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14/01/2015

Rue Morand, à l’heure de la prière

Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le "génocide par substitution".

priere,ruemorand,islam,musulmans,grandremplacementJe sors du métro, station Belleville. Belleville, ou ce qu’il en reste. Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le « génocide par substitution ».

Si je suis là, en ce vendredi, c’est pour voir et pour témoigner. Les « prières de rue » – dossier classé au ministère de l’Intérieur – subsisteraient dans le XIe arrondissement. Puisqu’il ne faut rien attendre des médias officiels – seuls Riposte laïque, le Bloc identitaire et quelques blogueurs se sont penchés sur la question –, je me ferai une opinion de visu.

Rues Louis-Bonnet, de l’Orillon, puis Morand. Rue grise et poisseuse. Je marche vers la mosquée Omar – « haut lieu du salafisme » selon les services spécialisés – au numéro 2. Rien. Je suis peut-être en avance. Afin d’observer l’endroit en toute discrétion, je me poste dans une entrée d’immeuble, à vingt mètres.

Les fidèles convergent lentement et régulièrement vers la mosquée. Jeunes, vieux, hommes (certains en djellaba), femmes (niqab de rigueur) s’engouffrent dans le petit bâtiment blanc et vert. Ils ont leur tapis de prière dans un sac en plastique ou dans la main. Une demi-heure s’écoule, et toujours pas d’attroupement ostensible.

Progressivement, un petit groupe se forme au bas du temple ; puis des hommes commencent à piétiner aux alentours. Soudain, un vieillard emmitouflé s’installe dans l’espace où je me crois dissimulé, et déplie un petit tabouret. Bientôt, un autre homme aborde mon observatoire ; il étend un carton au sol. J’engage avec lui la discussion. Bourru mais affable, il se met à m’expliquer que la mosquée est trop petite pour accueillir tout le monde, malgré ses trois étages. Je lui demande combien de personnes viennent prier (quelques centaines ?). « Oh, beaucoup plus », me répond-il ; et d’un geste de la main, il englobe toute la portion de rue que nous voyons pour me signifier que « ça viendra jusque-là ».

En effet. À partir de 13 h 30, la foule occupe un bon tiers de la rue. Il y a là pas moins de trois cents hommes. Je vois passer un costaud avec une grosse pile de cartons sur l’épaule, qu’il déploie sur la chaussée un peu plus loin. Nous sommes maintenant cinq dans la petite entrée où je fais toujours mine d’attendre ; personne ne semble faire attention à moi. L’homme bourru s’inquiète de laisser un espace pour la porte de l’immeuble. Mais des deux côtés du porche, le bitume est jonché de mains et de genoux ; pour sortir, il faudrait enjamber la barrière donnant sur la route. Moi-même, je suis assigné là, piégé dans une rue de Paris. La prière commence. « Allahou Akbar » résonne dans la ville, entre silences et murmures… L’intensité de la dévotion est palpable.

À 14 h 15, la foule se redresse et se disperse rapidement. Mon interlocuteur provisoire me glisse : « La prière a pris cinq minutes de retard aujourd’hui ». Comme pour se justifier. Puis il me tourne le dos et s’éloigne. Quant à moi, j’ai vu.

 
 
Vidéo du Bloc identitaire sur les prières musulmanes ayant lieu dans la rue Morand, près de la mosquée Omar:
 

Les italiens s’opposent en masse à la présence des immigrés

Né dans la périphérie de Rome, le mouvement s’oppose à la présence des immigrés.

«Droit au logement, droit au travail, nous ne les avons pas, ils ne les auront pas.»

C’est le nouveau slogan scandé en Italie du Nord au Sud, de la péripherie de Naples à Bergame, en passant par Bologne et bien d’autres villes encore. Mais c’est dans une paisible banlieue romaine que tout a commencé, à Tor Sapienza, avec, début octobre, une première manifestation regroupant 200 personnes protestant contre l’ouverture d’un centre d’accueil pour immigrés. Le 15 novembre, ce sont près de 5.000 personnes qui protestaient dans le centre de Rome pour demander un plus grand contrôle de l’immigration et plus de sécurité.

Antonio Castronovi habite Tor Sapienza. Lorsque, en novembre, il observe ses voisins manifester avec violence contre la présence d’un centre pour réfugiés, il est frappé. Non pas par les insultes racistes –«sales nègres on va vous brûler»–, ni par les menaces de mort adressées aux réfugiés politiques barricadés dans le centre d’accueil. Ce qui a choqué l’auteur de Le periferie nella città metropolitana («Les banlieues dans la ville métropolitaine»), c’est l’expression désespérée d’un besoin de revanche sociale:

«On reproche à ces immigrés leur position de privilégiés.»

Ce sentiment d’infériorité par rapport au dernier arrivé est partagé par les riverains des banlieues les plus dégradées de la ville. Comprendre comment cette ancienne bourgade communiste s’est transformée en théâtre de violentes protestations virant au racisme, et en terrain d’infiltration du mouvement d’extrême droite Casapound, c’est mettre un doigt sur la fragmentation géographique et sociale des banlieues. Si, dix ans après la France, l’Italie s’apprête à vivre sa crise des banlieues, les manifestations et les causes du malaise sont loin d’être similaires….

Source

via Fdesouche.com

Une manifestation contre l’islamisation autorisée à Paris dimanche

La manifestation lancée par 2 associations (Riposte laïque et Résistance républicaine) aura bien lieu. Ces deux associations appellent à un rassemblement à Paris le 18 janvier pour « exiger l’expulsion de tous les islamistes de France ».

Nous venons d’obtenir en référé l’annulation de la décision du préfet Boucault sur demande du ministre Cazeneuve. L’interdiction de nos rassemblements de jeudi dernier, en hommage aux victimes des attentats de Charlie Hebdo, et du 18 janvier, demandant l’expulsion de tous les islamistes de France, est illégale selon les juges, qui condamnent l’Etat à nous verser 800 euros de compensation.

Nous maintenons donc, plus que jamais, l’appel à nous rejoindre, à Paris, place de la Bourse, à 14h30, dimanche 18 janvier.

Source

via Fdesouche.com

Sheikh Imran Hosein conseille aux Musulmans de France de rentrer dans leurs pays d’origine (vidéo en anglais)

"La France n'est pas votre pays. Votre vrai pays, c'est le pays de vos parents, le Maroc, l'Algérie..."

via Fdesouche.com

Charlie Hebdo: vidéo des frères Kouachi tirant sur une voiture de police en plein Paris

Taubira envoie des instructions relatives à l’insertion des multirécidivistes pendant les attaques islamistes

Des instructions données par la Garde des Sceaux le 9 janvier, au moment où la France était durement frappée par trois actes terroristes, réaffirment aux procureurs la nécessité de traiter sur un même plan les récidivistes et les non-récidivistes en matière de réductions supplémentaires de peine.

Lire l'article sur Fdesouche.com

Ukraine de l'Est - Nouvelle Russie: le bombardement d'un bus de civils fait 11 morts et 13 blessés

Lire l'article en anglais sur RT

13/01/2015

Aujourd'hui djihadistes en Syrie, demain terroristes en France ! (rediff - 16 mai 2014)

syrie,djihadistes,terroristes,france,bloc identitaire,merah

 

bloc-identitaire.com  

Le dessin du jour

 

http://fn41.n.f.f.unblog.fr/files/2014/12/representant-peuple-konk.jpg

Konk

12/01/2015

LUCIDE appelle à un nouveau rassemblement contre l’islamisation vendredi 16 janvier à 20h à Lyon

Suite à la manifestation de jeudi dernier qui a rassemblé 400 personnes (Voir ICI), le mouvement LUCIDE, Luttons Contre l’Islamisation de l’Europe, annonce un second rassemblement vendredi 16 janvier à 20h à Lyon.

Page Facebook du mouvement LUCIDE

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via Fdesouche.com