06/12/2014
Partialité du JT de France 2 : la réplique de Bruno Gollnisch
Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, Député français au Parlement européen, Membre du Bureau Politique du Front National
France 2 a cru tenir son « scandale » que l’on a essayé de présenter comme tel au journal télévisé de M. Pujadas, à 20 h hier soir, 3 décembre 2014 : les députés européens du Front National procèdent au Parlement Européen, avec les micros mis à la disposition de tous les députés, à des enregistrements audiovisuels pour parler de sujets divers, pas toujours directement liés à l’ordre du jour de l’Assemblée ! S’il faut parler d’Europe, la télévision d’État aurait cependant pu rendre compte de nos travaux, nos interventions en hémicycle, nos innombrables votes, conférences, et prises de position. Non. Cela pourrait intéresser les Français ; cela n’intéresse pas France 2.
Lorsque France 2 l’a interrogé, Bruno Gollnisch était alors suivi par un étudiant effectuant un reportage dans le cadre de ses études sur l’eurodéputé. Sa bande vidéo des 10 minutes d’entretien avec les journalistes de France 2 a été récupérée par le site « Le Rouge & le Noir », qui se veut « gazette en ligne de réinformation, de réflexion et d’analyse ». Nous diffusons sur le blog de Bruno Gollnisch le reportage de France 2, suivi de celui de l’intégralité de ce qui a été dit, et pris par la contre-caméra. Chacun pourra ainsi juger du caractère très partiel de l’information diffusée…
« Il est possible de tirer avantage du flou propre à la plus innocente des informations. L’aloi de vérité qui y est compris n’étant ni fixe ni garanti, il n’y a rien de plus facile que de joindre à l’approximation involontaire la tromperie délibérée » (Vladimir Volkoff, pourfendeur de la désinformation).
Chère (trop chère ?) France 2, vous avez voulu ouvrir le débat, nous allons le poursuivre… Rendez-vous la semaine prochaine depuis Strasbourg sur ma prochaine « Vox Box » du Parlement européen !
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05/12/2014
Ces Français qui s’engagent dans l’armée israélienne
De plus en plus de jeunes juifs quittent la France et s’enrôlent dans l’armée israélienne. Enquête sur un phénomène qui fait polémique.
Un porte-parole de Tsahal : « Pour des raisons de sécurité, nous ne pouvons accepter de participer à cet article. » Son homologue au Quai-d’Orsay : « Nous n’avons pas d’éléments, ni de statistiques à communiquer. »
Le 26 mai dernier, en fin d’après-midi, un officier de Tsahal a ainsi donné une conférence sur la politique de recrutement à la grande synagogue de la Victoire, dans le 9e arrondissement de Paris.

Simon, 31 ans, a laissé tomber sa 4e année de droit à Assas pour rejoindre une unité combattante à la frontière de Gaza. (Sébastien Leban pour Simon, 31 ans, a laissé tomber sa 4e année de droit à Assas pour rejoindre une unité combattante à la frontière de Gaza. C’est sa dernière soirée à Tel-Aviv. Il a programmé son réveil à 5 heures du matin, préparé son sac à dos, passé un ou deux coups de fil, et maintenant il est assis face à la Méditerranée, une bière à la main, sur une chaise en plastique rouge du Café La Mer. Benjamin (le prénom a été changé) a 20 ans. Il a grandi dans le Val-de-Marne au sein d’une famille juive d’origine marocaine, et passé son bac au lycée confessionnel Ozar Hatorah, dans le 13e arrondissement. Il était à Paris, cet été, au moment de l’opération Bordure protectrice à Gaza.
La plupart font leur alya (en hébreu : « ascension » en Terre sainte), prennent la nationalité israélienne et s’engagent dans Tsahal (voir encadré). D’autres choisissent, comme Benjamin, de ne pas devenir israéliens et de rejoindre l’armée dans le cadre du programme de volontariat Mahal [...].
« Le cocktail Molotov jeté contre une synagogue, les cris de ‘mort aux juifs’, j’avais l’impression que la guerre arrivait en France. Je me suis demandé si ma place était encore là, dans un pays où je ne peux plus descendre dans le métro avec une kippa… » [...]
A l’Assemblée nationale, deux députés viennent d’interpeller le gouvernement. Jean-Jacques Candelier (Gauche démocrate et républicaine) a demandé si « des poursuites judiciaires seront engagées à l’encontre des Français servant dans une armée de colonisation étrangère » et Pouria Amirshahi (PS) a réclamé des éclairages sur « la démarche de ces jeunes » qui « aliment[e] les tensions entre les peuples et import[e] [...] un conflit qui met en danger l’unité nationale« . [...]
Signe d’un communautarisme de plus en plus fort ? « Chaque génération a ses causes. Aujourd’hui, les juifs défendent un judaïsme identitaire qui veut sauver Israël, conclut Esther Benbassa, chercheuse au Centre Roland-Mousnier et sénatrice EELV. On ne peut pas comparer cet engagement avec les départs pour le djihad. Mais c’est une quête de sens, une recherche de cause forte, où l’on risque sa vie. » [...]
Au ministère de la Défense, on répond que le service des binationaux relève d’une convention signée entre la France et Israël en 1959 et que les militaires non israéliens de Tsahal « sont comparables aux soldats de la Légion étrangère, engagés au Mali avec les autres corps français, sans que cela regarde leur pays d’origine« .
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04/12/2014
Philippe de Villiers : « On est en train de vivre un changement de peuplement »
RMC – 04/12/14
"On est en train d'islamiser la france sans que personne ne dise rien."
"Votre but secret, c'est de détruire l'identité de la France."
via Fdesouche.com
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03/12/2014
Le tract du jour
23:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
02/12/2014
Dessin du jour
22:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Le jour où Israël attaqua l'Amérique (documentaire - Al Jazeera)
Al Jazeera
22:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Désaccords entre le gouvernement et l'industrie plastique sur le Bisphénol A
Le gouvernement français estime qu’il sera possible d’utiliser des substituts au Bisphénol A dans la fabrication de nombreux emballages en plastique dès 2015. Une analyse jugée « irréaliste » par l’industrie du plastique.
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Gil Arias-Fernández (Agence Frontex- UE): « Il n'y a pas de gros problèmes d'immigration à Calais »
Gil Arias-Fernández est directeur adjoint de l’agence Frontex chargée de la surveillance aux frontières extérieures de l’Union européenne. De passage à Paris, il évoque pour EurActiv l’opération Triton et Calais.
16:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Dessin du jour
12:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Guerre d’Algérie: la justice française étend l’accès aux pensions d’invalidité… aux Algériens
La justice française a jugé, pour la première fois, que les victimes civiles de violences pendant la guerre d’Algérie pouvaient prétendre à une pension qu’elles aient été françaises ou algériennes à la date du 31 juillet 1963, selon un arrêt de la cour d’appel de Toulouse.
Jusqu’à présent, il fallait être de nationalité française au moment de la promulgation de cette loi du 31 juillet 1963 pour pouvoir bénéficier d’une pension d’invalidité en tant que victime civile d’un attentat ou de violences pendant la guerre d’Algérie (1954-1962).
« La différence de situation instaurée par cette loi entre des victimes civiles de nationalité française ou algérienne ne justifie par une différence de traitement au regard de l’objet des pensions », écrit la cour d’appel de Toulouse dans un arrêt rendu mercredi et que l’AFP a pu consulter vendredi.
Dans son arrêt, la cour régionale des pensions militaires de Toulouse conclut qu’un homme aujourd’hui âgé de 71 ans, blessé par balle en 1960 dans la ville de Mostaganem à l’âge de 17 ans, est « en droit de réclamer une pension », en application de la loi du 31 juillet 1963, même s’il n’a obtenu la nationalité française qu’en 2005.
(…) Le Parisien
via fdesouche.com
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