10/01/2015
Un ami d’enfance se confie : les frères Kouachi «détestaient les Gaulois»
De 1994 à 2000, Pierre*, Français désormais installé en Romandie, a grandi dans un foyer de Corrèze avec les frères Kouachi. L’aîné était son «meilleur pote». Témoignage.
(…) «La Fonda», il n’en garde pas que de bons souvenirs même s’il est venu à notre rendez-vous avec sous le bras un album de photos de l’époque. «Tous ceux que j’ai connus là-bas et dont j’ai eu des nouvelles ont mal tourné. Plusieurs sont en prison, d’autres sont tombés dans la drogue ou même morts», explique celui qui y avait été placé en tant qu’orphelin. Saïd et Chérif Kouachi qu’il imaginait sur le bon chemin comme lui viennent donc grossir cette liste. «Les années passées au foyer ne les ont pas aidés mais de là à tomber aussi bas!» commente Pierre. Là-bas, il fallait savoir se servir de ses poings. «Mon premier contact avec Chérif s’est passé le lendemain de mon arrivée. Il m’a tabassé sans raison comme je l’avais déjà été la veille par un autre.»
«Ils détestaient les Gaulois»
A l’époque, le cadet des frères Kouachi n’est pas porté sur la religion mais déjà «du genre radical» d’après Pierre. Il est alors «très bagarreur», fort en gueule, «aime se saper» élégamment selon les critères en vigueur à la «fonda» – «à savoir en survêt Lacoste et chaussures requin» – enchaîne les aventures sexuelles avec les filles du foyer, déteste «les Gaulois» (les Français de souche) et le fait savoir en affichant un dédain silencieux vis-à-vis des éducateurs qui tentent de l’aider malgré lui. Balle aux pieds en revanche, l’ado fait des étincelles. «Il avait des pieds en or et alignait sans problème 200 jongles de la tête. Un vrai Messi! Il avait même commencé un sport-études d’où il s’était rapidement fait virer», se souvient Pierre.
(…) Lematin.ch
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Minute de silence : «Je te bute à la kalach» lance un élève à son prof
Une minute de silence a été demandé dans les écoles, collèges et lycées. L’exercice n’a pas toujours été un exercice facile. Prévisible, selon les enseignants exerçant sur ces territoires où les tensions religieuses sont vives.
«Impossible d’engager un débat sur le sujet», explique un prof de philo de l’Essonne. Ces minutes ont même parfois dérapé. «Je te bute à la kalach», a lancé à Lille un élève de quatrième à son enseignante, pendant cette minute de silence.
Dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, pas moins de 80 % des élèves d’une classe ont refusé cette minute de silence.
«Certains reproduisent des discours complotistes», explique l’enseignant qui, à force de discussion, a finalement convaincu la moitié d’entre eux.
Certains élèves ont aussi fait entendre leurs convictions. «Mais vous ne comprenez pas, le Prophète, ils n’auraient pas dû le dessiner (…). Il est au-dessus des hommes», a lancé une élève de sixième à son professeur.
Un élève d’une enseignante de français dans le XIIIe arrondissement de Paris l’a interpellée en ces termes: «Madame, c’est possible que je ne fasse pas la minute de silence? Je ne veux pas me recueillir pour des gens comme ça.»
Un autre lui a lancé: «Ils l’ont bien cherché. On récolte ce que l’on sème à force de provoquer.»
Dans cette classe de troisième comptant 26 collégiens, huit ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national.
Dans un collège de Roubaix, un rassemblement de 400 élèves a été dominé par un «grand bourdonnement» et les réflexions de certains qui «ne comprenaient pas bien à quoi ça servait», rapporte un enseignant.
Sur son compte Facebook, une prof narre la difficile journée de jeudi, expliquant vouloir demander sa mutation. Elle raconte avoir été accueillie à 8 heures par des «Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué»…
Source - Merci à Manu1379
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Même sujet :
- « Des élèves ont refusé de participer à la minute de silence »
- Dans une mosquée de Toulouse : «On ne peut pas se mélanger avec ceux qui justifient les caricatures du prophète»
- Le désarroi d’une prof qui parle de « Charlie » à ses élèves : minute de silence méprisée, provocations…
- Un enseignant du 95: ses éléves justifient l’attentat contre Charlie Hebdo
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(Rediff) Guy Bedos : « Charlie Hebdo ce n’est pas mes copains. Qu’ils crèvent ! »
« Charlie Hebdo ce n’est pas mes copains. Qu’ils crèvent !
Ils ont pris des risques sur la peau des autres »
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Attentats islamistes : Jean-Yves Le Gallou décrypte la propagande du Système (TV Libertés)
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Et s’ils faisaient leur examen de conscience ?
Cessez de vous laisser berner par tous ceux qui veulent, une fois de plus, faire diversion et tenter de vous endormir.
Après le « Ich bin ein Berliner ! » de Kennedy en 1963, le « Nous sommes tous des juifs allemands ! » des jeunes allumés du Quartier latin en 1968, voici qu’aujourd’hui, comme une fulgurante épidémie, fleurissent, dans les rues et sur les forums, les innombrables « Je suis Charlie ! »… Alors, à côté de l’indignation que moi aussi j’éprouve devant ce nouveau massacre révoltant perpétré par les islamistes, j’ai du mal à réprimer en moi – qu’on me le pardonne ! – une irrépressible envie de ricaner.
Quand ils auront fini de pleurnicher, quand ils auront séché leurs larmes, dans une semaine (deux tout au plus), tous nos « je-suis-charlie » reprendront leurs activités ordinaires et se remettront à cracher tranquillement sur Éric Zemmour, Renaud Camus, Richard Millet ou Alain Finkielkraut, sur tous ces plumitifs infâmes qui, avec leurs fantasmes « remplacistes », leurs délires islamophobes, leur xénophobie fièrement revendiquée, toutes leurs provocations criminelles destinées à jeter de l’huile sur le feu, sont loin d’être étrangers à ce qui vient de se passer et qu’on ne peut donc pas du tout exonérer de toute responsabilité.
Au lieu de s’abandonner ainsi à l’émotion facile et à l’indignation convenue, ils feraient mieux, tous ces braves gens éplorés, de faire leur examen de conscience et d’essayer de réfléchir un peu. Qui, parmi eux, pourra soutenir que ce qui vient de se passer n’est pas le résultat de 40 ans d’invasion de la France par des populations allogènes inassimilables ?
Le résultat d’une politique de soumission toujours plus grande à l’islam, à ses interdits alimentaires, à ses excentricités vestimentaires, à la multiplication de ses lieux de culte ? Le résultat d’un lâche consentement de presque tous nos hommes politiques à la halalisation progressive de notre France ? Qui, enfin, pourra prétendre que depuis 40 ans aucune voix courageuse (vox clamans in deserto) ne se serait élevée pour les mettre en garde contre ces dangers qui sont aujourd’hui devenus flagrants ?
Et puis on nous présente Charlie Hebdo comme un symbole de la liberté d’expression, ses journalistes comme des démocrates scrupuleux et d’intraitables champions de la tolérance. Quelle rigolade ! Bien sûr, ce n’est pas faire injure à ces humoristes lâchement assassinés que de rappeler que c’étaient avant tout des soixante-huitards convaincus, des hommes qui, bien que partisans du fameux « Il est interdit d’interdire », n’hésitaient jamais à tenter de bâillonner ceux dont les idées ne leur convenaient pas. Faut-il rappeler que le malheureux Charb lui-même, avec ses amis de Charlie, avait pris l’initiative, en 1996, d’une vaste pétition pour exiger du gouvernement l’interdiction du Front national. Pour eux, la liberté d’expression, c’était donc bon pour certains mais pas pour tous ! Ils ne faisaient là qu’appliquer les bons principes proclamés en 1793 par les dirigeants de la République terroriste : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! »
Allez, mes frères, soyez courageux ! Cessez de vous leurrer vous-mêmes, cessez de vous laisser berner par tous ceux (les Edwy Plenel, Laurent Joffrin et Cie) qui veulent, une fois de plus, faire diversion et tenter de vous endormir, renoncez à toutes ces simagrées ridicules et ouvrez plutôt les yeux : osez enfin prendre conscience des tâches difficiles qui attendent aujourd’hui, dans notre pays, les vrais patriotes.
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La phrase du jour
"Il y a vingt ans, le terrorisme s’exportait depuis notre région, en particulier depuis les pays du Golfe, comme l’Arabie saoudite. A présent, il nous vient d’Europe, et notamment de France. Le plus gros contingent de terroristes occidentaux venus en Syrie est français. Ils commettent des attentats en France. En Belgique, ils ont attaqué le musée juif. Le terrorisme en Europe n’est plus dormant, il s’est réveillé."
Bachar El-Assad, entretien accordé à Paris Match, 28 novembre 2014.
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Jean-Marie Le Pen : « Je suis Charlie Martel »
« Restez calme et votez Le Pen. » Voici le message publié sur le compte Twitter de Jean-Marie Le Pen ce vendredi 9 janvier à 14h37, alors que deux prises d’otages liées à l’attentat de Charlie Hebdo étaient toujours en cours.
[...] Un tweet immédiatement relayé et décrié sur le réseau social.
Contacté par Le HuffPost, Jean-Marie Le Pen a confirmé être à l’origine de ce message et l’assumer. À ceux qui l’accusent de récupération politique ou de briser l’union nationale, il répond:
« Union nationale de mes fesses, nous sommes mis à l’écart », s’est exclamé Jean-Marie Le Pen alors que la question de la présence de son parti au rassemblement de dimanche fait débat.
A la question de la récupération, l’eurodéputé répond:
« Qu’est-ce que c’est que cette histoire de récupération politique ? On ne peut pas appeler à voter quand on veut ? Est-ce que je dois m’habiller en noir ? Je déplore la disparition de douze Français. Mais je ne suis pas Charlie du tout, je suis Charlie Martel si vous voyez ce que je veux dire ! » [...]
03:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
09/01/2015
Dessin du jour: la tuerie de Charlie Hebdo, perpétrée par des individus de nationalité française, sonne le glas des illusions de la "société multiculturelle"
14:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
[Charlie Hebdo] Discours de Robert Ménard à Béziers : « On ne peut pas combattre un ennemi si on ne le nomme pas »
Discours du maire de Béziers Robert Ménard dans sa ville, le 8 janvier 2015, à la suite des attentats de Charlie Hebdo – Extrait
« (…) Quand on vous fait la guerre, il faut arrêter de penser que l’ennemi vous respecte, vous ressemble, vous veut du bien, vous a mal compris, que vous pouvez le changer ou, pire, que c’est de votre faute. On ne choisit pas son ennemi, il vous choisit.
Et c’est cet ennemi qui nous rassemble. Et qui devrait durablement nous rassembler.
Pour lui, que l’on soit du parti communiste ou élu avec le soutien du Front National, c’est la même chose. Nous incarnons aux yeux de cet ennemi une Europe décadente, une Europe faible, une Europe qu’il pense pouvoir conquérir à la fois par la terreur, mais aussi par une lente infiltration dans nos quartiers, dans nos villes, maintenant dans nos villages. Partout où la France recule (…)
Que ferons-nous demain pour que les conditions qui risquent de transformer Paris en Beyrouth, en Alep ou en Kaboul soient traitées sans faiblesse, voilà la question qu’il faudra bien, ensemble, ne pas cesser de nous poser
On ne peut pas combattre un ennemi si on ne le nomme pas. Les assassins de Charlie Hebdo ne sont ni des boudhistes radicaux, ni des catholiques intégristes, ni des protestants forcenés. Ce sont des islamistes, des djihadistes. (…)
Après le temps du deuil, si nous ne voulons pas que s’y ajoutent d’autres morts, c’est le combat, pour notre France, qui nous appelle. »
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LUCIDE: le Pégida français a rassemblé 400 personnes à Lyon jeudi soir pour sa première manifestation
Discours prononcé hier soir à l’occasion du rassemblement de LUCIDE : Luttons Unis Contre l’Islamisation De l’Europe
Il est terminé le temps des pleurs, le temps des bougies et des crayons levés timidement.
Ce soir nous sommes ensemble le réveil d’un peuple empoisonné par la bienpensance. Ce peuple uni est un corps sur lequel on souhaite greffer quelque chose qu’il ne veut pas, quelque chose qu’il ne peut pas accepter. Laissons les bobos pleurer sur le résultat d’une politique qu’ils ont depuis longtemps acceptée et qu’ils continuent à promouvoir malgré les larmes et le sang versé.
Nous sommes là pour dire Non !
L’Europe, la France, Lyon ne sont pas des terres d’immigration où l’islam peut s’installer à tous les coins de rues. Non, on ne combat pas le terrorisme musulman avec des frontières ouvertes à tous, avec une politique d’immigration incontrôlée et en laissant construire des mosquées partout sur le territoire !
Nous demandons clairement à l’État de prendre ses responsabilités, celles qu’il a depuis longtemps abandonnées pour des intérêts financiers avec une naïveté dangereuse.
Nous sommes 400 ce soir et le double jeudi prochain ! Nous serons 5000 dans très peu de temps puis 10 000 car je vous l’assure nous ne sommes pas minoritaires ! Les Français nous suivrons de plus en plus nombreux semaine après semaine, à l’image de nos frères européens de Dresde du mouvement PEGIDA ! D’ici quelques mois nous serons des milliers ici ! Et si l’État n’a toujours pas pris les choses en main, faites confiance à ce qui coule dans les veines des Français pour s’assumer eux-mêmes.
L’héritage de plus 2000 ans de prouesses, de génie et d’éclat ne s’est pas éteint en 2015, il se réveille !
Ensemble, luttons unis contre l’islamisation de l’Europe !
Page Facebook du mouvement LUCIDE
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