.

Yves CalviRappel des faits : le 30 avril dernier, Yves Calvi recevait sur Europe 1 le publicitaire Frank Tapiro et l'écrivain et professeur de philosophie Vincent Cespedes. Ils ont décrypté les émissions de télé réalité comme Loft Story ou Nice People, cette dernière émission étant produite par Endemol France, dont Arthur est le directeur général. Au cours de cette émission, Yves Calvi, puis Vincent Cespedes utiliseront le terme "consanguinité"pour désigner les invités ou candidats des émissions de variété ou de divertissement produites notamment par Endemol France. Yves Calvi avait employé ce mot de manière métaphorique pour désigner la récurrence des invités d'une émission à l'autre.

Cette interprétation ne fut pas celle d'Arthur qui y a vu une allusion à la judaïcité, alors que ce mot n'a jamais été prononcé par Yves Calvi ni son invité. "Ils disent que comme je suis Juif j'ai invité quelqu'un qui s'appelle Partouche qui est Juif. Mais moi je ne l'ai jamais vu ce garçon", expliquait Arthur sur l'antenne de Fun Radio. Le 16 mai dernier, Arthur a donc appelé Yves Calvi sans le prévenir en direct sur l'antenne de Fun Radio. Arthur lui demanda alors d'expliquer en quoi Prosper Partouche était consanguin avec lui, propos qu'Yves Calvi n'avaient pas tenus dans son émission. Ce dernier s'est défendu d'avoir tenu des propos antisémites. La conversation fut ensuite interrompue par une page de publicité sans qu'Yves Calvi ait pu véritablement expliquer le sens de ses propos. Qualifiant "d'accusations très graves" les propos d'Arthur, Yves Calvi a demandé à Fun Radio la diffusion d'un droit de réponse.

Voici la retranscription intégrale de ce droit de réponse.

"Il nous a été demandé par Monsieur Yves Calvi de diffuser le droit de réponse suivant :

"J'ai eu la surprise, le 16 mai dernier, d'avoir été contacté par Arthur sur mon téléphone portable et d'être passé en direct dans l'émission PlanetArthur. Cette diffusion a été réalisée alors que j'ignorais le caractère public de cette conversation téléphonique avec interlocuteurs que je n'ai pu identifier immédiatement. J'ai à cette occasion fait l'objet d'accusations très graves, malhabilement déguisées sous le prétexte d'être interrogé sur la signification du terme consanguin qui avait été prononcé le 30 avril dernier lors de l'émission que j'anime sur Europe 1.

"Comme je l'ai indiqué à l'antenne de Fun Radio, ce terme faisait référence d'une manière très générale et qui ne visait pas Arthur en particulier, aux pratiques largement dénoncées des animateurs des émissions de variétés qui s'invitent les uns les autres d'émissions en émissions. Cependant, outre le caractère erroné des allégations me visant, j'ai été dans l'incapacité de faire usage de mon droit de m'exprimer, dans la mesure où ma conversation avec Arthur a été soudainement interrompue par une page de publicité.

"Or, les critiques particulièrement infondées dont j'ai fait l'objet nécessitaient, de par leur gravité, une discussion sérieuse. Les méthodes utilisées à cette occasion ont été particulièrement désagréables. Je souhaite par conséquent exprimer mon indignation face au procédé mis en oeuvre à mon encontre qui manifeste une volonté réelle de déformer les propos que j'ai tenu et de me dénigrer de manière injustifiée auprès des auditeurs de Fun Radio.

Source: http://www.radioactu.com/actualites-radio/19055/fun-radio...

Thibault Leroi pour RadioActu

29/06/2009

La France humiliée par Israël

Les soldats israéliens ont agressé plusieurs fois des diplomates français.

09.jpgSi Nicolas Sarkozy fait beaucoup d’efforts pour se rapprocher de l’Etat hébreu, on ne peut pas dire que la réciproque soit vraie. A preuve la multiplication des «bavures» commises par les forces de sécurité israéliennes à l’encontre de ressortissants français en mission et soigneusement étouffées par le Quai d’Orsay. Lundi, la directrice du centre culturel français de Naplouse (Cisjordanie) a été sortie de son véhicule, jetée à terre et rouée de coups par des militaires israéliens près de Jérusalem. «Je peux te tuer», a lancé en anglais l’un des soldats. Sa voiture portait pourtant des plaques diplomatiques. Depuis, on lui a déconseillé de porter plainte pour ne pas «gêner» la visite de Nétanyahou. Mardi, c’est le directeur du centre culturel de Jérusalem-Ouest, Olivier Debray, qui, à bord d’un véhicule pourvu de plaques consulaires, a été insulté par des policiers.

beat.jpgMiette. D’une façon générale, le corps consulaire français se plaint de la violation régulière par les policiers et les soldats israéliens des usages consulaires. Le 11 juin 2008, Catherine Hyver, consule adjointe à Jérusalem, avait été retenue dix-sept heures sans une goutte d’eau ni une miette de pain par la sécurité israélienne à un point de passage de la bande de Gaza.

3940808462-tapis-rouge-paris-pour-peres-lors-d-une-visite-sous.jpgExcréments. Mais l’incident le plus choquant est l’occupation du domicile de l’agent consulaire français, Majdi Chakkoura, à Gaza pendant l’attaque israélienne de janvier. En son absence, les soldats israéliens ont complètement ravagé les lieux - pourtant signalés à l’armée israélienne -, volé une grosse somme d’argent, les bijoux de son épouse, son ordinateur et détruit la thèse sur laquelle il travaillait. Et ils ont souillé d’excréments le drapeau français. Le Quai d’Orsay n’a là encore élevé aucune protestation. Une occupation semblable s’est produite au domicile d’une professeure palestinienne du centre culturel français. Avec ce tag écrit en français sur la bibliothèque dévastée : «Sale arabe, ont va revenir te tuer». C’est, dit-on à Gaza, la faute de français - le «t» en trop - qui a choqué l’enseignante.

Source: Libération

http://www.liberation.fr/monde/0101576075-la-france-humil...

15/08/2008

Ma faute ? Avoir heurté de plein fouet la doxa occidentale

Par Bruno Guigue
lundi 21 avril 2008

Dans les jours qui ont suivi mon "limogeage", les éditorialistes Jean Daniel, Bernard-Henri Lévy et quelques autres se sont empressés de me prendre pour cible. Prenant courageusement le parti du pouvoir contre un homme seul, ils ont caricaturé mes propos et stigmatisé ma personne. Point commun de ces commentaires peu amènes ? Sous une avalanche de procès d’intention, un pesant silence à propos des faits que j’avais mentionnés dans ma tribune. Sans toujours réitérer l’accusation grotesque d’antisémitisme proférée par Luc Rosenzweig, ils insinuent que je me serais condamné moi-même par l’outrance de mes propos.

831788-1018907-ac880.jpgMais qu’en est-il, effectivement, des tirs de snipers israéliens sur les enfants et de la pratique de la torture dans les prisons ? Rien. Vrai ou faux ? À lire leur prose, nous n’en saurons pas plus. On préfère évoquer à mon encontre « les protocoles des sages de Sion », comme l’a fait Pierre Assouline. À croire que la coalition de ceux qui ne veulent pas savoir et de ceux qui ne veulent pas que l’on sache est majoritaire. Et au lieu de réfuter mes affirmations de manière factuelle, mes détracteurs préfèrent ainsi jeter l’anathème.

Mais, précisément, parlons plutôt des faits. Deux phrases inlassablement reprises en boucle, tirées de leur contexte, en effet, ont alimenté mon lynchage médiatique. « L’Etat d’Israël est le seul où des snipers abattent des fillettes à la sortie des écoles ». Cette affirmation visait à répliquer aux signataires d’une violente charge contre l’Iran, pays où la peine de mort est cruellement appliquée. Une phrase choquante ? Sans nul doute. Mais les tirs de soldats israéliens contre des enfants, hélas, sont des faits avérés, évoqués par le quotidien israélien Haaretz depuis 2000. Des tirs délibérés, dont le journaliste britannique Chris MacGreal, pour l’hebdomadaire The Guardian, a notamment fait le récit détaillé dans un article paru le 29 juin 2005.

2002_jenin_human_right1.jpgUne triste réalité dont Christophe Oberlin, professeur de chirurgie à l’hôpital Bichat, a lui aussi publiquement témoigné au terme de nombreuses missions médicales en Palestine. Il vient d’ailleurs d’écrire au gouvernement une lettre où il lui demande si, lui aussi, il sera limogé pour avoir confirmé mes dires. Livrée en pâture à l’opinion comme une énormité, la phrase que j’ai écrite avait quelque chose de monstrueux, en effet : elle était vraie. Et parce qu’elle disait la vérité, elle heurtait le formidable déni de réalité qui entoure, dans les médias dominants, la politique israélienne.

La deuxième phrase litigieuse est celle où j’évoque « les geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on interrompt la torture durant le shabbat ». Choquant, là encore ? Le propos renvoyait à leur propre contradiction ces fervents partisans de l’État d’Israël qu’indigne, curieusement, l’inclination de certains pays à la défense de la religion. Mais le fait mentionné, lui, ne fait pas l’ombre d’un doute : il suffit de consulter le dossier établi par l’association israélienne de défense des droits de l’homme Bet’Selem.

Lorsque la Cour suprême israélienne tenta de limiter l’usage de la torture pratiquée sur les prisonniers palestiniens, en 1999, les services secrets ont argué de l’urgence pour la justifier. Les plaignants ont alors fait observer que du vendredi midi au samedi soir, cette pratique était interrompue, ce qui relativisait singulièrement l’argument de l’urgence. Cette affaire est parfaitement résumée par Sylvain Cypel, ex-rédacteur en chef du quotidien Le Monde, dans son livre « Les emmurés », paru aux éditions La Découverte en 2005, p. 94, note 17. Chacun peut s’y référer et vérifier la véracité de mes propos.

israel-la-contestation-contre-olmert-gagne-son-propre-camp.jpgReste un troisième grief, tout aussi paradoxal. Dans la tribune violemment antionusienne dont je faisais la critique, les signataires crurent bon de citer Goebbels, lequel invoquait face à la Société des Nations le fameux adage : « charbonnier est maître chez soi ». Cette citation visait la majorité des pays membres du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, dont le tort était d’avoir dénoncé la violation du droit international par Israël. Les pays musulmans se voyaient ainsi "nazifiés", purement et simplement, par les auteurs du pamphlet que je passais au crible. « Analogie pour analogie », ai-je fait observer, il y avait plutôt ressemblance entre le Reich qui s’asseyait sur la SDN et l’Etat d’Israël qui bafouait l’ONU.

Mea culpa : j’avais oublié que les comparaisons les plus désobligeantes, aux yeux de l’establishment hexagonal, sont interdites à propos d’Israël mais vivement recommandées à l’égard des pays du « Tiers Monde ». Mon principal tort, plus que d’avoir enfreint le devoir de réserve, n’est-il pas d’avoir heurté de plein fouet la doxa occidentale ? Après avoir mis en lumière le déni de réalité dont le discours dominant entoure les exactions israéliennes, il faut croire que c’en était trop. À mes dépens, j’ai fait la démonstration que la frontière entre ce qu’il est licite de dire et ce qui ne l’est pas, dans notre pays, n’a rien à voir avec le vrai et le faux.

Bruno Guigue

Diplômé de l’Ecole normale supérieure et de l’ENA

Auteur de "Proche-Orient : la guerre des mots", L’Harmattan, 2003

Source: http://oumma.com/Ma-faute-Avoir-heurte-de-plein

 

05/12/2007

Algérie: un ministre étonné qu'on lui attribue des propos antisémites sur Sarkozy

ALGER (AFP) - Le ministre algérien des Moudjahidine Mohamed-Cherif Abbas s'est déclaré "étonné et mécontent" mercredi des réactions suscitées par ses propos au quotidien Al Khabar où il évoque le soutien du "lobby juif" au président français Nicolas Sarkozy et ses "origines".

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Dans cet entretien publié lundi, M. Abbas attribue à l'influence d'un "lobby juif" l'accession au pouvoir en mai du président français, attendu le 3 décembre pour une visite d'Etat en Algérie.

"Je ne crois pas que les relations entre l'Algérie et la France soient fondées sur le principe d'égalité (...) Vous connaissez les origines du président de la France et vous savez quelles sont les parties qui l'ont amené au pouvoir. Ne savez-vous pas que les autorités israéliennes ont émis un timbre à son effigie en pleine campagne électorale présidentielle française ?", déclare le ministre au journal.

"Le ralliement de personnalités de la gauche française au gouvernement de droite de Sarkozy a une profonde signification. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner n'a pas sauté le pas en raison de convictions personnelles, mais en raison d'une manoeuvre reflétant les convictions des véritables architectes de l'ascension de Sarkozy au pouvoir, je veux dire le lobby juif qui domine les décideurs en France", poursuit-il.