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04/10/2012

Pour Le Pen, une organisation juive (le B'nai B'rith) a empêché les alliances droite-FN

bp-jmlp.jpgJean-Marie Le Pen suggère que "c'est le B'nai B'rith", une organisation maçonnique juive, "qui aurait imposé" un "pacte" au sein de la droite pour ne jamais s'allier au FN, dans un entretien accordé à Minute.

L'interview de Jean-Marie Le Pen que doit publier demain mercredi Minute a été réalisée à l'occasion des 40 ans du FN.

A travers cet entretien, le président d'honneur du Front national, aujourd'hui âgé de 84 ans, revient sur les raisons qui, selon lui, ont empêché une alliance entre la droite et le FN. "Les chefs de la droite molle ont, je crois, signé un pacte dans lequel ils s'engageaient à ne jamais s'unir avec le Front national. Il se dit que c'est le B'nai B'rith, une sorte de franc-maçonnerie juive, qui aurait imposé cette clause", avance l'ancien patron du parti d'extrême droite. "D'ailleurs, je crois que certains représentants de l'ancien RPR se sont vantés de ce pacte qu'aurait notamment signé l'abominable Chirac", ajoute-t-il.

 Jean-Marie Le Pen avait déjà tenu de tels propos en 1997, dans un livre des journalistes Nicolas Domenach et Maurice Szafran sur Jacques Chirac (Le roman d'un président, Plon). Il affirmait alors : "Chirac et le RPR ont pris un engagement devant le B'nai B'rith et d'autres organisations étrangères : pas d'alliance, jamais, avec le Front national. Même si on a besoin de lui pour former la majorité". Présent dans le monde entier, le B'nai B'rith est l'une des plus anciennes organisations représentant la communauté juive. En France, il réunit plus de 60 "loges".

"Je n'ai pas assisté à la rencontre"

Interrogé mercredi par l'AFP, Jean-Marie Le Pen a affirmé que ces propos ne sont "pas un scoop", en ajoutant : "je n'ai pas assisté à la rencontre, je n'ai pas été témoin" mais "c'est ce qui s'est dit". "C'est quand même une explication plausible. Ça fait vingt ans que je somme le RPR et l'UMP de dire pourquoi ils sont contre le Front national, ils n'ont jamais répondu (...) En tout cas, ça n'a pas été démenti", a-t-il ajouté.

 

Source: http://lci.tf1.fr/politique/pour-le-pen-une-organisation-juive-a-empeche-les-alliances-droite-7565073.html

 

Pour rappel, le 26 mars 1986, le journal Le Monde révéla que le B'naï B'rith France a organisé des réunions avec des politiciens français de droite où ceux-ci s'engagèrent à ne passer aucune alliance avec le Front national (Le Monde, 26 mars 1986, Inquiétude dans la communauté juive) :

 cliquer sur l'image pour l'agrandir

bbrithmars86.jpg

 

Source: Christroi

03/10/2012

7 octobre 1571: la flotte turque est détruite par l'armée chrétienne lors de la bataille de Lépante

Le 7 octobre 1571, la flotte du sultan ottoman est anéantie dans le golfe de Lépante, en Grèce.

La bataille de Lépante (détail), par Giorgio Vasari (Sala Regia, Vatican)

Victoire totale

C'est le point d'orgue d'une croisade organisée par le pape en vue de libérer Chypre que le sultan Sélim II venait de conquérir.

La bataille met aux prises 213 galères espagnoles et vénitiennes et quelques 300 vaisseaux turcs. Cent mille hommes combattent dans chaque camp. Les chrétiens remportent une victoire complète.

Presque toutes les galères ennemies sont prises. L'amiral turc est fait prisonnier et décapité et 15.000 captifs chrétiens sont libérés.

Le héros de la journée est le prince Don Juan d'Autriche (26 ans), qui commande la flotte chrétienne. Il n'est autre que le bâtard de feu l'empereur Charles-Quint et le demi-frère du roi Philippe II d'Espagne.

Retentissement de Lépante

Lépante a un immense retentissement en Europe car elle libère les Occidentaux de la peur des Turcs.

La bataille permet aussi au roi d'Espagne de se poser en champion de la Contre-Réforme catholique.

Pour Venise, cependant, Lépante a le goût amer d'une victoire à la Pyrrhus. Ruinée par l'effort de guerre et la suspension de son commerce avec l'Orient ottoman, la République se détache de ses alliés et négocie avec les Turcs.

À ceux-ci, elle reconnaît la possession de Chypre, qui avait été pourtant son but de guerre, en échange de la reprise de son commerce.

Notons qu'un jeune soldat espagnol nommé Cervantès perd la main gauche pendant la bataille de Lépante («pour la gloire de la droite», dira-t-il plus tard)... Ne pouvant plus se battre, il écrira faute de mieux les aventures de Don Quichotte ;-)


Source: Hérodote

Marche "blanche" à Echirolles

 

Echirolles, une marche blanche, des T-shirts à l’effigie des deux victimes, lâcher de colombes, et tout le monde qui se regarde en disant « pourquoi? » alors que tout ça était tout bonnement prévisible.

Faillite de l’inéducation nationale, pression démographique étrangère terriblement concentrée à cet endroit depuis plus de trente ans, et il y en a encore qui s’étonnent.

La boucle est bouclée, les colons commencent à s’entretuer, autant dire que dans ce quartier les blancs se sont fait la malle depuis longtemps; je suis mauvaise langue? Et bien regardez de nouveau la vidéo, et tracez une croix pour un européen de souche et un trait pour un colon africain ( du nord, du sud, de l’est ou de l’ouest): faites le compte et surtout ne dites rien! Car si vous en êtes réduit à suivre cette instruction pour vous rendre compte c’est qu’il est déjà trop tard.

Les marches blanches d’aujourd’hui augurent les futures marches de vos enfants enfoncés dans la boue sanglante des champs de bataille de demain matin.

Trop tard…


Source: OML (blog)

Toulouse: un couple victime de coups de couteau, la jeune femme délibérément balafrée par ses agresseurs

Un couple a été victime d’une violente agression "gratuite", hier, vers 5 h 30, alors qu’il regagnait son lieu d’hébergement. Les deux victimes rentraient d’une soirée et marchaient rue d’Armentières. Ils ont soudain été pris à partie par trois individus qui circulaient en voiture. Leurs agresseurs s’en sont d’abord pris verbalement à la jeune femme. Le ton est vite monté entre son compagnon et les hommes. De verbale, l’altercation est devenue physique lorsque les trois comparses ont décidé de sortir de leur véhicule.

Très énervés, ils se sont approchés du couple. Armés de couteaux, ils ont porté des coups violents à leurs deux victimes. Le jeune homme a eu le bras gauche lacéré par la lame. Sa compagne a été blessée au niveau du visage. Ses assaillants lui ont infligé une longue balafre depuis la bouche jusqu’à l’oreille. Une fois leur forfait accompli, les trois agresseurs sont remontés dans leur véhicule et ont disparu dans la circulation matinale.

La Dépêche

via fdesouche.com

 

PNF:

Pendant encore combien de temps les Français vont-ils croire au "vivre-ensemble"? Combien d'autres victimes avant de commencer la démigration?

Romans sur Isére: une jeune femme et son petit-ami tabassés en pleine rue par une dizaine de jeunes

C’est dans une rue du centre-ville que le jeune couple a été frappé au sol par une dizaine d’adolescents.

 

Samedi, deux jeunes Romanais ont été pris à partie par une dizaine d’adolescents, puis violemment tabassés : étranglement, coups de pied et poing dans la tête et les côtes, le tout en plein après-midi.

La scène s’est déroulée en pleine rue, à deux pas de la mairie. Les victimes, une jeune femme de 19 ans et son petit-ami âgé de 20 ans, se trouvaient devant le commerce tenu par les parents de la première, quand plusieurs adolescents sont arrivés, avec la ferme intention d’en découdre.

Pour une cigarette refusée…

Quelques jours plus tôt, une altercation verbale avait eu lieu devant ce même commerce, entre trois adolescents et un client ayant refusé de leur donner une cigarette. Pensant que l’histoire resterait sans suite, la patronne de l’établissement avait alors refusé de porter plainte.

Mais elle était loin de se douter qu’une semaine plus tard, ces jeunes reviendraient accompagnés d’amis pour s’en prendre à sa fille et son gendre. « Heureusement que ce jour-là je n’étais pas seule » avoue la jeune fille. « Je n’ai jamais eu peur dans la rue, mais là je redoute de les recroiser, je ne suis vraiment pas rassurée » poursuit-elle, précisant qu’elle prendra désormais de quoi se défendre, au cas où…

La mère d’une des victimes se dit « outrée » de constater que des jeunes de 14 à 15 ans « sont capables de s’en prendre de la sorte à des gens dans la rue, gratuitement, dans un sentiment total d’impunité ».


Source: Le Dauphiné


PNF:

Encore une "agression cigarette" ... c'est-à-dire un crime de racisme anti-blanc ... les journalistes du Système n'osent pas dénoncer le racisme anti-blanc, alors ils utilisent des codes linguistiques tels que le fameux "pour une cigarette refusée".

Les journalistes français ont en général une haute opinion d'eux-mêmes. Ils sont bien les seuls. Cela fait longtemps qu'ils trahissent leurs lecteurs français de souche, et qu'ils ne décrivent pas la réalité telle qu'elle est.

Pas racistes puisque pas européens…

Lors de l’émission « C dans l’air » (France 5) du 1er octobre consacrée à l’évacuation d’un campement de Roms à Marseille par des riverains, le journaliste José d’Arrigo tient à préciser que l’affaire n’a pas de dimension raciste puisque « ce ne sont pas des Européens qui ont fait ça, je vous le garantis »




Source: France 5  via Fdesouche.com


Zemmour met Montebourg face à ses contradictions dans l’affaire Mittal/Florange

 

Source: RTL via Fdesouche.com

01/10/2012

Kadhafi aurait été tué par un agent secret français

Le mérite de la capture de Muammar Kadhafi, l'ex chef d'Etat  libyen, le 20 octobre 2011, reviendrait aux services secrets français, selon le Corriere della Serra.

Le coup de feu mortel à la tête du colonel libyen aurait été tiré par un agent des services secrets français et non par les hommes des Brigades révolutionnaires libyennes.

Ce n'est pas la première fois que la version officielle de la capture et de la mort du Raïs est mise en doute. Mais selon le quotidien romain, de nouveaux éléments très précis ont été livrés il y a deux jours par Mahmoud Jibril, ancien Premier ministre du de transition et aujourd'hui président du Conseil exécutif du Conseil national de transition (CNT). «Un agent étranger était infiltré avec les brigades révolutionnaires pour tuer le colonel Kadhafi», a déclaré ce dernier dans une interview livrée à la télévision égyptienne Dream TV, basée au Caire.

Un agent étranger infiltré avec les brigades révolutionnaires

Au sein des cercles diplomatiques occidentaux basés à Tripoli, des informations auraient toujours circulé quant à une implication des services de renseignement français. Si effectivement des agents étrangers accompagnaient les hommes des brigades révolutionnaires pour assassiner Muammar Kadhafi, «ce ne pouvait être que des agents français.» Un raisonnement vraisemblable en raison du soutien de l'OTAN, renforcé par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, à la révolution de l'époque.

Au delà, certains proches de Kadhafi menaçaient de livrer des informations sur les relations entre le président français et le chef d'Etat libyen, notamment le versement d'une importante somme d'argent pour financer la campagne électorale de 2007. «De nombreux pays dont la France en avaient toutes les raisons d'essayer de faire taire le colonel Kadhafi le plus rapidement possible», estime un agent diplomatique en poste à Tripoli sous couvert d'anonymat.

Localisé via son portable satellite

Ces révélations seraient renforcées par d'autres informations dévoilées au journal le Courrier, à Benghazi, par Rami El Obeidi, ancien responsable des relations avec les agences de renseignement étrangères au nom du Conseil national de transition (l'ancien organe autonome de révolutionnaires libyens). Kadhafi aurait été localisé à Syrte grâce à ses échanges avec le gouvernement syrien via son téléphone satellite Iridium. Avec ces informations, la localisation du dictateur était un jeu d'enfant pour les experts de l'OTAN.

Cette nouvelle version de la de Muammar Kadhafi surgit au moment où a été officialisé le décès d'un de ses meurtriers présumés. Omran Ben Chaaban, un jeune Libyen de 22 ans, est décédé lundi dans un hôpital parisien. Enlevé en Libye par des partisans de l'ex-chef de l'Etat et gravement blessé par balles, il avait bénéficié d'un visa humanitaire. Cet étudiant en électricité était apparu à plusieurs reprises dans des vidéos brandissant le revolver en or de l’ancien homme fort du pays. Il a succombé lundi 25 septembre des suites de ses blessures… dans un hôpital parisien, selon une source du Quai d’Orsay.

VIDEO. «Comment j'ai capturé Kadhafi»



 

LeParisien.fr