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27/04/2016

Marine Le Pen: J’ai rencontré le Français qui a mis en difficulté le président de la République

J'ai rencontré le Français qui a mis en difficulté le président de la République

J’ai rencontré hier à Lille, dans sa région, le « citoyen » Antoine Demeyer, qui s’était récemment illustré en débattant sur France 2 avec le président de la République.

Comme spectatrice, j’avais perçu lors de cet échange télévisé toute l’énergie d’un homme qui avait su trouver les mots face au chef de l’Etat pour exprimer sans détour une situation, la sienne, qui est celle aussi de millions de Français.


Face à François Hollande, malgré le stress qu’on imagine aisément, il avait réussi l’exploit d’aborder en peu de temps et de façon très concrète quatre problèmes qui sont au cœur du mal français : l’immigration massive et le risque islamiste, le pouvoir d’achat, les petites retraites et l’Union Européenne.
Face à ces quatre interrogations, le président était resté évasif, flou, techno. Le citoyen avait eu raison du président.

Antoine Demeyer m’a confié hier qu’il n’avait pas du tout été convaincu par les réponses de François Hollande. Il m’a dit aussi que le président semblait, après l’émission, content de lui-même et de sa prestation.
Cela ne m’a pas surprise : la déconnexion est telle entre le peuple et nos gouvernants que ces derniers ne sentent littéralement plus rien du réel. Ils en sont dramatiquement coupés.


Réduit à faire de la communication parce qu’il a transféré la quasi totalité des leviers de pouvoir à Bruxelles et Francfort, le président de la République ne sait même plus quand il parle juste ou quand il parle faux. Nous aurons de ce point de vue tout un lien à retisser avec nos compatriotes, et il faudra le faire avec patience et rigueur, car le mal est profond, enraciné dans des années d’inaction et de mensonges.

J'ai rencontré hier à Lille, dans sa région, le "citoyen" Antoine Demeyer

Hier, Antoine Demeyer m’a paru avoir beaucoup plus de bon sens et de cohérence dans ses analyses que nombre des responsables politiques qui ont aujourd’hui la charge des affaires de la France.


Électeur du Front National, il n’était ni « le salaud assumé » ni « l’enfant apeuré » que la Caste médiatico-politique voudrait voir à tout prix dans l’électeur patriote.


J’ai échangé avec un homme sincère, réfléchi, humaniste, révolté par les caricatures et par l’état de son pays, un homme logique dans ses analyses, conscient de l’immense abîme dans lequel la France est plongée mais qui n’a pas renoncé à se battre. Un homme qui a compris que l’abstention était un piège.
Contrairement à ce que veut croire l’oligarchie au pouvoir, M.Demeyer comme des millions de Français a parfaitement décrypté des sujets aussi obscurs et éloignés que l’Union Européenne.

De cette rencontre je sors renforcée dans l’idée que notre démocratie aurait tout intérêt à se tourner beaucoup plus souvent vers le peuple. Nous trouverons dans les référendums et les référendums d’initiative populaire des réponses aux maux qui rongent la France. Certains lancent des « Hé Ho ! » à la tête des Français, comme s’ils étaient des enfants. Je préfère les prendre pour ce qu’ils sont, des adultes réfléchis, et leur proposer un pacte démocratique nouveau qui les remette au centre.

Carnets d'espérance

L’avocat d’Abdeslam : « Les Arabes me félicitent, alors que les non-Arabes me jettent des regards haineux »

L’avocat belge du principal accusé des attentats de Paris, explique la difficulté d’assurer la défense d’un prévenu aussi décrié, qu’il considère par ailleurs comme un «petit con».

(…)

Il se dit très mal à l’aise face aux réactions depuis qu’il défend Abdeslam : «Les Arabes me félicitent, alors que les non-Arabes me jettent des regards haineux. C’est très malsain.»

(…) Libération

via Fdesouche.com

Grèce : des migrants attaquent la police à Lesbos

Plusieurs réfugiés ont été blessés après que des émeutes aient éclatés au centre de réfugiésde  Moria, sur l’île de Lesbos, mardi. Les réfugiés ont incendiés des poubelles et jeté des pierres sur les policiers, qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes. [...]

Source

via Fdesouche.com

Le ministre de la Justice belge : « L’Europe comptera bientôt plus de Musulmans que de Chrétiens pratiquants »

Les Musulmans «très bientôt» seront plus nombreux que les chrétiens pratiquants en Europe, a affirmé un ministre belge hier.
Koen Geens, le ministre de la Justice, a déclaré au Parlement européen que les européens « ne se rendent pas compte, mais telle est la réalité. »
Lors d’une audition devant les députés européens sur les attaques de Bruxelles, le vice-Premier ministre belge Jan Jambon a ajouté que «la pire chose que nous pouvons faire est de faire un ennemi de l’Islam».

(…) DailyMail

via Fdesouche.com

Pourquoi les garçons musulmans réussissent moins bien

Plusieurs données émanant d’études internationales révèlent que les enfants nés en France de parents immigrés en provenance des pays musulmans réussissent moins bien, en ce qui concerne les garçons. Les travaux du psychologue danois Nicolai Sennels expliquent pourquoi.

[...] « Nous constatons que particulièrement la colère est bien plus acceptée dans la culture musulmane. Dans la culture occidentale et dans d’autres cultures non-musulmanes, comme en Asie, l’agressivité ou une brusque explosion de colère sont vues comme comportements que l’on regrette par la suite et dont on aura honte. C’est complètement l’inverse dans la culture musulmane. Si quelqu’un « bafoue votre honneur », il est attendu de vous que vous démontriez votre agressivité, et souvent également, que vous vous vengiez tant verbalement que physiquement. Ainsi, l’agressivité vous donne un statut inférieur dans nos cultures, mais un statut plus élevé dans la culture musulmane ».[...]

Atlantico

via Fdesouche.com

26/04/2016

Immigration: 40% des jeunes vivant à Bruxelles sont au chomâge

Des chercheurs ont synthétisé 200 travaux traitant de la jeunesse bruxelloise. Un portrait assez sombre se dégage.

La population bruxelloise est la plus jeune de Belgique. En 2015, les jeunes âgés de 12 à 24 ans y représentaient 15 % de l’ensemble.

Pas facile pourtant de dresser un portrait complet et nuancé de ces jeunes de plus en plus nombreux, estime le Brussels Studies Institute, qui s’est attelé à la tâche. Sous la direction de Muriel Sacco, sociologue à l’ULB, une équipe a dépouillé 200 travaux consacrés à ce sujet pour créer une note de synthèse.

Il en ressort un portrait partiel et fragmenté de la jeunesse bruxelloise, à l’image du morcellement des institutions, mais qui permet de dégager quelques constats partagés.

D’abord, l’importance numérique croissante et la diversité de la jeunesse à Bruxelles. Ensuite, l’analyse estime que de manière générale, "un portrait assez sombre de la jeunesse bruxelloise", se dégage. "La situation de nombreux jeunes est précaire, que ce soit sur le plan de l’éducation, de l’accès à l’emploi, des conditions de logement ou encore de l’accès aux soins de santé." Enfin, qu’il existe plusieurs jeunesses qui semblent peupler Bruxelles avec des vies "en parallèle". "Elles se croisent peu dans le système scolaire ou les espaces de loisirs, ne pratiquent pas le même type de mobilité et n’ont ni le même niveau d’éducation ni les mêmes chances d’accès à l’emploi" , détaille la note de synthèse.

Ainsi ce dernier point, exposé dans la note, est particulièrement interpellant. On apprend que moins de 30 % des jeunes Bruxellois de 15 à 24 ans sont effectivement présents sur le marché de l’emploi. Ils cumulent souvent plusieurs désavantages : sans diplôme, issu de l’immigration, vivant dans des quartiers précarisés, avec des parents eux-mêmes sans emploi.

En 2014, le taux de chômage des jeunes actifs de 15 à 24 ans était de 39,5 %. L’étude constate qu’une nouvelle catégorie de jeunes émerge : les NEETs (Neither in employment nor in education and training) des jeunes qui ne sont ni à l’école, ni en formation, ni au travail.

Sans surprise, la géographie du taux de chômage montre une forte opposition centre-périphérie, avec des proportions très élevées de jeunes inscrits au chômage dans les espaces défavorisés du croissant pauvre (48 % à Saint-Josse contre 26,7 % à Woluwe-St-Pierre en 2012, par exemple). [...]

N. G.

La note de synthèse complète à lire sur www.brusselsstudies.be

DHnet.be

Photo d'un marché à Bruxelles:

 

 

25/04/2016

Charb: "Quel est le problème en France, est-ce que c'est l'islam ou l'extrême droite catholique ?"

Charb: "Quel est le problème en France, est-ce que c'est l'islam ou l'extrême droite catholique ? En tout cas, pour nous, l'extrême droite catholique nous a coûté beaucoup plus cher que l'islam."

 

Molenbeek : Le maire socialiste s’était converti à l’islam pour épouser une marocaine

 

ZOOM - La petite histoire : Bertrand Du Guesclin, le dogue indomptable

Vaillant, intrépide, bien que d'une laideur légendaire, Bertrand Du Guesclin est l'une des figures de proue du roman national. Toujours fidèle au roi de France, il mettra sa bravoure et ses talents militaires au service d'une seule cause : bouter l'Anglais hors de France. Racontée par Christopher Lannes, voici la petite Histoire de celui que la perfide Albion surnommait « le dogue noir de Brocéliande ».

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Liberté pour Boris Le Lay !

Boris Le Lay, animateur du site Breizatao.com, vient d’être condamné par la justice à deux années de prison ferme pour incitation à la haine raciale, pour un article visant le vice-procureur du tribunal de Quimper.

Un mandat d’arrêt a été émis à son encontre et fait suite à une condamnation, l’an passé, à 6 mois de prison ferme pour avoir écrit qu’il n’existait pas de « Celtes noirs ».

Boris Le Lay a été jugé en son absence, sans même pouvoir être représenté par un avocat. Il est, en effet, exilé à l’étranger afin de fuir la répression politique qui s’abat sur lui. 

Quelle que soit la teneur des propos tenus par ce blogueur important de la dissidence, cette décision d’enfermer, deux années durant, un homme pour des écrits est ahurissante .

Le pire étant, bien entendu, le silence de toutes les belles âmes qui se proclamaient Charlie, crayon ou autre Bataclan et qui se répandaient en donneurs de leçons garants de la liberté d’expression.

Certains d’entre eux se félicitent même. On pense à l’élue d’extrême gauche brestoise, Julie Le Goïc, qui se fend sur Twitter d’un « Oh Yeaahh » à l’annonce des deux ans ferme.

Étonnantes réactions, venant d’une gauche qui a passé ces dernières années à tout faire pour que les délinquants de droit commun échappent le plus possible aux lourdes peines de prison.

Étonnant message que celui de la justice adressé aux Français, une justice qui relâche un violeur récidiviste pour une erreur administrative ou une faute de frappe dans une procédure, mais qui veut enfermer un blogueur pour un écrit dissident.

Car en condamnant Boris Le Lay à deux années de prison ferme avec mandat d’arrêt, le message est clair : cassez, volez, agressez, violez, tuez même. Si vous n’êtes pas dissident, si vous n’êtes pas suspecté du crime ultime de pensée raciste (c’est-à-dire, en réalité, de défense des siens avant les autres), la justice française trouvera toujours le moyen de vous faire sortir rapidement de prison, et nos belles âmes vous trouveront toutes les excuses et les possibilités de réinsertion possibles .

Si, en revanche, il vous venait à l’esprit d’être dissident, d’écrire, de mobiliser, de militer contre ce régime autoritaire qui s’est installé en France, alors préparez-vous aux foudres impitoyables de la justice, au lynchage médiatique, et n’attendez aucune rédemption possible.

Qu’on partage ou pas les analyses de Boris Le Lay, la dissidence se doit de le soutenir. Car demain, à moins de rentrer dans le rang, ça sera moi et ça sera vous, ce seront tous les dissidents politiques qui seront embastillés pour avoir simplement dénoncé les fléaux qui ravagent la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

Liberté pour Boris Le Lay ! Et que crève cette dictature de la pensée unique !

 

Bd Voltaire