31/03/2015
7% d’étrangers au sein de la population italienne, 31% des délits
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Ardisson défend la rue de Rivoli : « les kébabs, c’est mieux à Barbès »
Soucieux de placer les bailleurs devant leurs responsabilités, Ardisson a retrouvé un décret du 23 décembre 1852 interdisant notamment l’installation rue de Rivoli d’artisans « dont l’état nécessite l’usage d’un four ». Texte dont il réclame l’application pour faire fermer les établissements de restauration à emporter utilisant des micro-ondes ! « Si on ne fait rien, ce sera kebabs et tours Eiffel de la place de la Concorde jusqu’au Louvre », s’indigne l’animateur.
via Fdesouche.com
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La Cour de justice de l'UE dénonce l'aide sociale automatique aux migrants
Les citoyens européens ne devraient avoir accès à l'aide sociale que s’ils ont travaillé dans l'État membre où ils la demandent, selon l'avocat général de la CJUE. Une position qui ravit le Royaume-Uni.
Selon l’avis rendu par Melchior Wathelet, avocat général de la Cour de justice européenne (CJUE), le 26 mars dernier, les citoyens européens qui arrivent dans un pays de l’UE sans chercher à trouver un emploi, ou qui viennent d’arriver et sont à la recherche d’un emploi, peuvent être exclus des régimes d’aide sociale.
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29/03/2015
Racisme anti-blanc - Tranche de vie à Saint-Louis (Etats-Unis)
Saint-Louis (Missouri). La victime, un homme de 43 ans, rentrait chez lui quand un jeune homme avec un t-shirt rouge l’a abordé. L’homme en rouge lui a demandé s’il pouvait utiliser son téléphone portable. La victime a refusé, le jeune s’est assis derrière lui.
« Il m’a demandé mon avis sur l’affaire Mike Brown, j’ai répondu que j’étais trop fatigué à ce moment de la journée pour y penser. »
Le jeune homme d’une vingtaine d’années s’est alors levé et a frappé l’homme au visage.
Metrolink de Saint Louis (Missouri)
via Fdesouche.com
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Béziers : 2 ans ferme pour l’octogénaire ayant tiré au fusil sur trois jeunes rentrés dans sa propriété
Un des trois jeunes avait reçu, ce 16 mars 2011, quelques projectiles dans le dos, le cou, la face et les jambes. Le prévenu a été condamné à deux ans de prison ferme.
L’octogénaire, en proie aux tremblements de sa maladie de Parkinson, arrive à la barre de la présidente Claire Ougier. Il doit répondre de faits de violence aggravée. Il faut l’avouer, les faits sont durs à croire tant ce prévenu à du mal à rester debout. Il a été condamné à deux ans de prison. « Une peine sévère, insiste la présidente Claire Ougier car le tribunal est inquiet de ce qui peut encore arriver et que rien ne justifie de tirer sur quelqu’un avec une arme à feu. » Les victimes de l’octogénaire, trois jeunes, dont un est absent, ont, le 16 mars 2011, essuyé les tirs au fusil.
« Je venais de passer une nuit entière sans dormir, explique non sans mal le prévenu. L’eau montait dans ma propriété alors que la rivière était en crue. J’ai pensé que ces jeunes, qui étaient chez moi étaient en train de me voler. (Le mis en cause, qui vit dans une maison isolée a été victime de plusieurs cambriolages, NDLR). Alors j’ai pris le fusil, je l’ai chargé avec des cartouches en plastique et j’ai tiré, en l’air, puis à l’horizontale. Je suis un ancien travailleur social, je ne suis pas raciste, je ne les ai pas visés. »
Mais l’homme se dit daltonien. Et pensant prendre des cartouches avec des billes de caoutchouc, il s’est emparé de billes de plomb. Un des trois jeunes a reçu quelques projectiles dans le dos, le cou, la face et les jambes. Les deux autres en ont été quitte pour une belle frayeur. La victime la plus touchée assure : « Je ne vis plus depuis les faits. J’ai des plombs dans tout le corps. Je fais aussi des cauchemars. » Une autre qui l’accompagne est bien plus énervée. Il ne tient pas en place. « Il vous a raconté n’importe quoi. Il a voulu nous tuer. Nous, on est des gens honnêtes. » [...]
Me Josy-Jean Bousquet pour le prévenu insiste : "Ils étaient venus le voler, même s'ils insistent pour le démentir. Ils n'avaient rien à faire chez lui. [...]"
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Départementales 2015 : carte des agressions contre les candidats et militants FN
Cliquez sur les repères pour plus d’informations.
11:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
28/03/2015
Le tweet du jour
Faire le djihad en #Syrie tout en continuant à toucher des prestations sociales. Aucun problème pour #Cazeneuve ? pic.twitter.com/fndoEzWchH
— Fabrice Robert (@_fabricerobert) 22 Mars 2015
22:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Les Etats-Unis ont menacé l'Allemagne de sanctions si elle accueillait Edward Snowden
Les Etats-Unis ont menacé de suspendre leur collaboration avec les services allemands en matière d'antiterrorisme si le pays accueillait le lanceur d'alerte Edward Snowden, révèle Glenn Greenwald, auteur des premiers articles sur le système de surveillance de masse de la NSA.
D'après M. Greenwald, le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel, lui a expliqué que son gouvernement avait reçu un avertissement très clair de la part des Etats-Unis : en cas d'accueil d'Edward Snowden, « ils nous ont dit qu'ils cesseraient de nous alerter sur les menaces d'attentats qu'ils détectaient », a dit Sigmar Gabriel.
En Allemagne, où les documents Snowden ont notamment révélé le fait que le téléphone portable de la chancelière Merkel avait été mis sur écoute par les services américains, un mouvement en faveur de l'asile pour le lanceur d'alerte a donné lieu à plusieurs manifestations. Edward Snowden est toujours en Russie, où il bénéficie pour la deuxième année consécutive d'un permis de séjour. Les pays européens avaient tous refusé de l'accueillir. Après avoir passé près d'un mois dans l'aéroport de Moscou, Edward Snowden, a finalement obtenu l'autorisation de rester en Russie.
Le Monde22:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Les Papous minoritaires en Papouasie
Le président indonésien Joko Widodo, investi en octobre 2014, a été présenté comme un homme d’ouverture, un sentiment renforcé par la libération de deux journalistes français arrêtés en Papouasie. Mais leur accompagnateur papou, lui, risque la prison à vie, et son avocate est menacée de mort. Plus encourageante est la volonté de concorde entre les indépendantistes papous pour dénoncer les massacres.
par Philippe Pataud Célérier, février 2015
Cette région indonésienne a plusieurs noms employés indifféremment : Nouvelle-Guinée occidentale, Papouasie et Papouasie occidentale. Ces deux derniers servent aussi à désigner les provinces administratives.
Mains chaleureuses et figure avenante, M. Mote ne cache pas son désarroi en foulant le sol parisien pour rencontrer des organisations non gouvernementales (ONG) françaises : « En empoisonnant John Haluk, on me coupe les deux jambes. » L’homme n’était pas seulement son ami, il était aussi le soutien financier des principaux dirigeants papous réfugiés à l’étranger. « C’est grâce à lui que je pouvais mener ma mission : dénoncer toutes les exactions commises sur les populations par la police et les militaires indonésiens ; informer les médias sur ce génocide qui ronge la Papouasie depuis plus de cinquante ans. »
Génocide ? « En Papouasie, colonisée depuis 1969, les Papous sont aujourd’hui minoritaires sur leurs terres natales. Ils devraient représenter moins de 15 % de la population en 2030, contre 96 % en 1971 », précise M. Mote, ancien journaliste au Kompas.
Au sein du plus grand média indonésien de presse écrite, il pouvait parler de tout, sauf de la Papouasie, dont il était pourtant le responsable de bureau. Il a fallu attendre la chute de Suharto — et avec elle la fin de trente années de dictature (1967-1998) particulièrement sanglantes — pour que les Papous commencent enfin à espérer.
22:07 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Etats-Unis: les Appalaches décapitées par les marchands de charbon
Malgré le boom du pétrole et du gaz de schiste, le charbon demeure la principale source d’énergie aux Etats-Unis. Pour en accroître la production, les compagnies minières privilégient désormais l’exploitation à ciel ouvert en arasant les sommets à l’explosif. Ce procédé, très utilisé dans les Appalaches, a des conséquences environnementales désastreuses.
par Maxime Robin, février 2015
L’après-midi du 5 avril 2010, une puissante boule de feu se propage dans les galeries de l’Upper Big Branch, une mine de charbon de la Coal River Valley, en Virginie-Occidentale. Des dizaines d’hommes sont pris au piège. Tandis que les camions-satellites de Cable News Network (CNN) sont dépêchés, le président Barack Obama intervient à la télévision. Cette vallée encaissée, jalonnée de villages quasi fantômes, où l’eau du robinet a l’odeur du diesel, devient le cœur du cyclone médiatique américain. Le macabre suspense prend fin au bout de quelques jours : le bilan définitif s’établit à vingt-neuf morts.
Deux stèles ont été construites à la mémoire des disparus. L’une, taillée dans le granit, représente vingt-neuf silhouettes se donnant l’accolade. Financée par l’industrie, elle est dédiée à « tous les mineurs blessés, malades, ou morts au travail ». L’autre mémorial, moins ostentatoire, est visible sur le lieu même du drame : vingt-neuf casques et autant de couronnes de fleurs. Sur le sol, un message tracé à la craie par un habitant, comme un cri : « Dieu bénisse le charbon. »
Quatre ans et demi ont passé depuis l’explosion. Le 20 novembre 2014, M. Donald Leon Blankenship, qui de 1989 à 2010 dirigea Massey Energy — la plus grande compagnie minière des Appalaches —, assiste à l’audience préliminaire de son procès à la cour criminelle de Beckley. Une enquête fédérale l’accuse d’être directement responsable de la tragédie, par négligence et appât du gain. Pour économiser de l’argent, les boyaux de la mine n’étaient pas ventilés. En cas de visites-surprises d’inspecteurs, un code avait été mis en place entre les mineurs pour dissimuler les infractions. Selon l’enquête, l’alerte était donnée par le gardien de la porte d’entrée aux contremaîtres en surface. Prévenus par téléphone, les mineurs suspendaient alors la production et bricolaient en toute hâte un pseudo-système de ventilation. « On avait une heure et quart pour se mettre aux normes », a expliqué un ancien de la mine à la radio publique américaine (...)
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