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09/04/2009

Dessin du jour: Immigration

dessin Immigration.jpg

 

Source: http://www.fdesouche.com/articles/3689

 

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Agression dans un Bus : Réaction de Marine Le Pen

Insécurité : Sarkozy protège les barbares !

Quatre mois après l’agression sauvage et raciste d’un Français par des jeunes d’origine étrangère dans un bus à Paris, rendue publique par la diffusion sur le site dailymotion d’une vidéo, aujourd’hui censurée, on apprend avec stupéfaction qu’une enquête va être diligentée non pas pour retrouver les auteurs de ces actes barbares, mais pour déterminer si dans cette affaire, des policiers n’auraient pas violé le secret de l’enquête en diffusant les images.
marine-le-pen-.jpgIncapable de juguler la submersion migratoire, l’insécurité et le racisme anti-français, Sarkozy tente aujourd’hui de le dissimuler en censurant l’information.
Marine Le Pen, vice-présidente du FN dénonce cette scandaleuse bienveillance du pouvoir à l’égard des délinquants ethniques et apporte tout son soutien aux forces de l’ordre abandonnées par l’Etat dans leur périlleuse mission et qui payent un lourd tribut à la montée exponentielle de toutes les violences.
Elle informe également les Français que des actes de cette nature se déroulent quotidiennement dans notre pays et qu’ils sont systématiquement passés sous silence.

MARINE LE PEN
Vice-Présidente du Front National

Source: http://www.nationspresse.info/?p=36991

VIDEO DE L'AGRESSION ANTI-BLANC:

http://www.fdesouche.com/articles/33981

(la vidéo a été censurée à plusieurs reprises sur You Tube et Daily Motion ! Pourquoi? Je vous laisse deviner...)

 

05/04/2009

Des soldats israéliens décrivent les atrocités commises à Gaza

El Pais, 20 mars 2009 (Traduit par Xavier Guttierrez, Parti National Français)

" Pas de pitié, nous venons pour vous anéantir " ont écrit les soldats de Tsahal dans les maisons palestiniennes.

Juan Miguel Muñoz, Jérusalem

" Quand on entrait dans une maison, on détruisait la porte et on ouvrait le feu. Cela s’appelle un assassinat. A chaque étage, on tirait sur toutes les personnes que l’on voyait. Je me suis demandé : Comment cela peut-il être raisonnable ? ", explique un militaire israélien. Ceci est un des témoignages publiés par le journal Haaretz sur ce qu’ont vécu les soldats israéliens lors de l’attaque israélienne sur Gaza, qualifiée par Tsahal et le gouvernement de Ehud Olmert d’ " opération ", et considérée par des juges et avocats préparant un dossier d’accusation auprès de la Cour Pénale Internationale comme un crime de guerre.

2472140535-olmert-doute-d-un-accord-de-paix-avec-les-palestiniens.jpgDanny Zamir, directeur de l’académie militaire Isaac Rabin, dont les élèves débattent depuis des semaines sur les expériences vécues lors de l’attaque de Gaza, a déclaré hier que les soldats témoignent de " l’utilisation injustifiée de la force militaire contre les civils palestiniens ". Parmi les 1400 victimes palestiniennes, environ un millier étaient des civils désarmés, et 239 étaient des policiers qui se trouvaient sur leur lieu de travail lors du premier jour de l’agression israélienne. Deux cents trente cinq activistes armés ont perdu la vie lors des combats.

Un autre soldat israélien a révélé qu’un commandant de Tsahal avait ordonné à ses troupes d’abattre une vieille dame qui marchait sur une route à cent mètres de distance des forces israéliennes. Un troisième soldat explique ce qui s’est passé lors de l’attaque d’une maison à Gaza: " Le chef de peloton a laissé une famille s’en aller et leur a dit de partir vers la droite. La mère et ses deux enfants, n’ayant pas compris, sont partis vers la gauche. Un tireur d’élite les a vu s’approcher d’une zone interdite. Il les a abattus ". Ce sous-officier précise que ses hommes sentaient " que la vie des palestiniens avait d’une certaine manière beaucoup moins de valeur que la vie de nos soldats. Ils pouvaient ainsi justifier leurs actions ".

enfants massacrés.jpgLes soldats israéliens ont aussi laissé des messages par écrit. " Pas de pitié, nous venons pour vous anéantir ", " mort aux Arabes ", sont seulement deux des graffiti inscrits par les militaires israéliens dans les bâtiments qu’ils ont occupés et utilisés comme base. De nombreux témoins relatent la manière dont les soldats israéliens détruisaient ordinateurs, meubles, télévisions, appareils ménagers…Les soldats de Tsahal ont également déféqué dans les lave-linges, et laissé des excréments dans les frigos.

Les règles imposées aux soldats durant le combat étaient extrêmement permissives. Tout était fait pour éviter des pertes dans l’armée israélienne, qui par ailleurs est de plus en plus composée par des jeunes d’extrême droite. Les consignes délivrées par les rabbins " de ne pas avoir de pitié " ont également grandement influé sur le comportement des soldats sur le terrain. Tsahal promet – comme d’habitude – d’ouvrir une enquête sur les exactions commises.

" Madame la vice-présidente, ma grand-mère n’est pas morte pour couvrir et justifer le comportement de soldats qui assassinent des grand-mères palestiniennes à Gaza… Les palestiniens sont traités comme des sous-hommes, des déchets…La solution n’est pas la conquête du territoire palestinien, le véritable objectif israélien, qu’Israël ne peut atteindre. Ses dirigeants ne sont pas seulement des criminels de guerre. Ce sont des idiots. " a déclaré à une session du parlement britannique, durant la guerre de Gaza, le député Gerald Kaufmann, qui a été élevé comme un juif orthodoxe et sioniste, a été l'ami de nombreux premiers ministres israéliens, à commencer par Ben Gourion, et dont les parents furent victimes de l’Holocauste.

04/04/2009

Une jeune Bédouine de 16 ans tuée par la police israélienne

Une Bédouine âgée de 16 ans a été tuée samedi par les forces de l'ordre israéliennes dans les territoires occupés de Cisjordanie, a indiqué Micky Rosenfeld, porte-parole de la police israélienne.

La jeune fille, une lycéenne habitant dans un village bédouin du sud d'Israël, a ouvert le feu avec un pistolet sur une guérite d'un poste de police. Les policiers ont répliqué et l'ont abattue. Il n'y a pas d'autres victimes.

Des dizaines de milliers de Bédouins, qui ont mis fin à leur nomadisme, vivent dans des villages du désert du Neguev, annexé par Israël, et qui se trouve dans le sud de la colonie juive.

Deux activistes palestiniens avaient été tués quelques heures plus tôt par les forces israéliennes à la limite de la bande de Gaza.

 

Source: Reuters

23:04 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

03/04/2009

L’ONU choisit un juif pour juger Israël

L' Organisation des Nations Unies, qui accuse Israël de crimes de guerre lors de l’opération “Plomb durci” à Gaza, a choisi un juif pour mener l’enquête. Son nom: Richard Goldston, bien connu pour avoir aussi dirigé les dernières affaires de l’ONU au sujet de la Guerre des Balkans et au Rwanda.

Cette décision est très étonnante car elle compromet bien évidemment la crédibilité du jugement qui sera rendu. De fortes pressions ont probablement été exercées par les Etats-Unis et Israël pour favoriser ce choix.

Une commission se réunira dans les prochains jours pour débattre d’une part sur les victimes palestiniennes et de la nature de la confrontation entre Israël et le Hamas.

 

Source: http://www.actu.co.il/2009/04/le-danemark-a-la-tete-de-lotan/

La Chine va-t-elle couper la tête du roi Dollar ?

19-02-2009 dans Matrices stratégiques

Dans un contexte de crise économique mondiale, alors que le monde entier reste dans l’expectative, la relation déjà tendue entre la Chine et les Etats Unis se dégrade encore de manière significative. Les lourdes conséquences économiques pourraient avoir raison du statu quo sino-américain basé sur une compréhension mutuelle des intérêts de chacun. Le combat pour l’hégémonie mondiale sera âpre, et nous ne serons pas que de simples spectateurs.

La dette américaine : une arme de destruction massive

Après avoir consommé massivement du « Made in China » à crédit, l’économie américaine se retrouve complètement dépendante de son créancier, la Chine. Cette dépendance est dorénavant considérée par l’administration américaine comme très dangereuse. Le risque pour Washington, c’est que Pékin, décide d’utiliser ses importantes réserves en bons du Trésor comme moyen de pression dans les négociations bilatérales sino-américaines. Si, pour quelque raison que ce soit, la Chine décide de vendre une partie de ces investissements, elle pourrait déclencher un véritable effondrement de la valeur du dollar.

Cette crainte est renforcée par les déclarations de dirigeants chinois, exprimant une profonde frustration par rapport aux politiques économiques et financières des Etats-Unis. La Chine en tant que principal créancier semble perdre patience face au manque de discipline financière de Washington, et elle ne semble pas enclin à acheter indéfiniment des bons du Trésor américain. Les conséquences pourraient être terribles pour l’économie américaine. Si la Chine décide de ne plus financer le déficit américain par l’achat massif de bons du Trésor cela se traduira par une remonté des taux d’intérêt à long terme américain, l’enfonçant encore plus dans la récession.

photo dollar contre yuan.jpgDans ce contexte, il est difficile pour les Etats-Unis de continuer à mener leurs négociations avec la Chine avec pour seule perspective le recours à la force ou à des sanctions diplomatiques et économiques. Les Etats-Unis ne semblent plus avoir les moyens d’une telle politique, et on peut se demander de quelle marge de manœuvre dispose l’administration américaine face à une Chine qui doit également affronter les conséquences de la crise sur son économie.

La Chine touchée par la crise, mais pas coulée

La Chine a subi de plein fouet les conséquences de la crise économique, bien qu’il soit difficile d’en évaluer l’étendue. La chute de la bourse de Shanghai a été violente, divisant par trois sa valeur. Les investissements chinois se sont montrés fort peu judicieux, avec 400 milliards de dollars investis dans Freddy Mac et Fanny Mae, deux institutions placées sous tutelle par le gouvernement américain. L’économie chinoise est aussi extrêmement dépendante de la conjoncture mondiale. Près de 70 % du PIB chinois est lié aux échanges internationaux, dont une très large partie à l’exportation de biens manufacturés. Une baisse massive de ses exportations va renvoyer des dizaines de millions de travailleurs dans les campagnes et créer d’importants troubles sociaux.

Mais la Chine peut rapidement rebondir. Avec la croissance de la demande intérieure chinoise, la Chine pourrait même devenir rapidement le propre moteur de sa croissance. Le plan de relance de plus de 500 Mds de dollars sera une source de croissance endogène de l’économie chinoise. Celle-ci a beau avoir ralenti, ses taux de croissance et ses premières réserves de change au monde continuent à faire pâlir d’envie les grands pays occidentaux.

L’émergence non seulement économique mais aussi politique de la Chine remet en cause le leadership américain et il est évident que les Etats-Unis ne vont pas en rester là. La nouvelle administration américaine aura fort à faire pour relancer la machine économique US. L’élection de Barack Obama ouvre de nouvelles perspectives pour la politique étrangère américaine, mais la situation économique est telle que Washington est dans l’obligation d’agir de manière radicale afin de lutter contre le déséquilibre de sa balance commerciale.

La guerre monétaire est déclarée

La contre attaque de la nouvelle administration américaine donne le ton. Malgré les risques de représailles, le nouveau secrétaire au Trésor américain somme la Chine d’arrêter de « manipuler » le cours du yuan. Accusant le pouvoir chinois de sciemment sous-évaluer leur monnaie afin de soutenir leurs exportations. Cette posture offensive traduit une véritable urgence américaine. Mais face à un pouvoir chinois qui entend garder toute latitude pour lutter contre les effets de la crise économique, cela ne semble pas suffisant. Contre le ralentissement de leurs exportations, et les conséquences sociales qu’elles peuvent produire, le pouvoir chinois n’hésitera pas à laisser filer le cours du yuan.

A défaut d’être convaincante, cette déclaration de guerre monétaire américaine est le premier acte d’un bras de fer sans précédent et ce qui nous attend pourrait reléguer la crise économique au second plan. Face à l’intransigeance du pouvoir chinois, la FED ne semble avoir comme alternative qu’une dévaluation, qui peut être massive, du dollar. La réponse chinoise face à cette « stratégie de la planche à billet américaine » est double. D’une part, une dévaluation automatique du yuan indexé sur le dollar et, d’autre part, un transfert d’une partie des réserves de la banque centrale chinoise libellée en dollar vers l’euro. Ainsi le pouvoir chinois entend à la fois conserver sa compétitivité et sauver son trésor de guerre accumulé grâce à ses exportations. Trésor menacé de fondre comme neige au soleil à cause d’une dévaluation massive du dollar.

Cette guerre monétaire qui débute présage le pire des scénarios : un dollar de plus en plus affaiblit qui perdrait son rôle de monnaie de référence. Le risque majeur serait une réaction en chaîne provoquée par la mise sur le marché des bons du trésor détenus par la banque centrale chinoise. Devant une dévaluation importante du dollar, les fonds souverains du golfe persique se lanceront également dans une course à la diversification de leurs réserves, se réfugiant dans les matières premières et dans l’euro. L’impact de milliards de pétrodollars mis sur le marché serait un véritable cataclysme qui pourrait bien aboutir à une guerre monétaire mondiale.

NF

Source: http://www.infoguerre.fr/?p=2071

02/04/2009

Villepin critique la politique pro-américaine et pro-OTAN de Sarkozy

Dominique de Villepin, le retour. L'ancien Premier ministre et rival de Nicolas Sarkozy a fait salle comble mercredi en fin d'après-midi dans les sous-sols de l'Assemblée nationale, où ses amis députés l'avaient invité à expliquer son opposition au retour de la France dans le commandement intégré de l'OTAN.

Villepin.jpgLa rencontre, organisée par les six députés qui lui restent fidèles, a réuni plus de 300 personnes salle Victor-Hugo. En plus du sextuor villepiniste, on remarquait la présence de l'ancien président du Conseil constitutionnel Yves Guéna, des ex-ministres Henri Cuq, Nelly Olin et Brigitte Girardin, ainsi que du député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan. "J'en connais d'autres qui dans d'autres endroits ont commencé avec moins que ça", a glissé le héros du jour.

Pendant 40 minutes, le héraut du "non" à l'intervention américaine en Irak en 2003, qui n'était plus revenu au Palais-Bourbon depuis mai 2007, a développé les raisons de son hostilité à la décision "inopportune" et "dangereuse" de Nicolas Sarkozy, officialisée en fin de semaine lors du sommet de Strasbourg et Kehl.

Dénonçant une nouvelle fois "une rupture avec l'héritage gaulliste" et avec "un consensus français", il a vu dans cette décision "à contretemps", "à contresens" et à "contre-emploi", le "risque d'un amoindrissement de la voix de la France" dans le monde.

L'ancien ministre des Affaires étrangères a jugé que cette décision allait "dans le sens d'une militarisation des relations internationales" et adressait un "signal d'occidentalisation" de la diplomatie française, à l'opposé de sa vocation traditionnelle de "trait d'union entre l'Est et l'Ouest, le Nord et le Sud". Prenant l'exemple de l'Afghanistan, il a mis en garde contre la "dérive dangereuse" vers une OTAN "bras armé de l'Occident".

Il s'est montré très dubitatif sur les chances de Nicolas Sarkozy de "codiriger" l'Alliance, "organisation militaire sous l'égide des Etats-Unis": "le temps de la photo, il sera effectivement à la gauche ou à la droite du principal responsable, mais pour ce qui est de l'influence, c'est une chose beaucoup plus complexe". Selon lui, "on peut être l'alchimiste de toutes les transfigurations, mais on ne transforme pas la réalité".

Estimant qu'aucun progrès n'avait été fait sur l'Europe de la défense, il a réclamé des "gestes forts et concrets" sous la forme d'une réunion des Européens "très rapidement" après le sommet de Strasbourg.

Dominique de Villepin a insisté sur la responsabilité de Nicolas Sarkozy devant l'histoire: "voilà un acte qui suivra le président de la République et il est comptable des conséquences de cet acte".

L'ancien Premier ministre n'a éludé aucune question de la salle, ne ratant pas une occasion de se payer son rival. Il a ainsi ironisé sur la menace de la chaise vide au sommet du G-20. "Barack Obama et Gordon Brown ont rappelé que Nicolas Sarkozy serait présent des hors-d'oeuvre au dessert. Je crois que la feuille de route est clairement fixée", a-t-il raillé.

En réponse à une question sur la crise, il a insisté sur "l'exigence de justice sociale", critiquant "l'approche technocratique" qui a consisté à maintenir le bouclier fiscal.

Dominique de Villepin, dont l'avenir politique est suspendu au jugement du tribunal correctionnel de Paris dans l'affaire Clearstream, s'est montré moins disert sur ses éventuelles ambitions pour la présidentielle de 2012. "Merci de me faire confiance", a-t-il répondu à une étudiante qui exprimait son désir de voter pour lui.

"L'élection, ce sont des circonstances qui font qu'elle devient naturelle. Croyez bien, je serai à ce rendez-vous", a-t-il confié un peu plus tard aux journalistes.

"Nous aurons d'autres occasions de nous retrouver avec Dominique, soyez-en sûrs", a conclu le député Georges Tron, l'un des organisateurs de la rencontre. Jean-Pierre Grand se rappelait quant à lui l'appel de Jacques Chirac en 1976 à Egletons, qui avait précédé la fondation du RPR.

Ce retour n'était cependant pas du goût de tout le monde. "L'inspecteur Villepin a aujourd'hui, une fois de plus, démontré son mépris pour les parlementaires en piétinant une décision déjà prise", a réagi le très sarkozyste et très sioniste Christian Estrosi (qui a carrément accroché dans son bureau de la mairie de Nice une photo du soldat israélien Gilad Chalit, ce qui constitue un acte anti-républicain), ulcéré que "certains députés du groupe cautionnent ces critiques systématiques". AP

Des médecins arabes se penchent sur les allégations d'empoisonnement d'Arafat

Près de cinq ans après la mort de Yasser Arafat, décédé selon des docteurs français d'une hémorragie cérébrale massive, des médecins arabes se retrouvent jeudi en Jordanie pour discuter d'un possible empoisonnement dont le dirigeant palestinien aurait été victime.

YasserArafat.jpgAprès la mort de Yasser Arafat dans un hôpital militaire près de Paris, de nombreux observateurs avaient soupçonné Israël, qui le considérait comme un obstacle à sa politique d'expansion coloniale, de l'avoir tué par empoisonnement.

Yasser Arafat, qui avait 75 ans, était tombé malade en octobre 2004 à Ramallah. Il avait été transporté dans un hôpital français où il est mort le 11 novembre 2004.

Israël avait démenti toute implication dans la mort de Yasser Arafat, et les médecins français avaient refusé étonnamment de commenter les allégations d'empoisonnement.

Selon le chirurgien cardiaque jordanien Abdullah al-Bachir, la réunion de jeudi, à laquelle participeront sept ou huit médecins -dont beaucoup ont soigné Arafat quand il est tombé malade- va tenter de déterminer s'il a été empoisonné. AP

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01/04/2009

Douze morts dans un tir de missile américain au Pakistan

Un missile américain tiré mercredi par un drone sur une base des talibans a fait douze morts dans un village de la zone tribale d'Orakzai, dans le nord-ouest du Pakistan, rapportent les autorités locales.

"Le missile a frappé le QG des talibans à Khadizai et nous avons retiré douze cadavres des décombres", a dit un habitant du village. Un responsable des services de sécurité a ajouté que 13 autres personnes avaient été blessées.

C'est la première attaque menée par un drone américain dans cette zone tribale pachtoune d'Orakzai, au sud-ouest de Peshawar, habituellement calme car elle n'est pas directement située sur la frontière afghane.

Contacté pat téléphone, un responsable taliban pakistanais a confirmé que le missile avait touché un "camp" de son mouvement mais n'a pu fournir de bilan.

Jeudi dernier, le Pakistan a demandé aux Etats-Unis de cesser leurs tirs de missiles sur son territoire, dans le cadre du réexamen de leur politique en Afghanistan.

"Ces attaques sont contre-productives et nous espérons un résultat positif du réexamen en cours à Washington", avait dit Abdul Basit, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, en réaction à des raids qui venaient de faire onze morts dans les zones tribales pakistanaises.

Depuis le début 2008, des drones de l'US Army ont mené une trentaine de raids au Pakistan, faisant environ 300 morts, selon des informations obtenues auprès des autorités pakistanaises et des populations locales.

Zeeshan Haider avec Alamgir Bitani, version française Guy Kerivel (Reuters)

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