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20/02/2010

Citation du jour

"Ton coeur est d'acier [...]. La Société deviendra comme ton coeur, elle aura pour dieu un lingot d'or et pour Souverain-Pontife un usurier juif."

Alfred de Vigny, Chatterton, écrit en 1834.

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Embrouille dans un bus : la vidéo qui commence tout juste à buzzer aux USA

Addendum du 19/02 :
Interview d’”Epic Beard Man” sous-titré en français

 

Version sous-titrée en français :

 

Source: François de Souche

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La crise grecque a mis en lumière les astuces très rentables de la finance

Les récentes révélations sur le rôle joué par la prestigieuse banque américaine Goldman Sachs dans la crise grecque ont mis en évidence certaines astuces de la finance, fondées sur des failles de la réglementation et des produits opaques, pour générer des profits colossaux.

D'après les journaux américains New York Times , Risk Magazine, et le quotidien allemand Der Spiegel, Goldman Sachs, conseil d'Athènes, a permis à l'Etat grec de maquiller la réalité de sa dette. En 2002, sur les conseils de la banque, Athènes a emprunté un milliard d'euros en usant d'un produit financier complexe qui lui a permis de ne pas inscrire cette opération dans ses comptes. En clair, la banque a déguisé un emprunt à long terme. Cet artifice, jugé légal, a permis non seulement à Athènes de répondre aux exigences du pacte de stabilité de la zone euro, mais aussi de repousser les échéances de remboursement de ses créances.

Selon le quotidien Financial Times, selon l'accord entre Goldman Sachs et Athènes, cette transaction devait rester secrète et n'être reportée dans les comptes que l'année suivante. "Goldman Sachs a recommandé à la banque grecque d'utiliser des produits dérivés pour essayer d'échelonner les déficits", explique Sophie van Straelen, spécialiste des Hedge Funds chez Asterias, société d'analyse de ces fonds spéculatifs. Pour elle, la banque "a en quelque sorte maquillé une partie de la dette grecque".

Les méthodes de financement des dettes souveraines en question

"Ce sont des pratiques extrêmement répandues. Ces opérations n'ont pas été faites pour masquer la dette, mais pour reporter celle-ci à plus tard", estime pour sa part Pierre Antoine Dusoulier, président de Saxo Banque France. Selon lui, il est "normal de rendre la mariée plus belle avant de faire une opération".

Pour le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, l'opération était "légale à l'époque", même si elle ne l'est plus aujourd'hui. Mais d'après le porte-parole du parti chrétien-démocrate allemand d'Angela Merkel, "Goldman Sachs a violé l'esprit du traité de Maastricht, bien qu'il ne soit pas certain qu'elle (la banque) ait violé la loi".
Contactée, la banque américaine n'a pas souhaité faire de commentaires.

Au-delà de Goldman Sachs, sont visés les différents produits financiers conçus par les banques d'investissement contre de juteuses commissions pour permettre aux États d'embellir la situation de leurs finances. Nombre de pays en Europe ont recours à divers subterfuges, qui ne violent pas la réglementation européenne, pour financer leur endettement. Les banques proposent par exemple aux États un procédé qui consiste à utiliser des actifs publics pour garantir des obligations d'Etat, ce qui permet de ne pas faire apparaître celles-ci dans la comptabilité nationale. Une banque peut par exemple encourager un pays à adosser ses obligations à de futures taxes d'aéroport à percevoir. "De telles opérations sont légales et ont été réalisées par des pays partout en Europe avec le concours des banques de Wall Street", confie une source financière, sans citer de noms.

Source

20:07 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

Citation du jour

Pierre Nora.png

 

Source: François de Souche

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19/02/2010

Dubaï accuse le Mossad israélien de meurtre

Une histoire digne des meilleurs romans d'espionnage qui vire à l'incident diplomatique. L' sur l'assassinat d'un cadre du mouvement palestinien Hamas, en janvier dans un de Dubaï, a pris ce jeudi une ampleur internationale.

Alors que la police de l'émirat arabe dénonce la responsabilité du Mossad, un service israélien de renseignements, Interpol a lancé dans l'après-midi un appel à ses membres pour demander l'arrestation et l'extradition de onze suspects qui ont emprunté l'identité réelle ou fictive de citoyens européens.

Après la Grande-Bretagne et l'Irlande, c'est désormais au tour de la et de l'Allemagne de demander des comptes à Israël.

Une vidéo tournée au moment du crime

L'affaire commence le 20 janvier dans un l'hôtel de Dubaï. Mahmoud Al-Mabhouh, considéré par Israël comme le principal pourvoyeur d'armes iraniennes de la bande de Gaza (un territoire dirigé par le mouvement palestinien islamique Hamas), est assassiné. Une vidéo, rendue publique par la police dubaïote, montre la victime en train de pénétrer dans sa chambre pour ne plus en ressortir vivante. Sur le document, certains des onze suspects, dix hommes et une femme, apparaissent à l'écran, habillés en hommes d'affaires ou en vacanciers en tenues plus détendues.

 

 

Les quasi-certitudes de la police dubaïote

Après enquête, le chef de la police de l'émirat , le général Dhahi Khalfan, a déclaré à l'édition en ligne du journal «The National» qu'il «est certain à 99%, sinon à 100% que le Mossad est derrière l'assassinat». «Les indices dont dispose la police de Dubaï montrent un lien clair entre les suspects et des gens en relation directe avec Israël», a-t-il ajouté.

Selon le général, «les officiers des services d'immigration ont été formés par des experts de sécurité européens pour détecter les faux passeports (...). Ils n'ont pas détecté de falsification», à l'arrivée des suspects sur le sol dubaïote. La police devrait, dans les prochains jours, révéler des «nouveaux indices qui lèveront tous les doutes» sur l'identité des meurtriers.

«S'il est avéré que le Mossad est derrière ce crime, ce qui est à présent très vraisemblable, Interpol devrait émettre une notice rouge pour le chef du Mossad (Meir Dagan, ndlr) car cela en ferait un meurtrier», a déclaré le général Dahi Khalfan dans la soirée. Jusqu'ici, les relations entre les deux pays étaient bonnes.

Pas d'explication d'Israël

Les suspects étaient munis de passeports européens : trois irlandais, six britanniques, un français et un allemand. Ce qui n'a pas manqué de provoquer des couacs diplomatiques. Londres, Dublin puis Paris et Berlin ont convoqué  l'ambassadeur représentant l'Etat hébreu dans leur pays. Ce jeudi soir, aucune information complémentaire n'a été fournie par Israël et ses émissaires.

Mais, tout comme le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman s'était refusé mercredi à démentir ou confirmer l'implication du service secret israélien, ses diplomates ont assuré ne pouvoir «apporter des informations complémentaires», comme l'ambassadeur à Londres, ou «ne rien savoir de cet événement», comme celui de Dublin. Lundi cependant, le chef de la diplomatie israélienne doit rencontrer plusieurs de ses homologues européens, dont le Britannique David Miliband à Bruxelles.

Source: leparisien.fr

02:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mossad, dubaï |  Facebook | |

18/02/2010

Citation du jour

Tout le monde le dit ici : Marseille, c’est la 49ème wilaya d’Algérie. Et c’est la vérité.

Malik Ziad, musicien, The New York Times, 26 juillet 2009

 

Source: François de Souche

14:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

"Vivre-ensemble": Bagarre dans un bus aux Etats-Unis

 


Commentaire sur le site François de Souche:

Après avoir lu le texte retranscris, voici ce que j’ai compris.

- Impossible de vraiment comprendre le contexte de départ, mais le vieil homme négocie un cirage de chaussures (il précise la marque et qu’il va à un enterrement) avec le jeune noir sans que cela semble être une provocation. Le noir lui demande pourquoi ce serait à un noir de faire ça et le vieux semble surpris car le noir lui aurait proposé l’affaire.

- Le ton monte à partir de là, et le noir accuse clairement le vieux d’être raciste. Le vieux se défend de l’être et essaie de comprendre pourquoi. Le noir lui ordonne d’aller s’éloigner et le vieux s’execute. Le noir le menace et le vieux lui répond qu’il “ne fait pas peur à ce blanc là”.

- Le vieux s’assoit au devant du bus et les deux s’invectivent tandis qu’une femme noire d’un certain age tente de calmer le jeune noir, allant jusqu’à l’appeler “brother”.

- Sous les encouragements de ses amis qui lui demande ouvertement d’aller casser du blanc, le jeune va au devant du bus provoquer le vieux qui lui répond qu’il ne se lèvera pas.

- Le noir met un coup au vieux et prend sa branlée tandis que les personnes qui l’encourageait 5 minutes avant supplient le vieux d’arrêter et font mine d’être choquées.

- Le vieux est plus ou moins prié de descendre du bus (on voit un type le pousser), alors qu’il essaie d’expliquer qu’il s’est juste défendu. Le noir, en sang, va à la porte et menace une dernière fois le vieux.

- La fille noire qui filme la scène voit que le vieux a oublié son sac et s’en empare.

- A la fin de la vidéo, les filles expliquent au jeune que tout a été filmé et qu’il peut porter plainte contre le vieux. Une des filles s’adresse à quelqu’un dans le bus et affirme que le jeune noir serait drogué.

 

Source: François de Souche

14:28 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook | |

Scandale Quick : quand l’Etat lève l’impôt islamique !

Communiqué de Presse de Marine LE PEN, Vice-Présidente exécutive du FN :

marine le pen 3.jpgL’annonce par la chaîne Quick de la vente exclusivement de produits halal dans 8 établissements, dont celui de Roubaix, était déjà en soi un scandale.

Le consommateur est ainsi pris en otage et doit non seulement se conformer obligatoirement à la loi islamique mais de surcroît, dans ses formes les plus rigoristes. Le choix du « tout halal » étant la conséquence du refus imposé par les musulmans les plus radicaux de la préparation de nourriture « impure » dans les mêmes lieux que la préparation de nourriture halal.

Ces mêmes consommateurs seront ainsi soumis à l’impôt islamique puisque la viande halal est taxée par des organismes musulmans de certification.

Le scandale prend une toute autre dimension lorsque l’on apprend que la chaîne Quick appartient depuis octobre 2006 à …. L’Etat !

En effet, « Qualium investissement » détient 99,63 % du capital de Quick et n’est autre que la filiale de capital investissement de la Caisse des Dépôts et Consignations, bras financier de l’Etat.

Quand on sait que la Caisse des Dépôts et Consignations devait être le fonds souverain français, on croit rêver !

C’est donc bien le chef de l’Etat qui est à la manœuvre dans le processus maintenant assumé d’islamisation forcée de la France et la mise en place de l’impôt islamique.

Enfin, l’heureux propriétaire de Quick, Albert Frère, ami de Nicolas Sarkozy (celui-ci l’a élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur en 2008) a vu la Caisse des dépôts lui racheter sa société Quick pour 800 millions d’euros alors que celle-ci n’était valorisée qu’à 550 millions à la date de cette OPA « amicale ». Cette affaire a d’ailleurs fait l’objet de deux plaintes déposées par un acheteur évincé, l’une en France comme par hasard immédiatement classée sans suite, l’autre en Belgique, qui fait actuellement l’objet d’une instruction.

Jusqu’où va-t-on aller ?

Source: Front National

05:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marine, le pen |  Facebook | |

15 février 1898: Explosion du croiseur Maine

Le soir du 15 février 1898, vers 21h40, le cuirassé américain Maine,est victime d'une violente explosion dans la rade de la Havane, à Cuba. La détonation est si violente qu'elle souffle les vitres des maisons de la ville.

Le navire sombre presque immédiatement et malgré les secours qui arrivent des autres navires, 252 hommes périssent dans l'accident. 8 autres allaient plus tard mourir de leurs blessures.

Immédiatement, la presse américaine accuse les Espagnols, qui gouvernent Cuba, d'avoir placé une mine sous la coque du navire, lequel était en visite de courtoisie !... Dans les faits, une commission d'enquête conclura - mais en 1911 seulement - à une explosion accidentelle dans la salle des machines.

Entre-temps, la campagne de presse contre l'Espagne aura entraîné les États-Unis dans la guerre et débouché sur rien moins que l'occupation par Washington de Cuba, Guam, Hawaï, Porto-Rico et les Philippines !


Guerre sur commande

Il faut dire qu'à Cuba, les Espagnols, qui occupent l'île depuis sa découverte par Christophe Colomb, font face à partir de 1895 à une insurrection indépendantiste.

Aux États-Unis, la presse populaire prend fait et cause pour les insurgés cubains et dénonce à qui mieux mieux la barbarie des Espagnols, catholiques et latins, leurs «camps de la mort» et même leur pratique de l'anthropophagie.

Deux hommes rivalisent dans cette recherche du sensationnel : le magnat de la presse Joseph Pulitzer, du World, et William Randolph Hearst, qui venait de fonder à 32 ans le New York Journal.

Cette presse populaire est qualifiée de «yellow press» (presse jaune) parce qu'elle propose des bandes dessinées en jaune dont la couleur a la fâcheuse tendance à déteindre sur les articles.

La campagne de presse a le soutien intéressé des hommes d'affaires américains qui ont beaucoup investi à Cuba et rêvent d'en évincer la vieille puissance coloniale. Mais le public ne manifeste guère d'intérêt pour le conflit cubain. Les journalistes non plus d'ailleurs.

Début 1898, le dessinateur du New York Journal Frederick Remington écrit de La Havane à son patron : «Il n'y a pas de guerre ici, je demande à être rappelé». Hearst lui câble en réponse : «Restez. Fournissez les dessins, je vous fournis la guerre». Là-dessus, il publie le 9 février une lettre confidentielle de l'ambassadeur d'Espagne à Washington qui présente le président américain McKinley comme un homme terne et timoré...

À cette provocation vient s'ajouter quelques jours plus tard l'explosion du Maine. Le magnat de la presse monte une violente campagne. Pendant plusieurs semaines, jour après jour, il consacre plusieurs pages de ses journaux à l'affaire du Maine et réclame vengeance en répétant inlassablement : «Remember the Maine ! In Hell with Spain !» (Souvenez-vous du Maine ! En enfer l'Espagne !). Ses concurrents ne sont pas en reste.

Pressé de partout, le président William McKinley déclare la guerre à Madrid le 25 avril 1898. Il était arrivé au pouvoir l'année précédente sur la promesse de maintenir la paix quoiqu'il en coûte.

Joseph Savès.

Source: Hérodote

16/02/2010

Marine Le Pen dénonce les hamburgers halal de Quick

Dans huit de ses restaurants, la chaîne de fast-food teste des menus uniquement halal.

NOÉMIE DESTELLE

marine le pen.jpgDe la viande halal chez Quick ? Pour Marine Le Pen, «ceux qui ne veulent pas manger halal n'auront même pas le choix. Je trouve cela inadmissible.» La vice-présidente du Front national a dénoncé, dimanche sur Canal + la dernière initiative de la chaîne de fast-food.

Depuis décembre, La direction de Quick France propose en effet dans huit de ses restaurants – sur plus de 300 implantés en France – uniquement des hamburgers halal : deux à Marseille (Bouches-du-Rhône), à Argenteuil et Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), Buchelay (Yvelines), Roubaix (Nord), Toulouse (Haute-Garonne) et Villeurbanne (Rhône).

Le porc y est remplacé par de la dinde fumée et la viande uniquement halal, provenant d'animaux abattus selon le rite islamique – donc égorgés la tête tournée vers La Mecque par un sacrificateur agréé. Donc, pas de bacon dans le «strong bacon», mais de la dinde au «goût bacon». De quoi irriter certains clients, selon des témoignages recueillis par la presse locale.

«Est-ce que c'est normal que tous les gens qui viennent au Quick soient obligés, par l'intermédiaire de cette viande halal, de verser une taxe aux organismes islamiques de certification ?», demande la vice-présidente du Front National. La candidate FN aux régionales dans le Nord-Pas-de-Calais fait référence à une redevance perçue par les organisations islamiques assermentées, au kilo de viande certifiée halal.

Sur le fond, la direction de Quick France refuse de répondre pour l'instant. Elle explique en revanche qu'il ne s'agit que d'une «phase d'expérimentation de plusieurs mois», sans préciser de date de fin. «Avec ce test, nous voulons valider l'intérêt commercial et la faisabilité technique de cette nouvelle offre.» Il faudra attendre «plusieurs mois», donc, avant de savoir si le bacon réapparaîtra dans les fast-food Quick, ou si les hamburgers halal seront maintenus dans ces restaurants, voire étendus.

« Il faut que Quick soit équitable »

Répondant à Marine Le Pen sur Le Post.fr, Kamel Chibout, président de la fédération régionale de la Mosquée de Paris et du Grand Est de la France, estime qu'«il est vrai que la taxe [aux organismes musulmans] est répercutée sur le consommateur. Mais nous sommes tous des consommateurs. On paie tous des taxes sur des produits qu'on ne consomme pas. Par exemple, celui qui paie des impôts pour les routes et qui n'a pas de voiture.»

Séduire les clients musulmans, d'accord, mais en laissant le choix aux autres, préconise Kamel Chibout. Selon lui, «Quick stigmatise la communauté musulmane. C'est malheureux que Quick ne fasse plus de sandwich au bacon. Je comprends les consommateurs qui ne sont pas musulmans et qui ne sont pas contents. Il faut que Quick soit équitable vis-à-vis de tous les consommateurs, même les non musulmans. »

Source

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