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15/01/2015

Philippe Tesson : «Le problème, c’est les musulmans. On le dit ça ? Moi je le dis !»

«D’où vient le problème dans les atteintes à la laïcité ? Des musulmans. C’est les musulmans qui amènent la merde en France. On le dit ça ? Moi je le dis ! Les fanatiques, ils sont quoi ? Ils sont musulmans, zut quoi !»
Morandini

via Fdesouche.com

Le mouvement Pegida contre l’islamisation s’exporte en Espagne

Le mouvement anti-islam Pegida, né en Allemagne où il prend de l’ampleur, a annoncé aujourd’hui avoir ouvert une branche en Espagne alors qu’il commence à essaimer ailleurs en Europe après les attentats de Paris.

La branche espagnole de Pegida a été lancée sur Twitter le 8 janvier, au lendemain de l’attentat à Paris contre l’hebdomadaire français Charlie Hebdo qui a fait 12 morts. « L’islam n’a pas sa place dans des sociétés libres et démocratiques comme celles d’Europe », écrivait le groupe dans son premier message posté sur le réseau social.

La branche espagnole de Pegida, l’acronyme allemand pour « Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident », a depuis attiré quelque 800 abonnés (followers) sur Twitter et plus de 2.700 mentions « J’aime » sur sa page Facebook. « Nous préparons une manifestation de Pegida Espagne, où viendront des membres de Pegida Allemagne. Nous publierons sur Twitter la date et l’annoncerons par email », a expliqué la branche espagnole. [...]

Pegida Espagne avait dans un premier temps prévu d’organiser sa première manifestation lundi dernier devant la plus grande mosquée de Madrid. Mais le groupe avait finalement annulé après que les autorités n’aient pas autorisé ce rassemblement, lui conseillant de trouver un autre lieu. [...]

Outre l’Espagne, Pegida a des ramifications naissantes ou annoncées en Autriche, en Norvège, en Suède et en Suisse.

Avec quelque 47 millions d’habitants, l’Espagne compte environ 1.000 mosquées, centres culturels et salles de prières pour environ deux millions de musulmans, selon l’Union des Communautés Islamiques d’Espagne.

Source

via Fdesouche.com

14/01/2015

Pour en finir avec le multiculturalisme (Laurent Ozon)

 

Laurent Ozon est le fondateur du Mouvement pour la Remigration.

Citation du jour

« Pendant plusieurs années, et sans doute même plusieurs dizaines d’années, Le Monde, ainsi plus généralement que tous les journaux de centre-gauche, c’est-à-dire en réalité tous les journaux, avaient régulièrement dénoncé les « Cassandres » qui prévoyaient une guerre civile entre les immigrés musulmans et les populations autochtones d’Europe occidentale.

[…] Depuis quelques mois, l’attitude des médias de centre-gauche avait changé : les violences dans les banlieues, les affrontements inter-ethniques, on n’en parlait plus du tout, le problème était simplement passé sous silence, et on avait même cessé de dénoncer les « Cassandres » […]  »

« Soumission », Michel Houellebecq, roman, pp. 55-56, publié le 7 janvier 2015.

L'image du jour

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Rue Morand, à l’heure de la prière

Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le "génocide par substitution".

priere,ruemorand,islam,musulmans,grandremplacementJe sors du métro, station Belleville. Belleville, ou ce qu’il en reste. Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le « génocide par substitution ».

Si je suis là, en ce vendredi, c’est pour voir et pour témoigner. Les « prières de rue » – dossier classé au ministère de l’Intérieur – subsisteraient dans le XIe arrondissement. Puisqu’il ne faut rien attendre des médias officiels – seuls Riposte laïque, le Bloc identitaire et quelques blogueurs se sont penchés sur la question –, je me ferai une opinion de visu.

Rues Louis-Bonnet, de l’Orillon, puis Morand. Rue grise et poisseuse. Je marche vers la mosquée Omar – « haut lieu du salafisme » selon les services spécialisés – au numéro 2. Rien. Je suis peut-être en avance. Afin d’observer l’endroit en toute discrétion, je me poste dans une entrée d’immeuble, à vingt mètres.

Les fidèles convergent lentement et régulièrement vers la mosquée. Jeunes, vieux, hommes (certains en djellaba), femmes (niqab de rigueur) s’engouffrent dans le petit bâtiment blanc et vert. Ils ont leur tapis de prière dans un sac en plastique ou dans la main. Une demi-heure s’écoule, et toujours pas d’attroupement ostensible.

Progressivement, un petit groupe se forme au bas du temple ; puis des hommes commencent à piétiner aux alentours. Soudain, un vieillard emmitouflé s’installe dans l’espace où je me crois dissimulé, et déplie un petit tabouret. Bientôt, un autre homme aborde mon observatoire ; il étend un carton au sol. J’engage avec lui la discussion. Bourru mais affable, il se met à m’expliquer que la mosquée est trop petite pour accueillir tout le monde, malgré ses trois étages. Je lui demande combien de personnes viennent prier (quelques centaines ?). « Oh, beaucoup plus », me répond-il ; et d’un geste de la main, il englobe toute la portion de rue que nous voyons pour me signifier que « ça viendra jusque-là ».

En effet. À partir de 13 h 30, la foule occupe un bon tiers de la rue. Il y a là pas moins de trois cents hommes. Je vois passer un costaud avec une grosse pile de cartons sur l’épaule, qu’il déploie sur la chaussée un peu plus loin. Nous sommes maintenant cinq dans la petite entrée où je fais toujours mine d’attendre ; personne ne semble faire attention à moi. L’homme bourru s’inquiète de laisser un espace pour la porte de l’immeuble. Mais des deux côtés du porche, le bitume est jonché de mains et de genoux ; pour sortir, il faudrait enjamber la barrière donnant sur la route. Moi-même, je suis assigné là, piégé dans une rue de Paris. La prière commence. « Allahou Akbar » résonne dans la ville, entre silences et murmures… L’intensité de la dévotion est palpable.

À 14 h 15, la foule se redresse et se disperse rapidement. Mon interlocuteur provisoire me glisse : « La prière a pris cinq minutes de retard aujourd’hui ». Comme pour se justifier. Puis il me tourne le dos et s’éloigne. Quant à moi, j’ai vu.

 
 
Vidéo du Bloc identitaire sur les prières musulmanes ayant lieu dans la rue Morand, près de la mosquée Omar:
 

Les italiens s’opposent en masse à la présence des immigrés

Né dans la périphérie de Rome, le mouvement s’oppose à la présence des immigrés.

«Droit au logement, droit au travail, nous ne les avons pas, ils ne les auront pas.»

C’est le nouveau slogan scandé en Italie du Nord au Sud, de la péripherie de Naples à Bergame, en passant par Bologne et bien d’autres villes encore. Mais c’est dans une paisible banlieue romaine que tout a commencé, à Tor Sapienza, avec, début octobre, une première manifestation regroupant 200 personnes protestant contre l’ouverture d’un centre d’accueil pour immigrés. Le 15 novembre, ce sont près de 5.000 personnes qui protestaient dans le centre de Rome pour demander un plus grand contrôle de l’immigration et plus de sécurité.

Antonio Castronovi habite Tor Sapienza. Lorsque, en novembre, il observe ses voisins manifester avec violence contre la présence d’un centre pour réfugiés, il est frappé. Non pas par les insultes racistes –«sales nègres on va vous brûler»–, ni par les menaces de mort adressées aux réfugiés politiques barricadés dans le centre d’accueil. Ce qui a choqué l’auteur de Le periferie nella città metropolitana («Les banlieues dans la ville métropolitaine»), c’est l’expression désespérée d’un besoin de revanche sociale:

«On reproche à ces immigrés leur position de privilégiés.»

Ce sentiment d’infériorité par rapport au dernier arrivé est partagé par les riverains des banlieues les plus dégradées de la ville. Comprendre comment cette ancienne bourgade communiste s’est transformée en théâtre de violentes protestations virant au racisme, et en terrain d’infiltration du mouvement d’extrême droite Casapound, c’est mettre un doigt sur la fragmentation géographique et sociale des banlieues. Si, dix ans après la France, l’Italie s’apprête à vivre sa crise des banlieues, les manifestations et les causes du malaise sont loin d’être similaires….

Source

via Fdesouche.com

Une manifestation contre l’islamisation autorisée à Paris dimanche

La manifestation lancée par 2 associations (Riposte laïque et Résistance républicaine) aura bien lieu. Ces deux associations appellent à un rassemblement à Paris le 18 janvier pour « exiger l’expulsion de tous les islamistes de France ».

Nous venons d’obtenir en référé l’annulation de la décision du préfet Boucault sur demande du ministre Cazeneuve. L’interdiction de nos rassemblements de jeudi dernier, en hommage aux victimes des attentats de Charlie Hebdo, et du 18 janvier, demandant l’expulsion de tous les islamistes de France, est illégale selon les juges, qui condamnent l’Etat à nous verser 800 euros de compensation.

Nous maintenons donc, plus que jamais, l’appel à nous rejoindre, à Paris, place de la Bourse, à 14h30, dimanche 18 janvier.

Source

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Sheikh Imran Hosein conseille aux Musulmans de France de rentrer dans leurs pays d’origine (vidéo en anglais)

"La France n'est pas votre pays. Votre vrai pays, c'est le pays de vos parents, le Maroc, l'Algérie..."

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Charlie Hebdo: vidéo des frères Kouachi tirant sur une voiture de police en plein Paris