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17/03/2008

Le peuple tibétain a le droit à la liberté


Les Jeux Olympiques qui symbolisent la paix et la liberté seront organisés dans quelques mois dans l’une des dernières dictatures communistes de la planète qui depuis plusieurs jours rétablit dans le sang l’ordre rouge au Tibet.

904176443.jpgPays occupé depuis 1950 par l’armée chinoise et annexé par la Chine communiste, le Tibet paye au prix fort sa soif de liberté.

Il faut dénoncer cette politique de la violence menée par le régime communiste à l’encontre du peuple tibétain qui a déjà fait plusieurs dizaines de morts et condamner la lâcheté des autorités françaises qui pour des raisons mercantiles, ferment les yeux sur ces violations des droits de l’homme. Le peuple tibétain qui n’est chinois ni par la langue ni par la culture ni par la spiritualité a droit au respect de son identité nationale millénaire et de sa liberté.

http://www.frontnational.com/communique_detail.php?id=1629

19:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tibet |  Facebook | |

01/03/2008

Massacres de Gaza : le silence des « intellectuels bien-pensants »

992166593.jpgAlors qu’en France il y a aujourd’hui des opérations médiatiques quotidiennes et une chape de plomb sur les consciences qui visent à faire porter la responsabilité de la Shoah sur la nation toute entière, un vice-ministre israélien appelle lui-même au génocide du peuple palestinien en les menaçant d’une " plus grande Shoah ".

En France, il est facile de constater la dissymétrie totale du comportement des professionnels de l’indignation, à la limite de la schizophrénie. Ces pseudo-intellectuels engagés, dont Bernard-Henri Lévy est le porte-drapeau, veulent modeler les consciences individuelles des Français en dirigeant leur indignation de manière partisane.

La plupart de ces " intellectuels " sont des sionistes convaincus. Ils ont donc une conception des droits de l’Homme à géométrie variable. Ainsi ne les entend-on jamais s’indigner du massacre de femmes et d’enfants en Palestine. Quand ils abordent le sujet, ils commencent quasiment de manière systématique par rappeler le drame de l’Holocauste. Cet Holocauste du peuple juif est devenu un instrument politique qui sert à justifier l’illégitime (la création de l’Etat d’Israël), et l’indéfendable (le génocide du peuple palestinien).

Les vraies victimes juives de l’Holocauste ne doivent-elles pas être écoeurées aujourd’hui de voir leurs congénères (les BHL, Klarsfeld, Kouchner, et bien d’autres…) utiliser leur mort et leurs supplices afin de justifier le massacre d’autres innocents, à savoir les palestiniens ?

Dans l’Histoire, l’origine des guerres provient de manière quasi systématique des conséquences des guerres précédentes. En ce qui concerne le problème israélien, il semble que le fait que les Juifs sionistes se nourrissent quotidiennement des horreurs subies par leurs ancêtres les pousse à perpétrer ces horreurs sur autrui, par vengeance ou par un processus de réplication des sévices subis. A ce titre, on peut faire le parallèle avec les personnes victimes de sévices sexuels dans leur enfance, qui deviennent eux-mêmes souvent de futurs bourreaux.

A partir de 1945, à la suite de l'Holocauste, les juifs ont accéléré le mouvement de migration vers la Palestine, qui avait commencé à la fin du 19ème siècle. Malheureusement, la Palestine n’était  pas " une terre sans peuple " comme le prétendaient les sionistes. Cela a donc conduit aux guerres entre colons juifs et palestiniens et au nettoyage ethnique. Toutes les horreurs perpétrées contre les palestiniens à cette époque sont encore jusqu’à aujourd’hui passées sous silence.

Si en 1945, les juifs étaient tous partis aux Etats-Unis au lieu de se rendre en Palestine, cela aurait probablement évité beaucoup de souffrances et de massacres, tant pour les juifs que pour les palestiniens.

Il est plus que temps aujourd’hui d’ouvrir un débat difficile mais nécessaire sur la fin de la colonisation juive en Palestine, car tant qu’il lui reste un souffle de vie, un peuple ne renonce jamais à la terre de ses ancêtres.

 

 

 

 

Le vice-ministre israélien de la Défense menace Gaza d'un nouvel Holocauste

1686898272.jpgGAZA (AFP) - Trente-deux Palestiniens, dont des femmes et des enfants, ont été tués samedi dans des frappes de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, l'une des journées les plus meurtrières de ces derniers mois dans le territoire palestinien, selon un nouveau bilan de sources médicales.

Au moins 75 Palestiniens, dont 15 dans un état grave, ont été blessés lors de raids aériens et une opération terrestre de l'armée israélienne lancée dans la localité de Jabaliya (nord) et ses environs, a-t-on ajouté.

Malgré cette offensive, les groupes armés palestiniens ont tiré une trentaine de roquettes contre Israël, où trois civils, dont deux enfants, ont été blessés par l'un de ces engins dans la ville d'Ashkélon (sud), distante de 10 km de la bande de Gaza, selon la radio militaire

Selon l'armée israélienne, "au moins 15" activistes armés ou qui dissimulaient des engins piégés à l'approche des militaires ont été "touchés" à Jabaliya, où cinq soldats israéliens ont été blessés.

Il s'agit de l'une des journées les plus meurtrières ces derniers mois dans la bande de Gaza, où le bilan des morts palestiniens n'a cessé d'augmenter d'heure en heure depuis l'aube samedi.

En milieu de journée, de violents combats armés entre les soldats israéliens et des activistes se déroulaient dans l'est de Jabaliya, où opéraient des unités d'infanterie et de blindés israéliens appuyés par des hélicoptères.

Les ruelles désertes de la localité étaient jonchées de débris en raison des destructions alors que les imams des mosquées récitaient des versets du Coran sur des haut-parleurs et les habitants de Jabaliya sont terrés chez eux.

"Nous vivons une ambiance de guerre totale. A chaque instant nous entendons le bruit de roquettes et d'explosions. Ca tire de tous les côtes", a dit à l'AFP Abou Alaa, 40 ans, un habitant de Jabaliya joint par téléphone.

"Les enfants n'ont pas été à l'école et les commerces sont restés fermés et l'on ne peut sortir de nos maisons", a-t-il ajouté.

Face au nombre grandissant des victimes, le Dr Mouawiya Hassanein, chef des urgences à Gaza, a affirmé que ces services "ne pouvaient plus faire face à la situation sanitaire dans cette guerre".

"Les choses vont de mal en pis. Nous ne pouvons pas nous déplacer facilement, 12 de nos ambulances sont bloquées faute de carburant et les autres ambulances doivent coordonner au préalable avec l'armée israélienne, ce qui gêne notre travail", a-t-il dit.

Le vice-ministre israélien de la Défense Matan Vilnaï a expliqué que l'armée avait lancé une opération terrestre "élargie" dans le nord de Gaza. "Nous agissons surtout avec l'aviation même si nous recourrons aussi à des forces terrestres".

Le vice-ministre israélien a aussi prévenu les Palestiniens de Gaza qu'ils s'exposaient à une "shoah" s'ils poursuivaient leurs tirs de roquettes contre l'État juif.

Pour le ministre de l'Environnement, membre du cabinet de sécurité, Gideon Ezra, il faut "éliminer tous ceux qui sont impliqués dans les tirs de roquettes y compris Ismaïl Haniyeh", le chef du gouvernement Hamas à Gaza, non reconnu par la communauté internationale.

Vendredi, M. Haniyeh a dénoncé une "vraie guerre" menée par Israël contre Gaza.

Quant au président palestinien Mahmoud Abbas, en brouille avec le Hamas, il a exhorté Israël à arrêter ses attaques et les groupes armés à cesser les tirs de roquettes sur Israël.

Depuis le début mercredi de la dernière offensive israélienne en date contre Gaza pour tenter de faire cesser les tirs de roquettes palestiniennes contre le territoire israélien, au moins 65 Palestiniens ont été tués. Un Israélien a péri dans le tir d'une roquette mercredi.

Les derniers décès portent à 6.229 le nombre de personnes tuées dans les violences israélo-palestiniennes depuis 2000, pour la plupart des Palestiniens, selon un bilan établi par l'AFP.