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19/11/2010

Les nations, salut de l’humanité

Loin d’être la cause de toutes les guerres, la nation constitue selon Laurent Pinsolle, le seul moyen pour instaurer identité nationale et solidarité entre les hommes d’une même État. Un lien qui leur permet d’agir sur leur destin.

“L’identité nationale porte une part essentielle dans la constitution de l’identité de chaque individu.”

Depuis 1945 en Europe, beaucoup considèrent les nations avec méfiance, comme si cette structure de l’organisation humaine portait en elle la seule responsabilité des guerres qui ont déchiré le monde. Et si ce n’était pas le cas ? Et si les nations étaient là pour le bien de l’humanité ?

La nation, c’est une communauté culturelle

En effet, le point fondamental d’une nation est le fait qu’elle constitue une communauté pour les hommes. Avec la famille, il s’agit sans doute de la communauté la plus importante pour les individus, celle qui reste à vie, le point fixe de toute une existence, quand les amis, les entreprises ou les lieux d’habitation peuvent changer. (…)

Suite sur Marianne2

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18/11/2010

La corruption confirmée dans le dossier Karachi

La piste d'une affaire de corruption pendant la campagne présidentielle de 1995, susceptible d'impliquer Nicolas Sarkozy, a été confirmée par des auditions de justice, notamment celle d'un ex-ministre. 

 

L'affaire est liée à un attentat-suicide à Karachi le 8 mai 2002 dans lequel furent tuées 15 personnes, dont 11 ingénieurs et techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN), travaillant à la construction des sous-marins.

L'ancien ministre la Défense Charles Millon a déclaré sur procès-verbal que Jacques Chirac avait ordonné après son élection en 1995 l'arrêt du paiement de commissions commerciales au Pakistan en marge de la vente de ces sous-marins, a déclaré à Reuters une source proche du dossier.

"Charles Millon a déclaré au juge que cette décision avait été prise en raison de l'existence de rétro-commissions (un retour frauduleux d'une partie de l'argent en France-NDLR)", a déclaré cette source qui a eu accès au procès-verbal de l'audition par le juge d'instruction Renaud Van Ruymbeke.

La piste islamiste évoquée initialement pour cet attentat a été abandonnée et divers renseignements, mais aucune preuve, laissent penser que l'armée pakistanaise a commandité l'attentat en représailles du non-versement d'un reliquat de "commissions".

Charles Millon, ministre de la Défense de 1995 à 1997, a expliqué au juge Van Ruymbeke que la DGSE - les services secrets français - avaient été chargés d'une enquête sur l'affaire et rendaient compte directement à Jacques Chirac.

UN TRANSIT PAR LE LUXEMBOURG ?

Charles Millon avait déjà évoqué ces faits dans la presse lorsqu'il a dit à Paris-Match cette année qu'il avait été découvert que les "rétro-commissions" avaient financé la campagne présidentielle d'Edouard Balladur, rival de Jacques Chirac dans la course à la présidentielle en 1995.

Par ailleurs, un autre témoin auditionné par le juge Renaud Van Ruymbeke, Gérard Menayas, ancien dirigeant de la DCN, qui construisait les sous-marins, a confirmé que les commissions passaient par le Luxembourg, où deux sociétés, Heine et Eurolux, avaient été créées pour les récolter.

Ce témoin, selon la même source proche du dossier, confirme d'autres éléments du dossier judiciaire, notamment un rapport de la police luxembourgeoise, selon lesquels c'est Nicolas Sarkozy, ministre du Budget (1993-1995) et porte-parole de la campagne Balladur qui avait organisé ce transit au Luxembourg.

Gérard Menayas a également déclaré au juge Van Ruymbeke que d'anciens dirigeants des sociétés luxembourgeoises en question ont tenté en 2006, pour obtenir de l'argent, de faire chanter Nicolas Sarkozy sur le fondement de ce dossier.

Une mission d'information parlementaire a montré que le versement de 84 millions d'euros, soit 10,25% du contrat des sous-marins, avait été convenu lors de la signature de l'accord de vente des sous-marins par le gouvernement Balladur en 1994.

Nicolas Sarkozy conteste toute implication dans une affaire de corruption et a parlé publiquement de "fable" concernant le lien entre supposé entre l'argent et l'attentat.

L'avocat de familles de victimes, Olivier Morrice, a parlé mercredi sur i>Télé de "scandale" et de "mensonges d'Etat".

"Nous avons la preuve aujourd'hui qu'à l'époque, celui qui était ministre du Budget, Nicolas Sarkozy, a validé totalement le système mis en place pour permettre l'arrivée de ces rétrocommissions illicites en France", a-t-il dit en estimant que Nicolas Sarkozy était "au coeur d'un système de corruption".

Deux filles de victimes de l'attentat, Magali Drouet et Sandrine Leclerc, qui sortent un livre sur l'affaire cette semaine, donnent une conférence de presse à Paris jeudi.

Elle relatent dans leur livre que Nicolas Sarkozy a cessé de les recevoir dès que l'affaire de corruption supposée a été évoquée par la presse, y compris à la garden-party du 14 juillet où elles étaient pourtant invitées depuis 2002.

Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse

Source: Reuters


Le parquet suédois demande l'arrestation du porte-parole de WikiLeaks

Le parquet suédois a annoncé ce jeudi avoir demandé le lancement d'un mandat d'arrêt pour viol contre Julian Assange, le porte-parole du site Wikileaks, spécialisé dans la publication de documents confidentiels. 'Je demande au tribunal d'ordonner le placement en détention provisoire de M. Assange pour les besoins de l'enquête sur viol et agression sexuelle dont il fait l'objet. La raison de cette demande est qu'il doit être interrogé pour la bonne poursuite de l'enquête et qu'il ne s'est pas présenté pour répondre à nos questions', a détaillé la procureure Marianne Ny dans un communiqué.

 

 

M. Assange est suspecté d'avoir contraint une jeune femme à avoir une relation sexuelle, à laquelle elle était initalement consentante, sans préservatif. Lorsque l'affaire avait été révélée par la presse suédoise, le cofondateur de WikiLeaks, qui a rendu public le mois dernier des dizaines de milliers de rapports confidentiels de l'armée américaine en Afghanistan, avait dénoncé un coup monté, et accusé à mots voilés la CIA.

Julian Assange avait fait une demande de permis de séjour en Suède, où il comptait s'installer pour faire bénéficier son organisation des lois sur la protection des sources très protectrices de ce pays. Sa demande lui a été refusée, et M. Assange a depuis annoncé son intention de s'installer soit en Islande, soit en Suisse.

La demande de la procureure n'a pas encore été examinée par le tribunal. Si le tribunal suit le procureur, un mandat d'arrêt international sera émis contre M. Assange. En vertu des accords de coopération policière, il lui serait alors très difficile de se déplacer en Europe. Seuls quelques pays comme la Suisse pourraient lui offrir une relative protection.

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Demande d'audition de Sarkozy et Chirac dans le dossier Karachi

 

Les familles des victimes de l'attentat antifrançais de Karachi en 2002 ont annoncé jeudi qu'elles demandaient à la justice l'audition comme témoins de Nicolas Sarkozy, de son prédécesseur Jacques Chirac et de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin.

Cette demande, qui va être déposée auprès d'un juge d'instruction, est la conséquence de la déposition de l'ancien ministre de la Défense Charles Millon, qui a accrédité l'hypothèse qu'une affaire de corruption lors de la campagne présidentielle de 1995 puisse être liée à cet attentat.

Une porte-parole des familles des victimes, Sandrine Leclerc, s'est adressée directement à Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse.

"Après nous avoir abandonnés, vous nous avez oubliés, vous nous devez maintenant des explications", a-t-elle dit.

Selon la Constitution, toute mise en examen ou audition du chef de l'Etat comme témoin dans une procédure pénale sont impossibles à partir du moment où les faits examinés dans le dossier sont susceptible de le mettre en cause.

Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse (Reuters)

17/11/2010

Le Quick Hallal analysé par Eric Zemmour et Nicolas Domenech

Michel Boujenah imite Marine Le Pen

Un grand comique est né...

 

 

Source: Fdsouche.com

14/11/2010

Le lobby juif américain s'attaque à Jean-Luc Godard

La police de la pensée juive épingle cette fois-ci le cinéaste suisse Jean-Luc Godard, et confond intentionnellement, comme elle en a l'habitude, le fait d'être pro-palestinien avec l'"anti-sémitisme"...

 

Polémique. Alors que doit lui être remis un prix d’honneur dimanche, le cinéaste suisse est accusé par la presse américaine d’antisémitisme.

Godard en 2002, lors d'un conférence à Tokyo. - REUTERS

Tout est parti d’un article publié le 6 octobre dans l’hebdomadaire The Jewish Journal de Los Angeles. Le magazine avait barré sa une de la question : «Jean-Luc Godard est-il antisémite ?», assortie d’une photo du cinéaste. Tom Tugend, le journaliste, évoquait alors la décision prise par l’Académie des oscars de récompenser le cinéaste suisse, le 13 novembre, par un oscar d’honneur pour revenir sur ce qu’il appelait «une longue carrière marquée par des querelles artistiques constantes et par des accusations d’antisémitisme et d’antisionisme».

Prudent. Depuis, la polémique n’a fait qu’enfler dans la presse américaine. Deux jours après, un article publié par The Jewish Daily Forward, d’un reporter ayant collaboré à l’article initial, relançait le débat, et était repris sur le site du quotidien israélien Haaretz. Le 1er novembre, le New York Times faisait écho à toute l’affaire, avec ce titre prudent : «Un oscar d’honneur relance une controverse.» Face à l’effervescence, l’Académie des oscars a dû prendre position. Par communiqué, elle s’est dite «consciente que Jean-Luc Godard avait fait des déclarations dans le passé interprétées par certains comme antisémites». «Nous sommes aussi conscients des arguments existants pour rejeter ces accusations, ajoutait le texte. L’antisémitisme est certes déplorable, mais l’Académie a déterminé queles accusations contre Monsieur Godard n’étaient pas convaincantes.»

L’ article de Tom Tugend paru dans le Jewish Journal n’apporte pas grand-chose, rappelant notamment les déclarations propalestiniennes connues de Godard. Il parle de l’histoire de la famille du réalisateur et remarque que ce dernier estimait son grand père «antijuif», en 1978, lors d’une lecture à Montréal. Il revient sur le documentaire de 1976 Ici et Ailleurs où Godard alterne une image de Golda Meir et une autre d’Hitler, suggérant que le cinéaste compare les deux personnages.

Obsessionnel. Plus surprenant peut-être, Tom Tugend dit baser son enquête sur trois biographies de Jean-Luc Godard, notamment Godard publié en France par le journaliste historien Antoine de Baecque (1), précisant : «Cette dernière biographie a été publiée en mars en français et n’est pas facilement disponible. Le matériel utilisé dans cet article a été tiré de critiques et d’analyses du livre.» Or, dans un long article pour Rue89, De Baecque réfute les arguments présentés par le Jewish Journal pour expliquer qu’à son avis Godard n’est pas antisémite, mais que ses positions se caractérisent par «un antisionisme virulent, une solidarité profonde, parfois aveugle, avec les Palestiniens, et un rapport permanent interrogatif, critique, parfois obsessionnel, mais jamais haineux ni antisémite, au fait juif"».«Je me permets juste de poser la question de l’antisémitisme présumé de Godard, je n’y apporte pas de réponse définitive, dit aujourd’hui Tom Tugend. Je précise bien que je n’ai pas lu le livre de DeBaecque et je pense qu’au final, mon article est assez équilibré.»

La controverse est en tout cas loin d’être close aux Etats-Unis. La B’nai B’rith International, l’organisation juive basée à Washington, accuse l’Académie des oscars «d’avoir certains standards pour l’art, mais pas pour la décence et la morale».

Interrogé par le New York Times, le producteur Mike Medavoy, également membre de l’Académie, livre ce commentaire : «Si Hollywood veut honorer le travail de Godard, très bien, je n’ai pas de problème. Mais je suis moins sous le charme de son "esprit étroit" quand il parle des Juifs et de l’industrie dufilm.» Devant ce débat de plus en plus animé, certains journaux, tels le Los Angeles Times, ont choisi de dissocier «l’artiste Godard» et «l’homme Godard». Le 2 novembre, Patrick Goldstein, un les critiques le plus connus du quotidien californien, rappelait ainsi que «les artistes ne sont pas forcément admirables dans leur vie personnelle». Avant d’affirmer qu’il fallait absolument récompenser le réalisateur. Et de souligner aussi que le Jewish Journal «s’est fait une spécialité de relayer les peurs antisémites à Hollywood».

Déçu. «L’un des autres aspects de cette histoire, c’est que Godard et Hollywood ont toujours entretenu une relation houleuse, reprend cette source (qui travaille avec les studios de cinéma mais qui préfère garder l’anonymat devant «le caractère très sensible du sujet», ndlr. Certains membres de l’Académie voulaient honorer Godard depuis longtemps. D’autres n’ont jamais apprécié ses coups de gueule et ses déclarations à l’emporte-pièce sur la question juive. Et du coup, cela donne ce brouhaha dans un microcosme hollywoodien qui adore les scandales.»

Godard, en tout cas, n’assistera pas à la cérémonie. Son épouse a fait savoir qu’il était un peu déçu qu’elle n’ait pas lieu lors de la grande fête officielle des oscars en mars, et qu’il était «trop vieux» pour voyager jusqu’à Los Angeles.

(1) Antoine de Baecque, qui a par ailleurs longtemps dirigé le service Culture de «Libération», n’était pas disponible hier pour répondre à nos questions.

Source: Libération et Fdesouche.com

13/11/2010

Présidence du FN : clip de campagne de Bruno Gollnisch

 

Source: Fdesouche.com

09/11/2010

Florent Pagny : "Je préfère Miami pour mes enfants plutôt que de les entendre parler arabe en France"

A l’occasion de la sortie de son 13e album studio, « Tout et son contraire », Florent Pagny était l’invité ce lundi matin de la Matinale de Chérie FM. Le chanteur a déclaré qu’il avait scolarisé ses enfants Inca et Aël à Miami parce qu’il ne souhaitait pas qu’ils se mettent à parler arabe en rentrant de l’école.

 

 

"A un moment, ton môme il rentre à la maison et d’un seul coup il se met à parler rebeu ! Tu lui dis c’est pas possible ! Verlan encore tout va bien, mais là il n’y a pas de raison… Il y aussi cette histoire de peur… les mômes ils raccrochent des codes pour être sûrs de ne pas être emmerdés.”

 

Source: Fdesouche.com

Carte scolaire : les passe-droits des journalistes

Ecole : les resquilleurs de la carte scolaire. – Capital M6  – 04 février 2007

 


"Tel journaliste de gauche, très connu, donne des leçons sur le manque de mixité sociale et nous demande des passe-droits pour pouvoir aller dans les lycées dont il considère qu’ils  manquent de mixité-sociale."

 

Source: Fdesouche.com