16/12/2013
Lancement de la campagne Génération Solidaire, hiver 2013
La France compte 150 000 SDF1 et près de 3 millions de mal-logés selon l’INSEE. Il y a des centaines de morts chaque année dans nos rues.
Pourtant, certains trouvent un toit sans aucune difficulté. En effet, Le Canard Enchainé révélait le 17 octobre 2012 que « 80 à 95% des chambres d’hôtels réquisitionnées pour les SDF sont destinées aux immigrés clandestins », on apprend aussi que la centaine de clandestins qui avaient squatté la basilique Saint-Denis en août 2012 ont été relogés2 (sur décision de Matignon) dans un hôtel 3 étoiles à 150€ la nuit...
Déjà responsable de livrer notre économie à la prédation des marchés mondialisés, l’Etat semble aussi vouloir choisir entre les bons et les mauvais pauvres : d’une part, les clandestins qui s’invitent de force dans notre pays, usent et abusent de notre générosité, squattent et profanent nos églises ; d’autre part, les Européens qui crèvent la gueule ouverte dans la rue dans l’indifférence générale.
Entre deux catégories de miséreux, le pouvoir socialiste a fait son choix. Ça tombe bien, Génération Identitaire aussi : LES NOTRES AVANT LES AUTRES !
Alors que la dureté de l’hiver s’installe, nous avons relancé nos tournées solidaires et apporté notre soutien aux nôtres pour la 2ème année consécutive à travers la Campagne Génération Solidaire, hiver 2013.
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Lettre à nos Grands-Parents (Julien Rochedy - Front National)
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15/12/2013
Nigel Farage : « l’ouverture des frontières mène à la division des communautés » (vidéo VOST)
16:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Bock Coté : « La France est appelée à se dissoudre dans une utopie diversitaire »
(Court extrait) Il ne faut pas se surprendre exagérément du rapport remis à Matignon qui propose une transformation en profondeur de la politique d’intégration française. Car la gauche a troqué fondamentalement le socialisme pour le multiculturalisme, et cela, partout en Occident. (…)
Désormais, au nom de «l’inclusion», et de la construction d’un «Nous inclusif», on invite la France à se refonder dans une diversité mythifiée, nécessairement bonne, absolument heureuse. (…)
On aura compris l’essentiel : il serait discriminatoire pour la France d’imposer son identité aux nouveaux arrivants, mais il sera légitime que ces derniers imposent la leur à la société d’accueil, qui devra se transfigurer à travers la figure de la diversité.
L’inversion du devoir d’intégration est le fondement idéologique du multiculturalisme.
(…) La France, en fait, est appelée à se dissoudre dans une utopie diversitaire où sa part historique ne sera plus, au mieux, qu’une part parmi d’autres. En fait, on ne la reconnaîtra que pour en faire le procès. (…)
[Les lecteurs sont invités à lire l'article complet]
Mathieu Bock Coté – Journal de Montréal
via Fdesouche.com
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13/12/2013
Dessin du jour
08:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
11/12/2013
Histoire: l'assassinat en 1926 à Paris de Petlioura, héros national ukrainien, par l'anarchiste juif Schwartzbard
Simon Petlioura fut assassiné le 25 mai 1926 rue Racine à Paris par Samuel Schwartzbard, un anarchiste juif natif de Bessarabie40. Ce dernier tira sept balles, dont cinq atteignirent Simon Petlioura41. Il justifia son acte en affirmant vouloir venger ses coreligionnaires d'Ukraine, assassinés lors de pogroms, lancés selon lui, par Simon Petlioura en 191942.
La médiatisation du procès fut à l'origine de la fondation de la Ligue contre les pogroms. Les débats furent présidés par Me Flory. Samuel Schwartzbard fut défendu par Me Henry Torrès43, un avocat membre du Parti communiste. L'avocat général, Me Reynaud, soutint l'accusation. La partie civile fut représentée par Me César Campinchi, futur député et ministre radical-socialiste44. Le général Georges Petlioura, frère de la victime, se porta partie civile et fut représenté par Me Albert Willm, ancien député socialiste, devenu très conservateur.
Schwartzbard obtint le soutien de L'Humanité, tandis que L'Action française et L'Écho de Paris dénoncèrent Schwartzbard comme un agent bolchévique45, accusation reprise par l'ancien directeur de la CIA, Allen Dulles, selon lequel, Samuel Schwartzbard était un agent au service des Soviétiques46. Après neuf jours de procès, le tribunal et ses jurés, à 8 voix contre 4 selon les bruits de couloir, acquittèrent Samuel Schwartzbard le 26 octobre 1927 au motif qu'il avait vengé les pogroms47, tandis qu'aucun des chercheurs juifs et ukrainiens n'ont relevé le moindre antisémitisme chez Simon Petlioura11. Il était au contraire favorable à l'émancipation des Juifs souligne l'historien Walter Laqueur48. Certains historiens, comme Léon Poliakov, considèrent que la médiatisation du procès est essentiellement due à la propagande du Komintern, qui avait tout intérêt à ce que Simon Petlioura soit jugé coupable pour mieux légitimer l'invasion de l'Ukraine49.
Les véritables motivations de Samuel Schwartzbard mises de côté, l'assassinat fut commandité par l'OGPU50,51,52. Dans une lettre daté du 11 août 1930, Lavrenti Beria soulignera lui-même l'implication des autorités soviétiques53. Certains historiens notent que cet assassinat pourrait être lié au retour de Pilsudski au pouvoir en Pologne, les autorités soviétiques voulant se prémunir contre toute nouvelle alliance54,55. En 1928, deux de ses sœurs, religieuses dans un couvent orthodoxe, furent assassinées par la Guépéou. Simon Petlioura est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris ; en Ukraine, il est aujourd'hui considéré comme un héros national.
Article complet: http://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_Petlioura
15:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Fonction publique : l'absentéisme en chute libre depuis l'instauration du jour de carence
Alors que le projet de loi de finances 2014 prévoit la suppression du jour de carence en cas de maladie, une étude tend à montrer son efficacité.
Ces chiffres tombent mal pour le gouvernement. En 2012, les arrêts maladie d'une journée ont reculé de plus de 43 % dans la fonction publique territoriale et de 40 % dans la fonction publique hospitalière, selon une étude* de Sofaxis, un assureur de la fonction publique. "Entre 2011 et 2012, les agents territoriaux et hospitaliers ont été moins nombreux à s'arrêter, moins souvent", rapporte le communiqué de presse paru lundi soir. C'est la première baisse enregistrée depuis six ans du nombre des arrêts. Et comme par hasard, elle intervient l'année où un jour de carence, pendant lequel un arrêt maladie n'est pas indemnisé, a été instauré par l'ancienne majorité.
De quoi sérieusement compliquer l'argumentation de la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu, qui a décidé de supprimer ce fameux jour à partir du 1er janvier 2014 au motif qu'il était "injuste, inutile, inefficace et humiliant" pour les agents. [...]
12:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
10/12/2013
La face sombre de Mandela
Depuis sa mort, tous ceux qui ne croient ni à Dieu ni à diable se sont trouvés une icône devant laquelle ils brûlent des cierges en déférence : Nelson Mandela. Au point, presque,
de réclamer sa canonisation immédiate. « Santo subito ! » Mais Mandela n’a pas réalisé de miracle. Ni avant,
ni après l’abolition de l’apartheid… qui n’est pas de son fait ! Il est même responsable de crimes de sang.
Si l’Organisation des Nations unies a fixé au 21 mars la Journée mondiale de la lutte contre la ségrégation raciale, c’est en référence à la tragédie qui s’est déroulée le 21 mars 1960 à Sharpeville, en Afrique du Sud. Ce jour-là, la police, assiégée par plusieurs milliers de manifestants réunis à l’appel du Congrès national africain (ANC) et prise de panique, a tiré sur la foule. On relèvera 69 morts.
Nelson Mandela, qui va sur ses 43 ans, est un cadre de l’ANC. Plutôt anticommuniste et plutôt non violent. Cela ne va pas durer. Il considère que la stratégie de l’ANC – qui va être interdite – a échoué. Qu’il faut adopter la stratégie marxiste du cycle provocation/répression, afin d’amener les masses à se soulever contre le pouvoir afrikaner. Qu’il faut donc en venir à la lutte armée…
C’est ainsi qu’en cette année 1960, Nelson Mandela crée la branche militaire de l’ANC – sa branche terroriste –sous le nom de Umkhonto we Sizwe (connu aussi sous le nom de MK), qui signifie « fer de lance de la nation ». MK est codirigée par Mandela et par Joe Slovo, le chef du Parti communiste sud-africain, clandestin, formé à l’université Patrice Lumumba de Moscou, de huit ans son cadet.
La branche militaire de l’ANC fondée par Mandela
C’est Nelson Mandela en personne qui va rédiger le plan de « passage graduel » à la lutte armée. Première étape : les sabotages. Deuxième étape, planifiée en cas d’échec politique de la première : la « guerre de guérilla », théorisée par Che Guevara. L’un de ses camarades de combat décrira la première étape : « Faire exploser des lieux symboliques de l’apartheid, comme des bureaux du passeport interne, la cour de justice pour natifs, et des choses comme ça… Des bureaux de poste et… des bureaux du gouvernement. »
De 1961 à 1964, près de deux cents attentats et sabotages sont perpétrés ! Si Mandela est arrêté en 1962 – et condamné –, ce n’est pas donc parce qu’il s’oppose à l’apartheid. C’est parce que les moyens qu’il emploie et les équipes qu’il commande se livrent au terrorisme. C’est aussi parce qu’il bénéficie d’importantes aides de l’étranger : financières (c’est lui qui est chargé de trouver les fonds) et matérielles. L’Algérie tout juste indépendante l’a accueilli pour le former aux actions militaires… [...]
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09/12/2013
Apartheid à l’envers en Afrique du Sud (vidéo en anglais)
23:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Interdiction de boycotter l’Etat sioniste !
Pour tous ceux qui doutent d’une « justice » aux ordres, la décision du tribunal de Colmar sera peut-être salutaire.
En effet, douze militants de BDS (Boycotts Desinvestment Sanctions), une organisation luttant contre l’importation de produits provenant des Territoires Occupés par le sionisme, ont été condamnés mercredi 27 novembre, pour avoir incité à ne pas acheter ces produits, lors de deux actions en 2009 et 2010.
Ces militants n’ont pas été condamnés à de la prison, mais comme d’habitude, à des amendes et à des dommages et intérêts.
Ainsi, alors que l’Etat ne recevra rien (1 000 € d’amende avec sursis pour chacun – une épée de Damoclès), les associations communautaires habituelles (LICRA, Avocats Sans Frontières, Alliance France – Israël et le bureau national de la vigilance contre l’antisémitisme) se partageront 24 000 €…
Il est vrai que les subventions généreusement versées annuellement par l’Etat « français » ne suffisent pas…
via Contre-Info
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