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12/03/2015

Histoire - 10 mars 1945: Le bombardement de Tokyo par les Américains a fait au moins 83 000 morts

À partir de novembre 1944, les Américains bombardent intensément l'archipel nippon. Les B29 détruisent les usines et les voies de communication sans épargner les villes.

Dans la nuit du 10 au 11 mars 1945, un tiers de la capitale Tokyo est elle-même détruite dans l'un des pires bombardements de l'Histoire, avec un total de 83.000 morts et 30.000 blessés dont beaucoup décèderont les jours suivants de leurs brûlures (« opération Meetinghouse »). C'est autant qu'à Hiroshima et plus qu'à Nagasaki, cinq mois plus tard.

Selon une technique mise au point contre l'Allemagne, plusieurs centaines de bombardiers déversent en quelques heures 1700 tonnes de bombes explosives et incendiaires. Sous l'effet du vent qui souffle cette nuit-là, les maisons, dont la plupart sont en bois, s'embrasent instantanément. Beaucoup d'habitants meurent carbonisés, parmi lesquels des survivants du terrible tremblement de terre qui avait eu lieu en 1923 !

Tokyo après le bombardement américain du 10 mars 1945

Les Américains ne s'en tiennent pas là. Les autres métropoles, Kôbe, Ôsaka, Nagoya... subissent à peu près le même sort de même que les villes côtières. Au total plus de 430.000 morts dans la population civile japonaise.

Hérodote

11/03/2015

Quand un rapport officiel du CNESCO souligne l’écart de performance entre élèves autochtones « français de souche » et élèves immigrés…

Cliquer sur l'image pour l'agrandir:

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La note du Cnesco a le mérite de la clarté : elle affirme, chiffres en main, « que les résultats scolaires des élèves issus de l’immigration se sont dégradés durant la dernière décennie et que l’écart de performance entre les jeunes autochtones et les immigrés de la seconde génération est supérieur, en France, à celui observé dans les autres pays de l’OCDE » – à ceci près que les élèves issus de l’immigration asiatique ont les mêmes résultats que les « Français de souche« . Les Maghrébins-Africains seraient-ils plus bêtes ? Voilà qui ne va pas arranger, à Alger, les relations déjà tendues entre autochtones et travailleurs chinois. [...]

Le PointRapport du CNESCO du 22 janvier 2015

via Fdesouche.com

Eric Zemmour: « il y a trop d’immigrés, le FN prospère sur cette évidence »

Le Figaro

via Fdesouche.com

10/03/2015

Des ONG manifestent à Bruxelles contre le TTIP avec un cheval de Troie

Euractiv

08/03/2015

Les perturbateurs endocriniens ont un coût faramineux pour la santé de la population européenne: 157 milliards d'euros par an

« 100% de la population européenne a dans l'organisme des traces détectables de perturbateurs endocriniens »

Un agriculteur répand des pesticides dans son champ, à Valmy, près de Lens, en juin 2014.

Obésité, diabète, troubles de la fertilité et neuro-comportementaux : la part de ces maladies et troubles chroniques attribuable aux perturbateurs endocriniens (PE) coûtent chaque année à l’Union européenne plus de 157 milliards d’euros, soit environ 1,23 % du produit intérieur brut (PIB) de l’Union. Frappante, cette estimation est le principal résultat d’une série d’études conduites par une vingtaine de chercheurs américains et européens, à paraître dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism et qui devaient être présentées à San Diego (Californie), jeudi 5 mars, au congrès annuel de l’Endocrine Society – la principale société savante dévolue à l’endocrinologie. Les auteurs, qui ne font pas mystère des marges d’incertitudes inhérentes à ce genre de calculs, placent la fourchette haute de leur estimation à quelque 270 milliards d’euros annuels, soit 2 % du PIB européen.

Les PE sont une catégorie de molécules présentes dans de nombreux pesticides et plastiques, dans certains cosmétiques ou conditionnements alimentaires, et susceptibles d’interférer avec le système hormonal, même à de faibles doses. Aux échelles européennes ou nationales, certains d’entre eux – bisphénol A et phtalates – ont déjà fait l’objet de restrictions ou d’interdiction. Mais la plupart de ces substances ne sont pas régulées en tant que telles, et sont toujours autorisées. Selon l’Endocrine Society, « près de 100 % des gens ont des niveaux détectables de perturbateurs endocriniens dans leur organisme ».

Substances problématiques

Selon les résultats présentés, les substances les plus problématiques sont les pesticides organophosphorés et organochlorés. Les coûts directs (soins, traitements médicaux, etc.) et indirects (perte de productivité, absentéisme, etc.) des troubles et des maladies attribuables à ces substances se montent à quelque 120 milliards d’euros par an en Europe. Les produits utilisés dans les matières plastiques – phtalates et bisphénol A – pèsent pour leur part quelque 26 milliards d’euros. Les retardateurs de flamme bromés, utilisés dans les mousses des canapés ou dans l’électronique, coûtent de leur côté environ 10 milliards d’euros par an.

En considérant le coût pour chaque effet sanitaire lié aux PE, la baisse des capacités cognitives de la population (estimée en perte de points de quotient intellectuel) et les maladies neuro-développementales (troubles du spectre autistiques, hyperactivité et troubles de l’attention) viennent en tête avec un fardeau de 132 milliards d’euros. Viennent ensuite les troubles du métabolisme (obésité et diabète de type 2), qui pèsent quelque 15 milliards d’euros. Les troubles du système reproducteur masculin (malformations génitales à la naissance, infertilité) viennent loin derrière avec un fardeau économique estimé à 4 milliards d’euros.

Si les chiffres annoncés semblent énormes – bien qu’inférieurs au coût du tabac, de l’ordre de 45 milliards d’euros par an pour la France – ils sont en réalité très en dessous de la réalité.

Sous-estimation volontaire

Cette sous-estimation tient à la méthodologie choisie par les chercheurs, qui ont privilégié la solidité scientifique de l’analyse au détriment de son exhaustivité. « D’abord, nous avons identifié les maladies et troubles pour lesquels les niveaux de preuve d’une implication des perturbateurs endocriniens sont les plus élevés et nous nous sommes principalement fondés pour cela sur le rapport de référence publié en 2012 par l’Organisation mondiale de la santé et le Programme des Nations unies pour l’environnement », explique Leonardo Trasande, professeur associé à l’université de New York, premier auteur de ces travaux.

Les chercheurs ont ensuite cherché dans la littérature scientifique les études épidémiologiques susceptibles de chiffrer l’augmentation du risque de contracter ces maladies après tel niveau d’exposition à telle ou telle substance, au cours de telle ou telle période donnée. « Enfin, ajoute M. Trasande, il a fallu rassembler les études permettant d’estimer l’exposition de la population à chaque substance. » De telles études ne sont pas légions. Ainsi, même lorsque les effets biologiques d’un produit sont avérés sur l’animal et l’homme, les chercheurs l’ont exclu de leur analyse en cas d’absence d’études épidémiologiques solides ou de données d’imprégnation de la population...

Un intense lobbying

Les auteurs confessent ainsi n’avoir pu tenir compte que de 5 % de l’ensemble des PE en circulation et « seulement une petite part des maladies liées à ces substances », dit M. Trasande. En particulier, les cancers du sein et de la prostate, en forte augmentation depuis trois décennies et plausiblement favorisés par l’exposition à certains PE, n’ont pas été pris en compte. « Il manque à l’analyse toute une partie sur les troubles liés au système reproducteur féminin, précise la biologiste Barbara Demeneix (CNRS/Muséum national d’histoire naturelle), coauteur d’une part des travaux publiés. Mais nous manquons de données issues d’études suffisamment longues pour estimer l’augmentation des risques de cancer du sein, après des expositions in utero, par le biais des femmes enceintes. »

Pour M. Trasande, « de futures analyses » combleront ces lacunes et, de toute évidence, réhausseront encore l’estimation. Pour l’heure, ces travaux encore préliminaires n’en devraient pas moins être versés au dossier réglementaire en cours d’instruction à la Commission européenne. Celle-ci devait publier en décembre 2013 les critères d’inclusion de ces fameux PE, afin de commencer à les réglementer. Sous le feu d’un intense lobbying, Bruxelles a reporté sine die sa décision, justifiant le retard par le lancement d’une étude sur l’impact économique que la régulation aurait sur les entreprises. La Suède a, depuis, lancé une action en carence contre Bruxelles devant la Cour de justice de l’Union européenne.

Le Monde

Alerte : première application de la directive permettant la ponction des comptes bancaires

Nous avions alerté ici en décembre 2013 à propos de la Directive sur le redressement et la résolution des crises bancaires (BRRD pour Bank Recovery and Resolution Directive). Ce texte européen inscrit dans la loi ce qui s’est produit à Chypre en avril 2013, on s’en rappelle : le système bancaire en faillite s’était renfloué en sollicitant les actionnaires et les détenteurs d’obligations – rien de plus normal – mais aussi en ponctionnant les déposants avec la confiscation des comptes de plus de 100.000 euros. Il s’agit là d’un vol pur et simple, une remise en cause du droit de propriété. Et si le plancher de 100.000 euros peut rassurer la plupart des épargnants, il s’agit pourtant d’une illusion qui pourrait s’évanouir devant l’ampleur des pertes : Chypre à l’époque avait bénéficié de 10 milliards d’euros d’aide de l’UE et du FMI (soit les deux tiers de son PIB), mais qui pourrait verser une somme équivalente à un grand pays comme l’Espagne, l’Italie ou la France s’il connaissait une crise comparable ?

L’épisode chypriote a servi de répétition générale et désormais tous les pays européens peuvent recourir à cette méthode. La transposition de la directive dans les droits nationaux doit intervenir au 1er janvier 2016 au plus tard, mais l’Autriche a devancé cette date car, justement, une de ses banques connait de graves difficultés. [...]

Lire la suite de l'article sur Contre Info

07/03/2015

Apartheid : «Suis-je encore libre de choisir mon lieu d’habitation?», la réponse de Christophe Barbier

Extrait Cdanslair – France 5 – 6 mars 2015

 

L’émission dans son intégralité :

via Fdesouche.com

Vidéo en lien:

 

 

06/03/2015

Un clandestin « Meilleur apprenti de France » pour la quatrième fois en cinq ans : de l'idéologie à la discrimination "positive"

Communiqué de presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

Pour la quatrième fois en cinq ans, le prix de « Meilleur apprenti de France » a été décerné sous les ors du Palais du Luxembourg à un clandestin. Ce dernier avait même fait l’objet, en octobre, d’une obligation de quitter le territoire français. Cette remise de médaille a donc été évidemment l’occasion de ressasser la formule éculée selon laquelle l’immigration serait une chance pour la France et les étrangers entrés illégalement sur le territoire national des atouts précieux pour la République.

Sans préjuger des qualités professionnelles de ce jeune clandestin albanais, dont il pourrait d’ailleurs faire profiter son pays, on peut tout de même s’étonner de cette étrange propension à récompenser des immigrés illégaux. Il semble évident qu’il s’agit bien d’un choix fortement connoté idéologiquement et mettant en œuvre la fameuse « discrimination positive » chère à bon nombre de responsables de l’UMP et du PS.

Il semble étrange que des gens se prétendant à tout bout de champ républicains récompensent ainsi la violation de nos lois (à travers l’entrée et le maintien illégalement sur notre territoire) et établissent une distinction manifeste en fonction des origines. Car cette « discrimination positive » envers les uns signifie forcément une discrimination négative envers les autres : n’y avait-il donc personne pour mériter ce prix parmi les centaines de milliers de jeunes français en apprentissage ?

Front National

 

La racaille suit les conseils de la classe politique

Communiqué de Presse du Front National

Les appels à la haine et à la violence contre le Front National se multiplient de la part des plus hauts responsables politiques et évidemment portent leurs fruits : ce mardi 3 mars à 23H, Romain Lamalle-Gauthe et Herminia Domingues, candidats du Front National sur le canton de Savigny Le Temple en Seine-et-Marne, collaient des affiches « Front National premier parti de France » sur des panneaux d’expression libre lorsque Romain Lamalle-Gauthe a été violemment agressé par un voyou se réclamant du parti socialiste : « Seul le PS et l’UMP peuvent coller des affiches et certainement pas le FN », a-t-il hurlé. Ensuite cette racaille a attrapé le candidat à la gorge en répétant « je vais te tuer, je te jure, tu vas mourir » et l’a frappé violemment plusieurs fois. Romain Lamalle-Gauthe s’est vu délivrer plusieurs jours d’incapacité.

Arrêté quelques temps après, l’agresseur s’est vu notifier par le Procureur de la république qu’il ne serait jugé qu’en octobre… Ainsi, au scandale de l’agression, s’ajoute le scandale du traitement judiciaire : clairement, si c’était le candidat du FN qui avait commis ces délits, la réaction des autorités aurait été autrement brutale ; là encore, le « deux-poids, deux-mesures » est flagrant ! Quant au traitement médiatique, il est proche de zéro. Il est manifeste toutefois que, si Romain Lamalle-Gauthe avait frappé un membre du parti socialiste, tout le gouvernement serait descendu dans la rue…

Romain Lamalle-Gauthe est un garçon courageux : il a déclaré que cette agression traumatisante ne le faisait en aucun cas renoncer à l’élection et qu’il ne se laissera pas intimider par des actes de brutalité. Le Front National dénonce le climat d’animosité entretenu par les responsables politiques, il est évidemment solidaire de son candidat et fera en sorte que lui et tous ses candidats puissent, en sécurité, conduire leurs campagnes.

Front National

 

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Konk

 

L’Elysée a fait pression sur France Télévisions pour acheter le film d’Arcady le jour du dîner du CRIF

Quelques heures avant le dîner du Crif, l’Élysée a exercé une pression sur France Télévisions afin que le groupe audiovisuel public achete et diffuse le film 24 jours d’Alexandre Arcady.

Panamza

via Fdesouche.com