Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/09/2015

Ce migrant explique qu’il est syrien et qu’il vient de Damas…

Fdesouche.com

 

I-Media (18 sept 2015): Invasion migratoire et propagande

01:19 - L'invasion migratoire et la rumeur
16:18 - Le zapping d'I-Média
23:20 - Femen, un service d'ordre à la carte
27:38 - Les tweets d'I-Média
31:25 - Les médias contre les dissidents
37:50 - Le bobard de la semaine



http://www.tvlibertes.com/

https://www.facebook.com/tvlibertes

https://twitter.com/tvlofficiel

Les tweets du jour: la fête musulmane de l'Aïd et ses rites sacrificiels

Béziers : quand Robert Ménard va lui-même déloger les migrants syriens de ses HLM

Metro News

Florence Aubenas : « La France doit reconnaître sa part d’arabité »

"C’est vrai que quelque chose est très  frappant en France, c’est que la deuxième  langue  en France c’est l’arabe. Il y a des  millions de personnes qui parlent arabe en  France. Ils parlent arabe comme aux Etats-Unis des millions de personnes parlent  espagnol, et on ne remet pas en cause pour  autant le fait que les Etats-Unis soient  bien les Etats-Unis, que la culture Anglo-Saxonne y reste majoritaire et en France il  y a une part d’arabité qui est due à notre  propre histoire, s’il faut faire parler les  morts, c’est à dire à la manière dont la  France aussi est allé en Algérie, en tout  cas à voulu avoir un empire colonial et qui  est dans l’histoire  et qu’on doit nous  aussi regarder, et je pense qu’il serait  beaucoup plus intéressant en France… il y  avait tout un mouvement pour faire  reconnaître l’arabe comme une des langues  minoritaires en France, bon, ce mouvement  n’a pas été… n’a finalement pas abouti,  mais je pense que c’est vers là qu’il  faudrait aller, c’est à dire reconnaître,  alors, attention bouchez-vous les oreilles  : la France doit reconnaître sa part  d’arabité, comme elle a reconnu, elle  reconnaît, sa part de toutes les cultures  qui l’ont façonnée, des cultures  méditerranéennes qui sont venues d’Espagne  et d’Italie à certains moments, d’Europe de  l’est à d’autres moments, et ça fait partie  de notre pays. Et je pense que c’est là  dessus qu’il faudrait se battre, il  faudrait se battre sur le fait que dans les  lycées et les collèges il y a 16.000 jeunes  gens qui étudient le chinois et 6.000 qui  étudient l’arabe , et il y a quelque chose  là dedans qui ne vas pas, et on ferait  mieux de se battre pour dire : voilà,  apprenons mieux l’arabe, comme on apprend  l’anglais, comme on apprend l’espagnol dans  les lycées, et non pas se battre pour des  prestations hôtelières qui seraient manger  halal, s’habiller comme ci etc. Le vrai  enjeu aujourd’hui, c’est de dire voilà : il  y a des gens qui parlent arabe, c’est une  force pour nous que d’avoir différentes  langues, comme il y a le breton, comme il y  a l’occitan, et moi je trouve ça formidable  et c’est là-dessus qu’il faudrait  s’appuyer, et non pas en faire une  fragilité. C’est une force."

 

Source (A partir de 49:18)

via Fdesouche.com

Israël refuse de dédommager l’église incendiée par des juifs

La demande de dédommagement présentée par l’Église catholique de Terre Sainte à la suite de la destruction partielle de l’église de la multiplication des pains de Tabgha a été rejetée par l’autorité fiscale israélienne, rapporte l’agence vaticane Fides. Le sanctuaire, situé au bord du lac de Tibériade (Israël), avait été visé par un incendie criminel dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 juin.

Le fonctionnaire de l’autorité fiscale israélienne, Amir Cohen, aurait envoyé une lettre aux responsables de l’église de la Multiplication des pains, indiquant que le dommage provoqué par l’incendie ne fait pas partie de ceux pouvant être indemnisés par l’autorité fiscale israélienne.

La législation garantit en effet le dédommagement pour les seuls actes de violences causés par le conflit israélo-arabe. Le caractère terroriste de l’attaque contre le sanctuaire de Tabgha n’aurait ainsi pas été retenu par les bureaux chargés de verser le dédommagement.

« Haine envers le christianisme »

L’incendie de l’église avait été qualifié « d’acte atroce » et « d’attaque contre nous tous » par le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.

En visite sur le site, le 27 août, le président israélien Reuven Rivlin avait, lui, affirmé qu’« Israël est un pays démocratique, qui garantit la liberté de culte pour tous », et que « les communautés chrétiennes doivent pouvoir fleurir en toute sécurité ».

La justice israélienne avait annoncé le 29 juillet avoir inculpé deux Israéliens accusés d’avoir provoqué l’incendie. Les deux hommes, de confession juive, et âgés d’une vingtaine d’années, sont accusés d’avoir mis le feu à l’église « pour des motifs de haine envers le christianisme », avait précisé un communiqué du ministère israélien de la justice.

Cette décision intervient dans un contexte de tensions entre l’État israélien et la communauté chrétienne de Terre sainte, en particulier autour de la construction du mur dans la région de Crémisan et la question des écoles chrétiennes.

Source

via Contre-Info

Marine Le Pen verrait bien Eric Zemmour comme son ministre de la Culture

Si elle accède au pouvoir, la présidente du Front national pense proposer au polémiste de devenir ministre de la Culture.

20/09/2015

La phrase du jour

islam,coran,sexe,femme,chèvre,brebis,sperme,zakir naik,sexualité,musulmans

22 septembre 1609: Expulsion des Morisques d'Espagne

Le 22 septembre 1609, à l'initiative de son ministre et favori le duc de Lerma, le roi d'Espagne Philippe III de Habsbourg signe un décret d'expulsion des Morisques.

Marie Desclaux
 

Le départ des Morisques (gravure d'époque, Vicente Carducho, Musée du Prado)

 

Le triomphe de l'intolérance

Les Morisques sont d'anciens musulmans espagnols qui ont été convertis de force au catholicisme à l'initiative de Ximenez et continuent discrètement de pratiquer leur ancienne religion. Leur nom est dérivé de Moro (ou Maure), habitant de l'Afrique du nord. Ils sont au nombre d'un demi-million (sur une population totale de huit millions d'habitants), très actifs dans l'agriculture et l'artisanat.

Dès avant la publication du décret royal, des troupes armées (les tercios, redoutables fantassins espagnols) prennent position dans les régions à forte concentration musulmane afin de contenir les révoltes.

 Les expulsions vont s'étirer jusqu'en 1614. Les Morisques voient leurs biens confisqués au profit du duc de Lerma et de ses partisans, ou encore de leurs seigneurs. Au moment de leur départ, les autorités poussent parfois le cynisme jusqu'à leur demander de payer leur voyage.

Ils sont chassés dans de pénibles conditions vers les ports d'Afrique du nord, Oran, Tunis... où ils sont plutôt mal accueillis par les habitants du cru. À Oran, ville espagnole jusqu'en 1792, ils sont refoulés par les autorités et massacrés par les Berbères des environs qui les perçoivent comme des envahisseurs.

 

Ces départs forcés ont des conséquences désastreuses pour l'Espagne en privant de bras et de cerveaux son agriculture, son élevage, ses corporations de maçons et son industrie textile.

Dans la région de Valence, où ils sont nombreux et très actifs, les grands propriétaires protestent contre une mesure qui les prive de travailleurs de qualité. On leur attribue en compensation les terres et les maisons des Morisques.

L'expulsion des Morisques suit d'un siècle celle des juifs, chassés d'Espagne en 1492, l'année où Christophe Colomb s'embarqua pour les Indes. Elle illustre la montée de l'intolérance en Espagne au nom de la « limpieza de la sangre » (la pureté du sang).....

Hérodote

 

19/09/2015

Xavier Moreau : Ukraine, pourquoi la France s’est trompée

TV Libertés