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29/09/2009

Français avant tout

Voici un débat qui date de 1975 et qui traite en vrac de l’identité française, du patriotisme, du libéralisme, de la sociéte américaine, de son influence et de ses relations avec l’Europe.

Le plateau réunit Jean CAU, Jean DUTOURD, Philippe LABRO, et Jean-François REVEL.

 

Source: François de Souche

Clearstream: les données occultées

Reprise d'article: juillet 2006

Le 7 juillet dernier, au cour d'une confrontation judiciaire de trois heures, Imad Lahoud a de nouveau nié avoir ajouté le nom de Nicolas Sarkozy sur le listing de Clearstream, faisant du ministre de l'Intérieur et chef de l'UMP un suspect dans les affaires financières. " On n'avance pas, " ont dit énervés les juges Henri Pons et Jean-Marie d'Huy, sortant du bureau. Dans l'article " Des corbeaux sur la France, " nous évoquions déjà cette affaire. Pas du tout convaincus par la thèse officielle, nous soupçonnions une opération menée par un pays étranger afin de promouvoir Sarkozy en tendant un piège à Dominique de Villepin. Nous estimions ce dernier le jouet de manipulateurs, qui se sont servi de son différend avec Sarkozy et de sa faiblesse pour les intrigues à la OSS 117. Nous rappelions à ce propos l'épopée brésilienne de Villepin pour tirer Ingrid Betancourt des griffes des FARC. Depuis, nous avons pris connaissance de nouveaux éléments. Imad Lahoud, semble-t-il, a été lui même instrumentalisé.

Il faut d'abord se pencher sur la personnalité d'Imad Lahoud. Né au Liban le 7 octobre 1967, chrétien, il appartient à la communauté maronite. A l'âge de 15 ans, en 1982, avec son père officier de l'armée libanaise, la famille s'enfuit en France et s'installe à Paris. La vie n'est pas facile. On veut paraître, mais les enfants reçoivent une bourse pour poursuivre leurs études.

Marwan, le frère d'Imad, se révèle brillant et fait Polytechnique. Imad, lui, intelligent, mais moins ardu à la tâche, n'obtient son bac que de peu. En " prépa " au lycée Janson-de-Sailly, il rencontre une jeune fille. Elle s'appelle Anne-Gabrielle Heilbronner et appartient à une famille juive fortunée. Son père, François Heilbronner, est le patron du GAN et un proche de Jacques Chirac dont il a été à plusieurs reprises directeur-adjoint puis directeur de cabinet.

Imad épouse Anne-Gabrielle en juillet 1991, apprend l'hébreu, renonce à sa foi chrétienne et se convertit au judaïsme. Après la fille, il a du génie pour séduire son beau-père et sa vie va être désormais portée par son mariage.

Il y avait pourtant des raisons de se méfier de lui. Il a pris l'habitude de se présenter comme un neveu d'Émile Lahoud, le Président du Liban, quand aucun lien de sang n'existe entre son père et le leader libanais. Il prétend aussi l'auteur de ses jours fondateur des services de renseignements libanais. Un autre mensonge.

La tendance à la mythomanie se doublait chez Imad d'une singulière fascination pour les arcanes du monde du renseignement.

En attendant, il essaye d'autres sentiers. Il se fait embaucher chez Merrill Lynch à Londres et effectue un séjour chez Salomon Brothers, autre banque d'affaire de la City. Son talent de hâbleur lui a permis de gagner beaucoup d'argent. De retour à Paris, au bout de quatre ans, il se montre en Ferrari.

Sa femme a suivi son propre itinéraire. En dépit de ses grossesses, elle a fait l'ENA et dirigé ses pas sur l'Inspection des finances. Il veut voler de ses propres ailes et, en 1998 crée le fonds de placement Volter. Les 40 millions d'euros collectés sont hébergés aux Îles Vierges, un paradis fiscal. Retraité, le beau-père, François Heilbronner, s'embarque dans l'affaire.

Au cours de l'été 2000, le fonds Volter fait faillite. Avec son beau-père, Lahoud est mis en examen pour escroquerie. Sans doute les protections du beau-papa évitent-elles le pire. Celui-ci échappe du reste à la prison. Pas Lahoud qui doit purger 108 jours à la Santé. Un moindre mal, on en conviendra.

Confirmant son penchant pour l'escroquerie, avant même son emprisonnement, et quelques semaines après l'effondrement du fonds Volter, il se lance dans une nouvelle aventure. A la fin de l'année 2000, il rencontre une équipe de journalistes et leur promet de l'argent pour relancer un périodique consacré au golf, " Golf et tourisme. "

En fait, il ne met pas un sou, empoche le plus gros des recettes de publicité et vole les journalistes sur leurs salaires. Ces derniers portant plainte aux prud'homme, il les poursuit au pénal. Affirmant ne rien savoir de la publication, il accuse les journalistes de chercher à l'escroquer. Le comble. Il gagne du temps, certes, mais finit par perdre devant la Justice. Cette dernière le cueillera à nouveau quelques mois après la faillite de la publication. Pour un actif de 41 000 euros, celle-ci affichait 776 000 euros de passif. Résultat, depuis, Lahoud s'est vu interdit de gestion pour cinq ans.

Le chef de l'équipe des journalistes rapporte des faits étonnants. " Il se baladait flanqué d'un garde du corps, raconte-t-il. Le type pesait 150 kilos et mesurait deux mètres de haut. Lahoud le présentait comme un membre du Mossad chargé de sa protection. En fait, son gorille n'avait de commun avec les officiers du Mossad que sa confession juive. C'était un agent immobilier, qui avait fait faillite. "

La victime de Lahoud de poursuivre : " Il était fasciné par le Mossad et par les affaires secrètes les plus tordues. Il prétendait vivre selon les principes du service israélien. Une véritable obsession " On sent là une personnalité étrange.

Lahoud sort de prison en octobre 2002. Le couple a tenu le coup. A son crédit, Anne-Gabrielle n'a pas flanché. Menant sa double vie de femme de détenu et de carriériste, elle n'a pas cessé d'enchaîner les postes de responsabilité dans les cabinets de ministres et travaille encore aujourd'hui aux côtés de Philippe Douste-Blazy, aux Affaires étrangères. Les Heilbronner-Lahoud sont néanmoins endettés.

Il faut à Imad trouver le moyen de s'en sortir. Il déjeune avec son frère, Marwan. Celui-ci, grâce à son mérite, est depuis janvier 2003 le patron de MBDA, une entreprise produisant des missiles pour EADS. Echaudé par les incartades de son frère, Marwan hésite. Il finit néanmoins par se laisser convaincre et organise une rencontre avec Jean-Louis Gergorin, le patron d'EADS. Dès juin 2003, Imad se retrouve consultant en stratégie d'EADS. Un an plus tard, il est embauché au centre de recherche du groupe, chargé de la sécurité informatique. Au coeur de notre industrie de Défense. De plus, contrairement aux affirmations répandues dans la grande presse, il n'a que deux DEA, l'un en mathématiques, l'autre en physique, mais aucun diplôme informatique.

Il fallait un sacré coup de main, pour passer du statut de détenu, en outre toujours inculpé dans une autre affaire, à celui de responsable de l'une des instances les plus sensibles de notre pays. Nous avons appris : Lahoud a échappé aux contrôles obligatoires pour occuper sa fonction. On le voulait dans la place. Uniquement par bonté d'âme, dans une sorte de programme de reclassement des droits communs issus de la bonne société ? Nous en doutons.

En tout cas, à la même époque, on note un étrange ballet entre Lahoud et deux autres hommes : Denis Robert, journaliste enquêtant sur Clearstream, et Florian Bourges, auteur d'un " audit " dans la même entreprise, qui cherche à arrondir ses fins de mois en vendant les petits secrets de son enquête.

" Par hasard, " comme le note ironique Eric Decouty, dans " Le Figaro " des 17 et 18 juin derniers, Robert présente Bourges à Lahoud en juillet 2003. D'abord, il faut savoir : Robert est le neveu du général Philippe Rondot, maître espion lui-même mouillé dans l'affaire Clearstream. Ensuite, en juillet 2003, Lahoud travaille depuis un mois pour EADS.

Un officier de renseignement, un journaliste, un escroc aux dents longues, un " auditeur " qui trahit ses clients et un capitaine d'industrie, Gergorin. On assiste à une concentration d'hommes étranges vibrionnant autour de Clearstream. Survolant rapidement le dossier, on peut avoir le sentiment d'une bande de " Pieds Nickelés " oeuvrant dans la confusion.

Mais, soupesant les données de l'affaire, on est étonné par l'accumulation de hasards et le manque de professionnalisme des uns et des autres. Jusqu'à la caricature, cette affaire ressemble à un mauvais scénario de film. Comme si quelqu'un, manipulant ces gens, en avait écrit le texte. Mais qui ?

Gergorin occupe une place centrale dans les événements : il fait entrer Lahoud chez EADS, au détriment des règles de sécurité, et est un ami personnel de Dominique de Villepin. Il est aussi le " corbeau, " auteur de la dénonciation mettant en cause Sarkozy auprès du juge Renaud Van Ruymbeke. Serait-il le maître d'oeuvre ?

Il n'en a pas la carrure. Surprenant chez un homme dans sa position, on observe même chez lui un comportement peu en rapport avec les usages. Il croit dur comme fer son ancien patron, Jean-Luc Lagardère, mort le 14 mars 2003, assassiné par les services russes. Pourquoi pas ? Mais au poste qu'il occupe, Gergorin n'est pas censé s'épancher dans la presse sur un tel sujet.

Comme nous avons repéré chez Villepin les failles de son caractère qui ont pu donner prise à une manipulation, nous faisons les mêmes constats chez Gergorin, lui aussi fasciné par les activités " secrètes, " ou Robert.

Lahoud présente sans doute le profil le plus apte à se laisser piéger. Amateur de complots et groupie du Mossad israélien, habile en escroquerie, il est de plus un pion idéal.

Pour repérer, enrôler et pousser une pareille équipe, il fallait un esprit supérieur. Quelqu'un qui n'apparaîtra jamais sur le devant de la scène. En attendant, la France est ridiculisée, ses grands commis réduits à l'état de guignols. Quant à Sarkozy, le candidat d'Israël et des Etats-Unis, il en ressort confortablement installé dans les sondages. Nous voilà confortés dans nos soupçons.

Alain Chevalérias

Source

Le Mossad derrière le détournement de l'Arctic Sea

22 août 2009 - Le journal Novaya Gazeta, l'un des rares organes de presse crédibles de Russie (et employeur de la regrettée Anna Politkovskaïa), vient d'apporter la confirmation de nos premières analyses sur l'affaire "Arctic Sea".

mossad.jpgEn effet, nous écrivions jeudi que le cargo battant pavillon maltais "Artic Sea", mystérieusement disparu pendant plusieurs semaines au large des côtes européennes, avait été victime d'une opération spéciale montée par une agence de renseignement. Nous citions deux commanditaires possibles : les Américains ou les Israéliens. Les premiers pour leurs capacités logistiques, les seconds pour leur exceptionnel professionnalisme. Pourtant, il paraissait évident que la seule capitale susceptible de lancer une opération aussi risquée était Jérusalem. Nous avions d'ailleurs à ce propos interrogé notre consultant Michael Ross, ancien des services secrets israéliens ; il n'avait pas écarté l'idée.  

Dans son édition de vendredi, la Novaya Gazeta confirme qu'il s'agit du Mossad. Le mobile de cet acte résiderait dans la cargaison du navire. En effet, ses cales ne contenaient pas seulement du bois, comme l'affirme le gouvernement russe, mais également des missiles de croisière X-55 dont le rayon d'action excède 3000 kilomètres - une information
confirmée par la presse danoise et norvégienne, ainsi que par les dires de l'ancien chef d'état-major de l'armée estonienne.

articsea.jpgSelon le quotidien moscovite, le cargo aurait été détourné par un commando des services de renseignement extérieurs hébreux au large des côtes suédoises.

 

L'objectif israélien ? Un mois après la disparition de l'"Artic Sea", le Président Shimon Pérès s'est rendu secrètement à Moscou. Durant cette entrevue du 18 août, il devait convaincre son homologue russe de renoncer à vendre de la technologie militaire à la République islamique d'Iran. Le journal russe croit savoir que le détournement de l'"Artic Sea" par le Mossad avait pour but de soutenir cette rencontre, et de pratiquer à l'égard du Kremlin une nouvelle forme de diplomatie coercitive.

 

http://www.drzz.info/article-35167622.html

27/09/2009

France et judéocratie: le pouvoir exorbitant du lobby judéo-sioniste dans les médias français

Il est parfaitement anormal qu’un débat qui concerne directement ou indirectement Israël, dit "Etat juif" par beaucoup, ou le judaïsme, ou le communautarisme (juif ou autres), rassemble au minimum un et le plus souvent plusieurs et régulièrement une grande majorité de débatteurs Juifs qui ne disent pas alors publiquement lors de ce débat leur proximité, leur éventuelle partialité, en tous les cas leur non-neutralité par rapport au sujet, dans ce débat.

Pour une population qui représente 1% de la population française, c’est parfaitement anormal. Et cela traduit de toute évidence une manipulation politique, communautariste, voire mafieuse : on fait la courte-échelle uniquement aux copains Juifs, de préférence à des non-Juifs, et aux copains Juifs sionistes de préférence aux Juifs non sionistes. C’est de l’apartheid-inversé, du favoritisme, de la ghettoïsation "élitiste" de collusion au détriment de la démocratie.

Les sujets sensibles sont particulièrement bien encadrés dans tous les (pseudo) débats : terrorisme, immigration, indigènes, noirs, pouvoir politique, communautarisme, insécurité, banlieues, islam. En réalité on organise une apparence d’opposition d’idée, qui ne reflète jamais la réalité des diversités attestées par les expressions sur internet. On fait semblant d’opposer des points de vues mais on restreint le champs de discussion à une sphère convenue, politiquement correcte au mieux, totalement manipulatrice au pire.

Une communauté présente à hauteur de 1% en France ne peut pas être présente "naturellement" à 50%, 70%, et parfois même 100% dans certains médias ou certaines émissions.

D’autre-part, prétendre à une supériorité de personnalités juives pour expliquer cette surreprésentation énorme, relèverait du racisme.

Voici des cas précis de débats déjà anciens qu’on pourra juger indignes de ce fait (voir lien ci-dessous).

Aujourd’hui, après l’arrivée du "Macchia" Sarkozy (Messie selon les "Juifs de Neuilly"), à la présidence-gouvernance exclusive et générale de la France, grâce en particulier aux connivences et aux collusions pour le faire gagner, la situation a empiré encore plus drastiquement.

Regardez ces émissions et concluez vous-mêmes : Y-a-il 1% de gens qui se disent Juifs ? Ou bien y en-a-t-il beaucoup plus ? Et le néosionisme juif comme non-juif n’est-il pas écrasant ?

Si vous savez ce que veut dire "néosioniste"*, alors vous détecterez facilement que 90% des personnalités qui ont pignon sur rue partout et tout le temps dans les médias sont NEOSIONISTES, et le plus souvent désormais ces personnalités se disent aussi juives dans une proportion très majoritaire.

* néosionisme : instrumentalisation rhétorique ou politicienne, des nazis, juifs, shoah, souffrances, mémoire, histoire, et contruction permanente du mythe israélien par le mensonge permanent, soutien à tous les prix de l’affrontement au profit d’Israël.

Source: Les Ogres.tv

26/09/2009

Yves Calvi accusé d'antisémitisme par Arthur

Reprise d'article: 25 juin 2003

Piégé en direct en mai dernier par Arthur dans son émission "PlanetArhur", Yves Calvi a demandé la diffusion d'un droit de réponse sur Fun Radio. Le journaliste d'Europe 1 avait été mis en cause par Arthur à la suite d'une émission consacrée à "Nice People" et a qualifié "d'accusations très graves" les propos d'Arthur.

Yves CalviRappel des faits : le 30 avril dernier, Yves Calvi recevait sur Europe 1 le publicitaire Frank Tapiro et l'écrivain et professeur de philosophie Vincent Cespedes. Ils ont décrypté les émissions de télé réalité comme Loft Story ou Nice People, cette dernière émission étant produite par Endemol France, dont Arthur est le directeur général. Au cours de cette émission, Yves Calvi, puis Vincent Cespedes utiliseront le terme "consanguinité"pour désigner les invités ou candidats des émissions de variété ou de divertissement produites notamment par Endemol France. Yves Calvi avait employé ce mot de manière métaphorique pour désigner la récurrence des invités d'une émission à l'autre.

Cette interprétation ne fut pas celle d'Arthur qui y a vu une allusion à la judaïcité, alors que ce mot n'a jamais été prononcé par Yves Calvi ni son invité. "Ils disent que comme je suis Juif j'ai invité quelqu'un qui s'appelle Partouche qui est Juif. Mais moi je ne l'ai jamais vu ce garçon", expliquait Arthur sur l'antenne de Fun Radio. Le 16 mai dernier, Arthur a donc appelé Yves Calvi sans le prévenir en direct sur l'antenne de Fun Radio. Arthur lui demanda alors d'expliquer en quoi Prosper Partouche était consanguin avec lui, propos qu'Yves Calvi n'avaient pas tenus dans son émission. Ce dernier s'est défendu d'avoir tenu des propos antisémites. La conversation fut ensuite interrompue par une page de publicité sans qu'Yves Calvi ait pu véritablement expliquer le sens de ses propos. Qualifiant "d'accusations très graves" les propos d'Arthur, Yves Calvi a demandé à Fun Radio la diffusion d'un droit de réponse.

Voici la retranscription intégrale de ce droit de réponse.

"Il nous a été demandé par Monsieur Yves Calvi de diffuser le droit de réponse suivant :

"J'ai eu la surprise, le 16 mai dernier, d'avoir été contacté par Arthur sur mon téléphone portable et d'être passé en direct dans l'émission PlanetArthur. Cette diffusion a été réalisée alors que j'ignorais le caractère public de cette conversation téléphonique avec interlocuteurs que je n'ai pu identifier immédiatement. J'ai à cette occasion fait l'objet d'accusations très graves, malhabilement déguisées sous le prétexte d'être interrogé sur la signification du terme consanguin qui avait été prononcé le 30 avril dernier lors de l'émission que j'anime sur Europe 1.

"Comme je l'ai indiqué à l'antenne de Fun Radio, ce terme faisait référence d'une manière très générale et qui ne visait pas Arthur en particulier, aux pratiques largement dénoncées des animateurs des émissions de variétés qui s'invitent les uns les autres d'émissions en émissions. Cependant, outre le caractère erroné des allégations me visant, j'ai été dans l'incapacité de faire usage de mon droit de m'exprimer, dans la mesure où ma conversation avec Arthur a été soudainement interrompue par une page de publicité.

"Or, les critiques particulièrement infondées dont j'ai fait l'objet nécessitaient, de par leur gravité, une discussion sérieuse. Les méthodes utilisées à cette occasion ont été particulièrement désagréables. Je souhaite par conséquent exprimer mon indignation face au procédé mis en oeuvre à mon encontre qui manifeste une volonté réelle de déformer les propos que j'ai tenu et de me dénigrer de manière injustifiée auprès des auditeurs de Fun Radio.

Source: http://www.radioactu.com/actualites-radio/19055/fun-radio...

Thibault Leroi pour RadioActu

Villepin déjà « coupable » pour Sarkozy : « C'est volontaire »

Dessin de Na

La présomption d'innocence, Nicolas Sarkozy s'en moque lorsqu'il s'agit de Dominique de Villepin. Ce qui lui vaudra d'être attaqué par ce dernier à l'issue de son mandat. Interrogé par TF1 et France 2 mercredi soir sur le procès Clearstream, le Président a en effet oublié son rôle de « garant de l'indépendance de la justice » et lâché :

« Après deux ans d'enquête, deux juges indépendants ont décidé que les coupables devaient être traduits devant le tribunal correctionnel. »

Ni Laurence Ferrari, ni David Pujadas ne relèvent. Le chef de l'Etat assure qu'il ne renoncera pas à sa plainte, comme l'ont réclamé les avocats de Dominique de Villepin : « Je ne suis pas un homme qui renonce et qui plaisante avec les principes d'honneur et de probité. » Et après un sourire : « Que la justice fasse son travail sereinement, elle est en train de le faire. » (Voir la vidéo)



Ce « lapsus » a immédiatement fait bondir les avocats de Dominique de Villepin qui ont annoncé une plainte contre le chef de l'Etat pour « atteinte à la présomption d'innocence ».

Une assignation civile très symbolique

Contacté par Rue89, Henri Leclerc, avocat de l'ex-Premier ministre, a confirmé qu'une assignation civile contre le Président serait officiellement déposée devant le tribunal de grande instance de Paris.

Le chef de l'Etat bénéficiant d'une immunité, l'assignation ne pourra être examinée qu'à l'issue de son mandat à la présidence. Il apparaît évident qu'elle a plus valeur de symbole au moment précis où la défense de Dominique de Villepin accuse Nicolas Sarkozy d'être juge et partie.

Pour Henri Leclerc, le lapsus de Sarkozy ajoute à la pression déjà exercée sur la Justice par la constitution de partie civile de Nicolas Sarkozy :

« Je pense que c'est volontaire. Le président de la République ne parle pas pour ne rien dire. Il s'agissait d'un entretien, depuis l'ONU, d'une déclaration solennelle.

C'est une intervention publique du Président, sur une procédure en cours dans laquelle il est est partie civile, qualifiant Dominique de Villepin de coupable ! Et le tout depuis l'ONU !

Ce n'est pas un ordinaire ! Et ça peut presque se passer de commentaires tant ce n'est pas ordinaire ! »

Mercredi, en plein procès, Olivier Metzner, avocat de Dominique de Villepin, s'est également scandalisé :

« C'est cela le respect de votre tribunal ? De votre parquet ? C'est cela qu'un président de la République donne comme spectacle à la France de la Justice ? La présomption d'innocence est un droit fondamental.

Et le président de la République la bafoue en direct devant des millions de Français ! On a déjà voulu pendre Dominique de Villepin à un “croc de boucher”. Maintenant, on le dit déjà coupable ! »

Source: Rue89

A Calais, Sarkozy fait de la politique spectacle

Communiqué de presse de Marine LE PEN

Fidèle à sa stratégie de politique spectacle et d’enfumage des Français, Nicolas Sarkozy et son ministre de l’immigration, Eric Besson ont procédé devant les caméras de télévision au démantèlement de la « jungle » de Calais.

Sur les quelque 800 clandestins qui campaient à Calais, 278 ont été interpellés. Combien seront-ils réellement expulsés ? Très peu, si l’on se réfère à ce type d’opérations menées par le passé par Nicolas Sarkozy.

En 2002, lors de la très médiatique fermeture du Centre de Sangatte, un millier des 1500 clandestins interpellés avaient demandé l’asile en France avec la bénédiction de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur.

En 2006, lors de l’évacuation du squat francilien de Cachan, décidée là encore par Nicolas Sarkozy, 231 des 238 clandestins avaient été par la suite régularisés.

Les Français, victimes chaque jour de la folle politique d’immigration, n’ont rien à attendre d’un Nicolas Sarkozy qui rappelait en 2003 « aux professionnels de la fermeture, que la France est un pays ouvert et doit le rester ».

Source: FN

 

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24/09/2009

La dénationalisation du monde occidental mène à l'éclatement de nos sociétés

 

Source

23/09/2009

Chasse au Blanc: des bandes ethniques attaquent la Techno Parade

Les organisateurs de la Techno Parade avaient choisi comme thème de l'événement: la mixité... pari réussi!

"Notre maison brûle, et nous regardons ailleurs".

« La Techno Parade est un grand moment de gaieté qui permet aux Parisiens de prendre possession de leur ville » avait déclaré Frédéric Mitterrand en lançant la fête.

« Beaucoup de préjugés se sont évanouis, mais des libertés sont encore à conquérir. A Paris, c’est comme si un couvre-feu tombait le soir. Paris est devenue une ville trop fliquée et tristounette comme le sont d’autres villes de France » regrettait Jack Lang qui participait au coup d’envoi.

« Avec le magazine Respect, nous allons fêter le public de la Techno Parade qui depuis la première édition, exprime une magnifique mixité en réussissant des gens très différents : blacks, blancs, beurs, hétéros, gays, jeunes et moins jeunes » , explique Sophie Bernard, directrice de Technopol, l’association de défense des musiques électroniques, principal interlocuteur des pouvoirs publics et qui a créé la Techno Parade de Paris.

Source: François de Souche

La citation du jour

"A la place de l’aide au développement, aidez plutôt les émigrés à rentrer dans leur pays ! Au lieu de nous envoyer des médecins de Médecins du monde, essayez de convaincre plutôt tous les médecins camerounais installés à l’étranger de revenir !" 

Emile Bomba, président de l’Association de Lutte contre l’Emigration Clandestine (Alcec), décembre 2008

Source: François de Souche