11/01/2014
Dessin du jour
01:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Spectacle de Dieudonné censuré à Nantes: réponse de Dieudonné
00:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Dieudonné - Extrait du spectacle "Foxtrot" - L'extra terrestre de Jupiton
00:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Dieudonné répond à Patrick Cohen et Timsit (vidéo - avril 2013)
00:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
10/01/2014
Dieudonné Chez Frédéric Taddeï: l'émission qui a choqué Patrick Cohen (vidéo)
23:32 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Jean-Marie Le Pen: "Nous avons à la tête du pays un adversaire de la nation"
22:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Censure de Dieudonné : Marine Le Pen Vs Christophe Barbier (vidéo)
19:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Immunité maintenue pour Serge Dassault : un scandale démocratique
Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-Président du Front National
Le refus opposé par le bureau du Sénat de lever l’immunité parlementaire du sénateur UMP Serge Dassault, inquiété par la Justice pour des faits particulièrement graves d’abus de biens sociaux, de corruption et d’achat de votes, est un nouveau scandale qui porte atteinte à la démocratie et à l’Etat de droit.
Cette décision invraisemblable révèle une fois de plus la totale complicité entre la gauche et la droite qui se met à l’œuvre dès qu’il s’agit de protéger l’un des siens. Rappelons en effet que la gauche est majoritaire au sein du bureau du Sénat, cette décision ne surprendra donc que ceux qui n’ont pas encore ouvert les yeux sur la réalité politique de l’UMPS, et son mépris complet pour la morale républicaine.
Pour le Front National, la protection accordée par le Sénat à Serge Dassault, en plus de déshonorer l’institution, marque l’empreinte d’un système finissant qui distingue d’un côté les puissants qu’on protège et de l’autre côté les simples justiciables et les véritables opposants.
19:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Le Sénat ne lève pas l’immunité parlementaire de Serge Dassault
Le Sénat se réunissait dans le cadre d’une enquête sur des achats présumés de votes à Corbeil-Essonnes…
Le bureau du Sénat a rejeté mercredi la demande de levée de l’immunité parlementaire de l’industriel Serge Dassault (UMP), dans le cadre d’une enquête sur des achats présumés de votes à Corbeil-Essonnes, a-t-on appris de sources concordantes.
Selon la présidente du groupe Communiste républicain et citoyen (CRC), Eliane Assassi, et le sénateur PS David Assouline, sur les 26 membres du bureau du Sénat, 13 se sont opposés à la demande qui aurait permis aux magistrats du pôle financier de Paris, Serge Tournaire et Guillaume Daïeff, de placer le sénateur en garde à vue et de perquisitionner ses locaux, 12 se sont prononcés pour, et un s’est abstenu.
Le bureau du Sénat se prononcait ce mercredi sur la demande de levée de l’immunité parlementaire de Serge Dassault (UMP), dans le cadre d’une enquête sur des achats présumés de votes à Corbeil-Essonnes.
Si cette levée avait été accordée, cela aurait permis aux magistrats du pôle financier de Paris, Serge Tournaire et Guillaume Daïeff de placer l’industriel en garde à vue et de perquisitionner ses locaux.
Une tentative d’assassinat, des millions d’euros transitant par des circuits opaques, des élections municipales annulées, la cinquième fortune de France mise en cause, et voilà la ville de Corbeil-Essonnes qui tremble, à trois mois de nouvelles échéances électorales.
(…) Le Monde
19:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
L'intox de Manuel Valls sur l'arrêt Benjamin de 1933
Décryptée par Yves Daoudal :
"La circulaire Valls fait mention de « l’arrêt de principe du Conseil d’Etat Benjamin du 19 mai 1933 ». Cet arrêt est mentionné de façon à faire croire que c’est lui qui a réglé la question et qui permet d’interdire les spectacles de Dieudonné. OR C’EST TOUT LE CONTRAIRE. En 1933, le maire de Nevers avait interdit une conférence de René Benjamin sous pression des syndicats d’instituteurs qui reprochaient à l’écrivain de les ridiculiser à chacune de ses interventions. Le 19 mai 1933, le Conseil d’Etat annula la décision du maire de Nevers "au motif que les risques de troubles à l’ordre public allégués par le maire pour interdire cette réunion n’étaient pas tels qu’ils aient pu justifier légalement l’interdiction de cette réunion, alors que la liberté de réunion est garantie par les lois du 30 juin 1881 et du 28 mars 1907"." [...]
19:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |