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18/04/2009

Chasse au Blanc dans un bus RATP

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Cette vidéo est censurée sur les sites de You Tube et Daily Motion, mais est heureusement disponible sur le site russe Rutube (merci à nos amis russes pour leur amour de la liberté d'information, et leur indépendance d'esprit).

Les médias français, dans leur grande majorité, ne parlent jamais du caractère évidemment raciste de cette agression, et se contrefichent totalement du sort de la victime, qui dorénavant, prendra le taxi ou achètera une arme...

La France est le pays de l'apartheid, les Blancs ne peuvent pas y utiliser les transports en commun sans risquer de se faire attaquer par des sauvageons venus d'Afrique.

La France, pays des Droits de l'Homme? A qui veut-on faire croire cela? Nous n'avons pas de médias libres.

Les Français honnêtes n'ont qu'un seul droit: celui de payer leurs impôts, et de se laisser envahir en silence et agresser en toute impunité par les immigrés, issus de la belle "diversité"!

 

09/04/2009

Maxime, 22 ans, tué gratuitement par quatre racailles de banlieue

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La petite commune d’Unias, dans le département de la Loire, est encore sous le choc après la mort d’un jeune homme de 22 ans, énième victime de la barbarie des « bandes » comme il est convenu de dire aujourd’hui pour éviter de désigner les coupables.

Dimanche dernier, vers 5 heures du matin, un groupe de « racailles » venu de la banlieue stéphanoise prend en grippe les clients d’une discothèque, à la sortie de l’établissement. Une dispute éclate, des insultes fusent. Les agresseurs rejoignent leur véhicule, une BMW, et font mine de s’éloigner du parking. Les derniers occupants de la discothèque, riverains des communes environnantes, regagnent leur domicile à pied, en marchant tranquillement au bord de la départementale 108. Quelques minutes plus tard, les agresseurs reviennent et foncent volontairement sur un petit groupe qui marche tranquillement au bord de la route, avant de prendre la fuite. Plusieurs jeunes réussissent à éviter le véhicule, mais deux d’entre eux sont sérieusement blessés. Maxime, lui, est tué sur le coup.

Le gérant de la discothèque Pablos confiait Lundi au quotidien Le Progrès qu’il n’avait jamais vu les occupants de la BMW dans son établissement. A l’inverse, « Maxime et ses amis étaient des habitués. Ils étaient même devenus des copains » précise-t-il. Des copains « qui n’avaient jamais causé le moindre problème ». D’ailleurs, il affirme que ce soir-là « tout s’est bien passé, il n’y a pas eu d’altercation (…) Quelques mots ont été échangés, mais rien de méchant ».

Les quatre occupants de la BMW, âgés d’une vingtaine d’années et résidant dans la banlieue stéphanoise, ont été interpellés lundi, l’un d’entre eux s’étant constitué prisonnier au commissariat de police de Firminy. L’identité des agresseurs reste à ce jour entre les mains des enquêteurs. Face à ce crime révoltant, le Front National de Haute-Loire assure la famille du jeune Maxime de son soutien et de sa détermination totale dans le combat contre l’impunité dont bénéficient les nouveaux barbares qui sévissent dans nos banlieues.

Pierre Cheynet (fn43@wanadoo.fr) source : leprogres.fr

29/02/2008

Enseignante poignardée: échange tendu entre le mari et un élève

1709398608.jpgEVRY (AFP) - Un échange tendu a eu lieu vendredi au procès de Kévani Wansale devant les assises de l'Essonne, entre un élève qui avait tenté de s'interposer et Frédéric Toutain, le mari de l'enseignante poignardée le 16 décembre 2005 au lycée Louis-Blériot d'Etampes (Essonne).

L'échange a eu lieu après une audition difficile, où Sofiane, camarade de classe de l'accusé, a rechigné à évoquer les faits, se montrant avare de mots. Frédéric Toutain s'est levé et s'est approché à quelques centimètres du jeune homme.

Il l'a sommé d'évoquer l'échange qu'ils avaient eu lorsque le jeune homme s'était rendu à l'hôpital pour prendre des nouvelles de sa prof, et durant lequel il avait remercié l'élève d'être intervenu.

"On avait eu une discussion d'homme à homme. Je t'ai dit merci. Tu m'as dit qu'on aurait jamais dû faire ça à cette femme, que Mme Montet-Toutain, c'était quelqu'un de bien. Regarde-moi, t'es sûrement quelqu'un de plus dur que moi !", a-t-il hurlé.

"T'es venu parce que t'avais un coeur, des convictions", a-t-il tonné, avant de poursuivre : "Regarde-moi ! Regarde-moi ! Notre vie c'est une vie de merde maintenant, et toi, tu nous laisses là-dedans !".

"Je sais pas trop quoi dire. Je me rappelle plus très bien", a répété l'élève en se dandinant, les yeux tantôt vers le sol, tantôt vers le plafond.

Tout juste a-t-il consenti à confirmer du bout des lèvres ses déclarations lors de l'enquête, durant lesquelles il avait qualifié son camarade de "lâche". "C'est pas bien ce qu'il a fait ce jour là", a-t-il murmuré.

L'accusé avait tenté d'atteindre son camarade d'un coup de couteau circulaire, mais celui-ci n'avait pas été touché.

Sofiane a dû faire l'objet d'un mandat d'amener, car il rechignait également à venir témoigner devant la cours d'assises.

Le réquisitoire est attendu samedi matin, le verdict dans la journée.