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30/11/2009

Citation du jour

Xénophobie (voir « Racisme ») : mot sidérant ; ne s’emploie qu’à l’encontre des Français d’origine européenne et de religion chrétienne qui entendent protéger leur identité ou leurs préférences (trad. : identité) ; les agissements comparables des autres groupes sont qualifiés au pire de « communautarisme ».

Dictionnaire de novlangue, Polémia, 2008

 

Source: FDS

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29/11/2009

Marine Le Pen sur i>Télé: "Sarkozy a régularisé 90% des clandestins"

 

 

Racisme anti-français: le grand tabou des médias "officiels"

 

"Sale blanc", "Sale çais-fran", "face de craie", expressions devenues bien courantes aujourd'hui dans la France "métissée"!

Pendant encore combien de temps le peuple français va-t-il subir ces humiliations quotidiennes, sans répliquer?

Face à l'échec flagrant de l"intégration", la politique de l'autruche pratiquée par le système en place a-t-elle un avenir?

Pourquoi ne pas reconduire dans leurs pays ces étrangers qui ne se sentent pas bien chez nous, et qui nous agressent?

Au lieu de dépenser des milliards à fonds perdus pour la "politique de la ville" (comprendre: "ville" = banlieue = population immigrée), pourquoi ne pas aider financièrement ces populations à la dérive, sans repère identitaire, à rentrer dans leurs pays d'origine, promouvant ainsi le développement de ces pays qui en ont grand besoin?

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Les Etats-Unis étaient en mesure de capturer Ben Laden en 2001

Un rapport du Sénat américain rendu public au cours du week-end révèle que l'armée américaine aurait pu capturer Oussama Ben Laden à la fin de l'année 2001, alors que celui-ci se cachait dans la région montagneuse de Tora-Bora, en Afghanistan. Selon le document, commandé par le sénateur démocrate John Kerry en prévision d'une augmentation du contingent américain en Afghanistan, l'armée américaine aurait pu mobiliser plusieurs milliers d'hommes pour traquer le leader islamiste, qui était à ce moment-là particulièrement "vulnérable".

Le World Trade Center en feu, le 11 septembre 2001.

Mais plutôt qu'envoyer les milliers de soldats à leur disposition, les responsables militaires américains auraient privilégié une approche moins "massive", en envoyant, en plus de frappes aériennes ciblées, un commando d'une centaine d'hommes aidés par des Afghans. "Les multiples atouts de la puissance militaire américaine (...) ont été laissés de côté", résume le document.

Se basant sur des documents déclassifiés, des entretiens et des archives, les auteurs du rapport affirment que ces informations "lèvent tout doute à ce sujet et montrent clairement qu'Oussama Ben Laden était à notre portée à Tora-Bora" aux alentours du 16 décembre 2001. Par la suite, Ben Laden aurait quitté la région "sans encombres" pour se rendre dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, où il se trouverait toujours.

"Eliminer le leader d'Al-Qaida du champ de bataille il y a huit ans n'aurait pas éliminé la menace terroriste pesant sur le monde", explique le document. Mais les décisions prises par l'ancien président George W. Bush, son secrétaire d'Etat, Donald Rumsfeld, et le responsable des armées de l'époque, Tommy Franks, "ont permis à Ben Laden d'apparaître comme une figure symbolique qui continue d'attirer des fonds et d'inspirer des fanatiques dans le monde entier". Le rapport va plus loin, estimant que le fait d'avoir laissé Oussama Ben Laden en liberté a contribué "au renouveau taliban en Afghanistan, tout en attisant les tensions au Pakistan voisin".

Source: Le Monde

28/11/2009

Grenoble prise d'assaut par les Algériens

Julien Polat est Secrétaire Départemental Adjoint de l’UMP 38 et Président des « États-Généraux de la Rénovation »
Voici ce qu’il publie sur son blog :

J’étais moi-même sur le cours Jean Jaurès, entre le cours Berriat et le quartier de l’Aigle, lorsque les premiers débordements ont commencé. J’ai vu par moi-même les premiers jets de pierre, les voitures à 110 km/h qui dérapaient brutalement pour faire chauffer leurs pneus, les dizaines de scooters sur la roue arrière provoquant les forces de l’ordre, les invectives et les insultes à ceux dont le teint laissait entendre qu’ils n’étaient pas d’origine Algérienne.

Les scènes étaient choquantes et profondément scandaleuses. Le lendemain, j’apprendrai dans les journaux que je n’avais pas assisté au pire : des automobilistes avaient été extraits de force de leur véhicule et tabassés à coups de pieds… parce qu’ils refusaient de klaxonner pour saluer les résultats de l’équipe Algérienne de foot !

Je le dis sans détours : peu importe leurs papiers dans le portefeuille, ceux qui incendient nos rues, le visage masqué d’un drapeau Algérien en criant « nique la France », ne méritent pas de revendiquer la nationalité Française. Dans ces conditions, il relève de l’indécence d’affirmer que l’urgence du débat sur l’Identité Nationale voulu par Eric Besson n’existe pas.

J’en profite également pour pousser un « coup de gueule » : face au caractère intolérable d’une telle situation, tous les élus municipaux devraient assumer les responsabilités qui leur incombent, et il est intolérable que tous se murent dans le silence.

(…)

En tout état de cause, ces échauffourées liées aux matches de sélection pour la coupe du monde 2010 laissent craindre le pire pour l’été prochain, lorsque nous serons effectivement spectateurs des matches de cette importante compétition.

Qu’en sera-t-il si l’Algérie est éliminée dès le premier tour ? Ou si elle se sélectionne pour les phases finales ? Et qu’en sera-t-il si elle se trouve confrontée à la France ? Serons-nous alors en situation de guerre civile ?

Source: François de Souche

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Renaud Camus sur l’ «antiracisme»

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Extrait :
« Les ambiguïtés [sur les mots racisme et race] ont permis à l’antiracisme de bannir de la parole, des conversations, des journaux, de tous les médias, du discours politique mais d’abord, et c’est le plus grave, de la perception même qu’on peut avoir du monde, tout ce qui relève, non seulement des races, mais des ethnies, des peuples, des cultures, des religions en tant que groupes, ou que masses d’individus, des civilisations en tant que collectivités héréditaires, des origines et même des nationalités dans la mesure où ces nationalités prétendraient être autre chose qu’une pure appartenance administrative, une convention, une création continue.

L’homme de l’antiracisme est nu devant le sort, il ne vient de nulle part, aucun passé ne le protège. Il commence à lui-même, à lui-même maintenant.

Sur une planète idéalement sans frontière, sans distinctions d’aucune sorte et sans nuances, c’est un voyageur sans bagage, un pauvre diable. À tout instant il se fonde comme il peut, en une sorte de gâtisme du commencement perpétuel, d’infantilisme institué, de puérilité (star-) académique.

L’appartenance, dès lors qu’elle n’est pas convention pure (les fameux « papiers »), est perçue et donnée seulement comme une charge, une tare, un poids mort, un encombrant fardeau dont il convient de se débarrasser au plus vite, un héritage maudit.

Ce sont des pans entiers de la connaissance, de la culture, du savoir accumulé de l’espèce, qui sont ainsi récusés, mis à bas, enterrés. Plus gravement encore, ce sont des pans entiers de l’expérience, de l’actualité bien sûr, mais plus directement de l’expérience quotidienne de vivre, de bouger, d’habiter la terre et d’habiter la ville, d’éprouver ce qui arrive quand on descend dans la rue, quand on prend l’autobus ou le métro, des pans entiers du temps, des pans entiers du regard, des pans entiers de la tactilité d’exister, dont par convention il sera convenu, sous peine des plus graves châtiments, qu’ils n’existent pas, qu’on ne les ressent pas, qu’on ne les voit pas même s’ils vous crèvent les yeux – que tout cela c’est dans votre tête, dans votre mauvaise tête.»

Source: FDS

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27/11/2009

Alain Soral et son association font les yeux doux à Poutine

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Vladimir Poutine est à Paris, jeudi 26 et vendredi 27 novembre. Et Egalité et réconciliation (E&R), l’association politique d’Alain Soral- polémiste transfuge du PCF passé par le Front national, proche de Dieudonné -  entend bien profiter de cette visite en France pour manifester toute l’admiration qu’elle voue au premier ministre russe.

“En partenariat avec l’ambassade de Russie et le Collectif France Russie , nous allons organiser un comité d’accueil favorable à Vladimir Poutine à l’occasion de sa venue le 27 Novembre à Paris”, a annoncé, dans un mail aux adhérents, la semaine dernière, Marc George- ancien militant du FN et actuel secrétaire général d’E&R.

Un des objectifs avoués de cette action est de s’” opposer à la propagande gauchiste et atlantiste qui ne va pas manquer de se manifester et de perturber cette visite, et d’obtenir ce faisant de la visibilité médiatique pour egalité et réconciliation”. Mais Marc George y voit un autre avantage, “faire connaître ER et Alain Soral auprès des autorités Russes.” Avant de détailler sa “stratégie”. D’abord, “les ouvrages [d’Alain Soral] pourraient être utilement édités demain en Russie”. Ensuite, “Egalité et Réconciliation se doit de trouver des appuis auprès des puissances résistant au Nouvel Ordre Mondial.”

En gros, Alain Soral et E&R recherchent des protecteurs et mécènes “amis des lettres”. La suite dira si leurs efforts seront récompensés.

Source

Les jeunes du FN reprennent les idées du général de Gaulle, "un patriote"

de gaulle.jpgPour leur campagne sur l'identité nationale, les jeunes militants du Front national reprennent une figure de la politique française, plutôt inhabituelle à l'extrême droite : le général de Gaulle.

L'organisation de jeunesse du FN, le FNJ, a créé une affiche reprenant l'image de Charles de Gaulle, encadrée de deux slogans : "Jeune Français, défends ton identité !" et "Le Front national de la jeunesse, l'esprit de résistance !"

A côté de l'image, une citation sur l'identité française de l'ancien chef de la France libre, tirée du livre d'Alain Peyrefitte C'était de Gaulle : "C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."

affiche_degaulle-667ac.1259315445.jpgUne affiche surprenante et provocatrice pour une famille politique et un parti qui se sont construits notamment autour du combat pour l'Algérie française et par le rejet de l'image du général de Gaulle après l'indépendance algérienne. Un choix que justifie David Rachline, 21 ans, coordinateur national du FNJ : "La conception de l'identité française de De Gaulle est en contradiction avec celle de l'UMP ou de ceux qui se revendiquent de lui . Il a fait un certain nombre de bonnes choses, comme la sortie de l'OTAN. C'était un souverainiste, un patriote. Et il a su rassembler les Français à un moment important de notre histoire."

Se démarquer des anciens

Une manière aussi de faire parler du FNJ, structure qui était en sourdine depuis de longs mois et d'attirer les connections vers le site Internet que le FN a lancé à l'occasion du débat sur l'identité nationale.

Ce n'est pas la première fois que le Front utilise le nom de Charles de Gaulle pour appuyer sa communication en période préélectorale. Avant les éAppelGalDeGaulle18juin40.jpglections européennes de 1999, le FN avait en effet eu comme candidat sur sa liste un certain Charles de Gaulle, petit-fils de l'ancien président de la République.

Aujourd'hui, c'est aussi une manière pour les jeunes du parti de se démarquer des anciens. Outre l'affiche du FNJ, Marine Le Pen multiplie les clins d'oeil au gaullisme dans ses interventions à la radio et à la télévision, ce qui renvoie de facto au passé les générations de militants issues de l'OAS. Même si David Rachline s'en défend : "Au FN, l'affaire de l'Algérie est plus importante pour les anciens que pour les jeunes. (...) Mais on ne se situe pas dans le conflit de génération, je suis dans la droite ligne de ce qu'a toujours fait Jean-Marie Le Pen."

Le directeur de communication du FN, Alain Vizier, répond, lui, par une provocation : "Et si c'était le FN, le dernier parti gaulliste ?"

Abel Mestre

26/11/2009

Pas de commission d'enquête sur les sondages de l'Elysée

Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, annonce qu'il n'y aura pas de commission d'enquête parlementaire sur les sondages financés par l'Elysée, comme le demandaient les députés socialistes.

La requête portait sur le montant des dépenses, l'utilisation des sondages dans des médias jugés proches du pouvoir et l'intervention de spécialistes payés par la présidence de la République.

Epinglé l'été dernier par la Cour des comptes, l'Elysée avait communiqué à l'Assemblée nationale les factures en question, après l'audition par la commission des Finances le 13 octobre de Christian Frémont, directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy.

Le budget sondages de l'Elysée s'est élevé à 3,281 millions d'euros en 2008, à 1,989 million en 2009 et il est estimé à 1,424 million pour 2010, selon un rapport du député socialiste Jean Launay.

Les députés socialistes s'appuyaient sur la réforme de la Constitution de juillet 2008 censée donner davantage de pouvoirs au Parlement et qui prévoit la possibilité pour l'opposition de demander, une fois par session, la création d'une commission d'enquête.

"Le bureau d'une façon très large a pris acte que ces nouveaux pouvoirs ne pouvaient revenir sur un certain nombre de principes institutionnels", a expliqué Bernard Accoyer à l'issue d'une réunion du bureau de l'Assemblée."

"Le principe institutionnel qui serait remis en cause, selon l'avis émis par le bureau, est celui de la responsabilité politique du chef de l'Etat qui s'exerce devant le peuple et en aucun cas devant l'Assemblée", a-t-il ajouté.

"CITÉ INTERDITE"

Jean-Marc Ayrault, chef de file des députés socialistes, a dénoncé "une illégalité" commise "sur ordre de la présidence de la République".

"Les dirigeants de l'UMP à l'Assemblée nationale ont pris la responsabilité de violer la Loi suprême afin d'interdire à l'opposition d'exercer le droit de contrôle que lui reconnaît la réforme" constitutionnelle de juillet 2008, a-t-il dit.

Qualifiant de "nuls et non avenus" les arguments avancés par la majorité, il annoncé que son groupe dévoilerait vendredi les suites qu'il compte donner à "ces violations".

"Il est hors de question pour nous que Nicolas Sarkozy transforme l'Elysée en 'Cité interdite' de la République", a-t-il conclu.

Outre l'importance du coût des enquêtes, l'opposition estime que certains sondages pré-électoraux concernant l'UMP n'avaient pas à être financés sur fonds publics.

Bernard Accoyer avait refusé le 10 novembre de s'opposer à la création d'une commission d'enquête, comme le lui avait demandé par lettre la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie.

Il avait demandé à la commission des Lois de se prononcer. Celle-ci avait, le 17 novembre, déclaré irrecevable la proposition de résolution du groupe socialiste.

Il revenait donc, comme le prévoit le règlement interne, au bureau de l'Assemblée de se prononcer et, in fine, au président de l'Assemblée de trancher.

Emile Picy, édité par Sophie Louet (Reuters)

25/11/2009

Insécurité : Marine Le Pen appelle à rétablir la double peine

marine le pen.jpgLa vice-présidente du Front national a réclamé, mercredi 25 novembre, le rétablissement de la "double peine" à l'égard des "délinquants étrangers", afin de lutter contre l'insécurité en France. "Il faut renvoyer les étrangers délinquants, c'est-à-dire faire l'inverse de ce que Nicolas Sarkozy a empêché [sic]", en décidant "la suppression de la double peine", a déclaré Mme Le Pen, interrogée par iTélé depuis Bruxelles où elle exerce un mandat de député européen.

Le régime de la double peine, qui prévoyait l'expulsion des étrangers condamnés, a été réformé en 2003 par M. Sarkozy, alors ministre de l'intérieur. "Il faut rétablir la possibilité pour les Français de ne pas être soumis à la triple peine, celle qui consiste à être victime de l'infraction de la part des étrangers, à payer leur place en prison et, de surcroît, être obligé de les conserver après", a affirmé Mme Le Pen.

"ZONES TRIBALES"

Au lendemain du déplacement du chef de l'Etat en région parisienne, la vice-présidente du FN a affirmé que "la situation dans les banlieues est dramatique". "Il y a quasiment des zones tribales comme au Pakistan, où on est obligé de faire protéger par la cavalerie des bus pour traverser des quartiers. Et demain, on va faire quoi ? On va mettre des chars ?", a-t-elle lancé.

Selon Mme Le Pen, "ce n'est pas en diminuant de 3 000 les policiers et les gendarmes tous les ans jusqu'en 2012, que l'on va régler le problème de la sécurité". "C'est bien gentil de parler de vidéosurveillance, c'est bien gentil de parler de policiers référents, mais à ce moment-là, il en faut plus, pas moins. Sinon, on est dans le mensonge total, ce qui est évidemment le cas", a-t-elle ajouté.

Source: Le Monde