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05/04/2012

Günter Grass défend l'Iran face à Israël : "la puissance atomique d'Israël menace la paix mondiale "

 L'écrivain a dénoncé la volonté prêtée à Israël de frapper l'Iran de façon préventive en raison de ses activités nucléaires.

Günter Grass à Hambourg le 20 février 2011.
Günter Grass à Hambourg le 20 février 2011. (Photo Christian Charisius. Reuters)

Le prix Nobel de littérature allemand Günter Grass, 84 ans, a déclenché un énorme scandale lundi en publiant, sous forme de poème, un plaidoyer pour l'Iran où il accuse Israël et son arme atomique de menacer la paix mondiale.

Il s'est attiré de violentes accusations d'"antisémitisme" avec ce poème en prose intitulé Ce qui doit être dit, paru dans le grand quotidien de Munich Süddeutsche Zeitung. Il y dénonce un «prétendu droit à attaquer le premier», faisant allusion à l'éventualité de frappes préventives israéliennes contre Téhéran, soupçonné de développer du nucléaire militaire malgré ses dénégations.

Le Nobel de littérature 1999 affirme que ce projet pourrait mener à «l'éradication du peuple iranien».

Grass, qui jouit d'une grande autorité en Allemagne, évoque «cet autre pays, qui dispose depuis des années d'un arsenal nucléaire croissant - même s'il est maintenu secret», qui bénéficie de livraisons de sous-marins nucléaires qui pourraient rendre les Allemands, «déjà suffisamment accablés», complices d'un «crime prévisible».

L'Allemagne et Israël ont conclu en 2005 un contrat de vente de sous-marins conventionnels de type Dolphin, dont un sixième exemplaire doit être livré prochainement. Ces sous-marins peuvent être équipés d'armes nucléaires.

Grass dénonce un «silence généralisé» sur cette question, qu'il qualifie de «mensonge pesant» parce que «le verdict d'antisémitisme tombera automatiquement» sur qui le rompra.

«Pourquoi ne dis-je que maintenant (...) que la puissance atomique d'Israël menace la paix mondiale déjà fragile ?», s'interroge Grass. «Parce qu'il faut dire ce qui pourrait être trop tard demain.»

Israël a vivement réagi. «Ce qui doit être dit, c'est qu'il est de tradition européenne de blâmer les Juifs avant la Pâques juive», a lancé le numéro deux de l'ambassade d'Israël à Berlin, Emmanuel Nahshon, dans un communiqué, reprenant le titre du texte de Grass.

Le représentant israélien a regretté que l'Etat hébreu soit «le seul pays au monde remis en cause publiquement dans son droit d'exister», et a assuré que les Israéliens «voulaient vivre en paix avec leurs voisins de la région».

«Günter Grass retourne la situation en prenant la défense d'un régime brutal», a également regretté Deidre Berger, directrice de l'American Jewish Committee à Berlin.

Henryk Broder, éditorialiste et polémiste juif renommé en Allemagne, a jugé dans le quotidien conservateur Die Welt que «Grass (avait) toujours eu un problème avec les Juifs, mais il ne l'avait jamais aussi clairement exprimé que dans ce poème».

Pour Broder, Grass est «l'archétype de l'érudit antisémite», de l'Allemand qui, est «poursuivi par la honte et le remords».

«Jamais dans l'histoire de la République fédérale, un intellectuel renommé ne s'en est pris avec autant de clichés à Israël», a renchéri l'hebdomadaire Der Spiegel dans son édition en ligne.

Sans nommer Grass, le ministre des Affaires étrangères Guido Westerwelle a publié un communiqué expliquant que «minorer les dangers du programme nucléaire iranien reviendrait à nier la gravité de la situation».

Le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seibert s'est refusé à commenter, au nom de la «liberté de création».

Sur internet, les réactions étaient enflammées entre défenseurs et détracteurs de Grass, les premiers invitant à réfléchir et discuter des propos de l'écrivain qualifié d'«antisémite» par les seconds.

En 2006, Günter Grass, connu pour ses positions de gauche, avait admis avoir fait partie des Waffen SS dans sa jeunesse, lui qui renvoyait souvent l'Allemagne à son passé nazi et dont un des livres le plus connus, Le Tambour, est résolument contre la guerre.


Source: Libération

La Une de Libé de demain: "Sarko et l'islam: les liaisons dangereuses"

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Source: Libération via Fdesouche.com

03/04/2012

« On se tape la racaille de tous les autres pays, c’est inadmissible ! » (Aliot/RMC)

Louis Aliot répond aux questions de Jean-Jacques Bourdin sur la récente expulsion des islamistes.

« Non seulement on est obligés de recevoir toute la misère du monde, mais en plus on se tape la racaille de tous les autres pays ? C’est inadmissible ! » – Louis Aliot



Source: RMC via Fdesouche.com

« Je serai bientôt la seule Française »: coup de gueule d’une habitante de La Courneuve (93)

[...] Dans la même rue, une femme du même âge, cheveux roux décolorés et permanentés. Elle est visiblement pressée, mais s’arrête volontiers. « J’habite La Courneuve depuis 25 ans. C’est une catastrophe ! Il n’y a plus de commerce français ici : plus une boucherie, plus une charcuterie… Que du halal ou de l’exotique. Ici, on nous marche dessus, on nous crache dessus, on ne nous respecte pas ! » Il hoche la tête, évoque lui aussi la disparition du joli quartier de sa jeunesse : « Mais c’est le maire qui est responsable… » Elle ne le laisse pas continuer et reprend : « La Courneuve, je ne vois pas ça s’arranger… En plus, je travaille à Pôle emploi : les demandeurs d’asile, je les vois arriver en masse. Je ne sais pas comment ils font, ils rachètent tous les commerces. Je ne suis pas raciste, moi. J’ai des collègues de toutes les races qui me disent eux-mêmes ‘tu ne peux plus rester là’. Dans le temps, y avait un mélange de gens, ça fonctionnait bien, mais là je serai bientôt la seule Française ! » [...]

Blog Le Monde via Fdesouche.com

Benzema, “l’argent lui a fait perdre la tête” selon sa tante

Karim Benzema s'est fait reprendre de volée par sa tante.

L'affaire a fait grand bruit la semaine dernière : Karim Benzema a assigné sa tante et sa cousine en justice, au motif qu'il refuse d'être le seul membre de sa famille à verser une pension alimentaire à sa grand-mère.

Pour rappel, le montant de la pension alimentaire à verser à sa grand-mère s'élève à 1 500 euros par mois, alors que le numéro 9 du Real Madrid perçoit environ 708 000 euros par mois, hors contrats publicitaires.

Interrogée sur Europe 1, Hélène, la tante de Karim Benzema, s'est montrée très virulente à l'égard de l'ancien Lyonnais, le sommant "de se réveiller", au risque de "ne plus pouvoir se regarder dans une glace". Ambiance.




Source: Yahoo / Europe 1

Florian Philippot: "Les gens voient en Marine Le Pen une véritable espérance"

 

Source: LCP

Bayrou: "entente clandestine" Sarkozy-Hollande pour éviter un débat télévisé

François Bayrou a estimé mardi qu'il existait une "entente clandestine" entre Nicolas Sarkozy et François Hollande pour éviter un débat télévisé, avec les huit autres candidats à la présidentielle, avant le premier tour.


 
"La vérité, c'est qu'il y a une entente clandestine entre François Hollande et Nicolas Sarkozy pour ne pas débattre de ces sujets", a lancé le candidat centriste à la présidentielle sur Canal +.

François Bayrou venait notamment de plaider de nouveau sur la nécessité de lutter contre l'endettement de la France.

"Ce débat doit être organisé", a-t-il ajouté en précisant qu'il demanderait, le cas échéant, au CSA, puis au Conseil d’État de "faire respecter la loi".

"C'est une obligation légale et morale" pour le service public d'organiser un tel débat "et non pas avec des remplaçants, mais avec les candidats eux-mêmes. Autrement, cela n'a aucun sens", a poursuivi François Bayrou.

Alors que France 2 projette d'organiser une spéciale "Mots croisés" le 16 avril avec les candidats ou leurs représentants, Nicolas Sarkozy s'est montré défavorable à un tel débat à dix avant le premier tour tandis que l'entourage de François Hollande relève que cela serait "compliqué à organiser".

"On n'a pas besoin d'un président de la République dérobeur. On a besoin d'un président de la République qui accepte de regarder les choses en face", a souligné le candidat centriste.

François Bayrou est aussi revenu sur le thème de la lutte contre l'endettement de la France.

Les Français, a-t-il dit, veulent des politiques "adultes qui disent ce que nous allons devoir faire ensemble pour que l'élection présidentielle ne soit pas suivie d'une immense désillusion, qui nous conduirait là à des choses dangereuses".

"Il n'est pas vrai que ça va être insupportable pendant des années. Si on fait les choses comme on doit les faire, il y a suffisamment de ressources en France pour qu'on se redresse", a-t-il poursuivi.

"L'effort est un optimisme, un espoir. Plus ça attendra, et pire cela sera", a-t-il conclu.

 

Source: Yahoo

« Requiem pour les Français : 30 ans de lâcheté politique » de Jean Bothorel

 

Sous ce titre Jean Bothorel a publié un intéressant petit livre de 130 pages consacré au problème de l'immigration, ou plutôt à la manière dont nos gouvernants ne le traitent pas et le laissent s'aggraver d'année en année.

Jean Bothorel commence par souligner à quel point les courants migratoires contemporains sont différents de ceux qu'a connus la France dans le passé : les effectifs en sont incomparablement supérieurs et l'éloignement culturel, ethnique, religieux des populations en cause rend leur accueil beaucoup plus difficile. Or nos dirigeants refusent de prendre ces particularités en considération.

Et cette attitude les conduit tout naturellement à ne pas affronter le problème. Ils vont, certes, prendre des mesures propres à limiter un peu l'ampleur de l'immigration mais jamais des dispositions aptes à apporter une solution globale et décisive : encore faut-il ajouter que ces mesures sont de sens très variables sinon contradictoires au long des années et soufflent sans discontinuer « le chaud et le froid ».

Ou alors, et c'est une autre manière de ne pas affronter la réalité, nos gouvernants vont accepter le phénomène migratoire.

Nombre d'entre eux justifient leur attitude en jugeant que le phénomène ne constitue en aucune façon une rupture dans le cours de l'histoire de France. MM. Sarkozy et Chevènement voient, par exemple, dans l'afflux d'étrangers le prolongement d'une situation que la France aurait toujours connue. Pour eux, notre pays est le fruit d'un métissage quasi permanent. Jean Bothorel cite des phrases de l'un et de l'autre politiciens : « Le défi du métissage, la France l'a toujours connu » ou « La France marche depuis toujours aux mélanges ». Et Jean Bothorel n'a aucune peine à réfuter ces affirmations, qui ne s'appuient sur aucune analyse historique mais qui, à force d'être répétées comme un article de foi, finissent par acquérir un semblant d'autorité.

Autre manière d'accepter le phénomène migratoire : la discrimination positive « adoptée par le chef de l'Etat » (il s'agit de M. Sarkozy), sorte de compensation offerte aux populations victimes d'une « domination discriminatoire », bientôt suivie par une lutte contre les discriminations fondées sur tous critères et qui tourne, nous dit l'auteur de façon fort convaincante, à la « guignolerie ».

Mais la discrimination positive engendre des conséquences collatérales particulièrement nocives. Elle paraît justifier et suscite les revendications toujours renouvelées des « victimes » et de leurs descendants. Bientôt obligation est faite à la France de se repentir et de rendre compte de sa culpabilité passée. Les politiques « se couchent », écrit Jean Bothorel qui consacre un chapitre bien enlevé à « la repentance » : on y voit des historiens politiquement incorrects, en butte à des procédés « inquisitoriaux » de « Collectifs », pratiquement abandonnés par nos gouvernants qui préfèrent récompenser les plus acharnés des inquisiteurs.

De la même façon Jean Bothorel montre comment, toujours dans la même ligne d'hésitations et d'accommodements, les pouvoirs publics essaient non pas ouvertement mais discrètement d'adapter la règle de la laïcité à l'islam, dont la présence devient de plus en plus prégnante sur le territoire. Et il montre aussi comment la République se trouve progressivement fragmentée en communautés.

Quant aux motivations des hommes politiques, Jean Bothorel semble partagé entre deux explications. D'un côté les détenteurs du pouvoir, dit-il, ont été guidés « par le laxisme, l'émotionnel ou la mauvaise foi mais jamais par la fermeté, la lucidité ou le courage ». Mais, d'un autre côté, il note aussi que pour tel ministre « lutter contre l'immigration c'est lutter contre la France », il attribue au président Chirac le souhait d'une France métissée, il relève la mise sur pied d'une politique d'accueil, autant d'attitudes favorisant les flux migratoires.


Source: Polémia

01/04/2012

Barack Obama et Benyamin Netanyahou prépareraient le "déménagement" de la colonie juive d'Israël sur le sol américain

(Washington, 01/04/2012) - Selon l'agence de presse AJW, le président des Etats-Unis et le Premier Ministre israélien seraient en pourparlers afin de "déménager" (sic) la colonie juive d'Israël sur le sol américain.

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Dans un discours historique, le président Obama a notamment déclaré: "Israël a le droit de se défendre, c'est un droit inaliénable, mais cette logique a des limites dans la mesure où Israël est en guerre perpétuelle avec ses voisins depuis le début de sa création. Le principe de réalité doit prévaloir en politique. Le monde change et devient multipolaire. Dans ce nouveau rapport de forces, il est de plus en plus difficile pour les Etats-Unis d'Amérique d'appuyer et de légitimer la présence d'un Etat juif en Palestine, que ce soit pour des raisons stratégiques, diplomatiques, économiques mais aussi éthiques. C'est pourquoi j'ai proposé à mon ami et collègue israélien Benyamin Netanyahou de trouver une solution pérenne en créant une ville-Etat juive, une grande mégalopole de 6 millions d'habitants sur le territoire américain. La grande majorité des membres du Congrès est d'accord avec ce projet que nous avons préparé en secret depuis 2009."

Benyamin Netanyahou a précisé que le gouvernement israélien était bien entendu partenaire du projet, et que cette ville-Etat juive, qui pourrait s'appeler Sion, constituait une "option de villégiature" pour les citoyens juifs israéliens, et non une obligation.

Plusieurs Etats américains sont sur les rangs afin d'accueillir sur leur territoire cette future mégalopole, qui devrait devenir - selon les concepteurs du projet - la ville écologique du futur. Selon des rumeurs, l'Etat du Nouveau-Mexique tiendrait la cote. "Nous avons de grands atouts: la terre disponible, le tissu économique, la main d'oeuvre, ainsi que les ressources naturelles nécessaires, c'est-à-dire l'eau, le vent, le soleil, et la géothermie", déclare John Newtown, un représentant du gouvernement de l'Etat du Nouveau-Mexique.

Arborant un large sourire, John Newtown résume les tenants et aboutissants du projet et conclut ainsi: "Gageons que ce grand projet sera non seulement très bénéfique pour la paix dans le monde, mais aussi pour le secteur national des technologies propres et, in fine, pour la santé de l'économie américaine."


Source: AJW (Associated Journalists of the World)