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09/12/2011

Contre le droit de vote des étrangers : discours de Marine Le Pen

 Jeudi 8 décembre, Marine Le Pen exprimait devant le Sénat son « opposition ferme et absolue » au droit de vote des étrangers :

 

 "Mesdames, Messieurs, chers amis,

 C’est aujourd’hui que le Sénat examine une proposition de loi socialiste visant à accorder le droit de vote aux étrangers aux élections locales.

Inutile de vous dire que je suis résolument contre le droit de vote aux étrangers.

Le droit de vote est un attribut de la citoyenneté, et la citoyenneté est indissolublement liée à la nationalité.

C’est notre règle républicaine depuis toujours, c’est notre tradition nationale, et il n’est pas question d’en changer. Il n’est pas question non plus de retirer aux Français le dernier privilège qui leur reste : le droit de voter pour choisir leurs représentants.

Seuls les Français doivent pouvoir voter et choisir leurs représentants en France !

Ce principe n’est pas négociable, et s’il ne doit y en avoir qu’une pour le défendre, ce sera moi !

J’alerte ainsi sur cette proposition de loi socialiste, que je considère anti-républicaine et dangereuse pour notre démocratie.

Car ne soyons pas dupes, si le PS soutient le droit de vote aux étrangers, c’est bien évidemment pour des raisons électoralistes.

Le but est de récupérer de nouvelles clientèles électorales, quitte à fouler au pied tous les principes qui font la France."

Marine Le Pen

 

Lire ICI l'intégralité du discours

Source: Front National

 

07/12/2011

Règne de l’hypocrisie et du politiquement correct : le plus vieux métier du monde mis à l’index par les députés puritains français

La nécessité d’abolir la prostitution fait débat dans la société, pas à l’Assemblée nationale. Hier, les députés, à l’appel de tous les présidents de groupe, gauche et droite confondues, ont voté une résolution reconnaissant officiellement «la position abolitionniste de la France». Cette «position» ne signifie pas une interdiction de la prostitution. Mais elle vise à faire en sorte que le droit rende quasiment impossible l’exercice de ce commerce. Cela «vise à décourager la prostitution», a résumé Roselyne Bachelot, la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, devant les parlementaires. Par exemple en pénalisant les clients. La ministre s’y est déclarée tout à fait «favorable à titre personnel».«Il est essentiel que le client prenne conscience qu’en achetant un acte sexuel il perpétue ce système», qui est selon la ministre«une violence faite aux femmes» et «une négation de nos principes fondamentaux».

Audition. Sans surprise, une proposition de loi va d’ailleurs être prochainement déposée pour pénaliser ces clients par la députée PS Danielle Bousquet et son collègue UMP Guy Geoffroy, qui ont été respectivement présidente et rapporteur de la mission d’information parlementaire sur la prostitution. Après huit mois de travaux, quelque 200 auditions (dont une quinzaine seulement de prostituées ou d’anciennes prostituées), la mission avait rendu en avril un rapport préconisant l’introduction de ce nouveau délit dans le droit français.


Source: Libération

 

PNF :

Cette loi anti-prostitution est encore un signe du fossé qui se creuse entre les « élites » politiques, engoncées dans l’hypocrisie, la bien-pensance et le politiquement correct, et le peuple français qui dans sa grande majorité juge cette nouvelle loi totalement inutile, archaïque, et liberticide.

Il est d’ailleurs frappant que dans notre société du tout-sondage, aucun sondage n’ait été publié concernant cette loi « abolitionniste ».

L’unanimité au sein des bancs de l’Assemblée Nationale pour voter cette loi contre-nature interpelle. Doit-on y voir là la main de la franc-maçonnerie ou d’autres réseaux (lobbys féministes et lesbiens) ?

Si cette loi est appliquée, elle n’aura pour effet que de faire augmenter fortement le nombre de viols et d’agressions sexuelles en France, comme cela a été le cas en Suède.

L’Histoire retiendra que c’est une femme homosexuelle, Roselyne Bachelot, qui aura, pour la première fois dans l’histoire de France, fait voter une loi pénalisant les clients de la prostitution, qui sont en très grande majorité des hommes. Encore un bel exemple d’intolérance et de position communautariste.

 

____________________

31 mars 2011 - Réaction d'Eric Zemmour au projet de loi de Roselyne Bachelot (RTL)

 



Source: RTL

Grande-Bretagne : un gang de Somaliennes relaxé après avoir attaqué une jeune femme britannique

Leicester - Les agresseuses ont porté de multiples coups de pied à la tête de la victime en criant, "kill the white slag" (tuez la pute blanche).

Elles ont pourtant été relaxées par la justice britannique qui dans ses motivations a constaté qu'«elles n'étaient pas habituées à consommer de l'alcool parce qu'elles sont musulmanes».



Source: Daily Mail via Fdesouche.com

« A Rome, fais comme les Romains. » (Saint-Ambroise)

7 décembre. C'est aujourd'hui la fête de Saint-Ambroise, également appelé Ambroise de Milan ou Aurelius Ambrosius.

Ambroise fut évêque de Milan au IVe siècle, sous le règne de l'empereur romain Théodose. Il combattit l'hérésie arienne et développa le culte des reliques. Il baptisa aussi le futur saint Augustin. Comme ce dernier, Ambroise figure parmi les grands Docteurs de l'Église catholique (*).

Une légende veut qu'un jour, Augustin demandât à Ambroise si le repos hebdomadaire devait se célébrer le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome. Il s'était attiré une réponse devenue proverbiale : « A Rome, fais comme les Romains ».


Source: Hérodote et Wikipédia

06/12/2011

Marine Le Pen obligée d'annuler son passage à l'université de Paris-Dauphine

Une centaine d'étudiants et de militants anti-FN ont empêché cet après-midi la venue à l'université de Paris-Dauphine de Marine Le Pen. La présidente du Front national dénonce des "milices de gauche" et demande notamment la dissolution de l'UNEF. Elle était l'invitée de l'association étudiante Dauphine Discussion Débat pour présenter son programme. Elle réagit au micro de France Info.



Source: France-Infos via Fdesouche.com

05/12/2011

Un député bruxellois sur cinq est musulman

Plus d’un député bruxellois sur cinq est d’origine musulmane. Unique en Europe. Plusieurs facteurs expliquent ce constat : le système institutionnel, l’évolution démographique et la concentration des musulmans dans certains quartiers de la capitale.

Le Parlement bruxellois est composé à 21,3 % de députés d’origine musulmane. C’est ce que conclut l’étude menée par Fatima Zibouh, chercheuse en sciences politiques à l’ULG. Les résultats de son travail sont à lire dans la revue Brussels Studies de ce lundi.

Dix-neuf députés bruxellois ont des racines musulmanes. Sans compter que deux élus musulmans occupent également des fonctions au sein d’un exécutif. Fadila Laanan à la Fédération Wallonie Bruxelles et Emir Kir, secrétaire d’Etat au gouvernement bruxellois. Notons également que la seule députée voilée en Europe siège également au parlement bruxellois. Il s’agit de la CDH Mahinu Ozdemir.

Unique en Europe

Près d’un député sur cinq est de culture musulmane. Une situation unique comparée aux autres grandes villes européennes. Cette représentation a fortement évolué en une vingt ans. De 0% en 1989, elle est passée à 5,3% en 1995, 19,1% en 2004 pour atteindre 21,3% en 2009. La plupart d’entre eux appartenant au PS. [...]

Cette particularité s’explique par plusieurs facteurs. Les changements dans l’attribution de la nationalité belge notamment. Depuis 1989, 200.000 personnes ont été naturalisées. [...]

lavenir.net via Fdesouche.com

02/12/2011

“Vous les Français n’en avez plus pour longtemps ! Le pouvoir va bientôt appartenir aux musulmans !”

Un procès-verbal d’un commissariat de Mantes-La-Jolie révèle les propos édifiants  d’une musulmane, entièrement voilée, venue chercher sa fille arrêtée pour vol.

(cliquer sur les images pour agrandir)


Procesverbal1.jpg

procesverbal2.jpg



Le Salon Beige via Fdesouche.com

01/12/2011

L'euro : la fausse bonne idée

Barrière des langues, manque de confiance entre les partenaires, différence de culture économique : le Time donne 10 raisons pour lesquelles la création de la monnaie unique était "une idée stupide".

Dans un article intitulé "Les dix raisons pour lesquelles la création de l'euro était une idée stupide", le journaliste Olaf Gersemann explique sur le site du Time pourquoi nous avons été "trop crédules" au moment de créer la monnaie unique.

1- Aucun mécanisme de résolution des conflits

Les dix premières années, l'intégration économique de l'Europe a été un succès. Au cours des différents sommets, les dirigeants se sont répartis les profits. Avec la crise de l'euro, cette dynamique a changé : maintenant il faut partager le fardeau, organiser des tours de garde pour s'occuper du bébé malade - un scénario auquel personne ne s'était préparé institutionnellement ou moralement. Résultat : les chamailleries et les prises de becs ont repris entre les partenaires européens à un niveau qui n'avait pas été vu depuis 1957, date de la signature du traité de Rome

2- Pas de points de ralliement 

À l'exception du football et du concours de l'Eurovision, il n'y a absolument rien autour de quoi les européens puissent se rallier.   Pas de chaîne de télévision régionale, pas de journaux, et encore moins une langue commune. En période de "gagnant-gagnant", ce n'était pas vraiment un problème. Mais dès que la crise de l'euro a éclaté, l'attitude du "nous contre eux" a rapidement refait surface. Même si la crise n'a pas réduit l'UE en lambeaux, le problème de base - celui du ralliement - demeure.

3- La barrière des langues

Pourquoi la Banque centrale allemande et la Commission n'ont pas été mises au courant ces dix dernières années de l'ampleur des problèmes de la Grèce et du Portugal? Tout simplement parce que les experts dépendaient des gouvernements grec et portugais pour obtenir le moindre petit bout d'information à ce sujet. Ne pas parler les langues de ces pays signifiaient tout simplement ne pas lire les journaux locaux, ce qui aurait contribué à rendre la situation plus claire beaucoup plus rapidement.

4- La confiance

Les expériences menées jusqu'à présent donnent à réfléchir. Un exemple éloquent : les chiffres truqués qui ont servi de base pour décider de l'entrée de la Grèce dans la zone euro. Pire : actuellement il n'y a aucun comportement qui puisse justifier de faire davantage confiance à ses partenaires.

5- Contrôle

L’Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne - qui représentent les trois quarts de l'économie de la zone euro - ne sont pas les seuls fautifs. La crise actuelle a parfaitement démontré que même un pays comme la Grèce, qui ne représente que 2% du PIB de la zone euro, peut entrainer l'ensemble de l'Union dans sa chute. A l'exception de minuscules pays comme Malte, tous les pays de la zone euro peuvent potentiellement faire sauter le système entier. On parle souvent de la domination allemande, mais les maillons faibles du système peuvent eux aussi prendre leurs partenaires en otage.

6- La culture du déficit

L'Europe n'aurait pas nécessairement besoin de partager beaucoup de valeurs pour fonctionner comme une zone de libre-échange. Mais pour survivre, une union monétaire a besoin, au minimum, de partager des valeurs économiques et politiques. Certains gouvernements d'Europe du Nord ont sérieusement pensé que la naissance de l'euro allait apporter aux pays du sud de l'UE une culture de la stabilité à l'allemande. Mais il apparaît clair que la France, l'Italie, l'Espagne et la Grèce continuent de voir la BCE comme une opportunité. Pas forcément à tort, mais cela contredit la profonde conviction allemande, selon laquelle une banque centrale indépendante est la seule garantie contre les gouvernements qui accumulent leur dette et font marcher la planche à billets.  

7- A la recherche d'un esprit européen

 Les différences de mentalité entre les nations ne poseraient aucun problème s'il existait au sein des gouvernements et des institutions des personnes pour s'asseoir sur leur "pensée nationale". Or, il n'existe pas d'homme européen parmi les politiciens et les technocrates. Tous sont Belges, Hongrois, Espagnols, avant d'être Européen.

8- L'absence de nivellement

Lorsque la monnaie unique a été introduite, même les plus sceptiques pensaient que les différences de niveaux entre les membres de la zone euro allaient s'estomper. Le nivellement escompté n'a pas eu lieu. Et c'est d'autant plus problématique qu'il n'existe qu'un seul taux directeur pour les 17 pays qui utilisent la monnaie unique. Pour certains pays, il est trop élevé, pour d'autres, trop faible. Résultat : hausse du chômage, inflation galopante dans certains cas, bulles immobilière (en particulier en Espagne et en Irlande).

9-  Manque de mobilité 

 Dans une union monétaire, les gens doivent être mobiles, prêts à passer la frontière pour aller là où se trouvent les emplois. Avec le temps, les Européens sont de plus en plus mobiles, comme le montre l'augmentation du nombre de migrants espagnols vers l'Allemagne.  Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

10- Pas de réelle volonté d'appliquer les règles

Malgré toutes les difficultés, l'union monétaire pourrait fonctionner si les gouvernements exerçaient une pression les uns sur les autres. Mais les pères de l'union monétaire ont surestimé leur propre caste politique. Grèce, Italie, Allemagne : tous ont signé   le traité de Maastricht. Aucun des contrevenants aux règles édictées n'a été puni.

Lu sur Time

Source: Atlantico

29/11/2011

Eric Zemmour : “Guéant et l’immigration : trop mou !”

RTL – Z comme Zemmour – 29 novembre 2011




Source: RTL via fdesouche.com

Nicolas Doze : «L’Europe de demain ne sera pas née de la démocratie, c'est absolument certain.»

"On va dans le mur, on est dans le mur – Il n’y aura pas de consultation populaire – Cette Europe d’experts, de techniciens, sera construite de la manière la plus crédible possible pour répondre au Marché – Le Marché veut qu’on lui fabrique l’Europe qu’il attend – L’Europe de demain ne sera pas née de la démocratie,  c'est absolument certain."



Source: BFM TV via Fdesouche.com