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28/02/2008

La persécution de Bruno Gollnisch

1262040239.jpgjeudi 28 février 2008


Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Bruno Gollnisch est lourdement condamné en appel pour « contestation de crimes contre l’humanité » alors qu’il avait explicitement reconnu la Shoah comme un crime contre l’humanité.

Cette condamnation s’inscrit dans la longue liste de ces verdicts où la justice prétend débusquer des non-dits coupables dans des propos qui ne le sont en aucune manière.

Il ne s’agit pas de justice, mais d’une persécution permanente contre ceux qui déplaisent à Big Brother. Ces jugements mettent la France au rang des Etats totalitaires.

« Malheur à la génération dont les juges méritent d'être jugés », dit le Midrash Rabba.

08/02/2008

L'Iran critique la présence militaire française dans le Golfe

TEHERAN (Reuters) - L'Iran a reproché à la France d'adopter une position "inamicale" dans la crise centrée sur le programme nucléaire de Téhéran, et affirmé que la future base navale française dans le Golfe ne contribuerait pas à la paix au Moyen-Orient.

8c05161be6ef5170674c4e878f711c1b.jpgMohammad Ali Hosseini, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a laissé entendre que l'Iran répliquerait au fait que Paris avait convoqué son ambassadeur la semaine dernière à la suite de propos anti-israéliens tenus par le président Mahmoud Ahmadinejad.

"Jusqu'ici, notre politique envers la France et ses positions inamicales est restée modérée, mais si la tendance continue nous réviserons nos positions nous aussi", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.

La France est au nombre des pays qui exercent des pressions diplomatiques sur Téhéran pour l'amener à cesser ses activités d'enrichissement d'uranium, que l'on soupçonne de cacher un projet militaire. Paris a accentué ses pressions après l'élection du président Nicolas Sarkozy au printemps dernier.

La France et l'Iran entretiennent des relations commerciales, mais les liens bilatéraux ont été ébranlés en septembre par des propos du chef de la diplomatie française selon lesquels le monde devait se préparer à une guerre avec l'Iran.

Hosseini a critiqué un accord signé en janvier par la France et les Emirats arabes unis (EAU) pour la création d'une base navale qui sera la première installation militaire française permanente dans le Golfe, où elle fera face à l'Iran.

Cette base doit accueillir de 400 à 500 militaires. Le ministère français de la Défense a indiqué le 31 janvier que des unités de France, des EAU et du Qatar procéderaient en février à leurs premières manoeuvres communes. Plus du tiers des livraisons de pétrole transitent dans la région.

"Nous sommes hostiles à tout renforcement de la présence militaire étrangère dans la région", a dit Hosseini, dont les propos en farsi étaient traduits par la chaîne Press TV.

"Nous pensons qu'une telle présence n'est pas un facteur de paix et de sécurité pour la région (...). Nous pensons en revanche que cela pourrait contribuer à l'insécurité."

Faisant allusion à Israël, Hosseini a ajouté que la France "ignorait les crimes du régime sioniste" contre les Palestiniens. "Nous exprimerons assurément nos objections en convoquant l'ambassadeur de France."

Vendredi, le ministère français des Affaires étrangères avait convoqué l'ambassadeur de Téhéran à Paris en raison d'une nouvelle diatribe d'Ahmadinejad contre l'Etat juif, dont il avait précédemment affirmé qu'il devait être "rayé de la carte".

Fredrick Dahl, version française Jean-Philippe Lefief, Philippe Bas-Rabérin

06/12/2007

Bush avait été averti dès le mois d'août sur le dossier iranien

WASHINGTON (Reuters) - Le président américain, George Bush, a été averti dès le mois d'août que l'Iran avait sans doute suspendu son programme nucléaire militaire, a annoncé mercredi la Maison blanche.

9a3543c5d0fceb48e860e63312477482.jpgLe National Intelligence Estimate (NIE), document de synthèse des seize agences américaines du renseignement, révélé lundi, estime que l'Iran a gelé en 2003 son programme d'armement nucléaire tout en croyant que la République islamique poursuit la mise au point de capacités susceptibles d'être utilisées pour fabriquer des armes nucléaires.

Depuis plusieurs mois, le président américain qualifie la République islamique de menace, agitant le spectre d'une Troisième Guerre mondiale si Téhéran se dotait d'un arsenal nucléaire.

De nombreuses personnalités démocrates estiment que Bush a volontairement conservé une posture martiale alors même qu'il savait que l'Iran avait suspendu son programme nucléaire militaire.

Mardi, lors d'une conférence de presse, l'occupant du bureau ovale avait affirmé qu'il avait pris connaissance du NIE la semaine dernière, mais que le chef des renseignements américains, Mike McConnell l'avait averti au mois d'août qu'il y avait de nouvelles informations sur l'Iran.

"Il ne m'a pas dit ce que recelaient ces informations. Il m'a dit qu'il fallait du temps pour les analyser", avait dit Bush.

Mercredi, Dana Perino, porte-parole de la Maison blanche, a déclaré que McConnell avait averti Bush en août de la suspension du programme nucléaire iranien, et que ces nouvelles informations étaient de nature à modifier la position des services de renseignement quant à l'attitude à observer face à Téhéran.

McConnell aurait prévenu le président américain qu'il faudrait encore du temps avant de vérifier la validité des informations recueillies par les services secrets.

La publication du NIE a déclenché une vague de critiques aux Etats-Unis où certains soupçonnent Bush d'exagérer la menace iranienne et établissent un parallèle avec l'entrée en guerre contre l'Irak.

L'administration Bush avait alors eu recours à des informations inexactes pour justifier le conflit, avançant que le régime de Saddam Hussein disposait d'armes de destructions massives.

Depuis mars 2003, date de l'arrivée de l'armée américaine sur le sol irakien, aucune de ces armes n'a été trouvée.

05/12/2007

Algérie: un ministre étonné qu'on lui attribue des propos antisémites sur Sarkozy

ALGER (AFP) - Le ministre algérien des Moudjahidine Mohamed-Cherif Abbas s'est déclaré "étonné et mécontent" mercredi des réactions suscitées par ses propos au quotidien Al Khabar où il évoque le soutien du "lobby juif" au président français Nicolas Sarkozy et ses "origines".

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Dans cet entretien publié lundi, M. Abbas attribue à l'influence d'un "lobby juif" l'accession au pouvoir en mai du président français, attendu le 3 décembre pour une visite d'Etat en Algérie.

"Je ne crois pas que les relations entre l'Algérie et la France soient fondées sur le principe d'égalité (...) Vous connaissez les origines du président de la France et vous savez quelles sont les parties qui l'ont amené au pouvoir. Ne savez-vous pas que les autorités israéliennes ont émis un timbre à son effigie en pleine campagne électorale présidentielle française ?", déclare le ministre au journal.

"Le ralliement de personnalités de la gauche française au gouvernement de droite de Sarkozy a une profonde signification. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner n'a pas sauté le pas en raison de convictions personnelles, mais en raison d'une manoeuvre reflétant les convictions des véritables architectes de l'ascension de Sarkozy au pouvoir, je veux dire le lobby juif qui domine les décideurs en France", poursuit-il.

18/09/2007

France : une politique étrangère pro-sioniste

Bernard Kouchner, le Ministre Français des Affaires Etrangères, a estimé dimanche que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la possibilité d'une "guerre" avec l'Iran et a demandé des sanctions européennes, tout en appelant à "négocier jusqu'au bout" pour éviter que Téhéran ne se dote de l'arme atomique.

Ces déclarations confirment les craintes que tous les observateurs politiques avisés pouvaient avoir avant l’élection de Nicolas Sarkozy à l’Elysée.

6978e9ad68d23d149c8b821b38f6b0fd.jpgSarkozy, qui en 2004, quelques jours seulement après avoir quitté le gouvernement, était allé en Israël affirmer que «  la France était un pays ami » et qu’ « Israël pourrait compter sur son soutien »,  a des origines juives et apparaît comme un sioniste convaincu, pour ne pas dire militant. Cela serait son droit s’il n’était qu’un simple citoyen. Mais en tant que Président de la République Française , Sarkozy n’a pas le droit d’engager la sécurité de la nation toute entière pour servir les intérêts d’une caste ainsi que les intérêts d’une puissance étrangère. Cela va à l’encontre des principes républicains.

Il y a aujourd’hui en France, beaucoup trop de sujets tabous pour que l’on puisse avoir un fonctionnement démocratique normal : l’immigration, la violence quotidienne, le nombre d’étrangers dans les prisons françaises, le pouvoir sioniste en politique et dans les médias,  l’affaire des frégates de Taiwan, etc...

Aujourd’hui que le ministre des Affaires Etrangères français évoque la possibilité d’une guerre contre l’Iran – une nouvelle guerre préventive, après le fiasco et les mensonges de la guerre en Irak, que Kouchner a également soutenue – quelle va être l’attitude des médias ? Vont-ils oser avouer la véritable motivation d’une guerre contre l’Iran, c’est-à-dire la sécurité d’Israël ?

Israël est un pays qui bafoue impunément des dizaines de résolutions de l’ONU, et ce depuis plusieurs dizaines d’années. Et Sarkozy et Kouchner veulent aller bombarder l’Iran qui en toute légalité développe une technologie du nucléaire civil ?

D’autre part – c’est un secret de polichinelle - Israël dispose de la bombe nucléaire. Israël ne l’a jamais avoué, invoquant « la politique de l’ambigüité » … Pourquoi n’envoie-t-on pas des inspecteurs de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique enquêter en Israël ? N’est-ce pas avouer qu’il y a deux poids deux mesures dans ce monde que l’on veut plus humaniste et plus égalitaire ?

La tragédie irakienne doit servir de leçon, pour réveiller les opinions publiques et arrêter cet engrenage de la violence qui a pour origine la création de l’ « Etat » (en vérité une colonie) d’Israël en Palestine en 1948. La création de cet Etat s’est faite dans des conditions très confuses, au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque le monde avait d’autres priorités. Et surtout, la création de cet Etat s’est faite sans l’accord du peuple qui résidait sur la terre de Palestine, le peuple palestinien. Aujourd’hui, le monde continue à payer le prix de cette terrible erreur qu’a été la création de l’Etat d’Israël. Il est plus que temps de lever le tabou sur la question de la légitimité de l’existence d’Israël, pour essayer de construire un monde plus stable et plus juste, et offrir aux futures générations l’espoir d’un monde sans guerres.