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27/01/2010

Citation du jour

"L’objectif, c’est de relever le défi du métissage. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement (…) Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra alors que la république passe à des méthodes plus contraignantes encore."

Nicolas Sarkozy, 17 décembre 2008

 

Source: François de Souche

26/01/2010

Citation du jour

"Les Turcs conquièrent l’Allemagne comme les Kosovars ont conquis le Kosovo, par une forte natalité."

 

Thilo Sarrazin, administrateur de la Bundesbank, septembre 2009

 

Source: François de Souche

11:13 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : immigration |  Facebook | |

14/01/2010

Meetic : “étrangers sans papiers s’abstenir”

Sur le fameux site de rencontres Meetic, les femmes se sont passé le mot, sans langue de bois… (cliquer sur l’image)

meeticpapiers.jpg

 

08/01/2010

« J’ai vécu avec des musulmans ». Une expérience multi-culturelle en Grande-Bretagne

Extraits :

Dès la première nuit, ça a commencé. Les voisins pakistanais du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. (…)

J’ai découvert que mon nouveau quartier était l’une des plus grosses communautés musulmane d’Ecosse. Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait. Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”. (…)

J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. Ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent, seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement, ils nous ignoreraient complètement.


« Mon histoire commence à Bristol, dans le Sud-Ouest de l’Angleterre.

En juin 2003, je voulais quitter Bristol : j’avais été témoin d’une succession d’événements qui m’avaient à la fois terriblement choqués et déprimés. Le plus grave d’entre eux était une violente agression contre un étudiant, un soir. C’était dans le quartier Saint Paul, un coin très touché par la délinquance et la criminalité, un des coins préférés des immigrés et des afro-caribéens. Le jeune homme rentrait chez lui et nous l’avons vu se faire attaquer, se faire voler son portable. Des types l’ont frappé et il est tombé, inconscient. On s’est précipité pour l’aider et les mecs se sont enfuis. L’étudiant était couvert de sang. »

Parmi les autres événements qui m’ont décidés à quitter la ville, il y a eu l’apparition de patrouilles de policiers armés dans les rues de Bristol. Il s’agissait d’une mesure destinée à lutter contre les guerres de gangs que se livraient des bandes de noirs rivaux.

Bristol, c’est la plaque tournante du crack en Angleterre. Ces gangs, c’est un mélange d’Afro-caribéens, de Somaliens, plus quelques locaux. Les gens qui vivent dans ces quartiers sont constamment victimes de vols, d’agressions par des types drogués et défoncés au crack.

J’en ai eu assez. Tout ça, c’était trop pour moi. J’ai fait mes valises. Le jour de mon départ, je me souviens avoir vu une longue queue de types qui poireautaient sur le trottoir : essentiellement des africains et des immigrés de l’Est. C’était à l’extérieur du Centre pour les demandeurs d’asile.

L’Ecosse, j’y ai grandi. Dans les lowlands. Une région magnifique de landes et de collines, l’un des coins les moins peuplés de Grande-Bretagne. En arrivant chez mes parents, j’ai su que j’avais pris la bonne décision et je me suis tout de suite senti chez moi au milieu des arbres et des collines.

Après quelques mois, je me suis mis à chercher du boulot. J’avais des amis à Glasgow, 150 km plus au nord, et c’est là que j’ai décider de tenter ma chance. J’ai toujours aimé Glasgow, l’une des villes les plus riches de l’Empire à une époque. Une ville à l’histoire tourmentée mais animée, et pleine d’énergie.

Finalement, j’ai décidé de m’y installer, et j’ai choisi Pollokshields, un quartier dans le sud. C’était à l’origine l’une des premières “banlieues-jardin” de Grande-Bretagne : de belles maisons, des immeubles grands et spacieux. C’était aussi l’un des rares quartiers dans mes prix. J’ai décidé d’acheter un appartement. J’étais plein d’espoir, la tête rempli d’idées et de l’énergie à revendre.

Dès la première nuit, ça a commencé. Les voisins du dessus ont commencé à crier, à hurler. Il y avait un type qui battait sa femme. Le bruit était insupportable. Ils étaient pakistanais.

C’est alors que j’ai découvert que j’étais passé à coté de le la dimension sociale de mon nouveau quartier. J’avais été séduit par l’esthétique des maisons et l’architecture géorgienne, mais le quartier était en fait l’une des plus grosses communautés pakistanaise musulmane d’Ecosse.

Au début, quand je marchais dans les rues, je souriais aux gens, mais tout le monde m’ignorait.
Un jour, une voiture est passée à ma hauteur et un jeune a passé la tête par la fenêtre et a crié : “enculé de blanc”.

Une semaine plus tard, j’ai remarqué un jeune type qui conduisait de façon très agressive à un carrefour, et qui a failli percuter un gars à moto. Le type a bondi hors de sa voiture et a hurlé “batard de blanc”, avant de redémarrer en trombe.

La même semaine, alors que je marchais, j’ai vu un gamin d’environ 8 ans se faire chasser du parc par deux jeunes pakistanais. Je suis intervenu car le garcon avait l’air bouleversé. Les deux autres m’ont regardé sans trop savoir quoi faire, et ont crié des trucs dans une langue que je ne comprenais pas.

Mais un peu plus tard, on était alors en mars 2004, un jeune garcon anglais, originaire de Glasgow a été kidnappé à quelques rues de chez moi, par quatre musulmans pakistanais. Il a été torturé, puis brulé vivant. Je ne vais pas entrer dans les détails mais peut-être avez-vous entendu parler de la mort atroce de Kriss Donald, mort pour la seule raison qu’il était blanc.

A cet instant, j’ai réalisé que ma situation était en fait pire que celle que j’avais fuie à Bristol.Mes rêves et mes belles idées multiculturelles étaient en lambeaux.

J’ai essayé de vendre mon appartement, mais personne ne voulait l’acheter, à part des musulmans. J’ai essayé de le louer : les gens trouvaient mon appart super mais personne ne voulait habitait dans le quartier. Quelques mois plus tard, mes voisins, des allemands, ont déménagé pour la Grèce. C’étaient les seuls amis que j’avais dans le quartier. Ils ont vendu leur appart à des musulmans, qui y ont ouvert une école islamique. Je me suis plaint, mais on m’a ignoré. En fait, à part moi et une dame de 70 ans, tout l’immeuble était occupé par des musulmans.

Nous sommes en février 2007. J’ai finalement réussi à vendre. En mai,je serai parti mais j’ai beaucoup appris. J’ai vécu avec des musulmans, et ce que j’ai appris, c’est qu’ils n’ont aucune envie de s’intégrer à la culture européenne, aucune envie d’adopter les valeurs occidentales et qu’ils n’ont pas le moindre intérêt pour la culture britannique ou pour quoi que ce soit d’autre.

Ils ont l’islam. L’islam les consume, les possède, ils SONT l’islam. Ils sont musulmans, et les musulmans sont fidèles à l’islam. Et c’est tout. C’est une idéologie qui les remplit tout entier. Leur but est de faire selon la volonté d’Allah, et c’est là leur objectif principal. Les musulmans ont des relations avec nous, les “kuffar”, mais pas parce qu’ils le souhaitent , seulement parce qu’ils y sont obligés. S’ils pouvaient faire autrement,ils nous ignoreraient complètement.

Alors oui, j’ai rencontré des musulmans courtois et agréables. Et je suis sur qu’il existe toutes sortes de musulmans différents. Mais l’islam écrase toutes ces différences. L’islam homogénéise des nations entières, élimine la raison, les individualités et les libertés. Je l’ai lu dans les yeux des femmes pakistanaises incultes qui débarquent à Glasgow de leur lointain Kashmir. Je l’ai lu dans les yeux des musulmans de 2e et 3e génération : tout simplement, ils n’aiment pas l’occident ; ils baignent dans un monde qui est totalement incompatible avec les valeurs européennes. Ils cherchent le réconfort dans une religion sécrétée par les sables du désert il y a 14 siècles, ils cherchent une consolation dans des mosquées payés par les dollars du pétrole wahabite… Ils veulent le mode de vie ocidentales, mais en même temps, ils nous détestent.
Et pour ma part, j’ai bien vu que je ne pouvais pas aimer l’islam. Comme beaucoup de gens maintenant, je le considère comme une menace majeure contre toutes les valeurs auxquelles l’Europe devrait être fidèle.

Maintenant que Tony Blair est sur le départ, les gens lui demandent ce qu’il va nous laisser. Ce qu’il nous laisse, c’est le début d’un processus d’islamisation de la Grande-Bretagne, d’une balkanisation de l’Angleterre. Je l’ai vu et je l’ai vécu. Quand les effets du boom économique auront disparu, la réalité de la “multi-culturalité” apparaîtra : des communautés rivales juxtaposées, sans aucun lien entre elles, sans aucune valeur ou identité commune, incapable de se rejoindre pour un but commun.

Les politiques des néo-marxistes, avec leurs références perpétuelles à des abstractions comme les “Droits de l’homme”, nous ont conduit sur un chemin extrêmement dangereux. Le monde change. L’invasion de l’Europe n’est pas forcément consciente de la part des musulmans et des immigrés, mais elle est devenue inévitable, vu la pression sur les ressources mondiales, l’expansionisme de l’islam et la chute vertigineuse des naissances chez les européens de souche.

L’Ouest a signé un pacte faustien avec l’islam, et si rien ne change, nous en paierons le prix.

Pour ma part, je cherche toujours un foyer. Toutes ces conclusions auxquelles j’ai abouties sont survenues en un lieu que je n’imaginais pas, un endroit où je ne me sens pas chez moi : mon propre pays.

Ce sont les élites libérales le véritable ennemi. Les musulmans font juste ce qu’ils ont toujours fait et ce qu’ils sont sensés faire, et finalement je ne les blame pas, mais ils ne sont pas européens. Je n’aime pas leurs valeurs, je n’aime pas leur idéologie et l’islam n’est clairement pas une religion au sens occidental du terme. C’est une construction idéologique, théocratique et totalitaire. Nos dirigeants, négligeant cela, nous mettent en péril.

Les Montagnes Rocheuses, au Canada, c’est plutôt joli en cette saison, je crois… » (traduit de cet article)

Source: François de Souche

22:52 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, islam, europe |  Facebook | |

31/12/2009

L'image du jour: agence de la Société Générale à Marseille

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Source: François de Souche

 

20/12/2009

1973 : Débat sur l’immigration

Voici un débat sur le thème des travailleurs immigrés proposé par l’ORTF le 23 mai 1973 à une quinzaine d’invités issus de milieux sociaux et professionnels différents. Réactions à chaud sur le problème de l’immigration de ce panel « représentatif » de Français sélectionné par l’Ipsos.

 


 

"Sur la souveraineté inaliénable du peuple s’agissant de son devenir historique"

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Le Parti de l’In-nocence estime que la complicité — active ou hypocrite — que les pouvoirs politiques, médiatiques et universitaires montrent à l’égard du Grand Remplacement du peuple français sur son territoire historique par l’entreprise de contre-colonisation en cours — lequel équivaut à un nettoyage ethnique par submersion et dilution, accompagné par la liquidation préalable de la culture, de l’histoire, du patrimoine de notre pays —, ne saurait se poursuivre sans l’assentiment majoritaire et éclairé de la nation en son entier.

Le Parti de l’In-nocence, parce que le principe de souveraineté réside dans la Nation, demande solennellement au premier ministre de proposer au président de la République de soumettre à référendum la question suivante :

« Approuvez-vous le dépôt d’un projet de loi d’orientation tendant à décourager l’immigration de peuplement que connaît la France, et, dans la mesure du possible, à en organiser le reflux ? »

Source: FDS et http://www.in-nocence.org/pages/parti/communiques/com.php


18/11/2009

Bobigny: viol collectif dans une cage d'escalier

Quatre jeunes gens auraient abusé d’une jeune fille dans un immeuble de Bobigny. Un témoin raconte à Inès ce qu’elle a entendu et vu.

 -- Cliquez pour voir l'image en entier

La chaîne BFM TV l’annonce lundi : « Un viol collectif » a eu lieu à Bobigny. Sur une mineure de bientôt quinze ans, apparemment handicapée. Il n’est pas précisé si cette personne est handicapée mentale ou physique. Habitant Bobigny, j’essaie d’en savoir davantage. J’y parviens en joignant le témoin qui a prévenu les urgences et la police venues secourir cette jeune fille.

Voici comment le drame se serait déroulé, selon ce témoin : « C’étais samedi 7 novembre, il était environ 15 heures. Je faisais mon ménage tranquillement avec ma mère. Au moment d’allumer l’aspirateur, j’entends un sacré boucan dans l’escalier – mon salon a un mur commun avec la cage d’escalier. J’ai aussitôt senti qu’il ne s’agissait pas de jeunes se chahutant mais de quelque chose de grave. J’ai ouvert ma porte et j’ai entendu des cris. Ceux d’une jeune fille, visiblement. J’ai entre-ouvert la porte de l’escalier le plus discrètement possible et j’ai vu une scène horrible.

» Je ne voyais que le haut d’un corps, allongé sur les marches de l’escalier. C’était une jeune fille toute blanche, le choc, je pense. Elle criait : "S’il vous plaît, ne faites pas ça ! Je vous en supplie, ne faites pas ça ! " J’ai pu voir qu’un jeune lui tirait les jambes. Mais comme que l’escalier tourne, je n’ai pas pu voir son visage. Ma mère est venue derrière moi et m’a tirée d’un coup sec et ferme. J’ai donc lâché la porte qui a légèrement claqué. Je pense que cela les a fait fuir. J’ai aussitôt prévenu le 17. C’est la première fois que je vois une intervention aussi rapide. Cinq minutes montre en main et j’entendais les sirènes en bas de chez moi.

» Après avoir secouru la jeune fille et l’avoir emmenée dans le camion de pompiers, la police est venue chez moi pour avoir plus d’informations. Le choc m’empêchait de parler d’un trait tant je sanglotais. Mais j’ai réussi à leur expliquer tout ça. Par l’intermédiaire des policiers, j’ai appris que le visage de la jeune fille avait été gazé à la lacrymogène, sûrement pour l’étourdir. De plus, j’ai vu qu’elle avait vomi deux étages plus bas. Mon Dieu, ce qu’elle a dû être choquée. J’espère que les sales types qui ont fait ça vont prendre gros. »

» J’ai appris ensuite qu’il s’agissait de quatre jeunes âgés de 16 à 18 ans. Il y a de cela trois jours (vendredi), un avis de recherche était scotché au mur devant le centre commercial (de Bobigny). Il y avait la photo d’un jeune de 18 ans qui avait habité jusqu’en 2006 dans le quartier où le viol a eu lieu. Il était écrit qu’il était recherché pour viol. Au début, j’ai cru à une mauvaise blague de la part d’autres jeunes jusqu’au moment où j’ai lu la dépêche sur BFM TV. Les quatre personnes interpellées auraient toutes participé au viol. »

» Cela m’a fait drôle de voir le plus jeune d’entre eux sur la photo. Je le connais bien et bizarrement, on ne le voit plus du tout dans le coin depuis une semaine environ. Je suis choquée par l’ampleur de la délinquance et de la violence à Bobigny. »

Inès El Laboudy

Source: Bondy Blog

17/11/2009

Xavier Raufer: "Vous allez dans la Creuse, il n'y pas besoin de portique. Vous comprenez?"

 

 

"L'histoire est formelle: les populations musulmanes ne se fondent pas dans la population alentour"

 

"L’histoire est quand même formelle : les populations musulmanes ne se fondent pas dans la population alentour. C’est un fait, un simple fait. Je n’ai pas d’explication directe, mais le fait est que le 20e siècle a vu une purgation des zones mixtes. Par exemple, il y avait beaucoup de chrétiens en Turquie, en Égypte etc… Ils sont tous partis. Il y avait des musulmans en Grèce, dans les Balkans… Ils sont tous partis. Il y avait des Français en Afrique du Nord, ils sont tous partis…"

Source: François de Souche

 

02:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islam, immigration, conflit |  Facebook | |