10/01/2015
Une Femen musulmane brûle le coran. Aucun média ne reprend l’info
1) Lorsque des Femen scient des croix, s’exhibent nues à la Madeleine, pissent dans les églises, s’immiscent dans Notre-Dame, toute la presse nationale et internationale s’en fait l’écho (une simple recherche Google vous en convaincra)
2) Lorsqu’une Femen publie une vidéo dans laquelle elle brûle le coran en le qualifiant de « livre de haine » aux « bases pourries », le nombre d’articles dans les grands médias est strictement égal à zéro.
3) et la vidéo est censurée par Youtube
Rediff ci-dessous (nouvel hébergeur)
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« Voyez ça ? C’est le Coran. Soi-disant un livre d’amour et de paix… Moi je le crois pas du tout, je le connais bien ce livre. C’est un livre de haine, les bases sont pourries. On peut rien construire avec ce livre (…) Il faut se débarrasser de cette religion. »
via Fdesouche.com
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Etats-Unis - Racisme anti-blanc: elles passent à tabac une ado et postent les photos sur Facebook
Une jeune fille de 19 ans a été violemment attaquée par six femmes, dans l'Ohio (Etats-Unis) qui ont ensuite posté sur les réseaux sociaux des vidéos et des photos de leur agression.
Le soir de Noël, Cheyanne Willis, une adolescente de l'Ohio (Etats-Unis) est en voiture avec son petit ami. Alors qu'il la conduit sur le parking d'un centre commercial, dans la banlieue de Cincinnati, la jeune Cheyanne Willis, 19 ans, est loin d'imaginer l'enfer qu'elle s'apprête à vivre.
Elles sont six femmes à l'attendre sur ce parking. Laissée seule, Cheyanne se fait alors attaquer d'une manière extrêmement brutale. Ses assaillantes entreprennent de la frapper et de la traîner par terre, avant de lui raser une partie du crâne et d'écrire des insultes sur son front au moyen d'un eye-liner.
"J'aurais préféré qu'elles me tuent"
La vidéo de l'agression, filmée par l'une des suspectes, montre la jeune adolescente le visage écrasé contre le capot d'une voiture, suppliant ses agresseuses de cesser leurs attaques. Dans la vidéo, postée ensuite sur Facebook, on entend la jeune fille supplier ses bourreaux, en vain. Elles ont écrit sur son front à l'eye-liner, volé son sac et détruit son permis de conduire. Pour l'heure, seules deux d'entre elles ont été arrêtées par la police.
Les mobiles de l'agression restent flous. La jeune Cheyanne aurait essayé d'acheter une voiture, dont une des assaillantes serait la propriétaire. Quoiqu'il en soit, la jeune femme porte aujourd'hui les stigmates de cette attaque : "Je suis traumatisée, raconte-t-elle au Daily Mail ce samedi. J'aurais vraiment préféré qu'elles me tuent. Je voudrais ne plus être là, honnêtement. Je sursaute à chaque bruit que j'entends, j'ai des cauchemars, je ne quitte plus ma mère".
http://www.wcpo.com/news/local-news/hamilton-county/fores...
via Metronews et WCPO Cincinatti
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Grand Remplacement: Jour de soldes en Angleterre (vidéos)
Nos voisins anglais ont pour tradition d’avoir, soit le 26 décembre ou soit le premier jour ouvrable après Noël , le lancement des soldes d’hiver plus communément surnommé le « Boxing Day »
Londres en 1970 :
La vidéo ci-dessous a été filmée à l’ouverture d’un des magasins d’habillement de la chaine Matalan (un peu l’équivalent en France de La Redoute) dans la petite ville provinciale de Dewsbury (54.000 habitants) qui se trouve à 269 kilomètres de Londres.
« No comment » comme disent nos amis anglais.
Dewsbury en 2014 :
via Fdesouche.com
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Florian Philippot: "Avec l'exclusion du Front National, la manifestation de dimanche se transformera de fait en marche UMPS, en marche du Système" (LCI, Radio Classique)
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«Tous ces gens qui prétendent défendre la liberté d’expression, c’est du vent : les terroristes ont gagné »
Douglas Murray, écrivain et journaliste britannique, dans un entretien diffusé par la BBC le 7 janvier après les attentats contre Charlie Hebdo:
[extraits traduits de la vidéo ci-dessous] « Il va y avoir un nombre considérable de réactions du genre ‘il faut défendre la liberté d’expression‘, ‘nous devons nous lever pour défendre la liberté d’expression » etc. Tout ça, c’est du vent.
Depuis 2005 et l’affaire des caricatures danoises de Mahomet, publiées dans le Jyllands-Posten, tous les journaux européens se sont couchés. Aucun n’a soutenu ce journal ou republié de caricatures. Un seul l’a fait : Charlie Hebdo. Et aujourd’hui, tous ces journaux, et tous ces journalistes, clament qu’il faut étre ‘solidaire‘ de Charlie Hebdo. Mais c’est du pipeau !
Vous savez fort bien , et je le sais aussi, que jamais la BBC n’osera republier ces dessins. Aucun grand journal, aucun grand magazine, aucun grand media européen ou presque, n’osera. Et nous répétons comme des perroquets « défense de la liberté d’expression« . Dans les faits, c’est bien le contraire qui se passe. On répète en boucle qu’il ne faut pas laisser les terroristes gagner. Mais ils ONT gagné. Et à chaque fois, ils ont gagné.
Les terroristes ont gagné leur combat. Ils ont réussi à bailloner, à étouffer, à faire s’éteindre tout un pan de la réflexion et du débat. Et tous ces ces gens, qui s’imaginent qu’ils défendent la liberté d’expression, ont en réalité cédé aux terroristes. C’est une humiliation. »
Le texte en anglais ici
via Fdesouche.com
15:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Un ami d’enfance se confie : les frères Kouachi «détestaient les Gaulois»
De 1994 à 2000, Pierre*, Français désormais installé en Romandie, a grandi dans un foyer de Corrèze avec les frères Kouachi. L’aîné était son «meilleur pote». Témoignage.
(…) «La Fonda», il n’en garde pas que de bons souvenirs même s’il est venu à notre rendez-vous avec sous le bras un album de photos de l’époque. «Tous ceux que j’ai connus là-bas et dont j’ai eu des nouvelles ont mal tourné. Plusieurs sont en prison, d’autres sont tombés dans la drogue ou même morts», explique celui qui y avait été placé en tant qu’orphelin. Saïd et Chérif Kouachi qu’il imaginait sur le bon chemin comme lui viennent donc grossir cette liste. «Les années passées au foyer ne les ont pas aidés mais de là à tomber aussi bas!» commente Pierre. Là-bas, il fallait savoir se servir de ses poings. «Mon premier contact avec Chérif s’est passé le lendemain de mon arrivée. Il m’a tabassé sans raison comme je l’avais déjà été la veille par un autre.»
«Ils détestaient les Gaulois»
A l’époque, le cadet des frères Kouachi n’est pas porté sur la religion mais déjà «du genre radical» d’après Pierre. Il est alors «très bagarreur», fort en gueule, «aime se saper» élégamment selon les critères en vigueur à la «fonda» – «à savoir en survêt Lacoste et chaussures requin» – enchaîne les aventures sexuelles avec les filles du foyer, déteste «les Gaulois» (les Français de souche) et le fait savoir en affichant un dédain silencieux vis-à-vis des éducateurs qui tentent de l’aider malgré lui. Balle aux pieds en revanche, l’ado fait des étincelles. «Il avait des pieds en or et alignait sans problème 200 jongles de la tête. Un vrai Messi! Il avait même commencé un sport-études d’où il s’était rapidement fait virer», se souvient Pierre.
(…) Lematin.ch
via fdesouche.com
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Minute de silence : «Je te bute à la kalach» lance un élève à son prof
Une minute de silence a été demandé dans les écoles, collèges et lycées. L’exercice n’a pas toujours été un exercice facile. Prévisible, selon les enseignants exerçant sur ces territoires où les tensions religieuses sont vives.
«Impossible d’engager un débat sur le sujet», explique un prof de philo de l’Essonne. Ces minutes ont même parfois dérapé. «Je te bute à la kalach», a lancé à Lille un élève de quatrième à son enseignante, pendant cette minute de silence.
Dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, pas moins de 80 % des élèves d’une classe ont refusé cette minute de silence.
«Certains reproduisent des discours complotistes», explique l’enseignant qui, à force de discussion, a finalement convaincu la moitié d’entre eux.
Certains élèves ont aussi fait entendre leurs convictions. «Mais vous ne comprenez pas, le Prophète, ils n’auraient pas dû le dessiner (…). Il est au-dessus des hommes», a lancé une élève de sixième à son professeur.
Un élève d’une enseignante de français dans le XIIIe arrondissement de Paris l’a interpellée en ces termes: «Madame, c’est possible que je ne fasse pas la minute de silence? Je ne veux pas me recueillir pour des gens comme ça.»
Un autre lui a lancé: «Ils l’ont bien cherché. On récolte ce que l’on sème à force de provoquer.»
Dans cette classe de troisième comptant 26 collégiens, huit ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national.
Dans un collège de Roubaix, un rassemblement de 400 élèves a été dominé par un «grand bourdonnement» et les réflexions de certains qui «ne comprenaient pas bien à quoi ça servait», rapporte un enseignant.
Sur son compte Facebook, une prof narre la difficile journée de jeudi, expliquant vouloir demander sa mutation. Elle raconte avoir été accueillie à 8 heures par des «Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué»…
Source - Merci à Manu1379
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Même sujet :
- « Des élèves ont refusé de participer à la minute de silence »
- Dans une mosquée de Toulouse : «On ne peut pas se mélanger avec ceux qui justifient les caricatures du prophète»
- Le désarroi d’une prof qui parle de « Charlie » à ses élèves : minute de silence méprisée, provocations…
- Un enseignant du 95: ses éléves justifient l’attentat contre Charlie Hebdo
13:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
(Rediff) Guy Bedos : « Charlie Hebdo ce n’est pas mes copains. Qu’ils crèvent ! »
« Charlie Hebdo ce n’est pas mes copains. Qu’ils crèvent !
Ils ont pris des risques sur la peau des autres »
via Fdesouche.com
12:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Attentats islamistes : Jean-Yves Le Gallou décrypte la propagande du Système (TV Libertés)
12:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Et s’ils faisaient leur examen de conscience ?
Cessez de vous laisser berner par tous ceux qui veulent, une fois de plus, faire diversion et tenter de vous endormir.
Après le « Ich bin ein Berliner ! » de Kennedy en 1963, le « Nous sommes tous des juifs allemands ! » des jeunes allumés du Quartier latin en 1968, voici qu’aujourd’hui, comme une fulgurante épidémie, fleurissent, dans les rues et sur les forums, les innombrables « Je suis Charlie ! »… Alors, à côté de l’indignation que moi aussi j’éprouve devant ce nouveau massacre révoltant perpétré par les islamistes, j’ai du mal à réprimer en moi – qu’on me le pardonne ! – une irrépressible envie de ricaner.
Quand ils auront fini de pleurnicher, quand ils auront séché leurs larmes, dans une semaine (deux tout au plus), tous nos « je-suis-charlie » reprendront leurs activités ordinaires et se remettront à cracher tranquillement sur Éric Zemmour, Renaud Camus, Richard Millet ou Alain Finkielkraut, sur tous ces plumitifs infâmes qui, avec leurs fantasmes « remplacistes », leurs délires islamophobes, leur xénophobie fièrement revendiquée, toutes leurs provocations criminelles destinées à jeter de l’huile sur le feu, sont loin d’être étrangers à ce qui vient de se passer et qu’on ne peut donc pas du tout exonérer de toute responsabilité.
Au lieu de s’abandonner ainsi à l’émotion facile et à l’indignation convenue, ils feraient mieux, tous ces braves gens éplorés, de faire leur examen de conscience et d’essayer de réfléchir un peu. Qui, parmi eux, pourra soutenir que ce qui vient de se passer n’est pas le résultat de 40 ans d’invasion de la France par des populations allogènes inassimilables ?
Le résultat d’une politique de soumission toujours plus grande à l’islam, à ses interdits alimentaires, à ses excentricités vestimentaires, à la multiplication de ses lieux de culte ? Le résultat d’un lâche consentement de presque tous nos hommes politiques à la halalisation progressive de notre France ? Qui, enfin, pourra prétendre que depuis 40 ans aucune voix courageuse (vox clamans in deserto) ne se serait élevée pour les mettre en garde contre ces dangers qui sont aujourd’hui devenus flagrants ?
Et puis on nous présente Charlie Hebdo comme un symbole de la liberté d’expression, ses journalistes comme des démocrates scrupuleux et d’intraitables champions de la tolérance. Quelle rigolade ! Bien sûr, ce n’est pas faire injure à ces humoristes lâchement assassinés que de rappeler que c’étaient avant tout des soixante-huitards convaincus, des hommes qui, bien que partisans du fameux « Il est interdit d’interdire », n’hésitaient jamais à tenter de bâillonner ceux dont les idées ne leur convenaient pas. Faut-il rappeler que le malheureux Charb lui-même, avec ses amis de Charlie, avait pris l’initiative, en 1996, d’une vaste pétition pour exiger du gouvernement l’interdiction du Front national. Pour eux, la liberté d’expression, c’était donc bon pour certains mais pas pour tous ! Ils ne faisaient là qu’appliquer les bons principes proclamés en 1793 par les dirigeants de la République terroriste : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! »
Allez, mes frères, soyez courageux ! Cessez de vous leurrer vous-mêmes, cessez de vous laisser berner par tous ceux (les Edwy Plenel, Laurent Joffrin et Cie) qui veulent, une fois de plus, faire diversion et tenter de vous endormir, renoncez à toutes ces simagrées ridicules et ouvrez plutôt les yeux : osez enfin prendre conscience des tâches difficiles qui attendent aujourd’hui, dans notre pays, les vrais patriotes.
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