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29/12/2009

“Ils me dégoûtent, ces mômes-là”

Une directrice d’établissement scolaire spécialisé dans la gestion d’un “public divers” tente de convaincre ses élèves de défiler pour honorer les morts de 39/45… Pas gagné.

 


 

“Fuck you, fuck la France, bande de bâtards”, hurlent-ils


“Sans-billets” : l’indécence et la furie

Les grands écrivains nous l’ont enseigné : il est des faits divers qui illustrent une époque mieux que n’importe quelle analyse complexe. La flambée émeutière qui a brûlé les pieds de la tour Eiffel samedi dernier est sans doute de ceux-là.

A l’origine, une distribution de billets de banque organisée par un site internet. Publicité, cupidité, vulgarité. Trilogie infernale de la modernité. Celle des émissions de téléréalité. Celle de l’argent sans travail, de l’enrichissement sans mérite, de la réussite sans effort. Celle de l’assistanat, dit la droite ; des bonus des traders, dit la gauche. Sept mille personnes se précipitent. La préfecture de police a autorisé, puis interdit, puis autorisé. On ne sait plus. Le sait-elle ? Symbole d’un Etat indécis, aboulique. Un Etat négociateur. Un Etat qui n’est plus capable d’assurer ni les conséquences de ses choix ni la sécurité des citoyens.

Dans les cours de récréation de banlieue, ils traitent les “petits Blancs” de “sales Français”.

L’interdiction ultime de la distribution provoque bousculades et fureur. Des bandes de jeunes à capuches, venus de banlieues, renversent et brûlent les voitures, molestent, brisent, blessent journalistes et badauds. “Fuck you, fuck la France, bande de bâtards”, hurlent-ils.

Les mêmes ou d’autres sifflent la marseillaise au Stade de France. Dans les cours de récréation de banlieue, ils traitent les “petits Blancs” de “sales Français”. Agressent les chauffeurs de bus, pompiers, flics, tous les représentants de l’Etat, et donc de la République française, qui n’a plus droit de cité dans “leurs cités”. Toutes ces chères victimes de discriminations, nous serine la gauche antiraciste qui juge indigne le débat sur l’identité nationale.

Les organisateurs de la distribution avortée promettent de verser l’argent au Secours populaire. C’est la touche finale de l’humanitarisme médiatique, ruine de l’humanisme authentique.

Eric Zemmour

Source : Le Figaro Magazine et François de Souche

22:03 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zemmour |  Facebook | |

26/12/2009

Mosquée : « Oui, c’est une subvention déguisée »

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Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) vient d’ouvrir une nouvelle salle de prière, et plusieurs communes d’Ile-de-France cherchent à faire de même, Quelles sont les « méthodes » utilisées ?

A Epinay, le maire a inauguré un centre de 1 400 places, financé par ses soins pour 2 millions d’euros. Officiellement, il s’agit d’une salle polyvalente mise à disposition d’une association. La loi de 1905 sur la laïcité est donc « respectée ». En réalité, la structure sert de mosquée.

« Oui, c’est une subvention déguisée, admet Hamid Boushaki, président de l’association musulmane. Mais on le fait déjà pour les synagogues. »

Dans le 18e, la mairie va investir 22 millions d’euros pour construire deux bâtiments, dont l’un comprendra deux salles de prière de 1 000 places chacune. La municipalité vendra ensuite les bâtiments aux associations, pour 6 millions d’euros.

Ainsi, « Paris ne construit pas une mosquée mais un institut culturel sur l’islam, décrypte Daniel Vaillant, maire (PS) du 18e. Si l’association veut en faire une mosquée, pas de problème ! »

Source: François de Souche

25/12/2009

De Gaulle, la nation française et la civilisation chrétienne

Extrait du Figaro (article consacré à l’ouvrage de B. Stora, «Le malentendu algérien»)
Si, au fil des événements, de Gaulle a choisi l’option de l’indépendance, c’est d’abord parce qu’il voulait enraciner la France dans l’Europe en la dégageant du fardeau colonial. Surtout, de Gaulle ne crut jamais en la possibilité d’intégrer les masses musulmanes algériennes à la République. «Il a sur l’Islam le regard d’un homme pour qui l’histoire de la nation française est le produit de la civilisation chrétienne. La civilisation musulmane lui apparaît comme un corps étranger, inassimilable», écrit Stora.

Une conception dont témoignera Peyrefitte, qui rappelle qu’en 1945, le Général avait donné des directives sur les priorités à accorder en matière de naturalisation : «Sur le plan ethnique, il convient de limiter l’afflux de Méditerranéens et des Orientaux, qui ont, depuis un demi-siècle, profondément modifié la composition de la population française.(…) Il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Allemands, Luxembourgeois, Suisses, Anglais, Danois, etc. )» écrivait de Gaulle.

Source: Figaro et François de Souche

25 décembre 498: baptême de Clovis à Reims

Le 25 décembre 498 (496 selon certains historiens), Clovis est baptisé à Reims par l'évêque Remi, avec 3000 guerriers francs, dans la religion catholique. Grâce à ce baptême collectif, les Francs prennent l'avantage sur les autres barbares dans la conquête de la Gaule romaine.

La montée des Francs

Clovis, ou Khlodowig (dont on fera en latin Ludovicus puis... Louis), a été élu roi 17 ans plus tôt, à Tournai (Belgique actuelle).

Il a succédé à l'âge de 15 ans à son père Childéric à la tête des Francs saliens, une tribu germanique établie dans l'empire romain, sur les bords du Rhin inférieur et dans l'actuelle Belgique.

À peine élu, Clovis entreprend la conquête de la Gaule. Il rencontre sur sa route Syagrius, un général qui s'intitule «roi des Romains» et maintient l'illusion d'une permanence de l'empire romain entre la Meuse et la Loire. Le roi des Francs bat Syagrius et le fait égorger puis installe sa résidence à Soissons.

Clovis le païen entre alors dans un milieu très romanisé et de religion catholique. Sous l'influence de Remi, évêque de Reims, il comprend l'intérêt de se rallier les Gallo-Romains en adoptant leur religion. Sa femme Clotilde, fille du roi des Burgondes et pieuse catholique, le pousse à se convertir.

En 496, à Tolbiac (en allemand, Zülpich), près de Cologne, les Francs repoussent une attaque des Alamans, une tribu germanique à laquelle nous avons emprunté le nom de l'Allemagne.

Selon la légende, c'est au cours de cette bataille difficile que le roi des Francs aurait imploré le secours du Dieu de Clotilde et pris la résolution de se convertir. Il passe à l'acte deux ans plus tard, le jour de Noël.

Grâce à sa conversion au catholicisme, Clovis peut s'enorgueillir du titre très symbolique de «Consul des Romains», conféré par l'empereur de Constantinople. Ce dernier dirige en théorie tout l'empire romain depuis que, quelques années plus tôt, en 476, le dernier empereur d'Occident a été déposé par un Ostrogoth.

Et la Gaule devient franque

Clovis achève la conquête de la Gaule.

Le sud de l'hexagone est, comme une grande partie de l'Espagne, sous la domination des Wisigoths. Leur capitale est Toulouse. Comme les autres barbares, à l'exception des Francs, les Wisigoths pratiquent l'arianisme. Il s'agit d'une hérésie chrétienne très mal vue des Gallo-Romains, massivement catholiques.

Alaric, le roi des Wisigoths, a du mal à asseoir son autorité sur ses sujets. Clovis le défait et le tue à Vouillé, près de Poitiers, en 506. Les Wisigoths n'ont d'autre alternative que de se replier en Espagne, au-delà des Pyrénées.

Clovis domine désormais toute la partie occidentale de l'ancien empire romain, entre l'embouchure du Rhin, aux mains des tribus frisonnes, et les Pyrénées, où sévissent les Basques. Il déplace sa résidence à Paris. L'ancienne Lutèce, qui a pris le nom des premiers habitants de la région, les Parisii, accède pour la première fois au statut de capitale.

Les descendants de Clovis vont régner pendant trois siècles, sous l'appellation de Mérovingiens (d'après Mérovée, un ancêtre légendaire) avant de laisser la place à Charlemagne et aux Carolingiens.

Le baptême de Clovis va faciliter la fusion entre les Gallo-Romains et leurs vainqueurs, les Francs. Mais il serait erroné d'y voir la naissance de la France. Celle-ci émergera 500 ans plus tard, comme l'Allemagne , sur les ruines du «Regnum francorum», le royaume des Francs de Clovis et de Charlemagne.

Source: Hérodote

10:10 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : clovis, france |  Facebook | |

20/12/2009

1973 : Débat sur l’immigration

Voici un débat sur le thème des travailleurs immigrés proposé par l’ORTF le 23 mai 1973 à une quinzaine d’invités issus de milieux sociaux et professionnels différents. Réactions à chaud sur le problème de l’immigration de ce panel « représentatif » de Français sélectionné par l’Ipsos.

 


 

"Sur la souveraineté inaliénable du peuple s’agissant de son devenir historique"

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Le Parti de l’In-nocence estime que la complicité — active ou hypocrite — que les pouvoirs politiques, médiatiques et universitaires montrent à l’égard du Grand Remplacement du peuple français sur son territoire historique par l’entreprise de contre-colonisation en cours — lequel équivaut à un nettoyage ethnique par submersion et dilution, accompagné par la liquidation préalable de la culture, de l’histoire, du patrimoine de notre pays —, ne saurait se poursuivre sans l’assentiment majoritaire et éclairé de la nation en son entier.

Le Parti de l’In-nocence, parce que le principe de souveraineté réside dans la Nation, demande solennellement au premier ministre de proposer au président de la République de soumettre à référendum la question suivante :

« Approuvez-vous le dépôt d’un projet de loi d’orientation tendant à décourager l’immigration de peuplement que connaît la France, et, dans la mesure du possible, à en organiser le reflux ? »

Source: FDS et http://www.in-nocence.org/pages/parti/communiques/com.php


13/12/2009

Le Rav Ron Chaya sur les mariages mixtes: "Le fléau, c'est Christine..."

Source: FDS

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Paul-Marie Couteaux: "On se fiche de l'opinion des peuples"

02:15 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : turquie, europe |  Facebook | |

11/12/2009

L'histoire (et l'identité nationale) en danger

L'Association des professeurs d'histoire et de géographie a raison d'être en colère. Le projet du gouvernement de sacrifier l'enseignement obligatoire de ces deux disciplines en terminale S est inopportun et maladroit.

L'ambition du ministère de l'Éducation nationale de réhabiliter le baccalauréat littéraire (L), dévalorisé depuis le désintérêt pour les langues mortes, est certes louable. Mais ce retour en grâce ne saurait se faire au détriment de la filière scientifique. Au prix d'un nivellement par le bas dont notre système éducatif ne cesse de faire les frais pour conduire le maximum de jeunes au baccalauréat. Encore une fois, on va déshabiller Paul pour habiller Jacques.

Résultat, la section L va peut-être progresser en effectifs, mais pas en qualité. Quant à la section S, elle perdra sur tous les plans. Et ce n'est pas le renforcement de son programme d'histoire-géographie en classe de première qui comblera cette perte. Chacun sait que la compréhension grandit avec le nombre des années et la maturité.

À l'heure où les Français sont appelés à réfléchir sur l'identité nationale, on se demande comment pareille idée a pu germer. Elle est en complète contradiction avec la volonté affichée de donner des repères à une société qui se cherche, à des jeunes qui peinent à trouver parfois leur place. La France a une âme que des siècles d'histoire, pour le meilleur et pour le pire, ont petit à petit forgée. Il est indispensable d'en avoir conscience.

Au-delà, c'est l'enseignement de l'histoire en général, des plus petites aux plus grandes classes de notre système éducatif, qui mériterait d'être revu et corrigé. Quel intérêt de revisiter notre passé depuis l'Antiquité à chaque niveau de l'école primaire, du CP au CM2 ? L'apprentissage chronologique est à peu près respecté au collège, mais il est abandonné pour devenir thématique au lycée. Comme si, à 15 ou 16 ans, on avait la même aisance pour jongler avec les siècles qu'à l'âge universitaire. La société médiatique du « flash », du « zoom » et du « zapping » n'a pas sa place dans une enceinte scolaire, où rigueur et logique doivent être de mise.

L'histoire et la géographie sont affaire de savoirs. Pas de « pédagogisme » ou de méthodologie, porte ouverte aux comparaisons hâtives, aux erreurs d'interprétation ou aux ignorances les plus graves.

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