26/09/2011
Prêts toxiques aux collectivités locales : “Le fichier confidentiel”
Libération s’est procuré un fichier confidentiel de la banque Dexia crédit local (DCL), qui recense les 5 500 collectivités locales et établissements publics ayant souscrit les fameux «prêts toxiques» entre 1995 et 2009.
Ce listing montre que tout le monde est concerné : collectivités de droite comme de gauche, grandes communautés urbaines comme petites villes… Il atteste qu’au plus fort de la bulle, DCL avait distribué pour 25 milliards d’euros à ses clients.
Carte des emprunts structurés, dits « toxiques », distribués par Dexia Crédit local (DCL), de 1995 à 2009, et encore en exercice début 2010.
"Selon l’estimation faite par la banque, le surcoût de ces emprunts était évalué à 3,9 milliards d’euros à la fin 2009. Ce qui veut dire que les collectivités devraient payer une pénalité de cet ordre qui pourraient risquer, dans certains cas, de les conduire à la ruine."
Source: Libération et Fdesouche
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25/09/2011
Affaire DEXIA : Le Système UMPS
Communiqué de Presse de Steeve BRIOIS, Secrétaire Général du Front National :
L’affaire des emprunts toxiques à la une de « Libération » n’a rien d’une nouveauté. Début 2008, Marine Le Pen et Steeve Briois révélaient que les emprunts de la commune d’Hénin-Beaumont auprès de Dexia constituaient une véritable bombe à retardement pour les finances locales.
En signant avec légèreté des contrats engageant des sommes aussi importantes, les maires et élus locaux ont obéré non seulement l’avenir de leurs communes respectives mais aussi les générations à venir. Il est piquant de constater que nombre de ces prêts litigieux ont été contractés à la veille d’échéances électorales dans un but évident. Ainsi, les élus sortants promettaient de grands projets financés pour se faire réélire.
Aujourd’hui, les mêmes élus jouent aux pompiers pyromanes en appelant à la responsabilité de Dexia. Si cet organisme financier doit bien évidemment être poursuivi, comme le réclament les élus du Front National depuis trois ans, la responsabilité principale incombe cependant aux politiques. En effet, élus UMP et élus PS siègent au conseil d’administration de DEXIA où ils touchent des jetons de présence. Leur implication est évidente.
Steeve Briois, secrétaire général du Front National, demande que les collectivités locales indiquent précisément à leurs administrés les conséquences financières des emprunts toxiques contractés. Une fois encore, le système UMPS brille par son aveuglement et son incompétence.
Source: Front National
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21/09/2011
Si Israël dit "non" à un Etat palestinien à l’ONU, à quoi dira-t-il oui ?
Tirant les conséquences de l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations avec Israël, les Palestiniens comptent déposer le 23 septembre aux Nations unies une demande d’adhésion en tant qu’État.
Face à cette démarche, la communauté internationale est divisée. Les opinions publiques aussi.
En Israël, le gouvernement a clairement exprimé son rejet de l’initiative palestinienne. Mais certaines voix se font entendre qui appellent à soutenir la création d’un État palestinien.
Mercredi, "une coalition d’organisations israéliennes pour la paix a publié une liste de 50 raisons devant inciter Israël à soutenir un État palestinien", rapporte le journaliste israélien Gideon Levy, dans un éditorial publié dans les colonnes du Haaretz.
"Si l’on assume que l’on ne peut accepter que 5 (des 50 raisons présentées), cela n’est-il pas suffisant ?", écrit l’éditorialiste. "Les Palestiniens (…) n’accepteront pas de vivre sans droits civiques pour 42 années supplémentaires. Nous allons devoir nous habituer au fait que le monde ne l’acceptera plus non plus", ajoute-t-il.
"Qu’allons nous à dire au monde la semaine prochaine à l’ONU ?", demande M. Levy. "La vérité va apparaître : Israël ne veut pas d’un État palestinien", ajoute-t-il. Mais les responsables israéliens n’ont "aucun argument contre l’établissement et la reconnaissance internationale d’un tel État" et ne peuvent démontrer que "les Palestiniens ne méritent pas d’avoir leur propre État", affirme-t-il encore. "Même le meilleur orateur ne sera pas capable (…) d’expliquer la logique israélienne" devant les États du monde, ajoute-t-il.
"Notre argument est-il que nous nous opposons à une telle mesure unilatérale ? Mais y a-t-il (une mesure) plus unilatérale que les colonies que nous insistons à continuer à construire ?, poursuit M. Levy. Ou peut-être que nous dirons que la voie vers un État palestinien passe par Ramallah et Jérusalem, pas New York (…) Mais l’État d’Israël a lui-même été créé, en partie, aux Nations unies".
L’éditorialiste reprend également une série d’arguments utilisés par le passé par l’État d’Israël pour expliquer son opposition à un État palestinien en précisant que ces arguments n’existent plus aujourd’hui.
"Il y a 32 ans, Israël a signé un accord de paix avec l’Égypte dans lequel il a promis de reconnaître les droits légitimes du peuple palestinien" et d’établir une entité autonome palestinienne sous cinq ans, rappelle ensuite M. Levy, en précisant que cela n’a jamais eu lieu. De même pour les promesses faites lors de la signature des accords d’Oslo il y a 18 ans d’"arriver à un accord final avec les Palestiniens, comprenant les questions centrales, dans une période de 5 ans", ajoute-t-il.
Il est alors devenu clair pour les Palestiniens qu’Israël ne veut pas d’un État palestinien. Ils ont alors choisi "de mobiliser le monde" en faveur de leur cause, explique M. Levy, qui considère qu’il n’existe pas d’alternative à la création d’un État palestinien. De plus, qui pourrait nier que "l’hostilité régionale envers nous (aurait) diminué si l’occupation avait déjà pris fin et qu’un État palestinien avait été établi ?", ajoute-t-il.
En guise de conclusion, l’éditorialiste adresse la question suivante à "celui qui représentera (Israël) à l’ONU la semaine prochaine : Pourquoi un ’non’ de nouveau ? Et à quoi dirons nous ’oui’".
publié par l’Orient le Jour
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19/09/2011
Norvège: un problème de place de parking dégénère
Source: Fdesouche.com
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17/09/2011
Jean Marie Le Pen réagit aux prières dans la rue, à la crise économique (i télé)
22:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Un auditeur de RMC: "J'ouvre le journal le matin, je ne vois que ça. Il y a quelque chose qui ne va pas, c'est quand même ces gens-là (ndlr: les étrangers)."
Dans Bourdin & Co, un auditeur approuve les propos de Brice Hortefeux sur les “Auvergnats”.
Bourdin: "Attention, hein. Attention à ce que vous allez dire!"
Sourc: RMC et Fdesouche
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Bourdin (RMC): “Mais qui est François Desouche ? Qui est ce monsieur ?”
Au détour d’une conversation sur la Libye, un auditeur critique le manque d’objectivité de Jean-Jacques Bourdin, rappelant notamment le fiasco de l’affaire de l’ophtalmo, accusé injustement de racisme par un patient. Le journaliste s’en défend.
Source: RMC et Fdesouche
20:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Meurtre de Jérémy : Le suspect libéré pour vice de procédure
Source: BFM TV et Fdesouche
20:34 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
16/09/2011
Il n’y a pas que les frontistes qui ont une opinion négative de l’immigration
En juin un sondage souligne que 54% des Français ont une opinion négative de l’immigration. Un résultat frappant peu relayé dans les médias qui révèle un profond malaise de la société française vis-à-vis des immigrés. Explications avec Christophe Guilluy, géographe et auteur de “Fractures françaises”.
Ce décalage entre le traitement médiatique et des résultats aussi impressionnants illustre l’évitement d’un sujet qui est pourtant un des moteurs de la recomposition politique à l’œuvre sur le continent européen. Il est en effet compliqué pour les politiques d’évoquer les résultats de ce sondage. Cette enquête a été réalisée dans 23 pays dont les modèles de société sont très différents et pourtant, le malaise semble être le même partout.
15:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Etat palestinien : pourquoi Paris ne se prononce pas
INTERVIEW - Sébastien Boussois, spécialiste du conflit israélo-palestinien, explique la position prudente de la France vis-à-vis de la demande d'adhésion d'un Etat palestinien à l'ONU.
Le 20 septembre prochain, les Etats membres de l'ONU seront amenés à se prononcer sur l'éventuelle adhésion d'un Etat palestinien. Alors qu'Israël y est opposé et que les Etats-Unis ont menacé d'opposer leur veto, la France, par la voix d'Alain Juppé, est restée très prudente à propos de son vote. «C'est en fonction de ce qui va se passer que nous déterminerons notre position», s'est contenté de déclarer le ministre des Affaires étrangères.
Sébastien Boussois, enseignant en relations internationales, spécialiste du conflit israélo-palestinien et fondateur du Cercle des Chercheurs sur le Moyen-Orient, livre son sentiment sur la situation délicate dans laquelle se trouve la France.
LE FIGARO Pourquoi la France n'annonce-t-elle pas directement sa position concernant la demande d'adhésion d'un Etat Palestinien à l'ONU ?
La France ne prend pas de position car elle attend de voir comment le vent va tourner. Le «oui» pour le vote du 20 septembre n'est pas acquis. Paris préfèrerait sans doute une reprise des négociations entre Israël et la Palestine, qui est, il faut le savoir, reconnu par plus d'Etats de la communauté internationale que le Kosovo.
Ces hésitations sont-elles dues à la volonté de ne pas se mettre à dos Israël et les Etats-Unis ?
Evidemment. Se mettre à dos Israël serait risqué car il s'agit d'un allié fort qui est très isolé dans sa région, entouré de nations qui ne lui sont pas favorables. Du côté américain, ce vote tombe mal. L'élection présidentielle approche et il s'agit de ne pas contrarier la forte communauté juive présente aux Etats-Unis.
Il faut aussi penser au problème posé par l'Union Européenne. Les Etats membres ne sont pas d'accord sur la décision à prendre. Faut-il adopter une position commune ? Et, si oui, laquelle ?
Dans ce contexte, la France soutient-elle autant les Palestiniens que par le passé ?
La politique «pro-arabe» menée par Jacques Chirac s'est terminée avec l'arrivée de Nicolas Sarkozy, plus atlantiste et plus sioniste. Néanmoins, il ne faut pas oublier que le Président a déjà critiqué la politique israélienne, notamment sur le problème de la colonisation.
Mais je ne pense pas que soutenir la création d'un Etat palestinien revienne à remettre en cause l'existence et la légitimité d'Israël. Tout le monde Benyamin Netanyahou compris est conscient de la nécessité d'un Etat palestinien. Si les négociations se poursuivent, je pense qu'un accord est possible.
Source: Le Figaro
11:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |