24/06/2011
Départ imminent d'un bateau français pour Gaza (Le Point)
(20 juin 2011) Pour dénoncer le blocus, un ou deux bateaux s'apprêtent à faire route vers Gaza dans le cadre d'une flottille internationale.
Un an après l'assaut de commandos israéliens contre un premier convoi humanitaire maritime, un bateau français, et peut-être même deux, s'apprête à faire route vers Gaza, dans le cadre d'une flottille internationale, pour dénoncer le blocus de ce territoire palestinien. "Le bateau français pour Gaza va partir. On a entendu beaucoup de rumeurs, d'inquiétudes, mais il est bien là. Actuellement, il est en Méditerranée, il partira du port où il se trouve actuellement, en Grèce", a déclaré Claude Léostic, un des porte-parole de la campagne Un bateau français pour Gaza lors d'une conférence de presse, samedi, à Marseille. Il doit emporter 25 passagers, parmi lesquels des élus et des hommes politiques français, dont Olivier Besancenot (NPA), le député communiste du Havre, Jean-Paul Lecoq, ou encore la députée européenne Nicole Kiil-Nielsen (EELV), ainsi que des personnalités du monde du sport, dont le marin breton Jo Le Guen, et des militants associatifs, comme Julien Bayou, du collectif Jeudi noir pour le droit au logement.
Cette initiative a pu être concrétisée grâce aux fonds récoltés (environ 600 000 euros) depuis le lancement de la campagne le 26 octobre à Paris par une soixantaine d'organisations. Un deuxième bateau, dont la présence doit être confirmée dans les jours qui viennent, devrait par ailleurs partir de France, avec à son bord "une quinzaine de passagers", a précisé Claude Léostic. Elle n'a pas souhaité dévoiler le nom du port méditerranéen concerné, précisant simplement qu'il ne s'agissait pas de Marseille, d'où l'embarcation devait appareiller initialement. Ce second départ est prévu, comme pour le premier, "normalement en fin de semaine prochaine".
Militants réunis à Marseille
En mai 2010, des Français avaient participé à la première flottille destinée à forcer le blocus imposé à la bande de Gaza depuis 2006, mais sans affréter de bateau. "Nous n'avons été ni impressionnés ni affaiblis par la volonté de certains de nous faire tomber", ont assuré les organisateurs, déterminés à lutter contre la "situation insoutenable infligée au peuple palestinien". "Notre cap, c'est Gaza. S'il y a la moindre violence dans cette flottille, elle viendra des Israéliens. S'il y a la moindre intervention de leur part, nous ferons de la désobéissance civile. Et après Inch'Allah !", a lancé Claude Léostic.
Sur le Vieux-Port, plusieurs centaines de militants, venus de toute la France, s'étaient réunis samedi après-midi pour dire, autour d'un drapeau palestinien, de drapeaux et de banderoles, leur "solidarité avec le peuple palestinien" et appeler au "boycott des produits israéliens". "Qu'un bateau français soit présent, c'est très important. Cela prouve qu'on ne veut plus obéir aux pays qui ne respectent aucune convention internationale. Le droit est du côté du peuple palestinien", a martelé Janie Arneguy, venue de Nîmes. "On veut que le blocus cesse, les Palestiniens sont bafoués", a renchéri un couple originaire du Tarn. Les deux bateaux français doivent rejoindre la flottille internationale, composée d'"une douzaine" d'embarcations et de deux cargos d'aide humanitaire, selon les organisateurs français qui ont regretté le forfait, annoncé vendredi, du Mavi Marmara. "Ce sera 500 passagers en moins", ont-ils estimé. Neuf passagers turcs avaient été tués le 31 mai 2010 lors du raid d'un commando israélien contre ce ferry turc, soulevant une vague de réprobation internationale.
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Comment guérir un frontiste ? « Une balle dans la tête et c’est réglé » (Médiapart)
Le Front National porte plainte contre Mediapart et Edwy Plenel pour un article pubié sur le site en avril 2011 intitulé » Analyse d’une pathologie : le frontisme ». La conclusion de l’article :
"Pour conclure, il est une question qui vient à l’esprit de tous à présent : " mais comment guérir un frontiste ? ". Bouarf, une balle dans la tête et c’est réglé ! "
L’article de Mediapart est disponible sur le cache Google ici.
Source: Front National et Fdesouche.com
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23/06/2011
Histoire : Esclaves blancs, maîtres musulmans
Episode 1 : Aux mains des Barbaresques
Entre 1500 et 1800 environ, les Occidentaux n’étaient pas sans ignorer les risques encourus en voyageant en mer : un million d’entre eux finirent en esclavage.
Episode 2 : Pirates de Méditerranée
Entre le XVIe et la fin du XVIIIe siècle, des pirates méditerranéens écument les mers et attaquent les bateaux en provenance d’Europe.
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André Gerin (PCF) : « Non, l’immigration n’est pas une chance pour la France »
Dans les GG de RMC, André Gerin (PCF) s’explique sur ses récentes critiques sur l’immigration. Avec Didier Giraud, Sylvain Grandserre, Eric Naulleau et André Gerin.
Source: Fdesouche.com
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22/06/2011
Prison à perpétuité pour des opposants chiites à Bahreïn
MANAMA (Reuters) - Le Bahreïn a condamné mercredi à la prison à perpétuité huit dirigeants politiques chiites, accusés de complot en vue de renverser le gouvernement.
Vingt et un dirigeants d'opposition étaient jugés pour leur rôle lors des grandes manifestations du début de l'année, dont sept par contumace.
Parmi les condamnés figure le dissident chiite Hassan Mouchaimaa, qui dirige le parti d'opposition Hak.
Ibrahim Charif, dirigeant sunnite du parti laïque de gauche Waad, a été condamné à cinq ans de prison. Comme le Wefak, premier parti chiite de Bahreïn, le Waad avait réclamé des réformes dans le royaume, où ont eu lieu plusieurs manifestations d'envergure.
Au total, quelque 400 personnes ont été traduites en justice pour leur rôle dans les manifestations, a affirmé le Wefak au début du mois, et certaines ont été exécutées.
Après le verdict, les accusés ont, selon des témoins, levé le poing et promis de continuer à réclamer des réformes "de manière pacifique".
L'agence de presse officielle a rapporté qu'ils étaient accusés de "tentative de renverser le gouvernement par la force en liaison avec une organisation terroriste à l'étranger", allusion voilée à l'Iran.
La sentence devrait attiser les tensions dans le pays, où des manifestations de moindre envergure ont eu lieu depuis la levée de la loi martiale, le 1er juin. Après le verdict, de petites manifestations dans des villages chiites ont été dispersées par les forces de l'ordre, ont rapporté des témoins.
Un dialogue politique doit être organisé en juillet avec l'opposition, sous l'égide du roi Issa ben Hamad el Khalifa.
Lors d'une conférence de presse, le Wefak s'est dit inquiet pour la bonne tenue de ce dialogue après les condamnations de mercredi et n'a pas exclu de boycotter les discussions.
"Ces condamnations ne contribuent pas à une atmosphère de dialogue (...) Les condamnés représentent une partie importante de notre mouvement. Comment peut-il y avoir un dialogue s'ils sont en prison", a dit le porte-parole du parti, Khalil al Marzouq.
Bahreïn, dirigé par une dynastie sunnite, a réprimé la contestation en mars avec l'aide de ses voisins sunnites du Golfe.
Bureau de Manama, Clément Guillou et Guy Kerivel pour le service français
Source: Reuters
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21/06/2011
Japon : une nouvelle vidéo impressionnante du tsunami vu de l'intérieur d'une voiture
14:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
20/06/2011
L'Otan admet avoir tué des civils en Libye
Selon le gouvernement libyen, le tir a fait neuf morts dans le quartier d'habitation d'al-Arada à Tripoli. Crédits photo : MAHMUD TURKIA/AFP
Un quartier d'habitation de Tripoli a été visé par les forces de l'OTAN ce week-end par erreur. Selon le gouvernement libyen, neuf personnes ont été tuées.
C'est la première fois que l'Otan reconnaît une «bavure» depuis le début de son intervention en Libye. Dans la nuit de samedi à dimanche, un raid sur Tripoli a fait selon l'Alliance «un certain nombre de victimes civiles». Le porte-parole du gouvernement libyen, Moussa Ibrahim, affirme qu'il y a eu neuf morts, dont cinq membres d'une même famille, et dix-huit blessés dans le quartier résidentiel d'al-Arada.
«Un site militaire de missiles était la cible prévue de frappes aériennes à Tripoli (…) Toutefois, il s'avère qu'une arme n'a pas frappé la cible prévue», a admis l'Otan, invoquant une «erreur dans le système» et regrettant «la perte de vies de civils innocents». Chacune des sorties d'avions alliés, précise le communiqué, est «préparée et exécutée avec un grand soin pour éviter les victimes civiles».
De son côté, le gouvernement libyen a sauté sur l'occasion pour dénoncer des actes «barbares», accusant l'Otan de viser «délibérément des civils». Depuis le début des opérations, c'est l'Alliance qui accusait les forces loyales à Mouammar Kadhafi de s'installer délibérément dans des zones civiles pour se protéger. C'est d'ailleurs pour éviter toute méprise que des hélicoptères français et britanniques, dont les frappes sont plus précises que celles des avions, ont été dépêchés début juin en Libye.
Des rebelles visés accidentellement
L'annonce de cette «bavure» intervient 24 heures à peine après que l'Otan a reconnu avoir accidentellement frappé des forces rebelles dans la région de Brega, dans l'est de la Libye, le 16 juin. Une colonne de véhicules militaires rebelles, comprenant des chars, a été identifiée dans une zone où les forces loyales au colonel Kadhafi venaient d'intervenir. Il a été considéré en conséquence qu'elle devait «être ciblée par les avions de l'Otan», a expliqué l'Alliance. Au moins deux autres incidents du même type étaient déjà survenus dans le passé.
Ces erreurs se produisent à un moment difficile pour l'Alliance, qui a pris le 31 mars le commandement de l'opération internationale destinée à défendre la population civile face aux forces du colonel Mouammar Kadhafi. Alors que les avions alliés ont effectué quelque 1500 sorties, la situation stagne sur le terrain et la légitimité de l'intervention reste contestée. Face au risque d'enlisement du conflit, des doutes se font entendre sur une mission plus longue et plus coûteuse qu'initialement prévu.
Samedi, une réunion de hauts responsables de l'ONU, de l'Union européenne, de la Ligue arabe, de l'Organisation de la conférence islamique et de l'Union africaine a insisté au Caire sur la nécessité d'une solution politique au conflit. Mais la contestation la plus forte vient des États-Unis, où Barack Obama se prépare à un conflit ouvert cette semaine au Congrès, dont nombre de membres ne digèrent pas qu'il ne les ait pas consultés pour autoriser l'intervention.
Source: Figaro
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Prise de tête (nucléaire...) d'Eric Besson dans l'émission Capital
Après Fukushima, le débat sur le nucléaire est plus que jamais explosif:
La chaîne M6 a choisi ce dimanche soir de ne pas diffuser l'incident intervenu lors de l'enregistrement de l'émission Capital avec Eric Besson. Le ministre de l'Industrie avait quitté brutalement le studio après un échange tendu avec l'animateur Guy Lagache.
Lors de la diffusion de Capital, ce dimanche soir, Guy Lagache n'a fait aucune mention de l'incident, et le passage a été supprimé au montage.
Eric Besson avait été invité pour parler du nucléaire dans l'émission qui avait pour thème "Vivre et consommer écolo: ruée sur les nouvelles solutions vertes".
Il a quitté le studio en lançant "je me casse", au moment où allait être diffusé le témoignage d'un ancien sous-traitant chargé de déceler les défaillances dans les installations des centrales nucléaires. Le témoignage a été diffusé ce dimanche, mais non le départ du ministre.
"Je suis stupéfait qu'un ministre de la République en charge de l'industrie puisse quitter une émission où l'on parle de la sûreté des centrales nucléaires en France", avait déclaré Guy Lagache au Parisien de samedi.
Le ministre quant à lui avait indiqué au Monde ne pas regretter son départ, accusant le journaliste de se transformer en "débatteur partisan".
M6 avait mis en ligne vendredi sur son site l'extrait où l'on voyait le ministre partir ainsi que l'intégralité de l'interview.
Source: L'Express
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Action discrète à Sevran
12:44 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Insécurité à Paris : Manifestation de plusieurs milliers de Chinois
11:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |