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10/11/2009

Massacres d'enfants afghans par les forces de l'OTAN

 

 

L'Otan massacre les civils dans l'indifférence générale

Enfant afghan victime de guerre


Reprise d'article: 24 février 2009

La semaine dernière, la mission des Nations unies en Afghanistan a rendu public un rapport évaluant à 2.118 les civils tués dans des violences en 2008, dont 39% par les forces gouvernementales, en majorité au cours de frappes aériennes.

Il y a 3 jours c'est encore 13 civils qui on périt sous les bombes de l'Otan. Les bavures au cours de bombardements des forces internationales en Afghanistan suscitent régulièrement la colère de la population et des autorités afghanes, en particulier le président Hamid Karzaï.

Les français sont prompts à s'insurger contre les massacres perpétrés par Tsahal à Gaza, mais restent silencieux sur les bavures de l'Otan. C'est une autre histoire quand nos parachutistes, des soldats engagés, tombent au champs d'honneur.

Les mensonges du président Sarkozy qui veut nous faire croire que les chefs de guerre Afghans sont un danger pour notre sécurité, poussent nos soldats dans un bourbier duquel ils ne sortiront pas victorieux. Pour mieux complaire à nos alliés américains, les voilà engagés dans une guerre terrible, une guerre d'invasion dont les civils sont les premières victimes.

Alors que Sarkozy veut accroitre encore l'engagement de la France dans l'Otan, de plus en plus de voix s'élèvent contre ce changement diplomatique aux conséquences dramatiques. Avec
Dominique de Villepin, Alain Juppé, Nicolas Dupond Aignan, c'est des pans entiers de la majorité qui rejoignent le camp de l’opposition à l’entrée dans l’Otan.

Si bien que sur cette affaire d’Otan, on pourrait avoir une sacrée équipe d’opposants à la politique du gouvernement : Aubry, Quiles, Royal, Fabius, Chevènement, Védrine, Bayrou, Villepin, Juppé et Dupont-Aignan entre autres...

Pour Sarkozy, mieux vaut un civil afghan mort qu'un civil afghan intégriste.
Merci monsieur le Président de redonner du prestige à notre vieille nation qui s'était déshonorée en ne participant pas à la guerre contre l'Irak.

Merci de signer cette pétition contre l'engagement français en Afghanistan.

Source: Rimbus

23/03/2009

Gaza: un enfant palestinien utilisé comme bouclier humain par des soldats israéliens, selon un rapport de l'ONU

Des soldats israéliens ont utilisé un petit garçon palestinien de 11 ans comme bouclier humain en janvier dernier lors de l'offensive israélienne dans la Bande de Gaza, selon un rapport publié lundi par les Nations unies.

9a36e1ba-d9d9-11dd-bc0f-2e6ef8a67710.jpgLes forces israéliennes ont ordonné à l'enfant de marcher devant des soldats qui étaient la cible de tirs à Tel al-Hawa, un faubourg de Gaza, et l'ont forcé à les précéder lorsqu'ils pénétraient dans des bâtiments, a rapporté Radhika Coomaraswamy, représentante spéciale du secrétaire général de l'ONU pour les enfants et les conflits armés.

L'enfant a également été obligé d'ouvrir les sacs de Palestiniens, semble-t-il pour protéger les militaires d'éventuels explosifs, avant d'être relâché à l'entrée d'un hôpital, a-t-elle ajouté.

Cet incident survenu le 15 janvier dernier lors d'"opérations intenses" alors que les chars israéliens étaient entrés dans le faubourg de Tel al-Hawa constitue une violation du droit international et du droit israélien, a souligné Mme Coomaraswamy.

Cet incident figure dans un rapport de 43 pages rendu public lundi et fait partie de nombreuses violations avérées des droits de l'Homme perpétrées durant les trois semaines de guerre entre Israël et le Hamas qui ont pris fin le 18 janvier dernier, a-t-elle ajouté. Mme Coomaraswamy a accusé les soldats israéliens d'avoir tiré sur des enfants, d'avoir envoyé des bulldozers sur une maison dans laquelle se trouvaient encore une femme et un enfant et d'avoir bombardé un bâtiment dans lequel ils avaient demandé la veille à des civils de se rassembler.

42de0587d01bcee19988620542cb7112_extras_albumes_0.jpgCe ne sont "que quelques exemples des centaines d'incidents" vérifiés par les responsables des Nations unies qui se trouvaient dans le territoire palestinien, a-t-elle ajouté. "Des violations ont été rapportées chaque jour, elles sont trop nombreuses pour être énumérées", selon Mme Coomaraswamy, qui s'est rendue en Israël et dans la Bande de Gaza pendant cinq jours au mois de février.

Mme Coomaraswamy a ajouté que les Nations unies enquêtaient également sur des allégations selon lesquelles des combattants du Hamas ont utilisé également des boucliers humains ou procédé à des tirs depuis des zones fortement peuplées.

Israël a critiqué le rapport, qui "n'est pas capable ou peut-être ne veut pas" traiter des attaques de roquettes du Hamas depuis la Bande de Gaza ou la menace du terrorisme. "Le rapport prétend examiner les actions d'Israël tout en ignorant délibérément et minimisant les menaces terroristes et autres auxquelles nous faisons face", a déclaré l'ambassadeur israélien Aharon Leshno Yaar devant le Conseil des droits de l'Homme des Nations unies à Genève. AP

Un expert de l'ONU réclame une enquête sur les crimes de guerre commis par l'armée israélienne à Gaza

Un expert de l'ONU réclame une enquête sur l'offensive israélienne contre la bande de Gaza en janvier, en soulignant qu'"il y a des raisons de conclure" qu'elle constitue un "crime de guerre de la plus grande ampleur", dans un rapport dont l'AFP a obtenu une copie.

20081229elpepuint_14.jpgDans ce texte qu'il doit présenter lundi devant le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, le Rapporteur spécial onusien sur la situation dans les Territoires palestiniens, Richard Falk, appelle à une "enquête d'experts" pour déterminer si, étant donné le contexte, il était possible aux Israéliens de distinguer entre cibles militaires et population civile.

"Si ce n'était pas possible, alors l'offensive est par nature illégale et constitue un crime de guerre de la plus grande ampleur", écrit M. Falk.

Il souligne au passage que "sur la base des éléments de preuve actuellement disponible, il y a des raisons d'en arriver à cette conclusion".

Fin décembre, l'armée israélienne avait lancé une offensive de trois semaines à Gaza, qui s'était soldée par la mort de 1.300 Palestiniens, dont une grande majorité de femmes et d'enfants, et la destruction de très nombreuses maisons d'habitations ainsi que d'édifices publics.

M. Falk a été expulsé d'Israël en décembre dernier après avoir été arrêté et incarcéré à son arrivée dans le pays.