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30/04/2010

Jacques Attali: le déficit doit être détruit avant qu'il nous détruise (MàJ)

(PNF: Parce que nous ne sommes pas sectaires, nous publions ici un article intéressant de Jacques Attali sur le problème - gravissime pour le monde occidental - des déficits publics.)

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La crise grecque et la défiance croissante sur les marchés à l'égard de la dette souveraine de ce pays de la zone euro, les attaques grandissantes contre le Portugal et l'Espagne sont autant d'illustration de la deuxième vague de la crise financière qu'annonçait Jacques Attali l'an dernier. Il mettait en garde contre les déficits publics incontrôlés et notamment celui de la France. Nous republions cet article.

Il fut un temps lointain, il y a plus de 21 siècles, où un homme politique romain, Caton dit «l'Ancien», terminait tous ces discours devant le Sénat de la ville par une phrase restée dans la mémoire collective comme le symbole de l'obsession en politique: «Carthago delenda est» («Carthage doit être anéantie»). Et comme, dans l'action publique, pour être efficace, il faut toujours répéter les choses un nombre incalculable de fois, il finit par obtenir gain de cause. Carthage, la grande et unique rivale de Rome, la ville-état phénicienne, au bord de la Méditerranée, sur l'emplacement d'un quartier de l'actuel Tunis, la ville dont la reine Didon assura la gloire, finit par être incendiée, détruite, rasée; les rares survivants furent vendus comme esclaves et son emplacement fut recouvert de sel.

Cette répétition constante d'une idée fixe, d'une ambition nécessaire, mériterait d'être aujourd'hui reprise à propos du déficit budgétaire: «le déficit doit être anéanti». Il faut le répéter sans cesse, à toute occasion, parce que nul ne l'entend et nul ne comprend que ce déficit est devenu, depuis 1993, une folie suicidaire, dont les responsables sont à gauche comme à droite, et qui entrainera un jour, si on ne réagit pas vite, le pays dans un déclin dont il ne se relèvera plus. Il faut détruire le déficit avant qu'il ne nous détruise, comme il fallait détruire Carthage avant que Carthage ne détruise Rome.

Aujourd'hui, personne ne semble prendre au sérieux cette menace. Que l'annonce d'un déficit prévisible de plus de 8% en 2009 comme en 2010 n'ait pas déclenché de scandale est hallucinant. Qu'on annonce, sans que nul ne le relève, que la Sécurité Sociale est insolvable et que, pour lui permettre d'emprunter encore, on va transférer sa dette sur une caisse d'amortissement, sans donner à cette caisse un seul sou pour faire face à ses échéances, est encore plus hallucinant.

Le pays ne veut pas voir qu'il va dans le mur, pour le seul bénéfice d'hommes politiques incapables de faire des économies budgétaires, ou d'augmenter les recettes, et  pour qui l'invention de nouvelles dépenses reste l'occupation favorite. Et les citoyens d'aujourd'hui sont assez lâches pour tolérer qu'on reporte ainsi sur les générations suivantes le poids des efforts qu'ils refusent de faire pour conserver leur bien être.

Pourtant, les choses sont claires: Aujourd'hui, le déficit budgétaire atteint prés de 9% du PIB (Produit intérieur brut) soit 30% du budget. Imagine-t-on cela? Près du tiers du budget est  consacré à payer des dépenses du passé par des recettes de l'avenir! Aucun ménage, aucune entreprise, ne survirait dans ces conditions. Bientôt, notre dette  publique dépassera le montant de la richesse nationale annuelle. Et bien plus encore même, si on compte nos obligations de santé, de retraite, et de dépendance.

Jusque maintenant, la baisse des taux d'intérêt mondiaux a permis de le cacher en stabilisant le service de la dette autour de 2,5% du PIB. Mais cela n'est qu'une illusion: quand ces taux remonteront (car, évidemment, ils remonteront un jour, à moins d'enlever aux Banques centrales leur unique moyen d'action sur l'inflation et les taux de change), le piège du service de la dette se refermera sur la France comme la corde autour du cou d'un pendu: un point de hausse des taux d'intérêt, ce sera plus de 10 milliards de service de la dette. Si le coût de la dette  publique en France passe de 3% à 7%  ce qui est tout à fait possible,  il faudra  lui consacrer  chaque année 100 milliards d'euros, soit 5,2% du PIB et 28% du budget. Et comme on n'en aura pas les moyens, faute de recettes fiscales, cette dépense nouvelle s'ajoutera au déficit, qui dépassera alors largement la moitié du budget, comme c'est déjà le cas dans certains autres pays.

On maudira alors la classe politique, qui, pour ne pas prendre le risque d'etre provisoirement impopulaire, aura reculé devant les réformes difficiles, et en particulier devant les inévitables hausses d'impôts; on maudira les plus anciens; et, pour finir, on renversera du sel sur le tombeau de notre grandeur.

Jacques Attali

Source

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28/04/2010

Lies Hebbadj accusé de violences sur sa compagne

Mardi, au cours d’une réunion à huis clos avec des députés UMP, Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, a indiqué que le père de la conjointe de Lies Hebbadj, avait contacté la gendarmerie pour des violences présumées sur sa fille.

Lies Hebbadj accusé de "violences" sur sa compagne

Selon le ministre de l’Intérieur, le père de cette femme verbalisée vendredi à Nantes pour conduite en niqab, avait signalé aux militaires, qu'il y a deux mois, quand il avait eu sa fille au téléphone, elle était "en pleurs" et lui avait affirmé avoir été "battue".

Une information qui, précise Le Figaro, a été confirmée par la gendarmerie.

Lies Hebbadj étant également accusé par son beau-père d’enfermer ses petits-enfants.

Mardi, Brice Hortefeux a assuré, devant l’Assemblée nationale, que l’affaire Lies Hebbadj irait "jusqu’à son terme".

En "accord avec le premier ministre, j’ai décidé de ne rien céder au politiquement correct" a précisé le ministre de l’Intérieur.

Tout en ajoutant :

"Nous ne céderons rien et cette affaire ira jusqu’à son terme".

D'autres informations ont filtré, notamment par Jacques Myard, député UMP, qui explique sur RMC que "le père de la femme de Liès Hebbadj a demandé une fois à avoir ses enfants au téléphone, et sa fille lui a répondu qu'ils étaient enfermés, où leur père leur apprenait de force des versets du Coran."

A la demande de la préfecture, lundi, le parquet de Nantes a ouvert une enquête préliminaire concernant Lies Hebbadj, pour des soupçons de "relations polygames" et des "interrogations sur la régularité des aides sociales dont bénéficieraient plusieurs personnes de sexe féminin qui seraient en relation" avec lui, rappelle Le Figaro.

De son côté Me Franck Boëzec, l’avocat de Lies Hebbadj, a indiqué que cette enquête préliminaire est "dans l’ordre des choses" et "que c’est plus sain".

Un avocat qui estime que le dossier de son client est "vide".

Source

27/04/2010

Charleville-Mézières: des centaines de Maghrébins agressent lâchement quelques dizaines de personnes manifestant contre le racisme anti-français

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes). C'est lui qui, samedi, brandissait le drapeau bleu-blanc-rouge. Assez crânement, dans le contexte actuel, Cédric Hurpet, 24 ans, étudiant en DUT commerce à l'IUT de Charleville, est venu nous voir avec sa voiture, vandalisée de rageuses mentions gravées au cutter : PD et NTM sur le capot.
Il a souhaité ramener les événements à leur juste proportion. Selon lui, rien ne s'est passé comme cela aurait dû. « Notre unique intention était d'appeler l'attention sur toutes les formes de racisme anti-blanc qui s'expriment actuellement, non seulement en France, mais partout dans le monde, notamment en Corée. On en a marre d'entendre « La Marseillaise » sifflée dans les stades ; marre qu'on brûle le drapeau français ; honte de voir l'image de ce type qui, pour un concours photo de la Fnac, se torchait le cul avec ! »

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Cédric Hurpet : « Je suis dégoûté de ce qui s'est passé. Désormais, nous allons nous mettre en sommeil, en attendant d'être mieux structurés ».

A l'appel d'un ami, lycéen à Charleville, nous avons donc décidé, il y a environ un mois, d'organiser une manifestation pacifique pour dénoncer cet état de fait. Et nous avions sollicité les autorisations nécessaires à la mairie de Charleville et à la préfecture qui nous l'avait accordée. La preuve, samedi, il y avait deux véhicules sérigraphiés à hauteur des marchands de glace, à l'entrée de la rue piétonne, et un véhicule de la Bac. Tout le monde était donc parfaitement au courant et nous a laissé faire.
Nous nous sommes rassemblés autour de la fontaine centrale. A aucun moment, il n'y a eu ni bras tendu, ni propos raciste. A un moment donné, nous nous sommes mis en mouvement, dans l'intention de rejoindre l'Hôtel de Ville de Mézières.
Nous avons emprunté tranquillement la rue piétonne, en nous faisant insulter et cracher dessus par des jeunes maghrébins qui, depuis un bon moment déjà étaient rassemblés, en nombre, sous les arcades. Jusqu'à la statue de Gonzague, il n'y a pas eu d'autre hostilité. Puis, nous nous sommes engagés sur le cours Briand. Pour ne pas gêner la circulation, nous avons emprunté le trottoir. C'est là que, brusquement, les autres sont arrivés dans notre dos, en hurlant. Nous nous sommes mis à courir, mais ils étaient bien plus nombreux et ont commencé à frapper, avec une sauvagerie inouïe, aussi bien les garçons que les filles de notre cortège, leurs filles à eux étant d'ailleurs les plus hystériques.


Nous avons été piégés
Nous avons eu plusieurs blessés graves, dont l'un frappé à coups de pavé sur la tête, alors qu'il était à terre et un autre qui a failli être empalé à la gare. Nous n'avons dû notre salut qu'à la fuite, sinon on aurait été massacrés. Dans cette affaire, il y a un malentendu. A aucun moment il n'a été question de nous en prendre aux jeunes des quartiers de Charleville. A la fac, j'entretiens d'ailleurs de bonnes relations avec plusieurs d'entre eux, qui sont même d'accord avec notre vision d'une France, qui répond aux valeurs de liberté, d'égalité, fraternité.
Samedi, nous avons été piégés. On s'est fait avoir comme des bleus. D'après Facebook, on aurait dû être 700 ou 800. Or nous nous sommes retrouvés une poignée, une cinquantaine tout au plus, alors que les autres étaient dix fois plus nombreux.
Ce qui est anormal, c'est que la police a laissé faire. S'ils avaient voulu intervenir, ils le pouvaient. Ils nous ont laissé emprunter la rue piétonne, sous les insultes et les crachats. Ils devaient bien se douter que ça allait mal tourner, mais on ne les a plus vus.
Je suis dégoûté de ce qui s'est passé. Désormais, nous allons nous mettre en sommeil, en attendant d'être mieux structurés. Une autre manifestation est d'ores et déjà prévue en Rhône-Alpes, mais ici, pour le moment, c'est terminé pour nous… »
Recueilli par G.G.-M.

Source: L'Union

26/04/2010

Charleroi : à 72 ans, elle tire sur les malfrats qui l’agressent

Une dame de 72 ans, tenancière de plusieurs bars, a été victime d’une agression en rentrant chez elle. Elle a tiré sur l’un des malfrats, le blessant grièvement.

 

Source: RTL Info et FDS

21:11 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charleroi, agression |  Facebook | |

Quartier du Mirail à Toulouse: elle le double, il la viole

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Un écart de conduite, un geste déplacé ou une manœuvre malheureuse au volant peuvent conduire au pire. Jeudi, en fin d'après-midi, un simple incident de circulation, comme il s'en produit des dizaines à Toulouse chaque jour, s'est terminé tragiquement par le viol d'une étudiante, dans le quartier du Mirail, à deux pas de la fac de lettres.

Il était environ 17h30 lorsqu'une conductrice de 21 ans s'engage sur une voie de circulation, non loin de la station de métro Mirail-Université. Une manœuvre a priori banale mais qui provoque la colère d'un automobiliste s'estimant lésé par la manœuvre de la jeune fille. Le conducteur manifeste alors son mécontentement en donnant un coup de klaxon. L'étudiante répond aussi sec par un doigt en l'air. Les choses s'enveniment très vite et prennent une dramatique tournure. Dans ses rétroviseurs, la jeune fille aperçoit le conducteur qui n'en démord pas. Arrivée dans une ruelle étroite la voiture de l'étudiante se retrouve bloquée. L'homme sort de sa voiture, la menace et l'entraîne dans son véhicule où il exige une fellation. Il prend ensuite la fuite laissant la victime extrêmement choquée. L'étudiante, domiciliée à Ramonville, arrive à reprendre la volant de sa voiture pour rejoindre son ami du côté de Plaisance-du-Touch. Arrivée chez les gendarmes, elle dépose plainte contre X pour viol.

Depuis hier, les policiers de la brigade criminelle de la sûreté départementale sont chargés de l'enquête.

Source: La Dépêche

 

Précision: L'agresseur est maghrébin... (nous vous conseillons de lire les réactions sur le forum de la Dépêche, révélatrices du ras-le-bol face à la "diversité" qui ravage actuellement notre pays)

Citation du jour

"Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau."

Le Général de Gaulle – “C’était De Gaulle”, Alain Peyrefitte, éd. de Fallois/Fayard

 

Source

Polygame ? Et alors ? On est musulmans, on fait ce qu’on veut !

 

Source

25/04/2010

Citation du jour

"On ne dira jamais assez à quel point la maghrébisation, l’africanisation, la tiers-mondisation de la France ont fait baisser vertigineusement le niveau de civisme et de civilité de la population française. À quel point ce recul du niveau de conscience démocratique fut voulu par le patronat et le pouvoir : des voyous et des abrutis plutôt que des ouvriers conscients de leurs droits… et de leurs devoirs."

Alain Soral, sociologue – Jusqu’où va-t-on descendre?, 2002

 

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21:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alain soral |  Facebook | |

Le Pen soutient Hortefeux sur la polygamie, et veut aller plus loin

Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a approuvé la démarche du ministre de l'Intérieur contre un homme présumé polygame, déplorant même qu'on ne puisse pas aller plus loin que la déchéance de nationalité.

Lors du "Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro", il a de nouveau attaqué le principe de la double nationalité et du droit du sol et la suppression de la double peine.

"Je pense que M. Hortefeux est un homme de bonne volonté (...) parce qu'il voulait priver, ce que je trouve tout à fait normal, cet individu de sa nationalité française, mais encore l'expulser", a expliqué Jean-Marie Le Pen.

"Or, il tomberait-là sous le coup de la suppression par M. Sarkozy de la double peine. Nous sommes contraints de garder chez nous la racaille qu'on a fait condamner devant nos tribunaux correctionnels ou nos assises", a-t-il ajouté.

Selon le ministre de l'Intérieur, Liès Hebbadj, né à Alger, aurait quatre femmes et chacune bénéficierait de l'allocation de parent isolé. Des délits qui méritent la déchéance de sa nationalité, qu'il a obtenue par mariage en 1999, a écrit Brice Hortefeux vendredi dans une lettre au ministre de l'Immigration, Eric Besson.

Pour le leader frontiste, il faut revoir "très largement" le droit de la nationalité en France.

"Il serait bon qu'il y ait une garantie donnée à la France que les gens qui sont ainsi naturalisés ne se conduisent pas seulement comme des citoyens de papier mais de coeur, qui respectent la loi", a réclamé Jean-Marie Le Pen.

A ses yeux, c'est l'abus présumé d'allocations familiales qui est le plus "scandaleux" dans le cas de Liès Hebbadj.

"Les caisses sociales françaises sont pillées littéralement par des milliers, des dizaines de milliers de gens qui profitent indûment de nos législations", a estimé le leader frontiste.

"Quand c'est le fruit d'une espèce de petit complot familial, je trouve cela scandaleux", a-t-il martelé.

Laure Bretton, édité par Clément Guillou

Source: REUTERS

 

23/04/2010

Bis repetita placent *

 

* Locution latine signifiant “Les choses répétées plaisent”

 

Source: FDS

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