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23/03/2009

Un expert de l'ONU réclame une enquête sur les crimes de guerre commis par l'armée israélienne à Gaza

Un expert de l'ONU réclame une enquête sur l'offensive israélienne contre la bande de Gaza en janvier, en soulignant qu'"il y a des raisons de conclure" qu'elle constitue un "crime de guerre de la plus grande ampleur", dans un rapport dont l'AFP a obtenu une copie.

20081229elpepuint_14.jpgDans ce texte qu'il doit présenter lundi devant le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, le Rapporteur spécial onusien sur la situation dans les Territoires palestiniens, Richard Falk, appelle à une "enquête d'experts" pour déterminer si, étant donné le contexte, il était possible aux Israéliens de distinguer entre cibles militaires et population civile.

"Si ce n'était pas possible, alors l'offensive est par nature illégale et constitue un crime de guerre de la plus grande ampleur", écrit M. Falk.

Il souligne au passage que "sur la base des éléments de preuve actuellement disponible, il y a des raisons d'en arriver à cette conclusion".

Fin décembre, l'armée israélienne avait lancé une offensive de trois semaines à Gaza, qui s'était soldée par la mort de 1.300 Palestiniens, dont une grande majorité de femmes et d'enfants, et la destruction de très nombreuses maisons d'habitations ainsi que d'édifices publics.

M. Falk a été expulsé d'Israël en décembre dernier après avoir été arrêté et incarcéré à son arrivée dans le pays.

Israël aurait soutenu une organisation terroriste yéménite

Un Yéménite accusé d'avoir communiqué par internet avec le Premier ministre israélien Ehud Olmert pour comploter contre le Yémen, a été condamné à mort lundi par un tribunal de Sanaa. 

un-yemenite-condamne-mort-pour-contact-avec-israel.jpgDeux de ses complices ont été condamnés à des peines de prison par la cour spécialisée dans les affaires de terrorisme.

Israël a qualifié les accusations de "totalement fantaisistes".

Bassam al-Haïdari, 26 ans, a été condamné à la peine capitale, Imad al-Rimi, 23 ans, à cinq ans de prison et Abdallah al-Mahfal, 24 ans, à trois ans de prison, selon le verdict du tribunal de la capitale yéménite où ils étaient jugés depuis le 10 janvier, sous l'accusation de "contact avec un pays ennemi".

"C'est injuste et le juge est injuste" s'est écrié le troisième accusé alors que les deux premiers sont restés impassibles à l'énoncé du verdict.

"J'ai été condamné sans preuves", a encore dit Abdallah al-Mahfal.

Les trois condamnés ont immédiatement interjeté appel de leur jugement.

"Ces accusations sont totalement fantaisistes. Nous n'avons aucune connaissance d'un contact avec cette personne", a déclaré à l'AFP Mark Regev, porte-parole du Premier ministre israélien interrogé sur la condamnation à mort de Haïdiri.

"Nous recevons chaque jour de nombreux messages venant du monde arabe et musulman et nous nous félicitons de ce que ces auteurs veuillent dialoguer avec Israël", a-t-il ajouté.

Selon l'acte d'accusation, Bassam al-Haïdari a "pris l'initiative d'envoyer un message électronique au Premier ministre de l'entité sioniste dans lequel il écrivait: +Nous sommes l'Organisation du Jihad islamique et vous êtes juif. Mais vous êtes honnêtes et nous sommes prêts à tout faire".

L'acte d'accusation affirme encore que Bassam al-Haïdari, alias Abou Ghaïth, avait ensuite "reçu la réponse du Premier ministre de l'entité sioniste dans laquelle il écrivait: +Nous sommes prêts à vous soutenir+".

L'affaire avait été révélée en octobre 2008 par le président Ali Abdallah Saleh en personne. Il avait alors fait état du démantèlement d'"une cellule terroriste" liée, selon lui, aux services de renseignements israéliens.

L'acte d'accusation situe les contacts entre ces trois personnes et Israël dans la période allant de mai à septembre 2008.

A l'ouverture de leur procès, les trois accusé ont plaidé non coupable et nié les charges pesant contre eux.

La question de contacts avec Israël est hautement sensible au Yémen où l'opinion publique et les autorités sont hostiles à l'Etat hébreu et très solidaires des Palestiniens.

02/03/2009

L'Iran demande à Interpol l'arrestation de 15 criminels de guerre israéliens

L'Iran a demandé à Interpol l'arrestation de quinze Israéliens considérés par la justice iranienne comme des criminels de guerre, car ayant participé à l'intervention de Tsahal à Gaza en décembre, a annoncé le procureur de Téhéran, Saeed Mortazavi (photo), dont les propos étaient relayés dimanche par la télévision nationale.

 
Les autorités iraniennes avaient annoncé en décembre avoir formé un tribunal destiné à juger des Israéliens pour l'offensive lancée dans la bande de Gaza, et indiqué être prêtes à juger les accusés en leur absence.

"Nous avons achevé cette semaine notre enquête sur une quinzaine d'individus comptant parmi les criminels", a déclaré le procureur de Téhéran, Saeed Mortazavi.

"En nous appuyant sur cette enquête et d'après l'article deux de la charte d'Interpol, nous avons demandé à Interpol d'arrêter ces suspects", a-t-il ajouté.

La justice iranienne a établi une liste de 34 responsables militaires israéliens et 115 particuliers qu'elle accuse de "crimes de guerre, invasion, occupation, génocide et crimes contre l'humanité", a indiqué la télévision iranienne.

L'offensive de 22 jours menée par l'armée israélienne dans l'enclave palestinienne a fait plus de 1.300 morts côté palestinien, dont une majorité de femmes et d'enfants. Treize Israéliens ont péri.

Les autorités israéliennes et américaines ont accusé l'Iran de fournir des armes et un entraînement militaire aux activistes du Hamas dans la bande de Gaza. Téhéran a répondu ne fournir qu'un soutien moral, financier et politique au Hamas et aux Palestiniens.

Israël a promis à ses militaires de leur fournir la protection de l'Etat face à toutes poursuites judiciaires venant de l'étranger.

18/01/2009

Après la trêve, Israël se penche sur les retombées du conflit

Les photos grand format qui s'étalent à la une des deux plus grands journaux israéliens résument bien la perception de la situation dans la bande de Gaza, côté israélien.

On y voit des tankistes israéliens sur leurs blindés Merkava, un grand sourire aux lèvres et les doigts faisant le V de la victoire. L'un d'eux agite le drapeau israélien.

9a36e1ba-d9d9-11dd-bc0f-2e6ef8a67710.jpg"Nous avons obtenu ce que nous voulions", dit le Premier ministre Ehud Olmert, cité en titre du Yediot Ahronoth. Quant au Maariv, sous un bandeau annonçant le cessez-le-feu, il titre par ces mots: "La Victoire".

L'annonce d'une trêve unilatérale par Israël après 22 jours de combats face au Hamas dans la bande de Gaza a sans aucun doute rencontré dans la presse tout l'écho qu'Ehud Olmert et ses ministres de la Défense, le travailliste Ehud Barak, et des Affaires étrangères Tzipi Livni (parti Kadima) pouvaient souhaiter à trois semaines des législatives anticipées du 10 février.

Derrière les titres, cependant, restent les doutes sur le temps que tiendra ce qu'Israël dit avoir atteint. Reste aussi la crainte que ce conflit n'ait fait que perpétuer la crise avec le Hamas à Gaza plutôt que d'y porter un coup d'arrêt.

Et si, en Israël même, nombreux sont ceux qui se réjouissent de voir l'armée poser en vainqueur - notamment après l'absence de victoire claire dans le conflit de l'été 2006 face au Hezbollah -, l'opinion publique israélienne est en complet décalage avec le reste du monde, où l'on a observé le conflit et l'augmentation du nombre de victimes avec une inquiétude de plus en plus profonde.

Plus de 1.300 Palestiniens, dont 410 enfants, ont été tués et 5.300 autres Palestiniens, dont 1.630 enfants, ont été blessés en trois semaines de conflit.

Dix soldats et trois civils israéliens ont péri durant la même période.

Durant le conflit, les médias israéliens ont soutenu de manière retentissante l'offensive "Plomb durci". Même des éditorialistes de gauche ont jugé justifiés les combats contre le Hamas, qui a tiré 8.000 roquettes et obus de mortier contre le territoire israélien depuis 2001.

LA PRESSE SE POSE DES QUESTIONS SUR L'AVENIR

Quant à l'avenir, la presse avance des analyses plus nuancées. "Cette guerre était tout simplement une guerre. Il était tout bonnement question de se défendre. Mais ce ne fut pas une guerre menée avec habileté", écrit dimanche Eyal Megged, commentateur au journal Maariv, tabloïd de centre-droit.

gaza-28dic.jpg"Cette guerre était censée changer la donne. Cela avait été annoncé de manière explicite. Mais la situation - et cela est regrettable -, n'évoluera qu'en pire. Nous allons nous réveiller au lendemain de la guerre avec une situation de haine, une situation empoisonnée", ajoute-t-il.

Dans les colonnes de Yediot Ahronoth, l'offensive est clairement située dans un contexte électoraliste.

Olmert n'est pas candidat aux législatives du 10 février, mais Ehud Barak comme Tzipi Livni aspirent à le remplacer à la tête du gouvernement.

"Le cessez-le-feu n'a pas encore été mis en oeuvre sur le terrain que le consensus national qui régnait en Israël ces dernières semaines a pris fin la nuit dernière", estime Nahum Barnea, l'un des éditorialistes les plus en vue d'Israël, en soulignant que désormais, le ton d'une véritable campagne électorale va reprendre.

"Pour ce qui est de la guerre en soi, continue-t-il, il semble que l'opération aurait pu prendre fin deux ou trois jours après le lancement de la phase terrestre. C'était en tout cas le point de vue défendu tant par Barak autant que par Livni; c'est Olmert qui a tenu à ce qu'elle se poursuive", ajoute-t-il.

filipinos manilla.jpgEn dehors d'Israël, des manifestations pacifistes ont eu lieu presque chaque jour à Londres, Paris, Rome et dans d'autres villes dans le monde entier. Les photos de mort et de destruction dans Gaza et les bilans des victimes - les quelque 400 enfants morts parmi les 700 civils tués - ont provoqué la colère.

En Israël, cette indignation, soit ne s'est pas exprimée ouvertement, soit a été tenue pour de l'incompréhension face à ce qu'endure Israël. Et les accusations de crimes de guerre à l'encontre d'Israël ont été balayées par les responsables gouvernementaux israéliens.

 

Commentaires du PNF:

 

Israël n'existe que par son armée. Cette colonie juive a été créée depuis ses débuts dans le sang (palestinien). Israël, comme toutes les colonies, n'a aucune légitimité autre que la supériorité militaire. C'est pour cela que les Israéliens sont tous derrière leur armée, car ils savent pertinemment qu'ils occupent la terre d'un autre peuple depuis 60 ans, et qu'il est tout à fait naturel que ce peuple résiste face à l'envahisseur.

La solution à long terme à ce conflit n'est pas une solution à deux Etats, mais le départ des Juifs israéliens vers une autre terre. Les palestiniens n'ont jamais accepté l'arrivée des Juifs dans leur pays, la Palestine. La meilleure solution est donc de créer un nouvel Etat d'Israël dans un lieu où les Juifs seront acceptés et pourront vivre en paix. Les Etats-Unis, pays où se trouve une très importante et influente communauté juive, ont toujours été aux côtés d'Israël. Un référendum devrait y être organisé afin de décider de la création d'une ville-Etat juive (un nouvel Etat d'Israël en quelque sorte) sur le sol américain (ce n'est pas l'espace qui manque) où les juifs pourront vivre en paix, dans un pays où ils seront acceptés par les autres habitants.

Cette solution n'est pas du tout utopique. Les Français d'Algérie ont bien quitté l'Algérie après plus de 130 ans d'occupation. Il a fallu un grand homme, De Gaulle, pour résoudre ce conflit.

Obama sera-t-il le Messie espéré qui permettra de raisonner l'ogre sioniste et de mettre fin à la colonisation de la Palestine par les Juifs?

18:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nazionisme, israël |  Facebook | |

12/01/2009

Téhéran envisage d'imposer des sanctions aux entreprises étrangères qui traitent avec Israël

Le gouvernement iranien envisage d'imposer des sanctions aux entreprises étrangères qui traitent avec Israël, a rapporté dimanche la télévision d'Etat.

boycott-israel-275x275.gifElle a précisé que le gouvernement avait approuvé les grandes lignes d'un texte législatif en vertu duquel les sociétés étrangères seraient confrontées à des sanctions de l'Iran si elles cherchaient à traiter avec Israël. Aucune autre précision n'a été donnée.

Le texte doit être ratifié par le Parlement iranien pour avoir force de loi.

Mardi, les autorités iraniennes ont publié un décret interdisant aux entreprises internationales de travailler en Iran si des Israéliens possèdent des participations dans ces sociétés.

Ces deux mesures sont considérées comme un geste de soutien au Hamas, cible depuis le 27 décembre de l'offensive de l'armée israélienne dans la Bande de Gaza. AP

 

Commentaires du PNF:

Si seulement tous les pays du monde, à commencer par les pays musulmans, pouvaient en faire autant, cela donnerait au moins un prix pour Israël au sang actuellement versé par les Palestiniens de Gaza. Une base de données devrait être édifiée et publiée, montrant toutes les entreprises faisant du négoce avec Israël (à commencer par Renault, qui a lancé sa nouvelle voiture électrique dans cette colonie juive).

17:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : iran, israël, boycott, sionisme |  Facebook | |

10/01/2009

Les Etats-Unis seraient en train de livrer d'importantes quantités d'armes à Israël

Le Pentagone a démenti vendredi que les États-Unis ont affrété un navire marchand à partir de la Grèce pour livrer plusieurs milliers de tonnes d'armes à Israël à la fin du mois.

Selon des documents du Military Sealift Command (MSC) de la marine américaine, le navire transporterait 325 conteneurs standards de 20 pieds contenant des "munitions" et effectuerait deux trajets entre le port grec d'Astakos et le port israélien d'Ashdod entre la mi-janvier et la fin du mois.

Le Pentagone a nié que ces armes avaient un lien avec le conflit dans la bande de Gaza et a expliqué que les munitions étaient destinées à des stocks américains en Israël.

"La livraison de munitions est destinée à des stocks américains installés en Israël suivant un accord passé entre les États-Unis et Israël en 1990", a dit le lieutenant-colonel Patrick Ryder, porte-parole du département d'État.

"Ce ravitaillement qui était antérieurement prévu est un ravitaillement de routine et n'est pas destiné à soutenir la situation actuelle à Gaza", a déclaré Ryder.

Une mention "matériel dangereux" figurant sur le carnet de bord ferait référence à des substances explosives et à des détonateurs, mais aucun autre détail n'est fourni.

"Transporter quelque 3.000 tonnes de munitions en un seul chargement, c'est beaucoup", a déclaré un courtier maritime, sous couvert d'anonymat.

"Ce genre de demande est plutôt rare et nous n'avons pas vu cela sur le marché depuis des années", a-t-il ajouté.

RAISONS "LOGISTIQUES"

Le MSC assure le transport de blindés et de fournitures militaires pour les forces armées américaines en utilisant d'ordinaire sa propre flotte de bateaux, mais il lui arrive parfois d'avoir recours à des navires marchands pour des raisons de logistique.

La demande de fret a été faite le 31 décembre avec une arrivée de la première cargaison au plus tard le 25 janvier et la seconde à la fin du mois.

Cette demande de fret intervient après la location d'un bâtiment commercial allemand en décembre qui avait transporté une cargaison encore plus importante de matériels militaires des États-Unis vers Israël avant le début des opérations dans la bande de Gaza.

Les courtiers maritimes à Londres, spécialisés dans les convoyages d'armes pour l'armée britannique ou l'armée américaine, ont précisé que ce genre de livraisons à Israël sont rares.

Un expert des questions militaires à Londres a indiqué, qu'en raison du calendrier, ces acheminements d'armes pouvaient être "irréguliers" et liés à l'offensive contre Gaza.

Le navire, affrété par le MSC en décembre pour une durée de 42 jours, aurait transporté 989 conteneurs standards de 20 pieds entre Sunny Point en Caroline du Nord et Ashdod.

Selon les documents, le navire possédait la capacité de "transporter 5,8 millions de livres (2,6 tonnes) en poids net d'explosifs", ce qui représente une très grande quantité, ont précisé des courtiers.

Le navire avait été requis au début du mois de décembre pour un chargement au 15 de ce mois.

Le Jerusalem Post, citant des responsables de la défense, avait rapporté la semaine dernière qu'une première cargaison de missiles était arrivée début décembre et que ces armes avaient été utilisées pour détruire les sites souterrains à partir desquels le Hamas tirait des roquettes contre le sud d'Israël.

 

 

06/01/2009

L'armée israélienne bombarde deux écoles pleines de réfugiés fuyant les combats

16h23 : 635 morts depuis le début de l'opération «Plomb Durci». Au moins 635 personnes ont été tuées et plus de 2.900 autres blessées dans l'offensive israélienne dans la bande de Gaza depuis son lancement le 27 décembre, ont affirmé les services d'urgence palestiniens.

fotosTemas.jpg16h04 : Ecole bombardée de l'ONU, le bilan s'alourdit. Au moins 40 personnes qui s'étaient réfugiées dans une école gérée par l'ONU dans le nord de la bande de Gaza, ont été tuées dans une attaque israélienne dans le secteur. Un appareil israélien a tiré quatre roquettes dans le périmètre de l'école Al-Fakhoura à Jabaliya dans laquelle s'était réfugiées des centaines de Palestiniens fuyant les combats. Des dizaines d'entre eux se trouvaient devant l'école lorsque l'attaque israélienne a eu lieu.

15h57 : «La position américaine est inconsciente». Un membre de la famille royale saoudienne, ancien ambassadeur du royaume aux Etats-Unis, a fustigé «l'inconscience» de la position américaine sur le conflit dans la bande de Gaza. «L'administration Bush vous a laissé un héritage dégoûtant.C'est assez, aujourd'hui nous sommes tous des Palestiniens et nous cherchons le martyre pour Dieu et pour la Palestine, à la suite de ceux qui sont morts à Gaza»

15h30 : La ligue arabe accuse les Etats-Unis. La Ligue arabe reproche à Washingtonde bloquer l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution sur un cessez-le-feu à Gaza, pour permettre à Israël «de poursuivre son agression». La ligue a également réagi aux déclarations de Tony Blair, le représentant du Quartette pour le Proche-Orient, qui souhaitait une «action claire» permettant de couper les tunnels de contrebande entre l'Egypte et Gaza, qui permettent l'approvisionnement en armes du Hamas. Ces déclarations «visent d'un côté à créer des problèmes à l'Egypte et d'un autre côté à présenter des propositions dont ils savent qu'elles ne peuvent être acceptées par le Hamas».

Source: http://www.lefigaro.fr/international/2009/01/06/01003-200...

11/10/2008

Quatrième nuit de violences à Saint-Jean d'Acre, en Israël

SAINT-JEAN D'ACRE, Israël (Reuters) - Des affrontements ont opposé Juifs et Arabes pour la quatrième soirée consécutive dans la ville israélienne de Saint-Jean d'Acre, annonce la police.

Vingt-deux personnes, membres des deux communautés, ont été arrêtées par les forces de l'ordre après l'incendie de deux maisons vendredi, a précisé Micky Rosenfeld, porte-parole de la police nationale.

Les médias rapportent qu'un cordon de police a bloqué à la nuit tombée un quartier de la ville qui a été fermé à la circulation, et qu'une troisième maison, appartenant à des Arabes, a été incendiée.

Vendredi, la Premier ministre désignée Tzipi Livni s'était rendue dans la cité portuaire de 46.000 habitants réputée pour la coexistence pacifique entre les deux communautés, où elle avait lancé un appel au calme.

De nombreux restaurants et magasins de la vieille ville, destination touristique de l'ancienne capitale des Croisés, sont restés fermés samedi.

Les troubles avaient éclaté mercredi soir à l'occasion des festivités du Yom Kippour, la fête juive du Grand Pardon.

Un Arabe s'était rendu en voiture dans le quartier juif, perturbant le début de cette fête de 24 heures avant d'être chassé par des jets de pierre, ce qui avait entraîné une réaction violente des habitants musulmans.

Pendant le Yom Kippour, les Juifs s'abstiennent d'utiliser leur voiture ou toute autre machine.

Ammar Aouad, Haim Shafir, version française Pierre Sérisier et Jean-Stéphane Brosse

PNF: Encore une belle leçon de tolérance de la part des colons israéliens, qui attaquent tout Arabe entrant dans le quartier juif! Il y a des similitudes avec la situation en France, où un Blanc entrant dans une banlieue récemment "colonisée" court le risque d'être attaqué par les nouveaux venus, simplement en raison de sa race...

17/08/2008

ISRAEL GEORGIE - Saakachvili : son Ministre de la Défense est israélien. Il a été fait Docteur honoris Causa de l’Université de Haïfa

Il y a 4 ans Saakachvili avait été fait Docteur honoris causa de l’Université d’Haïfa. Il avait fait un nouveau voyage en Israël pour participer à l’inauguration de la semaine officielle de l’amitié Géorgiens-Juifs, tenue sous les auspices du Président géorgien, et à laquelle les dirigeants israéliens sont invités d’honneur.

La relation entre le Président de Georgie Saakachvili et Israël est réelle et profonde. Selon ses propres propos : “deux Ministres de mon Gouvernement sont des israéliens”.

En fait ceci est inexact. Le Ministre de la défense de Georgie, Davit Kezerashvili est un israélien qui maîtrise bien l’hébreu. Le ministre d’Etat à la réintégration, M. Yakobashvili est juif mais pas israélien. Il maîtrise couramment l’hébreu.

En 2006, lors de guerre entre Israël et le Liban, en signe d’amitié avec Israël, il était disposé à se rendre en Israël et visiter Haïfa. Il y a quatre ans il avait fait une visite en Israël pour participer à l’inauguration d’un centre de recherche sur les problèmes énergétiques modernes. Le Dr. Brenda Schaffer, directrice du centre, avait dépeint Saakachvili comme le “Nelson Mandela du XXIe siècle”.

De nombreux amis américains du Président sont des juifs. Lors de ses études à l’Ecole de Droit de Columbia en 1994, et pour la préparation d’un diplôme de Doctor of Laws (Docteur en droit) de l’école de droit de l’Université George Washington il a eu l’occasion de rencontrer l’élite juive américaine.

Mikheil Saakachvili est né à Tbilissi, à l’époque située en République socialiste soviétique de Géorgie en Union Soviétique, d’une famille de l’intelligentsia géorgienne. Son père, Nikoloz Saakachvili, est un médecin encore en activité à Tbilissi, qui dirige un centre de balnéothérapie local. Sa mère, Giuli Alasania, est historienne et enseigne à l’Université d’État de Tbilissi.

En 1984, Mikheil Saakashvili est diplômé de l’Ecole secondaire de Tbilissi N°51. Il poursuit ses études en Ukraine et obtient son diplôme de l’Ecole Internationale de Droit de l’Université d’État de Kiev (Ukraine) en 1992. Il travaille brièvement comme chargé de mission pour les droits de l’homme pendant l’intérim du Conseil d’Etat de Géorgie qui suit la démission du Président Zviad Gamsakhourdia, avant de recevoir une bourse du Département d’État des États-Unis (via le programme de partenariat de diplômés du FSA d’Edmund Muskie).

Il reçoit un LL.M. de l’Ecole de Droit de Columbia en 1994, et un diplôme de Doctor of Laws (Docteur en droit) de l’école de droit de l’université George Washington l’année suivante. En 1995, il obtient également un diplôme de l’Institut International des Droits de l’Homme à Strasbourg.

Après son diplôme, alors qu’il travaille à New York dans le cabinet de droit de Patterson Belknap Webb & Tyler, début 1995, Saakachvili est approché par Zourab Jvania, un ancien ami de Géorgie, qui travaille pour le compte du président Edouard Chevardnadze en vue de recruter de jeunes Géorgiens talentueux. Il se présente aux élections de décembre 1995 aux côtés de Jvania, et les deux hommes sont élus au Parlement de Géorgie, au titre de l’Union des citoyens de Géorgie, le parti de Chevardnadze.

Source: http://www.israelvalley.com/news/2008/08/15/19048/israel-...

 

VOIR AUSSI LA VIDEO DU PHILOSOPHE FRANCAIS PIERRE DORTIGUIER SUR LE SUJET (SUR LA TV IRANIENNE PLUS LIBRE QUE L'ESPACE MEDIATIQUE FRANCAIS SUR LA QUESTION DU POUVOIR SIONISTE!):

 http://lecafepoliticien.blogspot.com/2008/08/saakachvili-...

 

 

Ossétie du Sud: le Hezbollah salue l’échec de “l’aventure” américano-israélienne

La crise en Ossétie du Sud est le résultat d’une “aventure” orchestrée par les Etats-Unis et Israël, a estimé jeudi soir à Beyrouth le leader du mouvement islamiste libanais Hezbollah, Hassan Nasrallah.

armée russe en géorgie.jpg“Ce qui se passe en Géorgie est une bonne leçon pour tous ceux qui souhaitent se laisser entraîner par les Etats-Unis dans leurs aventures”, a-t-il estimé dans un discours prononcé à l’occasion du 2e anniversaire de la fin de la guerre israélo-libanaise de 2006, retransmis par la télévision libanaise.

Toutes les actions entreprises par Washington sont “coordonnées avec Israël” et visent en fin de compte à “sauver l’Etat hébreu” et à “garantir ses intérêts”, a poursuivi M. Nasrallah, arguant que l’armée géorgienne était équipée d’armes israéliennes et qu’étaient présents en Géorgie des inspecteurs et des généraux israéliens, qui avaient dirigé l’intervention armée contre le Liban.

Les projets américains visant à “briser la région (du Proche-Orient) pour complaire à Israël” sont “voués à l’échec”, a résumé le leader du Hezbollah.

Publié par Kris Roman

Source: http://eurorus4fr.wordpress.com/2008/08/15/ossetie-du-sud...