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« … Le rugby ne fait pas tout pour, parce qu’on a beaucoup trop d’étrangers dans le championnat, ce qui fait que les jeunes ne peuvent pas monter … » Patrick Sébastien
ALIMENTATION - Une étude menée sur douze produits de consommation quotidienne a montré la présence d’insecticides...
Des pesticides dans vos nouilles. Selon une étude de l'association Générations futures révélée ce mercredi, des traces d'insecticides perturbateurs endocriniens ont été détectées dans plusieurs produits à base de blé: pâtes, biscuits, céréales, brioches…
L'ONG a fait procéder par un laboratoire à des tests sur douze produits de consommation quotidienne, achetés en grande surface. Les analyses ont montré que 75% des échantillons testés «contiennent des résidus de pesticides» -sans dépassement de la limite maximale autorisée- et «sur ces 75%, tous contiennent une ou plusieurs substances, organophosphorées ou pyrethrinoides, suspectées d'être perturbatrices du système endocrinien».
Lotions anti-poux et colliers anti-tiques
L'ONG a par ailleurs trouvé des insecticides contenant des perturbateurs endocriniens dans des lotions anti-poux ou encore des colliers anti-tiques pour chiens.
«Il est urgent d'agir dès aujourd'hui pour réduire au maximum l'exposition du public à ces substances perturbateurs endocriniens», estime l'association, qui va remettre son étude notamment aux ministères concernés.
Les perturbateurs endocriniens ont un impact sur le système hormonal. Les fœtus et les jeunes enfants sont particulièrement menacés par ces substances. C'est pourquoi le bisphénol A, composant que l'on retrouvait notamment dans les biberons, a été récemment interdit en France.
Un groupe d’une vingtaine de Chinois agressés en France, leur guide plaqué à terre et frappé
« Je partais ravi pour un tour dans six pays d’Europe avec un groupe d’une vingtaine de personnes mais c’est choqué que je rentre à la maison aujourd’hui. Premier jour, première étape, la France. De CDG nous partons directement dîner dans un restaurant chinois. A notre sortie, nous sommes agressés violemment par une bande de Noirs. Trois sacs à mains sont volés et plusieurs personnes légèrement blessées, certaines en sang. »
Suivie en direct par des milliers d’internautes, la IVe cérémonie des Bobards d’Or organisée par la Fondation Polémia a eu lieu mardi 19 mars 2013, en présence de 250 personnes qui ont attribué les prix suivants :
Bobard d’Or : Philippe Manière (« C dans l’air », France 3) pour le bobard professoral, pour avoir osé affirmer de manière péremptoire : « Nos flux migratoires en France sont extrêmement ténus » alors qu’il entre en France de l’ordre de 200 000 étrangers supplémentaires par an.
Bobard d’Argent : Serge Le Luyer (Ouest France, Le Monde) pour le bobard d’état civil : comment transformer le nom du meurtrier d’un collégien, de Souleymane en Vladimir ? Ou l’art de faire d’une pierre deux coups : on cache l’origine musulmane du meurtrier, on diabolise le prénom du « méchant » président Poutine.
Bobard de Bronze : Jean-Jacques Bourdin (RMC), pour le bobard par immigrophilie : comment faire croire qu’il y avait moins d’immigration en 2012 qu’en 1931 ? En mentant purement et simplement, en donnant des chiffres bidons pour 2012 : 5,8% d’immigrés au lieu de 8,4% (source INSEE) ; en prétendant qu’il y avait deux fois plus d’Italiens en 1931 que d’Algériens en 2012 alors que leur nombre est équivalent et que l’assimilation des uns et des autres n’est pas comparable.
Prix spécial du jury : un Mouton d’Or attribué à l’ensemble des médias pour le bobard total, à l’occasion de l’affaire du terroriste islamiste d’origine algérienne Mohamed Merah : présenté avant sa découverte par la police comme « blanc, blond, aux yeux bleus », puis après sa neutralisation comme un « Français de Toulouse, un gentil garçon, au visage d’ange ».
Enfin, hors concours, une muselière d’or a été attribuée à Patrick Cohen, patron de la matinale de France Inter, qui a répondu « non » à la question « on a le droit de penser ce qu’on veut ? » Avant de préciser : « on a le droit de penser ce qu’on veut dans les limites de la loi. » Phrase orwellienne, s’il en est.
Voici le discours d’ouverture de Jean-Yves Le Gallou : Douze thèses sur la désinformation médiatique :
1- Dans l’absolu, il n’y a pas d’information. Une information, c’est un fait que les médias décident de porter à la connaissance de leur public en le présentant sous un certain angle. Le même type de fait peut être caché ou, au contraire, présenté en « une ». Le même acte peut être excusé ou criminalisé. La désinformation vient du biais répété dans la sélection des faits et la manière dont ils sont anglés.
2- Tout fait, avant d’arriver à la connaissance du public, est filtré par les médias. C’est-à-dire par ceux qui les font (les éditocrates et les journalistes), ceux qui les possèdent (les patrons de presse), ceux qui les payent (les agences de publicité et de communication).
3- Les journalistes travaillent en troupeau. Le mimétisme est leur règle. Ils se copient/collent beaucoup. Et copient/collent beaucoup l’AFP, source unique, source inique. Leur règle, c’est le moutonnisme : ils bêlent ensemble.
4- Les orientations politiques des journalistessont très décalées par rapport à celles des Français : à l’élection présidentielle de 2012, près de 40% des journalistes (et élèves journalistes) ont marqué leur préférence pour l’extrême gauche (et les écologistes), près de 40% pour les socialistes, le reliquat se partageant entre Bayrou et Sarkozy.
5- Les journalistes s’identifient au camp du bien : leur critère d’interprétation est moins de distinguer le vrai du faux que le bien du mal. La moraline coule à flots dans les salles de rédaction.
6- Les patrons de presse cherchent moins à gagner de l’argent qu’à acquérir de l’influence. Les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales. Rothschild à Libération, Lazard au Monde, Le Crédit mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1 et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-Match, Télé 7 jours, Elle, Europe 1, etc.). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.
7- Les médias vivent de l’argent de la publicité. Celle-ci arrive, via les agences communication, de quatre grands secteurs économiques : la banque et l’assurance, les grandes surfaces commerciales, la pharmacie, le luxe. Là aussi tous ont partie lié à la finance et à la mondialisation.
8-Les préjugés et les intérêts des propriétaires, des publicitaires et des journalistes se confortent plus qu’ils ne s’opposent : tous militent pour un monde plus « liquide », sans frontières et bousculant les traditions et les nations. Nous ne sommes plus dirigés par le sabre et le goupillon mais par la sainte alliance du capital financier et du gauchisme de salles de rédaction.
9-La présentation des événements par les médias de l’oligarchie s’inscrit à l’intérieur d’une seule grille idéologique, celle du politiquement correct. La pensée est enfermée dans un carré carcéral reposant sur quatre postulats : le mondialisme, l’antiracisme, la rupture des traditions et la criminalisation de la mémoire française et européenne.
10- Les techniques de désinformation sont multiples : occultation de certains faits, répétition à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants », novlangue (selon la logique de 1984 de George Orwell) et, bien sûr, le bel et bon bobard.
11- C’est ainsi qu’une véritable tyrannie médiatique s’est mise en place et impose ses règles : aux journalistes eux-mêmes (qui traquent les dissidents comme Zemmour, Ménard ou Taddei) ; aux administrations ; aux éditeurs (chasse à l’homme visant Renaud Camus ou Richard Millet), aux hommes politiques devenus des médiagogues (des hommes ou des femmes qui flattent les médias).
12- Mais il y a une bonne nouvelle : tout cela est fini ou en train de finir. Le mur des médias tombera comme le Mur de Berlin est tombé. Les médias de l’oligarchie sont de plus en plus totalitaires mais ils perdent de leur puissance. Car ils sont concurrencés par les médias alternatifs sur Internet. Sites, blogs, forums, réseaux sociaux permettent aujourd’hui de se faire une opinion indépendamment des médias de l’oligarchie. Brimée dans les médias classiques, la liberté revient par la fenêtre des médias numériques. Aujourd’hui les médias de l’oligarchie ont perdu leur monopole et les journalistes ne sont plus intouchables.
Est-il possible que votre ascendance, appartenance religieuse ou nationalité détermine votre intellect? En tout cas, l’étude réalisée par la très sérieuse Université de Cambridge risque de faire jaser autant les Juifs ashkénazes que ceux qui les haïssent. Appelée « De la chance au choix: génétique et Justice », on y apprend par exemple que « les Juifs ashkénazes ont un QI médian de 117 ». C’est 10 points de plus que le QI moyen des « personnes du nord de l’Asie » (classés seconds) et 20% de plus que la moyenne de la population mondiale.
Avant d’aller plus loin, notons que d’autres études montrent que les Juifs ashkénazes ont des QI un peu moins élevés que 117, mais restent toujours devant tous les autres groupes de population.
Une observation intéressante que l’étude souligne que les scores pour le test visuo-spatial sont particulièrement faibles, et les scores ipso-facto en mathématiques et en langue sont étonnants.
Et ce n’est pas pour vanter ces Juifs venus d’Europe de l’est, mais selon USA Today, « les Juifs ashkénazes représentent 2,2% de la population américaine, mais 30% du corps professoral des collèges d’élite, 21% des étudiants de l’Ivy League, 25% des lauréats du Prix Turing, 23 % des Américains les plus riches, et 38% des réalisateurs oscarisés ».
Selon l’Institut pour l’éthique et les technologies émergentes, « Depuis 1950, 29% des bourses d’Oslo sont allés à des Ashkénazes, même s’ils ne représentent que 0,25% de l’humanité. Les réalisations ashkénaze dans ce domaine sont 117 fois supérieures à leur population ».
Une étude qui devrait raviver les jalousies antisémites. Mais qui explique parfaitement une chose : ce n’est pas pour rien si en 6 décennies, l’État d’Israël est devenu une si grande puissance intellectuelle et économique.
Jean-Yves le Gallou est l’organisateur de cette cérémonie qui prime les professionnels du bobard. Il s’intéresse de très près à la question de la désinformation et vient d’écrire à ce sujet La tyrannie médiatique aux éditions Via Romana. Nous avons donc interrogé le papa des Bobards qui a bien voulu nous répondre sans langue de bois.
Les Bobards d’Or en sont à leur quatrième édition. Cela devient un rendez-vous incontournable !
Oui, c’est une cérémonie très importante dans ce monde médiatique où les journalistes souhaitent être primés. C’est la récompense des bobards les plus extraordinaires.
Sur l’affiche, nous voyons quelques figures. De qui s’agit-il ?
Ce sont des anciens lauréats mêlés à de nouveaux. Nous avons cette année une figure de premier plan, Philippe Manière, qui concourt pour le bobard « immigrophile ».
Votre positionnement, c’est le fameux « parti d’en rire », si cher à Pierre Dac et Francis Blanche ?
On peut dire aussi que c’est le principe de « corriger les mœurs en riant » qu’on retrouve chez les auteurs antiques et classiques. Un principe qui permet de décrire la manière réelle dont les journalistes autorisés exercent leur métier en s’éloignant de la vérité. On l’a vu par exemple avec les chiffres minorés de la manifestation contre le mariage gay, et ceux majorés de la manifestation adverse, ceci pour relativiser cette belle insurrection des familles. L’AFP est l’autorité et la source par laquelle les médias font le plein de bobards, de la presse nationale à la presse régionale. Vous avez TF1 et France 2 qui ont décrit le tueur au scooter comme « un homme blanc aux yeux bleus » malgré le casque qu’il portait. Et puis, une fois Mohamed Merah démasqué, on l’a présenté comme «un gentil garçon».
Avez-vous eu des réactions de nominés ?
Claude Askolovitch a eu ce cri du cœur : « La liberté d’expression, on s’en fout ! ». Il avait bien mérité sa récompense ! Cette fois, il a eu le mérite de la franchise.
Les Bobards d’Or ont-ils de beaux jours devant eux ?
Ils ont pour objectif de faire tomber le mur de la désinformation comme est tombé le mur de Berlin. Après, les Bobards n’auront plus de raison d’être. Mais nous ne sommes pas seuls à remettre l’information à l’endroit. Il y a des sites et blogs tels Polémia, Nouvelles de France, Novopress et François de Souche, qui sont nos partenaires et bien d’autres encore. Il ne faut plus qu’on ait jamais ce type de réflexion : « C’est vrai, je l’ai vu à la télé ! »
Karim Benzema sera dans Luis Attaque ce mardi sur RMC (16-18h). Extraits:
« Je ne l’ai jamais chantée, explique l’attaquant du Real Madrid. Et ce n’est pas parce que je vais la chanter que je vais mettre un triplé derrière. Si je ne chante pas La Marseillaise, que le match commence, que je mets trois buts, je pense qu’on ne va pas dire à la fin du match que je n’ai pas chanté La Marseillaise. C’est ça le souci, c’est parce que ça fait un moment que je n’ai pas marqué en équipe de France. Ça n’a rien à voir avec ce que j’ai entendu, comme quoi je n’aime pas l’équipe de France. Il faut se calmer. J’aime bien l’équipe de France. »
Une vingtaine de "jeunes" ont attaqué une rame du RER D à la gare de Grigny-Centre pour détrousser les passagers. Une dizaines de personnes ont été agressées.
Une attaque exceptionnelle. Samedi vers 22H00, entre 20 et 30 personnes ont attaqué une rame du RER D stationné en gare de Grigny-Centre. Ils sont entrés dans le train et s'en sont pris aux gens qui s'y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière.
Une dizaine de personnes ont été agressées. "J'étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais", a déclaré un jeune homme sous couvert d'anonymat.
"Cela ressemble à une attaque de diligence"
Après avoir tiré le signal d'alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué "le plus de monde possible", a-t-il expliqué. "Moi j'ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m'ont pris mon argent. C'était rapide, violent et cela avait l'air très organisé", a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.
"Cela ressemble à une attaque de diligence de l'époque moderne", a estimé la source policière.