22/10/2014
Dessin du jour
02:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
« Fdesouche force le maire FN de Fréjus à arrêter la construction d’une mosquée » (Les Inrocks)
Le travail de Fdesouche a porté ses fruits. A Fréjus, le maire FN David Rachline a cédé aux pressions de la blogosphère d’extrême droite, en annonçant qu’il prendrait un arrêté contre la construction d’une mosquée.
“Le travail de lobbying de la réinfosphère a porté ses fruits…”. Ce 17 octobre Fdesouche jubile sur son site, où il relaie un article de Var Matin selon lequel le maire FN de Fréjus, David Rachline, pourrait prendre un arrêté exigeant l’abandon du chantier de la mosquée, dans le quartier de La Gabelle. S’ensuit une série d’articles et de tweets antérieurs produits ou relayés par FdeSouche, qui témoignent de sa vigilance sur le sujet.
Le projet de construction d’une mosquée dans le quartier de La Gabelle à Fréjus date d’avril 2011. A cette époque, alors que la ville était administrée par le maire UMP Elie Brun, le permis de construire a été déposé dans le cadre d’un plan de sauvegarde du quartier. Toutes les difficultés économiques et sociales de la ville se concentrent effectivement à La Gabelle, où la population est très majoritairement musulmane : 35% de la population est au chômage et 57% des 15-25 ans sortent de l’école sans aucun diplôme. Selon Elsa Di Meo, conseillère municipale d’opposition à l’époque, l’idée était de “construire une mosquée neuve, pour remplacer la mosquée-garage, et que les musulmans puissent prier dans de bonnes conditions”.
(…) Les Inrocks
via Fdesouche.com
02:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Renaud Camus donnera ce vendredi à Nantes une conférence sur le thème du Grand remplacement
Invité par le cercle Anne de Bretagne, Renaud Camus donnera ce vendredi à Nantes une conférence sur le thème du Grand remplacement. Avant sa venue dans la cité des ducs, l’écrivain a bien voulu répondre à nos questions.
Breizh-info : Vous venez en Bretagne, à Nantes, pour parler de la remigration et du Grand remplacement. Cette région est-elle vraiment touchée par le Grand remplacement ?
Renaud Camus : Je crois cette région, et notamment Nantes, assez largement touchée par le Grande Remplacement en effet ; mais surtout, quand bien même elle ne le serait pas du tout, cela ne changerait absolument rien à la nécessité d’une prise de conscience nationale et, dirais-je, continentale. J’avoue que je suis exaspéré par ces journalistes ou polémistes remplacistes — inutile de dire que je ne vous mets pas dans ce sac-là… — qui feignent de s’étonner qu’on puisse déplorer le Grand Remplacement si l’on vit à la campagne ou dans des régions où il n’y a pas un immigré. D’abord, les régions où il n’y a pas un immigré, je n’en connais pas beaucoup, mais surtout ces gens ont toujours l’air de supposer qu’on n’a d’opinions politiques ou de conscience patriotique qu’en fonction de ses intérêts propres, de sa propre situation. L’attachement à la nation, ou bien à une civilisation donnée, leur est devenu tellement étranger, tellement inimaginable, que pour eux on ne vote ou ne parle ou ne pense qu’en vertu de ses petits intérêts immédiats et particuliers. C’est contre cette conception épicière du monde, tout économique, utilitariste, qu’il s’agit de s’insurger.
Breizh-info : Comment la remigration est possible dans les faits, alors que le métissage notamment est une réalité de plus en plus marquée ?
Renaud Camus : La remigration n’est pas une question de race ou d’appartenance ethnique, même si dans les faits il y a bien sûr des recoupements. Elle est une question de civilisation, de choix de société, d’amour ou d’inamour de la France, de la culture française, du mode français et européen d’habiter la terre. Les personnes éventuellement concernées par la remigration, c’est-à-dire étrangères à notre culture, à notre civilisation, à notre mode de vie, à notre amour de la patrie, sont visiblement et audiblement bien assez nombreuses, hélas, pour qu’il n’y ait pas à s’inquiéter de cela.
via Fdesouche.com
01:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Samedi : journée de réinformation de Polémia (màj vidéo)
01:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
20/10/2014
Foot : le match Serbie-Albanie définitivement arrêté après des incidents (vidéo)
Les incidents ont éclaté lorsqu'un drone, sur lequel était accroché un drapeau albanais, est apparu au dessus du stade de Belgrade où la rencontre qualificative pour l'Euro 2016 était jouée.
Le match de qualification pour l'Euro 2016 entre la Serbie et l'Albanie a été définitivement arrêté après des incidents qui se sont produits à quelques minutes de la fin de la première mi-temps, mardi 14 octobre, à Belgrade (Serbie). Des incidents qui ont éclaté lorsqu'un drone, sur lequel était accroché un drapeau albanais, est apparu au-dessus du stade où le match était joué.
Cette intrusion a provoqué une bousculade entre les footballeurs et une explosion de mécontentement des supporteurs serbes, dont certains ont lancé des fumigènes sur la pelouse et d'autres objets. Une bousculade généralisée entre les joueurs serbes et albanais est alors survenue, après qu'un des joueurs serbes a attrapé le drapeau albanais.
En fin de soirée, le frère du Premier ministre albanais a même été interpellé à Belgrade dans le cadre de l'enquête visant à identifier les responsables des échauffourées.
Des relations houleuses entre les deux pays
L'Albanie et la Serbie entretiennent des relations conflictuelles. Le Kosovo, ex-province serbe peuplée en majorité d'Albanais, a proclamé unilatéralement son indépendance en février 2008. Des voix à Belgrade dénoncent un projet visant à la création d'une "Grande Albanie" réunissant les communautés albanaises d'Albanie, du Kosovo, du Monténégro, de Macédoine et du sud de la Serbie.
La Fédération serbe de football avait ainsi décidé dimanche de faire disputer le match Serbie-Albanie sans la présence de supporteurs visiteurs. Outre les deux pays, le groupe I des qualifications à l'Euro 2016 réunit, le Portugal, le Danemark, l'Arménie et la France, pays hôte de la compétition et dont les résultats au sein de ce groupe ne sont pas pris en compte.
22:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
17/10/2014
Rapport édifiant d'un fonctionnaire de la police aux frontières sur la France "passoire"
Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général adjoint du Front National, Député français au Parlement européen
Dans un rapport d’un fonctionnaire de la police aux frontières (PAF) dont le Figaro a publié hier quelques extraits, les dysfonctionnements et dérives de la politique migratoire de la France apparaissent au grand jour. Contraintes d’appliquer les folles directives de l’Union Européenne que le PS comme l’UMP cautionnent, les autorités policières françaises sont impuissantes à enrayer les afflux de clandestins toujours plus nombreux en provenance notamment d’Italie. Une situation d’autant plus anarchique que les effectifs et les moyens de la police sont en constante diminution, malgré les annonces de Manuel Valls.
Pour mettre un terme à cette explosion de l’immigration clandestine qui frappe la France, le Front National demande la dénonciation des accords de Schengen qui font de la France une véritable passoire. Il nous faut retrouver notre souveraineté territoriale et par conséquent politique afin de pouvoir lutter efficacement contre le fardeau que constituent ces entrées illégales sur le sol français dont le coût est exorbitant pour nos comptes publics et sociaux et qui génèrent une insécurité en hausse constante ainsi que des risques sanitaires évidents.
21:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Pendant que la Turquie fait le jeu de l'Etat Islamique, la Commission Européenne continue le processus d'adhésion de cette dernière à l'Union Européenne...
Communiqué de presse de Louis Aliot, Vice-Président du FN, Député Français au PE
Au moment où la Turquie refuse de s’engager contre l’État Islamique mais réprime durement les manifestations pro-kurdes et bombarde les positions du PKK, nous apprenons que la Commission européenne continue, sans pressions particulières, ses négociations avec le gouvernement islamiste au pouvoir à Ankara.
En effet, lors d’une récente réunion à Bruxelles, la Commission a approuvé une communication dressant un bilan du processus d’élargissement de l’U.E et fait le point sur les progrès réalisés au cours des douze derniers mois par la Turquie.
Dans le même temps le Ministre Turc en charge des affaires européennes ainsi que l’ambassadeur Bozkir ont déclaré que le rapport d’étapes d’adhésion à l’U.E serait utilisé comme un élément constructif pour faire avancer le processus d’une intégration à l’U.E.
Alors que beaucoup de peuples d’Europe sont majoritairement hostiles à une éventuelle intégration de la Turquie à l’Europe et au regard des engagements pris par les institutions européennes, Louis Aliot, député Français au Parlement européen, a réitéré l’opposition de son groupe à ce processus d’intégration et demandé à la commission des précisions sur ce rapport d’étape.
21:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Bataille de Kobané: «Pour la Turquie, Daesh n’est pas un ennemi»
Entretien avec Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R).
Où se situe l’intérêt de la Turquie dans cette bataille de Kobané?
Le président Erdogan a aujourd’hui deux véritables fixations: renverser Bachar al-Assad à tout prix et empêcher la montée en puissance des Kurdes en Turquie, mais aussi en Syrie et en Irak. La Turquie a échoué à s’opposer à l’autonomisation d’un Kurdistan irakien et refuse de voir la même chose se passer pour les Kurdes de Syrie et de Turquie, où ils représentent tout de même 20% de la population.
Quelles relations entretiennent la Turquie et Daesh?
Même s’il ne le dit pas clairement, Erdogan, qui est membre du bureau international des Frères musulmans, adhère à l’idéologie islamiste. Pour lui, l’organisation de l’Etat islamique n’est pas un ennemi. Par ailleurs, le trafic de Daesh enrichit les mafias turques. Jusque-là, les Kurdes de Kobané demandaient un droit de passage pour le pétrole des djihadistes. S’ils disparaissent, Daesh comme la Turquie sont gagnants. De son côté, l’organisation de l’Etat islamique n’a jamais menacé la Turquie, à l’inverse de la Jordanie ou de l’Arabie saoudite.
La Turquie peut-elle être considérée comme un ennemi de la coalition?
Elle est en tout cas en totale contradiction avec la politique de la coalition et avec l’Otan, dont elle est pourtant membre. Quand l’Occident refuse de négocier avec les djihadistes, la Turquie n’a, elle, pas hésité à échanger des petits chefs de Daesh contre des otages turcs kidnappés au consulat de Mossoul. Pour changer le rapport de forces, il faudrait que les Occidentaux utilisent les moyens de pression à leur disposition. Mais personne ne montre la moindre volonté de le faire.
Source : 20 minutes
via Contre-Info
13:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
16/10/2014
La Suède va devenir un pays du tiers-monde d’ici 2030 prévient l’ONU
D’après les prévisions de l’ONU, la Suède en 2030 sera devenu un pays beaucoup plus pauvre que ce qu’il est aujourd’hui, une situation bien pire que le gouvernement actuel tente pourtant de nier.
Le rapport HDI (Indice du Développement Humain) de l’ONU prévoit une diminution significative de la prospérité suédoise contrairement à ses voisins nordiques qui eux, non seulement se maintiendront en top position mais en plus vont (économiquement Ndlr) se renforcer sur le long terme.
En 2010, la Suède occupait la 15 ème place dans le classement de l’HDI, mais selon les prévisions de l’ONU, la Suède sera 25 ème en 2015 et dégringolera à la 45 ème place en 2030.
Beaucoup de pays pourtant moins développés que la Suède à ce jour, tels que Cuba, le Mexique, les pays baltes et la Bulgarie, dépasseront la Suède en 2030 d’après ce rapport de l’ONU.
Même la mortifère Grèce qui est aujourd’hui pratiquement en faillite devrait se rétablir pour occuper en 2030 la 13 ème place de ces prévisions.
L’establishment suédois conforté par les médias de gauche croient dur comme fer en une société parfaite basée sur le multiculturalisme issu d’une immigration à grande échelle provenant de pays les plus pauvres de la planète. Tout citoyen suédois qui ne partagerait pas ce point de vue, ce paradigme, prend le risque d’être qualifié de raciste, fasciste, voire même de nazi.
Ndlr : Relire les chiffres du Figaro ici concernant la déferlante de 80.000 clandestins en 2014 pour une population suédoise d’à peine 9 millions d’habitants.
La journaliste Ingrid Carlqvist déclare sur la vidéo CBN ci-dessous « Nous avons eu un pays de rêve jusqu’à présent, un très beau pays, et dans quelques années ce pays prospère aura totalement disparu »
Cet article La Suède va devenir un pays du Tiers monde d’ici 2030 prévient l’ONU est apparu en premier sur Fdesouche.
23:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
Guilluy : « La question identitaire est centrale »
Interview de Christophe Guilluy dans la Voix du Nord. Quelques extraits.
• La question identitaire est centrale. Ne pas la prendre au sérieux, c’est aller dans le mur. Le thème identitaire ne se substitue pas à l’économique ou au social, il s’y est ajouté. Les gens ne sont pas devenus méchants. Ils se protègent, recherchent un « entre-soi » rassurant.
• Les territoires qui marchent aujourd’hui économiquement sont les territoires les plus inégalitaires. Dans ces territoires, le clivage est aussi culturel : les bobos ont aussi des stratégies d’évitement pour mettre de la distance avec l’immigré. Ils mettent leurs enfants dans les écoles privées ou dans les bonnes écoles des bons quartiers et se retrouvent entre bobos. Il n’y a pas vraiment de mixité.
• Quand on se retrouve en situation de minorité culturelle, on se protège, on se regroupe. Le débat identitaire, il est universel, on le retrouve aujourd’hui dans des villages de Kabylie où s’installent des Chinois.
• Les gens se foutent de la gauche et de la droite. Il y a une désaffiliation totale avec les grands partis politiques de gouvernement, tel le PS ou l’UMP.
• Le temps des grands mouvements sociaux est dépassé. Mais on observe des radicalités sociales nouvelles. Le mouvement des bonnets rouges l’illustre bien. Personne ne l’a vu venir. Les syndicats ont été dépassés. C’est une colère destructurée qui vient de cette France des territoires oubliés, pas des banlieues des grandes métropoles.
• Le politique qui décide c’est celui des grandes villes. Or il est aveuglé par des mythes comme celui de la mixité sociale.
via Fdesouche.com
12:01 | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | |