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22/12/2012

51 % des musulmans tentés de quitter la France

Selon ce sondage réalisé avant l’ »affaire Depardieu », 24 % déclarent avoir « déjà sérieusement envisagé de quitter la France ». Le pourcentage de ces Français tentés par l’expatriation atteindrait, d’après cette enquête, jusqu’à 39 % chez les moins de 35 ans, 33 % chez les ouvriers (contre 25 % chez les cadres) et jusqu’à 51 % chez les musulmans.

Le Figaro

via Fdesouche.com 

21/12/2012

L’immigré, quand tu es riche ou quand tu es pauvre

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui te conduit en taxi.
l’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui tague ton métro.

L’immigré, quand tu es riche, c’est une nounou africaine qui dit a ton enfant « mets ton blouson ».
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est l’enfant de cette nounou qui dit a ton gamin « donne moi ton portable ».

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui pose tes fenêtres.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui casse tes vitres.

L’immigré, quand tu es riche, c’est 1 femme de ménage dans ton appart.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est 217 Africains dans ton immeuble.

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui répare ta bagnole.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui brûle la tienne.

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui répare ton ascenseur.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui détruit le tien à coups de marteau.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un écrivain russe.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est un dealer marocain.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un intellectuel étranger qui t’ouvre sur le monde chaque matin dans ton journal.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est quinze analphabètes agressifs qui t’empêchent de sortir de chez toi le soir.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un subordonné.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est un collègue.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un tag sur une toile dans une galerie d’art.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est un graffiti sur ta voiture.

L’immigré, quand tu es riche, c’est chaque jour un regard sur l’Autre.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est chaque soir quinze regards sur soi.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un footballeur dans un tournoi.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est ta fille dans une tournante.

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui fait baisser les salaires que tu verses.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui fait baisser le salaire que tu touches.

L’immigré, quand tu es riche, c’est une balle dans la lucarne pendant la coupe du monde.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est une balle dans l’épaule après la fête de la musique.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un restaurant exotique qui s’ouvre.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est tous les commerces locaux qui ferment.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un vigile qui protège ton usine.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est un délinquant qui détruit ton quartier.

L’immigré, quand tu es riche, c’est une mannequin russe.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est une obèse en burka.

L’immigré, quand tu es riche, c’est ton garde du corps.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est ton agresseur.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un consommateur qui dope les ventes de ton usine.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est un dealer qui vend sa dope dans ton quartier.

L’immigré, quand tu es riche, c’est 1% des élèves de l’école d’ingénieurs de tes enfants.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est 90% des élèves du lycée technique de tes gosses.

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui nettoie ta merde.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui pisse dans ton hall.

L’immigré, quand tu es riche, c’est celui qui chante a la radio.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est celui qui joue du tam-tam sous tes fenêtres.

L’immigré, quand tu es riche, c’est 30 jours de vacances au Maroc.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est 30 Marocains dans ton camping.

L’immigré, quand tu es riche, c’est Noureyev.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est Diam’s.

L’immigré, quand tu es riche, c’est un concept.
L’immigré, quand tu es pauvre, c’est tes voisins du dessus.


Source: Fdesouche.com

19/12/2012

Depardieu : 'Poutine m'a déjà envoyé un passeport !'

Avant de s'installer en Belgique, Gérard Depardieu continue de se balader dans la rue du Cherche-Midi, au coeur de Paris. Mardi, il a ainsi réuni quelques amis essentiellement des gens du quartier pour boire une coupe de champagne et déjeuner dans son restaurant Le bien décidé, à trois pas de l'hôtel particulier qu'il vient de mettre en vente.

'DÉCIDÉ À INCARNER L'OPPOSITION À FRANÇOIS HOLLANDE'

'D'excellente humeur et décidé à incarner l'opposition à François Hollande et Jean-Marc Ayrault', assure l'un des convives, la star du cinéma français a expliqué en riant avoir préparé son départ 'dès le lendemain de l'élection du président socialiste', tout en soulignant qu'il vit déjà la moitié de l'année à l'étranger.



Alors que certains convives doutaient encore de son installation de l'autre côté de la frontière belge, Depardieu a lancé qu'il pouvait déjà compter sur trois pays pour l'accueillir. La Belgique, où il vient d'acheter une maison, le Monténegro, où il a des amis et fait des affaires, et la Russie : 'Poutine m'a déjà envoyé un passeport !', s'est amusé Depardieu.

Aux commerçants du quartier, atterrés par le départ de la star qui, depuis plusieurs années, soutient financièrement les artisans et commerces de bouche d'une rue gagnée peu à peu par les boutiques de vêtements, Gérard Depardieu a promis qu'il reviendrait régulièrement 'faire la fête'.

Yahoo / Le Monde

Gauche au pouvoir: l'explosion de la délinquance se poursuit

INFOGRAPHIE - L'explosion des crimes et délits se poursuit en novembre, avec 15.000 victimes de plus qu'à la même époque l'an dernier. Le Figaro a analysé les chiffres.


Le Figaro a eu connaissance des tableaux de bord mensuels de la police et de la gendarmerie. Ce sont ces chiffres que l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) rend publics et commente d'ordinaire. Mais, depuis quelques mois, leur publication est de plus en plus tardive. À croire que cette institution a perdu sa boussole depuis le départ du criminologue Alain Bauer, qui en assurait la présidence jusqu'au changement de majorité en mai dernier.

Il faut dire que le bilan statistique de novembre n'est guère réjouissant. La délinquance générale a augmenté de 5,6%, avec près de 15.000 victimes de plus en un mois (295.000 faits constatés contre 280.000 en novembre 2011).

Derrière ce «chiffre unique», trop général pour être significatif, se cache une dégradation tous azimuts. Les atteintes volontaires à l'intégrité physique, principalement des coups et blessures volontaires, ont augmenté de 5% (40.500 faits enregistrés), les atteintes aux biens, essentiellement des vols, de 6,8% (191.600 faits) et les infractions économiques et financières, véritables plaies en ces temps de crise, de 13,2% (27.000 faits).

Dans le détail, les vols dans les résidences principales et secondaires, qui constituent toujours une priorité, ont explosé de 17,2% (plus de 24.000 faits), les vols par effraction dans des commerces de 12,7% (près de 6000 faits). Quant à la criminalité organisée, on lui attribue une hausse des crimes et délits de 5,5% (2600 faits). Une évolution somme toute assez logique, à en juger par la chronique des faits divers entre Marseille, les banlieues et la Corse.

En octobre dernier, déjà, les faits enregistrés témoignaient d'une dégradation de la délinquance et d'une relative perte d'efficacité des forces de l'ordre au niveau national. Le Figaro avait révélé une hausse des crimes et délits de 8%, ce mois-là. Un mois «atypique», expliquait l'ONDRP, car tous les jours n'avaient pas été enregistrés. Son directeur, Christophe Soullez, relevait par ailleurs une bizarrerie inexpliquée dans les tendances annoncées par les gendarmes, avec 25% de hausse des violences en un mois dans les zones rurales et périurbaines dont ils ont la charge.

Polémiques sur les chiffres

Mais, en novembre, l'explication sur le mois «atypique» ne tient plus. Les violences ont encore augmenté, ce mois-là, de 19% dans les zones gendarmerie (9300 faits), tandis que les vols dans les habitations (10.400 faits) ont grimpé de 21,7%. La maréchaussée assurait en octobre que ces hausses statistiques hors norme correspondaient à l'utilisation d'un nouvel outil informatique qui ne peut pas se tromper. Mais voilà: «L'envolée des crimes et délits a commencé en juin chez les gendarmes, alors que le fameux logiciel est entré en fonction au début de l'année», fait-on remarquer à l'ONDRP. «Impossible, dans ces conditions, de ne pas imaginer une hausse objective de la délinquance», commente Bruno Beschizza, ancien syndicaliste policier devenu conseiller régional UMP de Seine-Saint-Denis. Et l'élu de rappeler que «Manuel Valls avait annoncé imprudemment sur i-Télé le 29 novembre une baisse des violences aux personnes pour novembre, alors que le mois n'était pas encore terminé».

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Face aux polémiques sur les chiffres, l'hôte de Beauvau avait vertement réagi à l'Assemblée, le 14 novembre dernier, se laissant aller à un dérapage verbal. «Le retour du terrorisme en France, c'est vous!», avait-il lancé, furieux, aux députés UMP qui, comme Éric Ciotti, l'interpellaient. Le ministre a regretté depuis ces propos, après un recadrage amical du président de la République en personne.

Au premier janvier prochain, l'outil statistique du ministère de l'Intérieur va changer. Il est censé être plus complet. Beauvau annonce même la généralisation des préplaintes en ligne pour les victimes. Autant de réformes imaginées sous Sarkozy, mais qui avaient singulièrement pris du retard en plein combat présidentiel…

Manuel Valls veut désormais aller jusqu'au bout du processus. Enfin la vérité statistique? Son modèle Georges Clemenceau le disait, en son temps: «Ce que nous dénommons vérité n'est qu'une élimination d'erreurs.»

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Source: Figaro

17/12/2012

Le FN estime que l'Agence France-Presse vend des photos de Marine Le Pen "tellement laides qu'elles frisent l'insulte"


Un photographe de l'Agence France-Presse a été refoulé vendredi matin d'une conférence de presse de Marine Le Pen, au siège du Front national à Nanterre, le parti de la droite nationale ayant fait savoir que des images de Marine Le Pen diffusées par l'agence étaient "laides" et "aberrantes". "Vous vendez des photos d'elle qui sont aberrantes, tellement laides qu'elles frisent l'insulte", a déclaré à l'AFP la directrice de cabinet de Marine Le Pen, Charlotte Soula.

"Ce n'est pas un truc de midinette. On a l'impression que c'est délibéré", a ajouté Mme Soula. La conférence de presse, intitulée "La grande glissade", était consacrée aux six premiers mois du gouvernement de François Hollande.


La direction de l'AFP "récuse les accusations portées contre le photographe mis en cause auquel elle apporte tout son soutien". Elle tient à souligner que ses photographes "appliquent comme tous les journalistes de l'agence les règles d'impartialité qui sont l'un des fondements de la mission de l'AFP".

Yahoo / Le Point

Palestine: Israël donne son feu vert à 1.500 nouveaux logements à Jérusalem-Est

Le ministère israélien de l'Intérieur a indiqué avoir donné lundi son feu vert à la construction de 1.500 logements à Ramat Shlomo, un quartier de colonisation à Jérusalem-Est occupée et annexée, relançant un projet déjà condamné par Washington en 2010.

Ce projet controversé avait été gelé après avoir déclenché une grave crise diplomatique entre les Etats-Unis et Israël pendant une visite à Jérusalem du vice-président américain Joe Biden le 9 mars 2010.

Les autorités palestiniennes ont réagi en annonçant leur volonté de saisir le Conseil de sécurité de l'ONU.

La direction palestinienne "est sur le point de prendre des mesures importantes et nécessaires contre la colonisation israélienne, parmi lesquelles le recours au Conseil de sécurité de l'ONU, pour empêcher l'application de ces décisions", a déclaré à l'AFP le porte-parole du président Mahmoud Abbas, Nabil Abou Roudeina, joint par téléphone pendant une visite officielle à Rome.

Le négociateur palestinien Saëb Erakat a appelé pour sa part l'administration américaine à "voter pour les résolutions palestiniennes qui seront soumises au Conseil de sécurité contre la colonisation israélienne".

Le comité du ministère israélien de l'Intérieur pour la région de Jérusalem a "réduit le projet de 1.600 à 1.500 logements, et le plan doit être présenté à nouveau et remplir les conditions pour obtenir une approbation finale", a expliqué à l'AFP une porte-parole du ministère.

"Cela pourrait encore prendre des mois ou des années," a précisé cette porte-parole, Efrat Orbach.

Le ministère de l'Intérieur avait annoncé le 3 décembre la tenue de cette réunion, au moment où le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu essuyait déjà une vague de critiques internationales pour sa décision de relancer un projet de construction dans le secteur "E1", près de Jérusalem, à titre de sanction contre l'accession de la Palestine au statut d'Etat observateur à l'ONU.

Ce projet, gelé depuis 2005 sous pressions américaines, qui relierait la colonie de Maalé Adoumim à des quartiers de colonisation juive à Jérusalem-Est, couperait en deux la Cisjordanie et l'isolerait de Jérusalem-Est, compromettant la viabilité d'un futur Etat palestinien.

Lors d'une rencontre à Rome lundi, le chef du gouvernement italien Mario Monti et M. Abbas ont "condamné la décision israélienne de construire 3.000 nouveaux logements dans les colonies de Jérusalem-Est", a indiqué le gouvernement italien dans un communiqué.

Israël considère Jérusalem comme sa capitale "unifiée et indivisible". Mais la communauté internationale ne reconnaît pas l'annexion en 1967 de Jérusalem-Est, dont les Palestiniens veulent faire la capitale de leur futur Etat.

Quelque 340.000 Israéliens habitent dans des colonies de Cisjordanie et 200.000 autres dans des quartiers de colonisation à Jérusalem-Est, où vivent plus de 270.000 Palestiniens.

Yahoo

Dessin du jour

 

 

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Sébastien Loeb, sportif préféré des Français en 2012

2012 aura, encore une fois, été l'année de tous les succès pour Sébastien Loeb. Auréolé d'un neuvième titre de champion du monde, le pilote automobile vient d'être désigné sportif préféré des Français, selon un sondage réalisé par L'Equipe magazine et TNS-Sofres. 31,4% des mille personnes interrogées ont plébiscité l'Alsacien, qui avait déjà été désigné sportif de l'année 2011, 2010 et 2009.

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"Injurié", Depardieu rend son passeport et charge Ayrault

Depardieu, qui a payé durant sa carrière 145 millions d'euros d'impôts à l'Etat français, avait été précédemment qualifié de "minable" par le Premier Ministre Ayrault.

 

 

Dans une lettre ouverte publiée par le Journal du dimanche, l'acteur répond au chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault qui avait jugé "assez minable" son départ.

L'acteur Gérard Depardieu, s'estimant "injurié" par les critiques sur son exil fiscal en Belgique, annonce qu'il "rend (son) passeport" français dans une lettre ouverte au Premier ministre  Jean-Marc Ayrault publiée par le Journal du dimanche (JDD).  "Je ne demande pas à être approuvé, je pourrais au moins être respecté !  Tous ceux qui ont quitté la France n'ont pas été injuriés comme je le suis",  écrit l'acteur au chef du gouvernement qui avait jugé "assez minable" son  départ. C'est ce qualificatif qui semble être resté en travers de la gorge de la  vedette. Sa "Lettre ouverte à M. Ayrault Jean-Marc, Premier ministre de M.  François Hollande" résonne comme une charge contre le Premier ministre et sa  politique fiscale.

Gérard Depardieu commence ainsi : "Minable, vous avez dit minable ? Comme c'est minable !", référence à une réplique culte de Louis Jouvet dans "Drôle de  drame" ("Bizarre... Vous avez dit bizarre ?..."). Rappelant avoir commencé à travailler "à 14 ans comme imprimeur, comme  manutentionnaire puis comme artiste dramatique", il affirme avoir "toujours  payé (ses) taxes et impôts". Il précise avoir payé "en 2012 85% d'impôts sur  (ses) revenus". "Qui êtes-vous pour me juger ainsi, je vous le demande M. Ayrault, 1er  Ministre de M. Hollande, je vous le demande, qui êtes-vous ?", lance M. Depardieu, l'un des acteurs les mieux payés du cinéma hexagonal, qui a cumulé  les récompenses mais aussi les frasques. "Je n'ai jamais tué personne, je ne pense pas avoir démérité, j'ai payé 145 millions d'euros d'impôts en 45 ans, je fais travailler 80 personnes (...) Je  ne suis ni à plaindre ni à vanter, mais je refuse le mot minable", insiste-t-il. "Je pars parce que vous considérez que le succès, la création, le talent en fait la différence doit être sanctionnée", poursuit celui qui a acquis une  propriété dans le village belge de Néchin, frontalier de la France, comme avant  lui d'autres riches Français.
 
"Je vais rester poli"
 

"Des personnages plus illustres que moi ont été expatriés ou ont quitté  notre pays. Je n'ai malheureusement plus rien à faire ici, mais je continuerai à aimer les français et ce public avec lequel j'ai  partagé tant d'émotions !"  "Je vous rends mon passeport et ma Sécurité sociale dont je ne me suis jamais servi. Nous n'avons plus la même patrie, je suis un vrai européen, un  citoyen du monde, comme mon père me l'a toujours inculqué", assène encore  Gérard Depardieu. 

Premier à réagir parmi les membres du gouvernement, le ministre du Travail Michel Sapin a vu dans dans la décision de l'acteur "une forme de déchéance personnelle", une "attitude pas à la hauteur de l'acteur", lors du Grand rendez-vous Europe 1/iTélé/Le Parisien. La ministre de la Culture Aurélie Filippetti s'est affirmée "tout à fait  scandalisée" sur BFM-TV. "La citoyenneté française c'est un honneur, ce sont des droits et des devoirs aussi, parmi lesquels le fait de pouvoir payer l'impôt", a-t-elle insisté. Tout en se disant "triste" de la décision de l'acteur avec qui elle avait travaillé contre l'illétrisme, l'ancienne ministre UMP Nadine Morano a surtout estimé qu'il était la victime du "matraquage fiscal" du gouvernement socialiste.

"Comportement éthique"

Le départ annoncé de l'acteur, concomitant avec la confirmation de la mise  en vente de son hôtel particulier parisien, avait suscité en début de semaine une avalanche de réactions dans le monde politique. Très critique, la gauche avait dénoncé une attitude antipatriotique, tandis  que la droite y voyait le résultat de la politique du gouvernement. "Je trouve cela assez minable (...). Tout cela pour ne pas payer d'impôt,  pour ne pas en payer assez", avait déclaré mercredi Jean-Marc Ayrault.


Le président François Hollande en avait appelé vendredi à Bruxelles à un "comportement éthique", prônant une renégociation des conventions fiscales avec la Belgique. Muet jusque-là, l'acteur est sorti de son silence avec cette lettre de  trois pages dans laquelle il estime ne pas avoir "à justifier les raisons de  (son) choix qui sont nombreuses et intimes". "Malgré mes excès, mon appétit et mon amour de la vie, je suis un être  libre Monsieur et je vais rester poli", conclut-il un brin théâtral sa missive  au Premier ministre.

Source: LCI / TF1

15/12/2012

Dessin du jour

 

 

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